Vive le volleyball…
Vive le volleyball…Je faisais souvent les trajets dans ce train, mais pendant un bon moment, je ne vis plus mes deux coquines… Et puis un soir, le train Ă©tait de nouveau dĂ©sert, je vis LĂ©a arriver par la porte restĂ©e ouverte… Elle s’arrĂŞta en me voyant, hĂ©sita, puis vint s’asseoir en face de moi.— Bonjour.— Bon… bonjour,…