Chose promise….Depuis, j’ai revu Catherine. Toujours avec son Anthony, elle me lançait toujours des regards qui me ne mettaient pas très à l’aise.Elle me plaisait vraiment cette fille. Toujours de jolies chaussures, de jolies robes. Et ses jambes… Elle était très sportive. Ses jambes étaient (et sont toujours) galbées à souhait, musclées et fermes. Toujours bronzée, le nylon qu’elle portait lui donnait une sensualité débordante. Elle avait un petit quelque chose de Corinne Touzet en légèrement plus mince.Nous nous envoyions quelque textos par ci par là. Relativement soft. Me disant qu’elle serait tentée si Anthony n’était pas là.Ça se passait donc mal dans son couple. Anthony, qui était toujours mon pote, se confiait à moi. Et plus il me parlait d’elle, plus j’espérais qu’elle le quitte. Ce qu’ils firent 1 ou 2 mois plus tard. Le 17 décembre 2001. La veille de l’anniversaire de Catherine.Je le savais déjà, Catherine m’avait prévenu qu’elle le ferait la semaine d’avant.Le lendemain, je rentrai tôt du boulot. Je fus chez moi vers 18 h et me mis à l’aise pour passer une soirée tranquille en bon célibataire. Pizza, bière, console de jeux.Un coup de fil. C’est elle.— Bonjour, Marcus— Tiens bonjour, comment ça va ?— Bah pas trop bien en fait…— Te casse pas je suis au courant.— Ah ?— Bah oui. Et tout se sait très vite. Tu veux qu’on parle ?— J’ai pas trop le moral, dit-elle. C’est mon anniversaire aujourd’hui.— Non ?! Attends je t’invite au resto, on va en parler.En clair je sautais sur l’occasion de la revoir. Seul à seul…En l’attendant dans le resto, je sentis une petite piqûre sur la nuque, ma conscience.(C’est un pote tout de même, je suis pas sûr qu’il apprécierait que j’invite son ex le lendemain de leur rupture…)Cette piqûre a disparu dès qu’elle a poussé la porte du resto.Elle était magnifique. Une bouche sensuelle soulignée par un rouge à lèvre rouge foncé. L’avancée de ses dents lui donnait une moue retroussant ses lèvres divinement.Un pull à grosse maille permettait de deviner son soutien-gorge qui, après que j’ai louché sur son décolleté, s’avérait être en dentelle crème.Une petite jupe vert kaki coupée grossièrement au-dessus du genou découvrait ses jambes gainées d’un collant chair brillant. Des petites chaussures italiennes en cuir et à hauts talons finissaient le tableau.Nous échangeâmes un large sourire lorsqu’elle s’assit lentement, en avançant son buste légèrement. Assez pour que je puisse distinguer la naissance de ses seins.J’étais gêné. J’étais émerveillé. Je la détaillais longuement sans dire un mot.— Mais qu’est ce que j’ai ? dit-elle se caressant la nuque.— Rien, tu es très belle.— Merci.Elle rougit.Nous étions tous les deux gênés. Ne savant pas par quoi commencer.Alors je cherche quelque chose dans ma poche, le cache dans ma serviette et glisse le tout dans sa main.— Tiens je crois que ça t’appartient, lui dis-je.Elle ouvre et découvre le collant qu’elle m’avait glissé dans ma veste quelques mois auparavant.— C’est à toi maintenant. Garde-le, me dit-elle avec un regard de braise.Je le récupère, le porte à mon visage, le sent et le remet dans ma poche.Elle rit, je souris, et la glace était brisée.Au fur et à mesure du repas, je la sentais de plus en plus proche, elle avançait sa main, la posait sur la mienne puis la retirait… ce petit jeu dura jusqu’à la fin du plat de résistance.Repus, je m’enfonce dans mon siège et allonge mes jambes. Je heurte ses tibias.— Oups pardon.— C’est rien. Ne bouge plus.Je reste donc sur ma position. Elle me regarde droit dans les yeux et me dit qu’elle est en train d’enlever sa chaussure et que je dois me laisser faire.Je n’aurais bougé pour rien au monde !Je sens son pied frotter le long de mon mollet, puis passer sur la cheville et glisser sous mon pantalon ; elle remonte doucement.Je commence à me sentir de plus en plus chaud et regarde autour de moi si les autres clients avaient remarqué ce manège.Elle sort son pied du bas de mon pantalon, stoppe et me demande si je veux qu’elle continue. Je soupirai de bonheur, ce qu’elle a pris pour un oui. Elle remonta donc le long de ma jambe, l’intérieur de ma cuisse. Jusqu’à mon sexe. J’avais du mal à cacher mon érection. Elle me regarda, hocha la tête en signe de surprise, et se mit à caresser mon sexe par-dessus le pantalon avec son pied. De haut en bas, de gauche à droite. Je prends son pied dans mes mains et le masse. Appuyant sous la plante, remontant légèrement au-dessus de la cheville. J’allais exploser.Elle entend le serveur arriver, et repose son pied.— Monsieur madame, un dessert ?On répond en cœur NON. Ni dessert ni café merci.Je paye et lui propose de la raccompagner en voiture.A peine la porte de ma Mazda fermée, elle pose sa main sur mon torse et m’embrasse à pleine bouche.— J’ai envie de toi, dit-elle.Je réponds à son baiser, elle s’approche de moi pliant sa jambe sur le levier de vitesse. Je découvre sa cuisse que je caresse, le contact du nylon rallume mon érection. Elle pose sa main sur mon sexe et le malaxe.— Pas ici, il y a trop de monde, lui dis-je. Si tu veux je te montre mon nouvel appart j’emménage la semaine prochaine.— OK.On arrive à trouver une place, je lui ouvre la porte de la voiture. J’en profite pour regarder sa culotte lorsqu’elle descend. Elle sourit et sort de la voiture.La porte de l’immeuble était ouverte, on entre, j’allume la lumière. Je la laisse monter les escaliers en premier. Je sais ce n’est pas très galant mais c’est tellement plus plaisant.Je l’arrête au milieu de l’escalier et la prends par la taille. Elle s’appuie avec son dos, ses fesses posées sur mon sexe et je pose mes 2 mains sur ses seins lourds. Un baiser langoureux s’ensuit puis nous finissons l’étage. Nous voilà devant ma porte. Je cherche mes clefs.— Merde !!! Elles sont où mes clefs ?J’avais paumé mes clefs. Elles étaient restées dans l’autre appartement. Je les vois encore sur le rebord du canapé.— Tant pis, me dit-elle, ça sera pour une autre fois.— Mouais…— Moi aussi je suis déçue.Je me fais à l’idée de rater cette occasion et l’embrasse tendrement. La lumière s’éteint. Elle glisse sa jambe entre les miennes, agrippe les revers de ma veste et s’appuie contre le mur.Et là tout s’est passé très vite.Je caresse ses seins, descends sur ses hanches, remonte sa jupe, caresse ses cuisses, m’accroupis, lèche l’intérieur de ses jambes puis remonte sur son slip. L’odeur du nylon chaud et humidifié par sa cyprine me rends fou.Je me relève, le souffle court, elle glisse le long de mon corps. Elle est accroupie devant moi. Le clair de lune se reflète sur ses collants brillants. Elle dégrafe ma braguette, et descend mon pantalon, sort mon sexe du boxer short, et l’amène à sa bouche.Je n’avais pas besoin de ça, j’étais déjà très excité, elle le ressent, mais elle continue tout de même.Je la relève, elle se retourne et se cambre, les mains posées sur le mur. Je remonte complètement sa jupe, descends d’une main son collant et sa culotte. Je les laisse bloqués aux genoux et entre en elle, d’un coup.Je n’étais pas le seul à être excité. Elle était trempée.Sous mes coups de boutoir, ses petits cris étouffés m’excitaient encore plus. Elle prend mon autre main et la presse contre ses seins.— Viens, viens tout de suite.— J’arrive.J’étais à bout. Elle se retire, prend mon sexe d’une main et le serre. J’éjacule dans sa main. Elle sort un kleenex, essuie le gros de mon sperme sur sa main et lèche les dernières gouttes. Elle se rhabille. Pose sa main sur ma joue, et me dit : « à bientôt. »Elle me laisse là, dans la cage d’escalier. Le pantalon sur les chevilles.Ça a été le meilleur et le plus rapide coup de ma vie.