Ce n’est que le début…Je m’appelle Joseph, j’ai 34 ans, et en ce moment je suis un peu paumé. Je suis seul, plus une thune en poche, et pour couronner le tout, en conséquence directe, je viens de me faire jeter à la rue par mon proprio. Heureusement, j’ai un pote qui devrait pouvoir m’héberger quelque temps ; enfin, je crois. Je ne me souviens pas trop où il habite mais je devrais réussir à trouver. Vous vous demandez sans doute comment je peux avoir oublié où vivait mon seul pote ? Je rentre de quelques années passées à l’étranger et j’ai perdu le contact avec tout le monde, et le seul mec que je me dis qu’il pourrait m’aider, c’est lui, même si ça fait un bail qu’on ne s’est pas vu !Je me balade donc dans son coin à la recherche d’un peu de mémoire, j’essaye de me rappeler ce café où l’on buvait des bières. Cette rue me dit quelque chose ; oui, c’est ça, je me rappelle enfin et me retrouve devant la porte de son immeuble. Évidemment, je ne connais pas son code ; je vais donc me poser sur un banc en attendant de le voir passer. J’attends donc Nicolas, mon pote de fac ; ça fait donc 6 ans que je ne l’ai pas croisé. J’ai appris qu’il s’était marié, il a peut-être même un enfant depuis. On était très proches à la fac, et la vie nous a éloignés depuis, mais je le sens bien ; enfin, j’espère !Après une petite heure d’attente, je le vois arriver de loin. Il n’a pas changé, toujours aussi grand et beau. J’ai toujours été jaloux de sa beauté et de ses facilités avec les filles. Je me lève, il me voit et il sourit, c’est gagné.— Hé, Joseph ! Qu’est-ce tu fais là ? Ça fait un bail !— Grave trop longtemps ! Je suis là pour te demander un service.— Ce que tu veux. Qu’est-ce qui se passe ?— Je suis à la rue, j’ai perdu mon job. Bref…— Viens à la maison et fais comme chez toi : mi casa es su casa, ou un truc dans le genre.— Tu me sauves, je ne sais pas comment te remercier.— On trouvera…Nous montons donc chez lui. Son appart n’a pas beaucoup changé ; c’est juste plus bordélique que dans mon souvenir. Il y a un peu de relâchement, apparemment.Nous avons passé la soirée à nous raconter nos vies, et ce que nous en avons retenu est que nous sommes bien seuls tous les deux ! Sa femme l’a quitté du jour au lendemain il y a 6 mois environ. Depuis, ils ne se sont pas revus. Ses affaires sont même encore ici, elle n’a même pas pris la peine de venir les chercher. Seul contact : une lettre d’avocat demandant le divorce.Bref, nous voilà deux loosers, et pas très fiers de l’être… Le bon côté des choses, c’est que ça lui fait plaisir de m’héberger : son canapé est mon canapé autant que je le veux, et il va même me faire un peu de place dans l’armoire de sa femme.Après cette soirée bien arrosée, nous nous couchons tous les deux dans nos lits respectifs, assez heureux de s’être retrouvés.Je m’installe donc chez lui ; je cherche du boulot, donc je prends le temps pour le remercier de faire le ménage : je brique l’appartement, je m’occupe des lessives, du repassage, des courses, et bien sûr de préparer les repas. Je me plais assez dans ce rôle de « petite femme au foyer ».Le temps passe, et je crois que lui comme moi sommes très heureux de la situation ; d’ailleurs je fais un peu traîner mes recherches d’emploi, n’ayant aucunement envie de quitter ce qui est devenu un peu chez moi.Côté sexe, de mon côté, le désert ! Je n’arrive pas à draguer, je ne suis pas sûr d’en avoir envie. Par contre Nicolas, lui, ramène souvent une fille le soir ; dans ces cas-là je me fais le plus discret possible. Il a l’air d’être plutôt un bon coup, vu les cris que les demoiselles ne peuvent retenir. Je me surprends parfois à bander et à « vivre » avec eux, mais à distance, ces moments en me caressant.Un matin, en prenant mon petit déjeuner sur la table à manger, Nicolas passe nu devant moi. C’est la première fois que je le vois comme ça. Il repasse devant moi et je scotche sur ses fesses. Il rentre dans la salle de bain et prend une douche sans fermer la porte ; je n’arrive pas à ne pas le regarder et – comble du trouble – mon sexe se durcit. Je m’étonne moi-même mais ne peux rien faire pour lutter. Il sort de la douche, se sèche, me regarde un peu, et passe dans sa chambre s’habiller.La journée se passe normalement mais une tension sexuelle m’habite ; ma tête est en feu. A-t-il fait exprès de laisser la porte ouverte ? Je n’ai jamais été attiré par un homme, mais me voilà aux toilettes, me branlant en pensant à ses fesses ! Qu’est-ce qu’il m’arrive ?Ce soir, Nicolas est sorti tard ; je n’ai donc pas eu à affronter son regard. J’étais soulagé, et un peu déçu, je crois.Le lendemain matin, il vient prendre son petit déjeuner nu. Je suis troublé, je bredouille quelques banalités, j’essaye de ne pas bloquer sur son corps, j’essaye de maîtriser mes émotions. J’ai l’impression qu’il fait exprès. À nouveau il prend sa douche la porte ouverte, puis s’habille et part travailler, me laissant là planté sur ma chaise, n’osant plus faire aucun mouvement.Je prends donc une douche pour me calmer, me sèche et pars dans le dressing pour m’habiller. Je ne sais pas quoi mettre et tombe sur une petite culotte de sa femme en cherchant un tee-shirt propre. Je la regarde : c’est une belle culotte rose chair en dentelle. Je l’approche de mon nez pour sentir son odeur ; je m’imagine la porter. Et je ne sais pas pourquoi, mais je me décide à la mettre, je l’enfile délicatement ; j’adore le contact de la dentelle sur ma peau ! Je me regarde dans le miroir et j’adore l’image que je renvoie ! Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je me mets à la recherche du soutien-gorge qui va avec. Je le trouve dans une belle boîte dans laquelle il y a de la très belle lingerie : bas, porte-jarretelles et autres accessoires sexy. Je mets alors son soutien-gorge. Sa femme était très grande : tout me va parfaitement. Bien sûr, je n’ai pas de seins ; mais bon, je vais me débrouiller.Je me regarde dans la glace, me caresse ; mon sexe est dur comme du bois. J’essaye tant bien que mal de le camoufler. Je décide d’aller plus loin et enfile une robe moulante et assez courte, provocante à souhait. À ce moment, je me rappelle que Nicolas avait mis une perruque lors de nos folles soirées étudiantes. Je la trouve cachée au fin fond d’un carton rempli d’objets d’un autre temps. C’est une perruque de cheveux longs et bruns, pas très réaliste, mais c’est mieux que rien. Je me regarde à nouveau, et je kiffe ce que je vois : je suis sexy, je me sens sexy, je me sens bien comme rarement ces dernières années ; c’est comme une révélation.Je décide alors de passer la matinée comme ça, et je m’imagine dans la situation de la femme qui attend son mari. Je me mets alors à fantasmer son corps, à m’imaginer être l’une de celles qu’il fait crier toute la nuit. À regret, je me change avant son arrivée car je ne pense pas qu’il apprécierait ce qu’il verrait.Des semaines se passent ainsi, où il me fait son petit numéro d’Apollon le matin, et où moi je me transforme en Joséphine en son absence.Un jour que j’avais enfilé un petit ensemble en dentelle noire composé d’un string, d’un soutien-gorge triangle et de bas autofixants, le tout assez peu dissimulé sous une robe très fine et transparente, je décide d’ajouter à ma panoplie le maquillage. Je m’assois alors devant le miroir et travaille mon visage pour le féminiser. Le résultat est incroyable : je me sens plus femme que jamais !Je suis heureuse et danse dans le salon quand la porte s’ouvre, laissant apparaître Nicolas sur le pas de la porte ! Nous nous retrouvons donc face à face, espacés de 5 ou 6 mètres. Il me regarde longuement. Je n’ose ni bouger ni parler. Il me regarde ainsi pendant ce qui m’a paru comme 10 minutes même si cela a dû durer 30 secondes. Puis il s’avance vers moi lentement, son regard dans le mien, mais son regard est dur ! Il s’avance, je recule ; il s’avance, je me retrouve dos au mur. Il avance. Il est maintenant à moins d’un mètre. Il avance. Il est à 20 centimètres. Sa main droite monte lentement, m’attrape le visage, et me maintenant ainsi il m’embrasse à pleine bouche, forçant l’entrée de sa langue dans ma bouche qu’il fouille frénétiquement.Mes jambes flageolent. Son autre main m’attrape une fesse et me plaque entièrement contre son corps, puis il me repousse un peu. Sans son soutien, je m’affale un peu et glisse à genoux. Il retire alors sa ceinture, descend son pantalon puis son boxer, libérant son sexe épais qui a déjà pris une certaine taille. Ses mains saisissent ma tête et il approche son gland de ma bouche. Je suis pétrifié. J’avais au cours de ces derniers jours imaginé le sucer, mais pas comme ça ! J’entrouvre la bouche et il m’introduit son sexe directement. J’essaye de reprendre le contrôle de moi-même mais il commence à imprimer son rythme ; il va et il vient dans ma bouche sans que je ne puisse rien y faire. Son sexe grossit encore et encore, j’ai du mal à le contenir. Il entre plus profondément, me provoquant des haut-le-cœur. Il accélère le rythme et me baise littéralement la bouche. Puis d’un coup, dans un dernier et profond coup de reins, il se décharge en moi. Je sens plusieurs jets d’un liquide chaud envahir ma gorge. Ses mains relâchent leur emprise ; je m’affale encore un peu plus. Il remonte alors son boxer, son pantalon, et remet sa ceinture tout en me regardant. Il s’accroupit ; sa main se glisse sous ma robe à la recherche de mon sexe qui n’a jamais été aussi dur.Il me dit alors en me regardant droit dans les yeux :— Dis donc, c’est que tu as aimé ça, en plus ! T’es une sacrée perverse ! Les règles vont changer : dorénavant, tu n’as plus le droit de t’habiller en homme ici. D’ailleurs, pour l’instant, tu n’as plus le droit de sortir. Tu vas devenir ma femme, et tu feras tout ce que je te demanderai ; tu n’auras plus qu’à te soucier de mon plaisir.Puis il reprend :— Je dois sortir. Si tu es encore là – et je le souhaite –, c’est que l’on aura un accord.Il se met alors à me caresser le sexe à travers la dentelle de mon string, approche sa bouche de la mienne et m’embrasse comme un homme amoureux peut le faire. Puis il me glisse à l’oreille :— Je te promets que tu ne le regretteras pas…Il se lève, sort, ferme la porte et me laisse planté là, seul face à un choix décisif pour ma vie.J’ai du mal à reprendre mes esprits. Je me lève, tourne un peu en rond ; je tremble… Je suis terrifié à l’idée de rester là et de le laisser prendre le contrôle de ma vie, mais il a raison : j’ai aimé ça – j’ai même adoré ça –, et la manière dont il m’a embrassé avant de partir me montre qu’il y aura de l’amour… Je tourne donc en rond et me rends compte que si j’avais voulu partir je l’aurais déjà fait. Je me rends compte aussi qu’a aucun moment je n’ai songé à me changer, redevenir Joseph !Je me regarde dans le grand miroir de l’entrée : mon maquillage n’est plus très frais et mes vêtements sont un peu sens dessus dessous, mais j’aime l’image que je renvoie. Je réajuste ma robe et me dirige vers la salle de bain afin de me remaquiller, de faire une petite toilette ; bref, de me faire belle. Je veux lui faire plaisir : après tout, cela va être mon nouveau rôle ! Est-ce le but que je cherchais désespérément ?Une fois mon apparence à nouveau agréable, je décide de lui préparer un bon repas ; je ne sais pas s’il sera rentré pour le dîner, mais on ne sait jamais…Je suis donc en cuisine en train de préparer le repas quand il rentre. Mon cœur se met à battre tellement fort que je crois qu’il va exploser. Il entre dans la cuisine, se place derrière moi, m’enlace tendrement et me dit :— Je suis heureux que tu sois là ; cela me touche beaucoup…Puis il me prend par la main et m’entraîne hors de la cuisine.— Viens, il y a quelques trucs à régler avant de profiter de notre bonheur. Va chercher toutes tes affaires et amène-les ici : vêtements, papier, argent, tout.Puis il m’embrasse tendrement.Je pars donc dans le dressing chercher le peu de vêtements que j’ai ainsi que mon petit sac dans le lequel j’ai tous mes papiers et souvenirs importants. Quand je reviens avec tout ça, il a posé au sol une petite boîte en carton ainsi qu’un grand sac poubelle.Je ne suis pas sûr de comprendre, mais il s’empresse d’être très clair !— Mets tes papiers, carte bleue et argent dans la boîte en carton ; le reste, poubelle.Me voyant hésitant, il s’approche, m’enlace.— Ne t’inquiète pas, tu ne le regretteras pas. Tu as confiance en moi, non ?Je ne sais pas quoi répondre. Il se met à m’embrasser tout en passant sa main sous ma robe. Il se met à me caresser tendrement mon sexe et mes fesses, il passe alors un doigt dans mon sillon. Je manque de perdre l’équilibre tellement j’ai envie de lui. Je suis pris, je bredouille alors un petit oui… Je prends mes affaires, sors mon passeport, ma carte vitale, ma carte bleue, les deux-trois autres papiers administratifs importants ainsi que quelques photos. Je les dépose dans la boîte en carton, puis je mets tout le reste dans le sac poubelle. J’ai le cœur gros ; je ne sais pas bien ce que je fais, mais je le fais.— Encore une chose : j’ai besoin que tu me signes ces papiers. Après, je te jure, tu seras ma reine.— Qu’est-ce que c’est ? j’ose demander.— Tu n’as pas confiance ?— S… si.— Alors signe sans te poser de questions ; tu n’as plus besoin de te poser trop de question, je m’occupe de tout.Il me tend les papiers avec un stylo. Il y a des petits post-it où je dois signer. Ces papiers sont dans une langue étrangère ; je ne comprends rien mais je signe tout. Je me sens mal, mais il me reprend dans ses bras et me dit qu’il m’aime, ce qui a pour conséquence de me faire tout oublier et je m’abandonne dans ses bras. Le début du bonheur ?Il prend la boîte en carton, le sac poubelle et sort de l’appartement en me disant :— Je reviens d’ici une heure ; j’ai quelques trucs à faire. Regarde dans la salle de bain, il y a un petit cadeau pour toi. Le premier d’une longue série.Il claque la porte. Je me dirige alors vers la salle de bain. Il y a un petit paquet emballé. Je souris, déchire le papier : c’est une poire en plastique noir avec un long embout. Il y a un petit mot :Ma chère Joséphine,Voilà ton premier accessoire de femme ; prends-en soin, et surtout prends bien soin de t’en servir. En l’utilisant fréquemment, il te permettra d’être toujours accueillante pour moi ; tu imagines bien que je n’aimerais pas avoir de mauvaises surprises !Je t’embrasse, ma reine.Je regarde alors cet objet que je n’ai jamais utilisé. J’imagine bien comment cela marche, mais j’étudie bien le mode d’emploi. Je le remplis d’eau tiède, remonte ma robe, descends mon string et approche l’embout près de mon anus. Je place un peu de salive sur l’embout et appuie doucement. L’embout qui est très long mais pas très épais entre facilement sans trop de douleur et j’appuie doucement sur la poire. Je sens le liquide m’envahir ; cette sensation est bizarre mais pas désagréable. Je le retire et évacue l’eau… Je réédite l’expérience cinq ou six fois jusqu’à ce que ce soit parfaitement propre. Je me rhabille alors, peaufine mon maquillage et retourne en cuisine finir le repas en l’attendant.Il rentre juste à temps quand je suis en train d’installer la table. Il vient me voir.— Tu es magnifique, ma chérie !— Le repas est prêt ; tu as faim ?— J’ai faim de toi !Il me prend alors par la taille et m’embrasses ses mains parcourent tout mon corps. Je sens son sexe se gonfler contre moi.Mes mains se prennent pour la première fois à parcourir son corps ; je crois que je vais exploser tellement je suis excité.Il me retourne alors et me pousse contre la table de la salle à manger. Il m’appuie sur le dos, me forçant à me pencher et poser mes bras sur la table, ce qui a pour effet de me faire remonter les fesses. Il remonte d’un seul geste ma robe, écarte mon string, se penche et m’embrasse les fesses. Sa langue parcourt mon sillon, rencontre mon petit trou, commence à le fouiller, le sucer. Quelle sensation incroyable !Un doigt se mêle au jeu et appuie pour forcer l’entrée. À l’aide de sa salive, le doigt entre facilement. Je lâche un cri intense de plaisir ; je savoure chaque mouvement de son doigt, chaque coup de langue. Un deuxième puis un troisième doigt entrent dans la danse et commencent à appuyer à un endroit qui me procure des décharges électriques de plaisir ! Je tremble, transpire, reprends du plaisir, et je le fais savoir. Il retire alors ses doigts, se relève et défait les boutons de son pantalon, le baisse ainsi que son boxer, et place directement son épais gland sur mon anus. Sans temps mort, il appuie directement et entre, m’arrachant cette fois-ci un petit cri de douleur, ce qui est loin de l’arrêter puisqu’il entame directement un va-et-vient soutenu.Passé la surprise de la douleur, le plaisir revient de plus belle, et mes deux mains attrapent ses fesses pour qu’il s’empale au plus profond de moi. Je dois terriblement l’exciter car il me pilonne de plus en plus fort et ses râles le sont tout autant. D’un coup, entrant plus profondément et s’accrochent fermement à mes hanches, il se lâche en moi ! Je ressens son liquide chaud m’envahir. Il se retire alors, retire son pantalon et son boxer et me laisse planté là en s’installant sur le canapé. Il allume la télé et me demande de venir. Je m’approche de lui et m’assois à côté de lui.— Tu serais merveilleuse si tu me nettoyais…Et il prend ma tête par la main pour m’accompagner vers son sexe qui est encore assez gros. Je commence donc à le lécher, récupérer toute sa semence ; je m’applique à ce qu’il soit propre comme un sou neuf. J’aime sa bite, et a priori sa bite aime ma bouche car elle reprend un peu de vigueur sous mes coups de langue. Je m’active alors plus hardiment ; j’essaye de le détourner de son émission. Je le pompe profondément, et sa respiration s’accélère. Sa main parcourt mon dos, descend vers mes fesses puis remonte ver ma tête, empoigne mes cheveux et imprime son rythme. Il me baise la bouche et vient en moi. J’aime à nouveau recevoir son jus chaud que j’avale sans en perdre une goutte.De mon côté, je n’ai pas éjaculé depuis ce matin et mon sexe me fait mal, tellement il est bandé ; il ne demande qu’à se décharger. J’aimerais qu’il me caresse tendrement le sexe pour me délivrer. Je me redresse et me tortille un peu, j’essaye de dissimuler mon érection. Il le remarque et me dit alors :— Redresse-toi et écarte les jambes.Sa main se pose alors sur ma cuisse, remonte lentement, passe sous ma robe, entre en contact avec mon sexe qui est déjà sorti depuis longtemps de mon string. Il l’empoigne, et tout en me regardant dans les yeux commence à me branler lentement. Dès qu’il sent que je vais venir, il s’arrête, puis reprend encore plus lentement.— Tu apprendras vite à jouir du cul comme une bonne femme ; tu verras, c’est même encore meilleur.À ces mots, je jouis fortement, inondant sa main et ma robe. Mon corps tremble, je suis épuisé. Il ressort sa main pleine de foutre et me la présente pour que la nettoie, ce que je fais avec délectation.— Tu devrais aller te coucher, chérie ; demain sera une journée chargée. Et n’oublie pas que tu dois être toujours prête.Je me lève alors, direction la salle de bain pour me changer, enfiler une jolie nuisette de satin, revoir un peu mon maquillage, et bien sûr me faire un lavement. Je me couche dans le lit conjugal et n’arrive pas à croire tout ce qui s’est passé aujourd’hui. Je m’endors assez rapidement ; demain est une grande journée…Je me réveille. Il est là à côté de moi, dans mon lit ! Je me lève discrètement pour passer dans la salle de bain faire une petite toilette. Je prends une petite douche ; évidemment, j’utilise mon nouvel accessoire de femme : je commence à apprécier ces lavements, et je me dois d’être prête à être prise à tout moment. J’enfile une nuisette propre et file dans la cuisine préparer le petit déjeuner.Je suis en train de préparer le café quand je le vois apparaître dans la cuisine. Il est nu. Son corps est vraiment magnifique, j’ai du mal à m’en détacher. Il s’approche et se place tendrement derrière moi, ses mains parcourent mon corps avec douceur. Une de ses mains attrape mon sexe et le branle lentement. Tout en continuant ce va-et-vient délicieux, il m’embrasse le cou et caresse mes seins. Je sens que je vais jouir comme jamais ; mais, me sentant venir, il s’arrête et s’assoit à table, me laissant là, frustré !Au bout de deux minutes où je reste planté là, mon sexe dressé sous ma nuisette, il me demande son café. Je finis de le lui préparer et le lui sers. J’allais partir chercher du sucre quand il m’attrape la main pour que je reste là. Tout en buvant son café, il se remet à me caresser le sexe, tout en faisant bien attention à ne pas me faire jouir. Il joue ainsi avec moi pendant 15 minutes. Je ne tiens plus. Je suis en nage ; j’ai tellement envie de jouir ! Mais a priori ce n’est pas encore mon moment puisqu’il se lève et me dit :— Je vais partir bosser. Prépare-toi : plusieurs personnes vont passer à l’appart ; je veux que tu les reçoives comme il faut. Tu feras tout ce qu’ils te demandent.Lisant ma frustration sur tout mon corps, il s’approche, reprend mon sexe en main et me susurre à l’oreille que ce soir il me délivrera. Puis il part dans la salle de bain. Je suis en train de ranger son petit déj quand je l’entends sortir de la maison sans même un mot.Je vais donc à mon tour à nouveau dans la salle de bain me refaire une toilette complète, puis enfile un joli ensemble couleur chair ainsi qu’une petite robe légère. Je me regarde dans la glace, me trouve belle. La séance de ce matin m’a électrisé, et je ne pense qu’à son corps, son sexe que je veux en moi, ses mains sur mon corps, et à cette journée qui risque d’être mémorable…