La nuit est calme, puisque nous récupérons de celle de la veille qui a été très agitée. Au réveil, Vanessa me propose une expérience nouvelle, elle veut draguer une fille, la ramener ici, et me faire profiter du spectacle sans y participer. Une idée qu’elle a trouvée par rapport à son exhibition d’hier. J’accepte avec joie, en pensant que cette fois, je serai complice et non plus «victime». Après avoir pris un brunch, elle propose d’aller au George Sand, un club féminin, pour draguer ; pour ma part, j’attendrai ici.Je suis plongé dans la lecture d’un magazine, lorsque retentit le signal convenu : deux coups brefs à l’Interphone. Il est un peu plus de 16 heures, Vanessa a mis un peu moins de deux heures. Je me précipite dans la cuisine afin de pouvoir accéder à l’autre escalier. Je pourrai donc circuler dans l’appartement sans emprunter les mêmes passages qu’elles. En entendant, je me blottis dans la cuisine dont j’ai juste entrouvert la porte coulissante. Normalement, Vanessa doit l’emmener dans sa chambre où donne un placard qui a été aménagé dans un ancien couloir. J’ai donc accès à ce placard par une autre pièce ; de plus les portes de la penderie sont coulissantes.La fille est une jeune eurasienne, probablement vietnamienne, au visage fin et androgyne. Elle est très mince, et ne semble pas avoir beaucoup de poitrine. La curiosité me dévore. Elles s’embrassent un court instant, puis Vanessa la prend par la main et l’entraîne à l’étage. J’écoute, et j’en déduis qu’elles se sont arrêtées en haut de l’escalier. J’en profite pour, moi aussi, grimper à l’ étage et gagner mon poste d’observation. Les deux filles sont assises sur le lit. Vanessa porte une minijupe noire et un bustier blanc. Elle retire ses chaussures pour poser ses pieds sur le lit. Adossée contre le mur, elle exhibe ses jambes nues. L’eurasienne est accroupie à ses côtés. Avec ses cheveux sombres, coupés court, ses pommettes saillantes, sa veste, son tee-shirt et son jean, elle a une allure ambiguë. Elle n’est pas maquillée et ne porte aucun bijou. Elle prend Vanessa par la nuque et la serre contre elle, appuyant sa bouche contre la sienne. Ma copine ne recule pas et elles s’embrassent langoureusement pendant un long moment.Puis la vietnamienne enlève son blouson ; dessous, elle porte un tee-shirt blanc légèrement transparent. On devine qu’elle a peu de poitrine. Pendant que Vanessa se déshabille, l’autre la touche entre les cuisses. Une fois qu’elle est nue, l’eurasienne lui dit de s’allonger sur le dos, jambes écartées. D’elle-même, Vanessa écarte les lèvres de sa chatte, présentant son sexe à l’autre fille qui se couche entre ses cuisses.— «C’est çà , ouvre-toi bien, ma petite femme. T’aimes çà , hein, qu’une fille te suce?»Pour toute réponse, Vanessa soulève le bas-ventre pour le tendre à la vietnamienne qui se met à la lécher tout en retirant son jean. Elle me tourne le dos, le visage enfoui entre les cuisses de Vanessa ; à quatre pattes sur le lit, elle me présente ses petites fesses rondes. Puis elle enlève son tee-shirt. Ses seins sont tout petits, mais avec de jolies pointes très sombres. Sa taille étroite surplombe son pubis protégé par un mince triangle de poils noirs.Vanessa se met à quatre pattes pour lui embrasser le ventre. De sa langue, elle suit un chemin imaginaire vers le bas-ventre de sa compagne. L’eurasienne tend la main vers son sac :— «Attends, je vais te donner quelque chose à lécher, petite femelle.»Elle sort un godemiché. La vietnamienne l’attache autour de sa taille au moyen de lanières. Vanessa la regarde se préparer en s’enfonçant les doigts dans le minou. D’ici, je peux voir de grosses gouttes de mouille suinter de sa chatte.L’eurasienne avance vers Vanessa : ainsi équipée du sexe en caoutchouc, elle a l’air d’un joli travesti. Elle passe le bout du godemiché sur la joue de Vanessa :— «Tu te branlais en pensant à çà ?»Vanessa fait un signe affirmatif, et prend le faux gland dans sa bouche. La vietnamienne lui caresse les cheveux. Vanessa libère le gode ; un filament de bave relie le gland de latex à ses lèvres. L’eurasienne se couche sur Vanessa. Moi, mon sexe à la main, je me masturbe doucement en profitant du spectacle. L’une sur l’autre, les deux filles se caressent les seins et se lèchent le visage. Leurs langues s’entortillent comme des petits serpents. Leurs propos, ainsi que ce qu’elles font, me troublent. La vietnamienne murmure d’une voix rauque :— «Tu mouilles. Tu es aussi salope que moi, on se complète bien.»Vanessa ouvre sa chatte à deux mains. L’entaille écarlate et luisante de son sexe ressemble à une blessure sanglante. L’autre y enfonce le godemiché, et, empoignant Vanessa par les hanches lui donne de grands coups de reins, tout comme j’ aurais fait. Par instants, j’aperçois le membre en latex entre leurs deux ventres. Elles restent longtemps à faire l’amour, changent de nombreuses fois de position. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, je me finis à la main, et je continue à me caresser la verge une fois qu’elle se ramollit. C’est toujours l’eurasienne qui utilise le godemiché. À la fin, elle a fait mettre Vanessa à quatre pattes pour la sodomiser. Ensuite, elles se rhabillent, et Vanessa raccompagne sa partenaire. À son retour, je regarde Vanessa qui me sourit :— «Ça t’as plu, mon cochon?»— «Oui vachement, je n’ai pas pu m’empêcher de jouir dans ma main.»— «Tant mieux, car pour tout te dire, elle m’a épuisée et je crains de ne pas pouvoir venir avec toi au club»— «Tu veux qu’on les appelle et qu’on reporte?»— «Non, vas-y, çà va te faire du bien, moi je t’attendrai ici.»Elle va prendre une douche, puis elle s’allonge sur son lit, et plonge dans un profond sommeil.Quelque temps après, je quitte la maison pour le club. Une fois arrivé, le videur auquel je me présente se souvient de nous et me laisse rentrer avec la carte de Vanessa. Je vérifie la présence de nos copines, et je descends au sauna en passant bien sûr par les vestiaires. Comme ils sont mixtes, je croise une superbe fille blonde, bronzée, élancée, ce qui commence à me mettre en forme.Je frappe, Lise vient m’ouvrir :— «Vanessa n’est pas là ?»— «Non elle est crevée, elle s’est endormie»— «Dommage!»Elle est drapée dans un peignoir. Elle pousse le verrou derrière moi et laisse tomber son vêtement, découvrant son corps nu. Elle me dirige dans la cabine d’entrée.— «Déshabille-toi.»Nu, je pénètre dans la sauna lui-même. Le brouillard m’empêche de nouveau de voir où se situe Claire. D’un seul coup, je la découvre. Elle porte un body noir, très échancré sur les hanches, qui ne cache rien de ses fesses. Le devant du body est transparent ; je distingue ses quelques poils et l’ombre de sa fente. Voyant mon regard, Lise tire sur l’empiècement du vêtement, découvrant le sexe de sa copine.— «Tu vois mieux comme çà ? Attends, je vais te montrer sa moule!»Elle tend tellement le tissu que j’ai l’impression qu’il va se déchirer. De sa main libre, elle écarte les lèvres du sexe de la jeune femme, exhibant ses muqueuses roses.— «Regarde son trou. Il te plaît? Elle va te le donner.»— «Oh non, je ne peux pas» rétorque Claire.— «Déshabille-toi! Mais lentement, fais durer le plaisir.»Claire s’exécute, dénudant progressivement son corps gracile, se tournant pour ne pas dévoiler tout de suite ses seins et sa chatte. Blottie contre moi, Lise creuse les reins, poussant son ventre en avant pour exhiber son sexe rasé. Entre ses cuisses, je vois les lèvres de sa chatte. Elle se caresse devant moi, pressant ses gros seins, palpant son ventre, tirant sur ses grosses lèvres. En même temps, elle guide Claire d’une voix rauque, chargée d’excitation. D’une main elle se met à me caresser. Elle fait signe à Claire d’approcher :— «Donne ta main. Je vais t’apprendre à branler un homme.»Elle referme les doigts de la jeune femme sur ma pine et l’oblige à me masturber. Leurs mains jointes montent et descendent le long de ma verge. Au bout d’un moment, Lise lâche sa «victime».— «Voilà , tu as vite attrapé le coup de main. Continue et occupe-toi de moi en même temps.»Lise s’avachit sur le banc, à mes côtés, les cuisses écartées, exhibant avec une totale impudeur sa chatte glabre. Ses grandes lèvres bâillent, laissant voir son trou tapissé d’une mouille épaisse que Claire pénètre de deux doigts. La jeune femme nous branle sur le même rythme. Lise râle de plaisir en se pelotant les seins, pressant l’une contre l’autre les deux outres de chair aux pointes raidies. Après avoir joui, elle se redresse pour prendre la figure baignée de sueur de Claire entre ses mains.— «Fais-moi une langue. Montre-lui comme tu es une bonne gouine.»Elle coince la tête de Claire entre ses cuisses, pressant son visage contre son sexe qui dégorge de sécrétions. La jeune femme enfonce la langue entre les replis de chair rose, lapant la mouille avec un bruit obscène. Elle remonte le long de la vulve pour venir agacer le clitoris à coups de langue rapides. Elle n’a pas lâché ma pine et continue à rabattre mon prépuce sur mon gland dilaté, puis à le tirer en arrière. Lise jouit une nouvelle fois, écrasant la tête de Claire entre ses cuisses. En la tirant par les cheveux, elle la conduit vers mon sexe :— «A lui, maintenant, suce-le.»Le front baigné de sueur, le bas du visage souillé de mouille, Claire secoue la tête :— « Non, je ne l’ai jamais fait.»— «C’est bien ce qui m’excite, petite gouine. Je veux te voir bouffer une grosse queue!»Lise empoigne ma bite pour frotter mon gland contre les lèvres de Claire.— «Ouvre la bouche, petite gouine. Tu vas voir, quand tu y auras goûté, tu ne pourras plus t’en passer.»Elle tire les cheveux de sa «victime», lui arrachant un cri. Elle en profite pour lui enfoncer mon gland entre les lèvres. J’ai l’impression que Claire va me mordre, mais elle promène sa langue sur le bout de mon sexe. Lise lui appuie sur la nuque, la guidant d’une voix rauque.— «Voilà , c’est bien, suce, aspire la grosse queue. Passe ta langue partout. C’est bien meilleur qu’un clitoris ça, pas vrai?»Docilement, Claire me fait coulisser entre ses lèvres. Elle ferme les yeux ; ses narines pincées, sa respiration saccadée reflètent son excitation. Ses longs cheveux bruns s’étalent sur mes cuisses. Des gouttes de sueur tombent de son front sur mon bas-ventre.Moi, je me laisse faire. Je ne prononce pas un mot. J’ai la sensation délicieuse de n’être qu’une bite, godemiché vivant dont Lise se sert pour baiser Claire, sa maîtresse. Sentant que je ne suis pas loin de la jouissance, Lise tire Claire en arrière. Comme la jeune femme lui adresse un regard de reproche, elle lui dit :— «Ne t’en fais pas, je vais te la rendre, sa bite. Mais il va te la mettre ailleurs… Allez, couche-toi.»Claire fait non de la tête. Elle semble prête à fondre en larmes. Son corps brille de transpiration. La sueur goutte de son menton, coule entre ses seins, le long de son ventre, pour aller se perdre entre ses cuisses jointes. Lise la renverse, la plaque au sol. Elle se vautre sur elle, l’étourdit de ses baisers. De mon banc, je les regarde se frotter ventre à ventre, les jambes emmêlées. Je vois les fesses bronzées de Lise s’agiter, fermes. Entre les replis de sa chatte, j’aperçois les muqueuses roses de sa chatte. Claire se tord sur le sol, poussant son ventre au contact de celui de sa copine. Pendant ce temps, je mets une capote sur ma bite tendue. Quand Lise roule sur le côté, pour me laisser la place, Claire se trouve dans un tel état d’excitation qu’elle ne proteste pas. Lise lui tient les jambes écartées, l’empêchant de me repousser et lui murmure :— «Tu n’auras pas mal, çà va faire comme lorsque je te baise avec un concombre, mais en mieux.»Elle écarte les lèvres de Claire, me présente son trou. Je m’enfonce enfin dans cette chatte tellement regrettée l’avant-veille. Je commence à aller et venir sous les encouragements de Lise :— «Vas-y, baise-la cette petite gouine. Montre-lui ce que ça fait une grosse pine dans la chatte.»Elle me caresse les fesses, passe les mains entre mes cuisses pour me caresser les couilles. Je coulisse de plus en plus vite dans le con de Claire qui, les reins cambrés, envoie son ventre au-devant de mon sexe. Je ruisselle de sueur. L’odeur de nos transpirations se mêle. Claire noue ses jambes autour de ma taille, et me serre dans ses bras, répondant à mes coups de reins sans retenue. Lise lui murmure des paroles sans suite.— «Elle aime la queue, ma petite gouine… ça lui fait du bien de se faire baiser pour de bon… tu vas voir quand il va jouir, tu vas sentir ses contractions… après je te boufferai la moule, j’enfoncerais ma langue dans ton trou plein de mouille…»Elle s’allonge derrière moi, entre nos jambes, pour caresser nos sexes emboîtés. Elle passe ses doigts dans nos raies, nous tripote l’anus. Je sens sa langue sur mes couilles. Quand elle enfile sa langue dans mon cul, je décharge. Comme je reprends mon souffle, elle s’allonge tête-bêche au-dessus de Claire pour laper la mouille qui déborde de sa chatte. Je les regarde se gouiner, ce qui me revigore. Lise en l’apercevant se met à quatre pattes devant moi, comme une chienne en chaleur. J’enfile un nouveau préservatif et je m’enfonce en elle. Je la baise pendant qu’elle suce Claire, qui elle se débat et crie, à bout de force, d’avoir tant joui.On se quitte devant le club, vidés, en se promettant de se revoir avec Vanessa. Claire a les yeux vitreux, mais en m’embrassant, elle me glisse à l’oreille :— «Mon chéri, c’était super, j’ai pris mon pied comme une folle, merci.»Je rentre à la maison seul, en espérant que Vanessa ne se sera pas ennuyée. L’appartement est dans le noir, silencieux. Dans la chambre obscure, ma copine est allongée, nue, les jambes écartées. Je me déshabille et me glisse à ses côtés. Elle se réveille et d’une voix endormie me demande :— «Alain? C’est toi?»— «Oui, ça va?»— «C’était bien?»— «Oui, j’ai « dépucelé » Claire, mais tu m’as manqué.»— «Toi aussi, je t’aime.»Ces derniers mots me font un effet fou.— «Moi aussi, dors bien, à demain.»Nous vivons deux semaines de vie commune, de délires sexuels. Nous sommes amoureux l’un de l’autre. Puis, la veille du retour de mes parents, je réintègre le domicile familial avec Vanessa pour la dernière nuit. Une fois la rentrée passée, nous nous revoyons souvent chez elle, ses parents m’accueillent très bien. Chez moi, je la présente comme une amie devenue ma copine, rencontrée à une soirée de mon école de journalisme, et tout se passe bien.Quelques semaines après, un samedi soir, j’ai une soirée, où malheureusement Vanessa ne peut pas venir, mais j’ai rendez-vous avec elle vers minuit devant le pavillon. C’est à quelques kilomètres de Paris, un pavillon de chasse dans un grand parc. Il fait nuit, une myriade d’étoiles brillent dans ce ciel de juin dégagé de tout nuage. Je surveille l’heure à ma montre en attendant sur le perron, scrutant le parking. Vanessa arrive et je me précipite, je monte à côté d’elle. Sans attendre, je pose ma main sur sa cuisse ; son bas crisse sous ma paume alors que je remonte sous sa jupe.— «Tu m’as manqué depuis mercredi.»Je me colle contre elle, l’embrassant dans le cou. Je la caresse lui enfonçant sa culotte dans le sexe. Elle écarte les cuisses pour que je puisse bien la masturber. Au bout d’un moment, je lui demande d’enlever son sous-vêtement. Pendant ce temps, je baisse ma braguette. Mon sexe raide luit dans la pénombre. Je relève sa jupe, puis je pose ma main à plat sur sa chatte. Je fixe ses yeux en lui écrasant le clitoris, elle grimace de plaisir. Le parking est désert, assez éloigné du pavillon, seul un fond musical nous parvient. Je l’attire contre moi.— «Suce-moi, j’en ai trop envie!»Elle ne résiste pas à son envie réciproque, elle se penche sur mon bas-ventre. Elle passe sa langue sur mon gland. Je lui appuie sur la tête, l’obligeant à prendre mon sexe dans la bouche. Elle me suce avec entrain. Mais je ne veux pas jouir dans sa bouche :— «Attends, on va baisser le siège.»Une fois l’opération effectuée, elle me met une capote rien qu’avec la bouche, c’est vraiment génial.— «Voilà maintenant, viens sur moi, mets-toi face à moi. Je veux te regarder dans les yeux.»Elle passe par-dessus le frein à main, et elle enjambe mes cuisses. J’allume le plafonnier. Elle relève sa jupe, exhibant son pubis. Grâce à l’éclairage, je vois sa fente contre laquelle j’écrase mon gland.— «Aide-moi, ouvre-toi bien.»Elle écarte les lèvres de son sexe, et j’enfonce mon gland en elle. Elle s’assoit sur moi jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses. Je la prends par les hanches :— «Allez, bouge! Remue ton cul!»Appuyée sur l’accoudoir de la portière, elle monte et descend le long de mon sexe. Mais l’auto n’est pas spacieuse, et la boîte à gants nous gêne, je la repousse :— «Descends de la voiture. On sera plus à l’aise.»Elle me demande si on ne risque pas de nous voir.— «Non, personne ne vient sur le parking en pleine soirée, ou alors un couple pour s’isoler…»Je la plie contre le capot de sa voiture, les seins écrasés contre la tôle encore tiède, et je la pénètre en levrette. Elle regarde avec un peu d’inquiétude autour de nous ; le parking est désert. Je la tiens par les hanches et coulisse dans son sexe. Je sens toute la longueur de mon sexe s’enfoncer en elle. Il ne fait pas chaud, mais je commence à transpirer, et Vanessa aussi. Ses mains moites glissent sur le capot de la voiture. Ses cuisses cognent contre l’aile. À présent, son excitation est telle qu’elle ne semble plus craindre d’être surprise en pareille posture. Elle se cambre, et se recule en cadence pour bien sentir ma verge au fond de son ventre. Je jouis très fort et elle a beaucoup de plaisir elle aussi. Avant de me rajuster, elle me nettoie la queue et le pubis, souillé par sa mouille. Quant à moi, elle s’assied, écarte les jambes, et je lèche avec délectation les sécrétions qui coulent encore de sa fente ouverte. Finalement, nous montons dans la voiture, et reprenons le chemin de Paris.