L’histoire se passe à Bordeaux, dans mon appartement de la Place du Chapelet. Je poursuis sans peine mes études à l’IEP (Institut d’Etudes Politiques) où je traîne une réputation de débauchée parfaitement injustifiée. Mes moeurs sont plus que saines mais perfidie et jalousie sont deux maîtresses insatiables, et ma réputation est plus le fait des envieux que de mon propre comportement. La nature humaine est ainsi faite, et rassurez-vous, je m’en accommode plutôt bien.J’avais donc rendez-vous avec quatre membres du BDE (comprenez le Bureau Des Elèves) dont j’étais la présidente cette année-là . J’étais fatiguée et lasse de ces réunions répétitives et généralement stériles. Les membres du Bureau n’avaient rien pour me plaire ou me déplaire, mais je m’étais embarquée dans cette aventure plus par défi personnel que par véritable volonté de servir la communauté estudiantine, et mon enthousiasme du début de l’année avait dès janvier bel et bien disparu. Toujours est-il qu’il fallait bien organiser nos soirées, et donc se réunir pour en mettre les détails au point.Ce samedi là , je ne sais pas pourquoi, il y avait dans l’air un « je ne sais quoi » qui vous fait prendre la vie du bon coté. Quand mes quatre « amis » sont arrivés, j’ai eu le pressentiment qu’il allait se passer quelque chose. Axel, Arthur, Kieran et Jacques étaient d’ailleurs goguenards en arrivant, comme si les événements qui allaient suivre avaient été prémédités, alors que je peux vous assurer qu’ils ne l’étaient pas. Tous ont été mes amants de manière occasionnelle, des amants d’un soir ou d’une semaine, bien passables il faut l’avouer, mais il est vrai que je ne suis pas du genre facile à contenter. La vie étudiante a aussi ses exigences, qu’est-ce que vous croyez !Des quatre, j’avoue toujours avoir eu un faible pour Kieran, plus beau gosse et plus intéressant. Axel est un peu gros et trop sage pour moi, Arthur un peu maigre et son côté « fils à papa » m’agaçait un peu, quant à Jacques, il était charmant dans l’intimité mais carrément odieux dès qu’il y avait eu peu de monde autour de nous. Cette réunion ne m’enchantait pas et j’imaginais déjà tous les prétextes possibles pour l’abréger. Confortablement installés dans le salon, je servais poliment l’apéritif à ces messieurs, tous calés dans le canapé ou dans un fauteuil, sans penser une seconde à venir m’aider. Je soupçonne ces quatre là de s’être échangés des confidences sur l’intimité que j’ai pu partager avec eux. J’imagine d’ici les dialogues : « elle a un beau cul, quand même Albane ! » « Et puis on est bien dedans ! », le tout dans un éclat de rire général, charmant ! Moi et mes moments d’égarement… Oh, je ne peux pas dire qu’on m’ait forcée la main, je ne suis pas farouche c’est sûr, mais bon, le souvenir en est tellement peu significatif, que je crois que si c’était à refaire, je ne coucherais avec aucun d’eux. Sauf peut-être Kieran, je vous l’ai dit, j’avais un petit faible pour lui…Et c’est justement lui qui va prendre les choses en main, d’abord avec quelques allusions carrément déplacées puis en me demandant clairement lequel des quatre avait été le meilleur amant (je devrais dire le moins pire !). Là évidemment, je les ai renvoyés dos à dos en leur expliquant qu’ils avaient tous rivalisé dans la médiocrité la plus parfaite. C’était là pour moi une manière de marquer mon ascendant et puis ce genre de discussion a le don de m’exciter. J’ai enchaîné en leur expliquant qu’ils étaient trop directs, maladroits, voire égoïstes dans leur façon de faire l’amour, ne pensant qu’à leur « petit plaisir ». Bref, à en juger par leurs réactions, je les avais bien vexés…D’un commun accord, ils m’ont demandé une seconde chance, je leur ai dit qu’une seconde chance se méritait et j’ai donc proposé de jouer ça. J’étais assez excitée, parce que clairement j’avais le sentiment de pouvoir faire d’eux tout ce que je voulais. Axel et Arthur, notamment, n’étaient pas très à l’aise parce qu’ils voyaient sans doute où je voulais en venir. J’ai fait monter les enchères et j’ai proposé un petit jeu, histoire d’amuser un peu les débats.J’ai sorti deux jeux de cartes, et je leur ai proposé un El Presidente. Celui qui gagnait donnait un gage à chacun des quatre autres. Ils sont tous tombés d’accord et la partie a été rapidement submergée par l’excitation ambiante. Par chance j’ai remporté la première dans un sourire qui devait en dire long sur mes intentions… et en avant pour les gages !« Messieurs » leur ai-je dit, « je ne désire qu’une seule chose, vous voir tous à poil autour de cette table basse ». Pas vraiment enthousiastes à l’idée de devoir comparer leurs anatomies respectives, les quatre amis se sont cependant exécutés sans se faire trop prier. Moi j’étais carrément trempée, la vue d’un tel spectacle m’excitait au plus haut point. J’ai constaté avec amusement que ces messieurs bandaient tous et qu’ils en étaient presque gênés. Ils n’étaient pas spécialement bien foutus, non, on ne peut pas dire ça, mais ils étaient à ma merci, sous mon emprise. Là j’ai annoncé fièrement que je ne jouais pas la partie suivante mais que je suçais le prochain vainqueur, et seulement lui.Ces messieurs se sont précipités sur les cartes. À l’idée de se faire sucer devant leur pote, leur gêne avait disparu. Ils ont joué vite, très vite, trop vite pour trois d’entre eux et il m’a semblé, mais je ne prêtais pas vraiment attention au jeu, que Kieran a facilement gagné. Moi j’allais des uns aux autres, regardant leur jeu et leur queue, faisant des petites réflexions, l’alcool aidant, j’étais particulièrement en forme. Je me suis beaucoup amusée à poser une main sur leur épaule, à leur sourire, à regarder mes seins, à les faire ressortir. Je sais que je suis « bonne » comme ils disent, et là j’ai joué la petite allumeuse. Kieran a gagné et j’ai tenu ma promesse. Je me suis approchée de lui, je me suis agenouillée et j’ai commencé à le sucer. Je n’ai pas pris sa queue dans ma bouche, je l’ai d’abord léchée en regardant les autres, bandant, me matant. Je l’ai regardé lui, fier. Le ridicule de la situation ne m’empêchait pas de mouiller… tout ça m’excitait prodigieusement.J’ai sucé Kieran, bien comme il faut, commençant par les couilles, remontant la hampe, léchant bien son gland avant d’engloutir sa belle queue dans ma bouche. Hmm un régal, je l’ai sucé lentement, je ne voulais surtout pas qu’il jouisse. Et j’ai arrêté au moment où l’excitation m’a paru être au plus haut (salope, oui je sais !). Aucun des quatre n’a bougé, je crois qu’ils redoutaient que ça dégénère, même Kieran n’a rien fait, il ne m’a même pas touché, il s’est laissé faire et c’était moi et moi seule qui dirigeait la manœuvre et menait les débats.Une fois cette pipe à moitié achevée, j’ai annoncé que je ne jouerai pas non plus la prochaine partie mais, qu’en revanche, son vainqueur aurait le droit de me lécher. Là encore, mes quatre nudistes se sont littéralement jetés sur les cartes. Là encore, la partie a été brève. Au fur et à mesure qu’on se rapprochait de son terme, j’ai commencé à me déshabiller. Je n’étais pas nue à la fin, non, mais je n’avais plus que mes sous-vêtements. C’est Jacques qui a gagné. Je me suis allongée dans le fauteuil, et je lui ai dit « vas-y, montre-nous ce que tu sais faire ! ». Jacques s’est approché, il posé ses mains sur mes cuisses, puis les a remonté jusqu’à mes hanches, il a embrassé mon genoux droit, puis le gauche, ce qui a fait sourire ses potes. Il a plongé sa tête entre mes cuisses et a commencé à me lécher, sur ma culotte. Sentir la pression de sa langue contre ma petite chatte, bien ouverte, hmm, c’était délicieux. Je gardais les yeux grands ouverts fixant Kieran, Axel et Arthur à tour de rôle. Tous les trois se branlaient lentement… je soupirais très fort, et puis Jacques a passé sa langue sous ma culotte ! Il a commencé à la retirer avec ses mains et puis il l’a carrément enlevée ne me laissant que mon sous-tif. Il a relevé la tête et m’a fixé en me doigtant. Hmm j’aimais ça, j’étais complètement affalée dans le fauteuil, Jacques en profitait pour passer sa langue partout. Ah il avait été moins attentionné la fois où j’avais couché avec lui. Mais là , devant ses potes, il se devait de faire bonne figure et de soigner sa réputation. J’ai senti l’orgasme monter, lentement et irrésistiblement. Jacques m’a léché le clitoris avec le bout de sa langue tout en me mettant deux doigts. Délicieux, j’en mouille rien que d’y penser. Le regard des trois autres était de plus en plus salace, Arthur avait un air pervers qui me faisait presque peur. Jacques a continué à me lécher et j’ai joui, abondamment. Ma cyprine coulée le long de mes cuisses, Jacques s’est retiré, fier du travail accompli et je me suis mis un doigt que j’ai immédiatement porté à ma bouche pour le lécher. Une vraie salope.J’ai regardé les quatre protagonistes, et j’ai annoncé « une petite dernière, Messieurs ? ». Je ne joue toujours pas, mais cette fois-ci le vainqueur aura le droit de me baiser avec le partenaire de son choix. C’est moi qui mènerai les débats, bien sûr. Les quatre hommes, jeunes hommes dirons-nous, s’étaient montrés bien dociles jusqu’à présents et je sentais qu’aucun ne voulait en rester là . Ils me connaissaient cependant suffisamment bien pour savoir qu’au moindre dérapage, à la moindre perte de contrôle, le jeu s’arrêterait définitivement. Aucun ne voulait passer pour le rabat-joie de service aux yeux des trois autres, tous étaient encore très excités puisqu’aucun n’avait encore joui.Je réajustais ma petite culotte, et recommençais à passer à côté de chacun d’eux, leur susurrant à tous la même chose « j’aimerais bien que tu gagnes… ». Le jeu s’est poursuivi et c’est une nouvelle fois Kieran qui a gagné. Il choisit de me baiser avec Jacques, laissant Arthur et Axel à leur frustration. Magnanime, je les ai autorisés à se branler en nous matant. Plutôt vexés, l’un et l’autre ont préféré rester assis à espérer, en vain.Jacques et Kieran sont donc revenus me faire l’honneur de leur fougue. Je me suis assise sur le canapé, et puis j’ai commencé à les sucer, à tour de rôle. Quand je suçais l’un, je branlais l’autre. Et puis j’ai eu envie d’avoir deux queues dans la bouche. Je ne l’avais jamais fait. Je dois dire que c’est délicieux, j’avais le sentiment d’avoir une bouche trop petite et puis je sentais bien que Kieran et Jacques étaient réticents à l’idée que leurs queues se touchent. Je les ai regardés, tout en les suçant, hmm j’ai adoré ça. Autant le goût d’ailleurs, que le sentiment de puissance que j’avais sur eux. En arrière plan je voyais Arthur et Axel en train de se branler, j’étais surexcitée. J’ai tiré Jacques vers moi pour qu’il s’asseye et je me suis mise à quatre pattes sur le canapé pour que Kieran puisse me prendre en levrette. J’ai continué à sucer Jacques, d’abord en lui léchant les couilles, puis en glissant ma langue sur son entrejambe. Je le sentais au bord de l’explosion. Des quatre, il paraissait le plus à l’aise, le côté exhibitionniste de la situation ne semblait pas vraiment le gêner.Kieran a commencé à me prendre; j’aime quand sa queue rentre en moi. En fait j’adore ça. Il a mis les deux mains sur mes hanches, me caressant les fesses au passage. Quand sa queue est venue et est allée en moi, je n’ai pas pu m’empêcher de me caresser en même temps. J’ai commencé à gémir, tout en continuant à branler Jacques. J’avais la tête tournée vers mes deux branleurs, hmm je crois que c’est ce qui m’excitait le plus, les voir tous les deux en train de se branler en me matant. Je les fixais à tour de rôle, je ne regardais plus qu’eux pendant que je me faisais baiser, branlant Jacques de plus en plus fort. Ce dernier a commencé à gémir, j’ai alors ralenti la cadence pendant que Kieran accélérait le rythme. C’est alors qu’il est venu, mon orgasme… hmm j’ai joui comme rarement ! Comme quoi quatre mauvais coups peuvent ensemble vous faire passer un moment inoubliable ! J’ai alors cessé de branler Jacques qui s’est fini seul à la main. Je me suis affalée sur le canapé pendant que Kieran se branlait sur mon cul. J’étais la seule à avoir joui… et j’ai décidé de stopper les débats ici. Kieran avait beau me demander d’attendre, en essayant de me retenir, j’avais décidé que je m’arrêterai là pour aujourd’hui.J’ai passé un peignoir, invité ces messieurs à se rhabiller prestement et à déguerpir dans les meilleurs délais. Sur le moment, j’ai hésité à leur promettre de remettre ça une prochaine fois, mais finalement, ce genre d’expérience ne me ressemble absolument pas. On peut s’accorder un petit écart de temps en temps, certes, mais plus ça serait de la gourmandise.Albane