Avertissement préalableLa description qui suit est une histoire absolument vraie, que m’a relatée une copine dont j’ai égaré les coordonnées. Toutefois, du fait que les objets décrits dans ce texte n’ont pas pu être stérilisés de manière à assurer une sécurité sanitaire suffisante lors de leur contact avec des zones fragiles de l’organisme humain, il vous est recommandé de ne pas tenter de reproduire les actes qui sont relatés ici.~~oooOooo~~Uniquement enveloppée de nuit, allongée sur son lit défait, la tête enfoncée dans l’épais oreiller de plumes, les genoux relevés, les draps repoussés en boule à ses pieds, les jambes largement écartées, Azénor se caressait la minette. Elle se lustrait de plus en plus fort, se patinait l’entrejambe de plus en plus frénétiquement, presque rageusement.Azénor sentait bien poindre l’illumination de la jouissance, annoncée par ces frétillements si familiers et sans équivoque au bout de ses orteils, elle sentait monter la chaleur au creux de son ventre palpitant, les gouttelettes de sueur perler aux replis de ses paupières… Ses abdominaux se tétanisèrent au point d’en être douloureux ; ainsi gainée à l’extrême, elle haletait bruyamment…Mais alors qu’elle se sentait enfin si proche d’aboutir à cette extase tant recherchée, la sensation, alors à son faîte, retomba brusquement, sans huit ni shunt, abandonnant l’espace à une sorte d’irritation diffuse et plutôt désagréable, qui la laissait vaguement pantelante dans son désir inassouvi. C’était déjà sa troisième escalade infructueuse pour ce soir, sa troisième tentative échouée dans la conquête du Mont Plaisir, un vol, comme disent les alpinistes…Azénor laissa retomber sa main, sur les côtés de son petit lit métallique. Frustrée, elle se tourna sur le côté. Elle était énervée, agacée, irritée.Azénor voulait à tout prix se faire jouir, elle n’y était pas parvenue, elle n’y parviendrait peut-être plus cette nuit…Sa main gauche fatiguée et pendante touchait presque le sol. Subrepticement, elle bougea les doigts, et ceux-ci butèrent sur une masse convexe qu’elle devina pelucheuse. Dans cette nuit éclairée par les seuls rayons blafards de la lune pleine, elle esquissa une moue de curiosité, se pencha un peu plus et saisit à tâtons ce qui avait intrigué son toucher : sortie d’on ne sait où, une balle de tennis avait roulé jusque là , une balle de tennis toute neuve, toute duveteuse, terriblement synthétique, un peu rêche, et en même temps… si douce…Azénor avança son bras et ramassa la balle du bout des doigts, la porta à son front ; doucement, elle la fit rouler le long de ses sourcils très fournis, sur ses paupières closes, autour de ses pommettes bombées, puis contre ses joues pleines et rosées, jusqu’aux ailes graciles de son petit nez retroussé.L’odeur de caoutchouc, si caractéristique, qui emplit alors ses narines lui fut à la fois écœurante et entêtante.Elle fit rouler l’objet sur ses lèvres finement ciselées, le long de son cou dans le dévers de son menton pointu puis, suivant le contour d’une clavicule, elle atteignit sa poitrine menue, faisant parcourir à la balle le pourtour de ses petits seins en pomme, jouant à la faire remonter jusque sur le téton redressé, à nouveau fièrement pointé.À son grand étonnement, Azénor sentit bien vite de véritables ondes de volupté remonter tout le long de son épine dorsale jusqu’au creux de sa nuque lorsqu’elle s’amusa à frotter la boule velue autour de l’aréole ambrée, au sommet de la croupe pâle de son sein ; elle frémit de plaisir quand elle coinça son téton entre la balle et le gras de son pouce ; fébrile, Azénor commença à étirer son tétin cramoisi, à l’étendre, le pincer, et cet exercice nouveau eut tôt fait de lui envoyer de délicieuses séries de ris sensoriels au creux de cette poitrine qu’elle torturait sans plus aucun ménagement.Mais, comme animée d’une vie bien à elle, la balle malicieuse continua de rouler plus loin, le long des légers bombements du ventre d’Azénor, guidée par une main qui semblait avoir gagné sa propre volonté et paraissait avoir décidé toute seule de prendre le chemin de côté, dévalant le talweg de son aine, arpentant le hallier dru surmontant son pubis, glissant sur l’avant de sa cuisse avant de plonger tout droit dans le dièdre de son entrejambe, tout contre le petit épaulement de son clitoris gonflé et languissant.Et soudain, elle sentit comme une forte décharge électrique remonter longuement tout le long de sa colonne vertébrale…Surprise, elle se figea, quelques secondes, haletante : « ça » venait tout seul !Intriguée, Azénor recommença à faire rouler la balle de haut en bas, de bas en haut, frottant doucement, tout le long de sa vulve, pressant un peu plus fort aux abords de son « petit-bouton-sensible » pleinement érigé et forçant ses nymphes à éclore. Azénor se sentait s’ouvrir, elle soupirait sourdement, son souffle s’était fait court. « Ça » venait, « ça » montait, grondant de plus en plus fort, envahissant tout son être depuis le tréfonds de ses entrailles…Bien vite, elle se rendit compte que la balle était devenue toute humide et visqueuse au contact de son intimité détrempée, elle croyait presque entendre ce clapotis de rouleau à peinture entre ses cuisses…Azénor ralentit un peu son mouvement, le rendant plus ample, et soudain se figea à nouveau.Encore un !… Elle se crispa, et appuya la balle de toutes ses forces contre son bouton d’amour érigé :Aaaahh !… Elle ne parvint pas à étouffer ce cri, remonté tout naturellement à ses lèvres, alors qu’une série interminable de spasmes vrillait violemment et délicieusement le creux de son ventre.Azénor se relâcha un peu, avec la sensation confuse de n’avoir pas encore complètement assouvi son pressant besoin de jouir.Elle sentait que ce soir était enfin un « bon » soir, qu’il y avait encore bien mieux que ça au bout de cet épisode solitaire… Et bien plus de plaisirs à tirer de ce nouveau « jouet »…La balle se fit pressante à l’entrée de son vagin qui semblait béer, comme pour l’engloutir toute entière. Azénor la frottait doucement, dans un état second ; il lui semblait que son tunnel d’amour palpitait comme s’il cherchait à happer ce nouvel accessoire, devenu tout poisseux de ses sucs intimes, abondants comme jamais.Elle poussa un petit peu plus fort…Bon sang, comme c’est gros… Bon sang, comme c’est bon ! Azénor gémissait sourdement, sans pouvoir s’arrêter…Avide, elle agitait frénétiquement la balle de caoutchouc contre ses lèvres gorgées de sang, une balle quasi-vivante qui semblait vouloir forcer l’entrée de son antre du plaisir, qui le déformait, l’ouvrait…Des deux mains, elle tirait, appuyait, poussait, elle soupirait, haletait, couinait…Elle était en sueur. Ses aisselles diffusaient à profusion les effluves si caractéristiques de son plaisir, pour venir renforcer encore la puissance de ses orgasmes à répétition. Ses hanches, mues par une force inconnue, tanguaient et roulaient sans aucun contrôle, ses fesses s’étaient soulevées d’elles-même, elle n’était plus qu’une marionnette emportée par les torrents d’endorphine qui déferlaient sur elle…Arquée, cambrée, Azénor était maintenant agitée de violents soubresauts incessants ; elle était entrée dans une résonance délicieuse.Plus fort… Encore… La jouissance la pliait, la déchirait, la mettait en pièces, elle ne contrôlait plus rien, seul comptait son plaisir, là , maintenant…C’est tout juste si elle avait senti ce long jet clair jaillir pour la première fois de sa fontaine aux plaisirs, couler contre sa paume et dégoutter de ses doigts fins sur le drap-housse…Azénor se sentait liquide, liquéfiée, son souffle s’était transformé en ahanement rauque…Soudain… Plop ! La balle était entrée, aspirée toute entière en Azénor, dévorée d’une seule bouchée par sa fleur carnivore. Une vague scélérate, gigantesque, la submergea, l’emporta, l’acheva : elle s’écroula sur le lit, pantelante, heureuse, encore frissonnante des répliques du séisme ravageur qui venait de l’effondrer.Azénor resta ainsi de longues minutes, allongée au milieu de sa couche froissée ; elle continuait à masser doucement son intimité, gonflée de son nouvel objet de plaisir, au milieu d’une large tache humide au centre de son lit.Au bout de quelques minutes, bien que fort peu remise de tous ces torrents d’émotions excessives, Azénor se redressa sur ses coudes.Cependant la balle, restée en son giron, se rappela à elle une nouvelle fois : une décharge intense tout le long du dos la vrilla, la tétanisa, la projeta en arrière dans le tas d’oreillers, comme électrisée.Jambes écartées, les bras en croix, elle était maintenant soucieuse : cette balle, qui lui avait procuré tant de bien-être, la déchirait vaguement et, reprenant lentement conscience, elle se sentait désormais un peu tiraillée à l’entrejambe, au point que ça en devenait plutôt douloureux.Azénor avança la main gauche vers son pubis duveteux pour évaluer la position exacte de la balle dans son intimité en tendant l’index à l’entrée son vagin, refermée en bidoigt sur le jouet englouti : deux, peut-être trois centimètres à l’intérieur…Quelle conne ! Comment je vais enlever ça, maintenant ?!? Avec beaucoup d’efforts, et réfrénant avec difficulté autant de nombreux déferlements sensoriels qui s’abattaient sur elle à chaque mouvement de la balle contre ses chairs tendres, Azénor réussit à faufiler un doigt en tendu dans le passage couenneux, entre la paroi de son vagin et la balle de tennis.La situation était bien pire que ce qu’elle avait pu imaginer : de tous ses poils, de toutes ses forces, l’engin maléfique s’agrippait furieusement à l’intérieur de son intimité…