C’est si bon.Dès le dĂ©but de notre relation, ma femme a compris que j’aimais beaucoup lui offrir mon corps afin qu’elle en joue et le caresse. Mes seins Ă©tant très sensibles, elle prend beaucoup de plaisir, que je partage intensĂ©ment, Ă les caresser, les lĂ©cher, les mordre et mĂŞme les torturer un peu. Il est un autre endroit, situĂ© dans le bas du dos que j’ai eu plus de mal Ă intĂ©grer dans son terrain de jeu. MalgrĂ© mes demandes, elle n’avait pas envie de laisser traĂ®ner ses mains entre mes fesses, elle trouvait ça pervers, dĂ©placĂ© et sale. Quelquefois, quand elle me caressait le sexe, je commençais par ajouter ma main aux siennes, puis la laissais glisser entre mes jambes jusqu’à poser un doigt sur mon anus pour lui prodiguer des caresses plus ou moins appuyĂ©es. Plusieurs fois, ma femme m’a traitĂ© de cochon, mais son regard sur ce doigt coquin et la plus grande vigueur dans les mouvements de ses mains sur mon sexe dressĂ© montraient que ça lui plaisait un peu quand mĂŞme.Il y a quelques mois, alors que nous Ă©tions couchĂ©s, elle me dit qu’elle voulait essayer quelque chose. Elle fouilla dans sa table de nuit et en sortit une paire de gants en latex qu’elle enfila en me disant qu’avec ça, elle pourrait me toucher partout. Je lui demandai si elle voulait dire par « vraiment partout » mais en guise de rĂ©ponse, elle s’installa entre mes jambes Ă©cartĂ©es, qu’elle releva. Ses mains se posèrent sur mes seins et elle commença Ă triturer en douceur mes tĂ©tons, m’arrachant vite quelques gĂ©missements d’un plaisir augmentĂ© par le contact nouveau du latex et l’attente de la rĂ©ponse Ă ma question : « partout » ?Après quelques minutes de ce traitement alternant des caresses douces et des pincements, elle laissa glisser ses mains vers mon sexe palpitant qui n’attendait que ça. Saisissant mes testicules d’une main, elle posa un doigt au bout de mon gland dont le mĂ©at laissa Ă©chapper une goutte de ce liquide très clair qui monte dans la colonne virile quand elle est très excitĂ©e. Étalant cette goutte sur la surface du gland, elle le massa, le latex glissant sur la peau tendue et fine, me provoquant des sensations pour le moins agrĂ©ables et gĂ©nĂ©ratrices de gĂ©missements. Puis, saisissant ma hampe Ă pleine main, elle se mit Ă me masturber et enfin, fit ce que j’attendais depuis si longtemps. Sa main lâchant mes couilles caressa mon entrejambe et un doigt s’insinua entre mes fesses jusqu’à toucher mon petit trou bien fermĂ©.Je ne pus m’empĂŞcher de pousser un oui de plaisir en sentant ce doigt commencer Ă tourner sur mon Ĺ“illet. Pour lui donner plus d’aisance, posant mes mains sur mes fesses, je les Ă©cartai le plus possible et le doigt commença Ă pousser un peu, sans rĂ©ussir Ă se frayer un chemin. Carine abandonna alors mon anus et, me prĂ©sentant sa main devant ma bouche, me dit :— Mouille bien si tu as vraiment envie que je te pĂ©nètre !Je ne me le fis pas dire deux fois et dĂ©posai autant de salive que je pus sur sa main enveloppĂ©e de latex. AussitĂ´t, le liquide dĂ©posĂ© entre mes fesses, un doigt le positionna sur mon petit trou, puis se fit entreprenant en se pressant Ă l’entrĂ©e, qui s’ouvrit comme si elle n’attendait que ça. Ce fut si bon que je poussai un râle qui surprit Carine qui, retirant son doigt, me demanda :— Je t’ai fait mal ?— Non, au contraire, c’est trop bon ! Recommence s’il te plaĂ®t.— D’accord, c’est bizarre, mais ça m’excite aussi.Et son doigt revint doucement forcer mon anus qui l’avala sans difficultĂ©. Carine qui jusque lĂ Ă©tait Ă genoux entre mes jambes s’assit alors entre celles-ci en positionnant les siennes de chaque cĂ´tĂ© de mon bassin, et me dit :— Pose tes pieds sur mes Ă©paules, tu seras plus ouvert et je verrai mieux ton petit trou se faire enculer.Cette façon de parler, inhabituelle chez elle, me surprit et m’excita. Je lui obĂ©is pour me retrouver dans une position dans laquelle les objets de ses attentions furent complètement offerts. Son doigt se mit alors Ă aller et venir dans mon fourreau qui se serra autour, puis entama de lentes rotations. Le doigt sortit et revint se poser sur mes lèvres que j’ouvris pour le sucer, je sentis un goĂ»t âpre, mais pas dĂ©sagrĂ©able, et un second doigt rejoignit le premier. Quand la mĂŞme chose se passa dans mon cul, je poussai un cri de plaisir, Carine poussa alors ses deux doigts le plus loin possible. Elle les sortit tous les deux puis les posa ensemble sur mon trou, et d’un coup sec, les enfonça, m’arrachant un nouveau cri. Elle murmura d’une voix excitĂ©e :— Tu aimes ça et ça rentre tout seul. Je vois ton petit trou qui ne l’est plus vraiment, Ă©cartĂ© par mes doigts. Maintenant, je vais te limer pour te faire jouir.Et sans attendre, ses doigts commencèrent Ă aller et venir dans mon cul qui s’écarta pour mieux les avaler, je gĂ©mis de plaisir et ne tardai pas Ă crier quand le rythme s’accĂ©lĂ©ra et que les coups de sa main sur mon entrejambe se firent plus violents. Carine saisit alors ma bite et se mit Ă la branler au rythme de ses pĂ©nĂ©trations. J’étais dans un tel Ă©tat qu’il ne me fallut que quelques secondes pour lâcher un cri de jouissance, en mĂŞme temps qu’un long jet de sperme qui vint atterrir sur mon torse. Lâchant aussitĂ´t ma bite, mais sans cesser de limer mon anus qui commença Ă me brĂ»ler, elle rĂ©cupĂ©ra le rĂ©sultat de la masturbation, et, consciencieusement, me l’introduisit petit Ă petit dans l’anus avec ses doigts en disant :— Comme ça, tu as vraiment l’impression de t’être fait enculer… Ton cul est dilatĂ© et plein de foutre.Je ne la reconnaissais plus, elle se lâchait complètement et portait sur son visage un sourire qui montrait bien combien elle avait apprĂ©ciĂ© ce petit jeu. Elle me dit :— C’était vraiment excitant de s’occuper de toi comme ça. Je ne te demande pas si tu as aimĂ©, tu as dĂ» rĂ©veiller tout le quartier.— Tu exagères, mais je te remercie, tu m’as fait jouir d’une façon très diffĂ©rente. J’ai joui du sexe et du cul, mais je crois que j’ai surtout aimĂ© ĂŞtre ton jouet, totalement abandonnĂ© Ă tes fantaisies et dominĂ© par toi.— Moi, j’ai aimĂ© te possĂ©der et je crois qu’on recommencera, mais pas tout de suite, j’aime trop quand c’est toi qui me fais l’amour.Pour la remercier de cet aveu et du plaisir qu’elle me donna, je lui fis alors l’amour avec une grande tendresse et nous jouĂ®mes ensemble.Depuis ce jour, de temps en temps, Carine s’occupa de mon anus mais ce ne fut pas une fin en soi, ça faisait partie des caresses normales dans nos prĂ©liminaires.___________________Un jour, pensant amĂ©liorer ce jeu, j’achetai dans un sex-shop un gode-ceinture, et le soir, au moment de nous coucher, je le posai sous les draps Ă la place de Carine, me couchai et attendis qu’elle arrive. Elle entra dans la chambre et dĂ©couvrant son cĂ´tĂ©, vit l’objet. Elle resta sans bouger, le fixa et me demanda :— Qu’est-ce que c’est ? Que veux-tu que je fasse de ça ? Ton sexe me suffit.— Tu ne comprends pas, il est muni d’une ceinture pour que tu puisses te transformer en homme et vraiment me prendre.— Non ! ça ne m’intĂ©resse pas ! Enlève ça de lĂ et cache-le dans l’armoire.Déçu et un peu vexĂ©, j’obĂ©is et n’insistai pas. Le gode fut oubliĂ© sous une pile de vĂŞtements en bas de l’armoire. Jusqu’au jour où…M’étant brossĂ© les dents, j’entrai dans la chambre oĂą Carine Ă©tait dĂ©jĂ couchĂ©e sur le cĂ´tĂ© en train de lire. Je me dĂ©shabillai, m’installai et pris aussi un livre. AussitĂ´t, Carine Ă©teignit sa lumière, je lui demandai :— Tu veux dĂ©jĂ dormir ? Tu es fatiguĂ©e ?— Non, je veux que tu poses ton livre et que tu Ă©teignes.Je fis ce qu’elle me dit et me couchai Ă cĂ´tĂ© d’elle. AussitĂ´t, elle saisit ma main et la posa sur son ventre. Comprenant ce qu’elle voulait, je lui caressai le ventre et remontai vers ses seins, mais fut stoppĂ© par un :Je fis alors descendre ma main vers son sexe puisque c’était ce qu’elle voulait, mais celle-ci buta sur quelque chose de dur. Je ne compris pas et me mis Ă tâtonner. Surpris, je ne voulus pas croire ce que mes doigts dĂ©couvrirent dressĂ© sur le pubis de ma femme :— Qu’est-ce que c’est ?— Tu poses la question alors que c’est toi qui l’as acheté ? Comme tu le voulais et si tu en as toujours envie, ce soir, je suis ton homme et tu es mon petit chĂ©ri docile.— Oh oui ! Je veux ĂŞtre ton jouet, ta chose. Tu peux faire de moi ce que tu veux, mais il va falloir ĂŞtre douce… J’ai très envie, mais ça me fait un peu peur.— Ne t’inquiète pas, je saurai te prĂ©parer et tu auras du plaisir.— J’ai envie de te voir, je peux allumer ?— Non, je ne suis pas prĂŞte pour ça, mais comme moi je veux profiter du spectacle de mon homme se faisant sodomiser par un gros sexe, je vais allumer et te bander les yeux. Assieds-toi et tourne-toi, que je le fasse.J’obĂ©is, et m’assis au bord du lit. Je vis la lumière s’allumer et un foulard vint masquer mes yeux. Je fus dans le noir complet. Je sentis Carine dans mon dos et ses mains se posant en bas de mon dos, remontèrent doucement, ses bras m’enlacèrent et ses doigts saisirent mes tĂ©tons. Cette caresse que j’aimais tant me donna dĂ©jĂ du plaisir, et mon sexe qui avait dĂ©jĂ commencĂ© Ă gonfler atteignit sa tension maximum. Carine, agenouillĂ©e derrière moi et penchĂ©e par-dessus mon Ă©paule, s’en rendit compte et me dit :— Ta jolie petite queue peut se reposer, elle n’a pas besoin d’être si dure car elle ne te servira pas aujourd’hui. Oublie que tu es un homme, pense que la jouissance viendra par tes seins et ton trou. Ce soir, l’homme, c’est moi, et tu es ma chose qui attend que je la possède.— Oh oui, c’est de ça que j’ai envie, je veux que tu me prennes comme une femme ou un petit pĂ©dĂ© passif.— Tu n’es pas une femme, ça se voit et j’aurais du mal Ă l’imaginer en te voyant bander comme ça, tu es un homme qui va vivre sa première expĂ©rience homo, un pĂ©dĂ© qui s’ignore et qui a très envie de se faire sodomiser Ă fond. C’est ça, hein ?En posant cette question, elle accentua sa caresse sur mes seins qu’elle n’avait pas cessĂ© de tripoter, et me pinça fortement Ă plusieurs reprises le tĂ©ton. Je gĂ©mis :— Oui, c’est ça, je veux sentir ta grosse queue dans moi, je veux que tu me dĂ©fonces l’anus Ă grands coups de bite, mais je suis puceau du cul alors, s’il te plaĂ®t, commence doucement.— Ne t’inquiète pas, je t’ai dĂ©jĂ dit que je saurai y faire. Mais pour commencer, viens apprendre Ă connaĂ®tre la queue qui va te dĂ©puceler.Je sentis qu’elle se coucha, je me tournai vers elle et, assis en tailleur, je laissai sa main guider la mienne vers son sexe factice, agressivement dressĂ© sur son pubis. Je le parcourus du bout des doigts sur toute la longueur puis le saisis Ă pleine main et commençai Ă le caresser. Carine remarqua :— C’est très excitant de te regarder faire ça, en plus tu le fais très bien. Il faut dire que tu as l’habitude de caresser ta queue et celle que j’ai aujourd’hui lui ressemble beaucoup : j’ai les deux devant les yeux et elles ont les mĂŞmes dimensions. C’est juste ce qu’il faut pour bien remplir ton petit trou sans lui faire trop de mal, mais avant, j’aimerais voir cette belle bite te remplir la bouche. Allez, viens me sucer !Sans me faire prier, je vins m’installer Ă quatre pattes entre ses jambes pour faire ce qu’elle demanda. Je saisis la hampe dans une main et vins poser ma bouche au bout du gland, je donnai quelques coups de langue, le contact Ă©tait agrĂ©able, puis, ouvrant la bouche, j’engloutis cette verge dure, j’eus vraiment l’impression de sucer une bite et ça me plut. Je reculai la tĂŞte, cessant ma fellation, et je le dis Ă Carine :— Ta queue est douce et elle me remplit bien la bouche, j’adore la sucer.— C’est bien mon chĂ©ri, continue, pompe-moi comme il faut, moi aussi j’aime beaucoup te regarder et voir tes lèvres engloutir cette belle bite. Vas-y, suce comme une belle salope qui aime la queue.Ces mots m’excitèrent encore plus si ce fut possible et je repris en bouche le sexe viril de ma femme, ou plutĂ´t de mon mec puisque c’était ce qu’elle voulait ĂŞtre ce soir. Elle me prit la tĂŞte et m’entraĂ®na dans des mouvements de va-et-vient, m’obligeant Ă avaler toujours un peu plus de longueur. Je ne fus pas en reste et pompai sa queue avec vigueur en gĂ©missant de plaisir, soudain elle me dit d’arrĂŞter et de ne pas bouger. Elle se retira et je manifestai ma dĂ©ception qui disparut quand je sentis qu’elle se plaçait derrière moi. Elle se colla Ă moi, qui Ă©tais toujours Ă quatre pattes, je sentis sa bite passer entre mes jambes et se coller Ă la mienne, qui commençait Ă ĂŞtre douloureuse Ă force d’être bandĂ©e. Ses doigts saisirent le bout de mes seins et les agacèrent, alternant caresses et pincements. CouchĂ©e sur mon dos, Carine me murmura Ă l’oreille :— Maintenant, je vais te prĂ©parer Ă me recevoir au fond de ton petit cul, et toi tu vas te dĂ©tendre pour que ce soit plus facile. Pose ton buste sur le lit, tu seras plus ouvert.Je le fis et me sentis terriblement vulnĂ©rable, les fesses en l’air, Ă©cartĂ©es, et mon anus offert Ă ses regards et Ă bien d’autres choses. D’ailleurs, elle en profita :— Tu sais que tu es bien impudique installĂ© comme ça, tes fesses sont bien Ă©cartĂ©es et je vois bien ton petit trou, entièrement disponible pour moi. Quand je regarde ton cul et ma queue, je me demande comment elle va pouvoir rentrer. Il faut sĂ»rement commencer par quelque chose de plus petit comme ce doigt qui vient de se poser dessus et essaie de rentrer. Je sens que tu te contractes, c’est le contraire qu’il faut faire. Attends, je vais t’aider.Je la devinai fouiller dans la table de nuit, elle se replaça derrière moi et je sentis quelque chose de froid se poser sur mon anus. AussitĂ´t, un doigt entreprenant se posa dessus et le massa doucement avant d’exercer une pression qui lui ouvrit le chemin vers mon intĂ©rieur. GĂ©missant de plaisir, j’entendis :— N’en fais pas trop, c’est rentrĂ© tellement facilement grâce au lubrifiant que tu dois Ă peine le sentir ce petit doigt qui te fouille. Je pense qu’avec un deuxième ce sera mieux, tu les as accueillis dans ton petit trou dĂ©jĂ plusieurs fois et je suis sĂ»re que quand tu te branles dans la douche tu te le fais tout seul. C’est pas vrai ?— Oui, ça m’est arrivĂ©, mais c’est tellement meilleur et plus excitant quand c’est toi qui me pĂ©nètres l’anus. Ça me rend fou.— Garde tes esprits et apprĂ©cie la dilatation de ton petit trou par ce deuxième doigt… Tu sens comme il s’ouvre ? Tu aimes ça et tu en veux plus, je vais t’en enfoncer un autre…Et je sentis qu’elle força sans succès, les deux doigts enfoncĂ©s en moi se mirent alors Ă tourner et Ă s’écarter pour mieux me dilater.— Je veux que tu te dĂ©tendes, si tu acceptes mon troisième doigt, après je t’enfonce ma grosse queue et je fouille ton ventre avec…— Oh oui, mets-moi tes doigts, je vais m’écarter au maximum.Joignant le geste Ă la parole, je saisis mes fesses dans mes mains et les Ă©cartai. Je sentis tout de suite le doigt qui revint Ă la charge et, après une brève rĂ©sistance, mon sphincter le laissa passer.— C’est bien mon petit chĂ©ri, tu as fait un effort, tu as bien mĂ©ritĂ© de te faire enculer par ma belle queue toute dure.Elle retira ses doigts et je sentis immĂ©diatement son gland se poser sur mon trou qui n’eut pas le temps de se refermer et il commença Ă rentrer. Je poussai un cri qui put ĂŞtre de douleur ou de joie et Carine me dit :— Tu auras peut-ĂŞtre un peu mal, mais je ne veux pas que tu te plaignes, j’ai lu que la douleur fait partie du plaisir dans une sodomie, et je vais te donner un plaisir tout nouveau pour toi.Ce disant, elle accentua sa pression, sans Ă -coups, mais fermement elle força mon anus. Je poussai pour l’aider et sentis comme un craquement. Je poussai un cri et Carine s’exclama :— Oh, c’est bien, le gland est rentrĂ© complètement et ton anus est tout serrĂ© autour. Maintenant, je vais t’enfoncer le reste.Elle me saisit par la taille et je poussai un râle pendant que le corps de sa queue me pĂ©nĂ©tra petit Ă petit. EnfoncĂ©e dans moi, elle resta immobile, me laissant gentiment m’habituer Ă cette grosse chose qui me remplissait le rectum. J’eus l’impression que mon cul allait exploser tellement la pression fut forte. Carine m’interrogea :— Ça va ? Tu es bien avec ma grosse pine dans le cul ? Tu veux que je bouge ?— Oui, je me sens vraiment possĂ©dĂ© par toi. Tu me remplis complètement le cul et j’ai envie que tu me baises comme une chienne.Sans attendre davantage, me tenant toujours par les hanches, elle commença un lent mouvement de flux et reflux qui me donna un plaisir fou. Je gĂ©mis continuellement et poussai des « oh » et des « han » quand le bout de sa queue vint buter au fond de mon ventre. Soudain, le mouvement s’arrĂŞta et son sexe sortit de moi avec un bruit de succion. Je criai que j’en voulais encore, mais Carine me rassura :— Ne t’inquiète pas, je vais revenir, mais pas dans cette position. Je crois qu’elle n’est pas idĂ©ale, je ne rĂ©ussis pas Ă tout te mettre et surtout je ne te vois pas jouir. Couche-toi sur le dos et soulève ton bassin. VoilĂ , avec ces oreillers, tu es bien relevĂ©. Maintenant, saisis tes jambes derrière les genoux et remonte-les bien haut. C’est ça. J’ai une vue d’ici ! Ton petit trou entrouvert est un vrai appel au viol et ma grosse queue va se charger de lui donner ce plaisir. Elle est bien grosse et dure rien que pour toi, regarde.Et disant cela, elle m’arracha le foulard qui m’empĂŞchait de voir. Après un moment d’éblouissement, je dĂ©couvris un spectacle qui m’excita tellement que je fus sur le point de jouir instantanĂ©ment sans aucune action sur mon sexe, qui battait tout seul, dressĂ© entre mes jambes Ă©cartĂ©es… et dans ce triangle, se tenait ma femme, un air ravi et pervers sur le visage, tenant Ă la main sa queue. Je ne profitai pas longtemps du spectacle car elle se pencha vers moi, guidant sa pine d’une main, et sans mĂ©nagement elle l’enfonça dans mon cul qui l’accepta sans trop rĂ©sister. J’avais l’impression que ce sexe ne s’arrĂŞterait jamais s’enfoncer tellement il allait loin en moi. Carine me prit alors les jambes, les posa sur ses Ă©paules et me fit basculer en se penchant sur moi. Je hurlai quand sa queue progressa encore plus profondĂ©ment dans mon cul et que ses couilles vinrent buter Ă l’entrĂ©e.— Ça y est, tu as tout pris et je suis tout au fond de toi. Je t’encule aussi loin que possible, et maintenant je vais te faire hurler en te limant comme une bĂŞte, mais comme je veux que tu puisses jouer un peu aussi, tu vas poser tes mains sur tes seins et les caresser, ainsi tu jouiras aussi par lĂ , et surtout tu me montreras ce que tu veux : quand tu caresseras doucement, je bougerai doucement, quand tu y mettras les ongles, j’accĂ©lĂ©rerai et quand tu pinceras très fort, je te labourerai le cul comme une brute.Sans dire un mot, je posai mes mains Ă plat sur mes seins et les fis tourner doucement, Carine se mit Ă bouger doucement en moi m’arrachant dĂ©jĂ des gĂ©missements. Son mouvement prit de l’amplitude mais resta lent quand mes index se posèrent sur mes tĂ©tons et se mirent Ă les triturer. J’avais l’impression d’être totalement abandonnĂ© Ă son bon vouloir et de ne vivre que pour les sensations que je ressentais entre mes reins. Je ne n’hĂ©sitai pas longtemps au plaisir de saisir mes tĂ©tons entre le pouce et l’index et de les pincer, provoquant immĂ©diatement une accĂ©lĂ©ration des mouvements de la queue de Carine dans moi. Je commençai Ă sentir une chaleur intense dans tout le bas de mon corps et poussai un cri Ă chaque coup de boutoir. J’eus au-dessus de moi le visage Ă©panoui de ma femme qui me regardait comme si j’étais sa chose, visiblement ravie des sensations qu’elle avait et du plaisir qu’elle faisait naĂ®tre en moi. ExcitĂ©, je me mis Ă pincer mes seins de plus en plus fort, les torturant comme je voulais qu’elle maltraite mon cul. Alors, sans prĂ©avis, elle tendit les jambes et se mit Ă me limer très fort, sortant presque totalement son membre de mon cul avant de l’enfoncer violemment dans mon trĂ©fonds ; chaque coup de ce gros piston qui me labourait me faisait crier, et au bout de quelques minutes de ce traitement, je poussai un hurlement de jouissance et Ă©cartai spontanĂ©ment les bras, je n’en pouvais plus. AussitĂ´t, Carine arrĂŞta de limer, elle se recula lĂ©gèrement et, tout en laissant son membre plantĂ© en moi, elle reposa mes pieds sur le lit. Encore abruti par ma jouissance, je la vis dĂ©faire la ceinture qui retenait le gode Ă sa taille. Celui-ci Ă©tait toujours enfoncĂ© dans mon cul, mais sans doute pas assez au goĂ»t de mon amante, car alors que je crus qu’elle allait le sortir, elle le poussa tout au fond. Je protestai :— Je n’en peux plus, ma chĂ©rie, retire-moi ça et fais-moi jouir comme un homme, ma queue va exploser.— N’aie pas peur, ça va venir. Je te rappelle que ce que tu appelles « ça », tu l’appelais tout Ă l’heure ma « grosse queue » et qu’elle t’a donnĂ© beaucoup de plaisir. Tu veux jouir comme un homme alors que tu Ă©tais comme une femelle en chaleur qui ne pensait qu’à se faire enculer Ă fond. Alors, tu vas garder mon sexe masculin au fond de ton petit cul tout dilatĂ© et mon sexe fĂ©minin va te faire Ă©jaculer en s’empalant sur ta bite qui bave depuis si longtemps et qui n’a servi Ă rien.Tout en parlant, elle s’était accroupie au-dessus de mon sexe qu’elle saisit d’une main et dirigea vers sa chatte que, dès le premier contact, je sentis ruisselante. AvalĂ©e doucement par ce sexe doux et brĂ»lant, ma bite se mit Ă palpiter, et malgrĂ© mes efforts, je ne rĂ©ussis pas Ă retenir ma jouissance et je lâchai de longs jets de sperme. Honteux je dis :— Je suis dĂ©solĂ©, j’étais beaucoup trop excitĂ©, je n’ai pas su t’attendre.— Ce n’est pas grave mon petit pĂ©dĂ©, tu ne t’en es pas aperçu, mais j’ai vraiment joui quand je te sodomisais. C’était bien sĂ»r le plaisir de te prendre mais, en plus, j’avais vraiment l’impression que le godemichĂ© faisait partie de moi. Ça m’a tellement plu que je ne pense pas que ce bel instrument restera bien longtemps dans l’armoire.Et effectivement, de temps en temps, les rĂ´les s’inversèrent dans notre couple et je jouis sous les assauts virils de ma femme, qui se libĂ©ra de plus en plus. Je ne savais pas oĂą elle s’arrĂŞterait…______________________Ce soir, en entrant dans la chambre, et en voyant ma femme couchĂ©e sous le drap avec au niveau du bas ventre une bosse caractĂ©ristique, je comprends instantanĂ©ment que je ne vais pas dormir tout de suite et que mon cul va encore ĂŞtre visitĂ©. Faisant l’innocent, je lui demande :— Tu as envie de me faire l’amour ?— Presque ! En fait, je veux que tu dilates ton anus et que tu viennes te faire jouir tout seul en t’empalant sur ma queue. Mets-toi Ă quatre pattes, prends du lubrifiant et montre-moi comment tu te mets les doigts dans le cul.Docile, je me place de telle façon qu’elle puisse bien voir mon cul. Je prends sur mes doigts une noix de crème lubrifiante et, passant ma main entre mes jambes, je commence Ă m’occuper de mon anus. Doucement, je le masse pour l’assouplir, puis enfonce un doigt, c’est agrĂ©able, mais cette position ne me permet pas d’aller très loin. J’insiste cependant pour obĂ©ir Ă ma maĂ®tresse et afin de pouvoir m’introduire son sexe sans douleur, je mets un deuxième doigt et travaille mon sphincter pour l’ouvrir. Carine me dit :— Je pense que c’est bon, tu devrais pouvoir accepter ma queue maintenant, viens te l’enfiler bien profond.Je me tourne vers elle et Ă©carte le drap… Je suis toujours surpris en voyant cette bite sur son pubis. Reprenant du lubrifiant, j’en enduis copieusement ce sexe dressĂ© et viens chevaucher ma chĂ©rie, le cul au-dessus de la colonne qui va le pĂ©nĂ©trer. J’écarte mes fesses de mes mains et recule jusqu’à sentir le gland sur mon anus. Je continue le mouvement vers l’arrière, lentement, et la petite douleur habituelle se fait ressentir, mon Ĺ“illet s’écarte pour laisser passer le gland. Une fois celui-ci rentrĂ©, j’attends de m’habituer Ă cette sensation et de ne plus sentir cette brĂ»lure associĂ©e Ă la pĂ©nĂ©tration anale, puis, quand cette sensation est remplacĂ©e par un dĂ©but de plaisir, je recule jusqu’à me sentir enculĂ© Ă fond. Carine qui me regarde faire dit :— Ça ne te pose plus aucun problème de t’enfiler ma queue… je me souviens de tes craintes la première fois, maintenant, on voit bien que tu aimes ça. Dis-moi, quand tu as ce gode dans le cul, est-ce que tu imagines que c’est vraiment une bite ?— Oui, je crois, mais ce qui me plaĂ®t en fait c’est d’être possĂ©dĂ© et dominĂ© par toi, c’est un mĂ©lange complexe de plaisir, de honte et de culpabilitĂ©, qui fais que c’est si bon.— Je comprends, mais il ne faut pas oublier le plaisir physique… bouge et fais chauffer ton petit trou en le limant bien fort.J’obĂ©is et me mets Ă faire aller et venir mon cul autour de ce gros membre qui le remplit. Tout de suite, je sens des vagues de plaisir monter en moi et, voulant l’accroĂ®tre, je saisis ma bite d’une main et commence Ă me branler. Carine me tape sur la main et dit :— Je t’interdis de toucher ton sexe. Ce soir, tu n’es pas un homme, tu es mon objet sexuel et j’ai des projets pour la suite. D’ailleurs, ça suffit pour ces prĂ©liminaires, libère ma queue et lève-toi.— Qu’est-ce que tu veux faire ?— Tu verras bien, et Ă partir de maintenant, quoi qu’il se passe, je ne veux plus que tu parles. Tout ce que tu as Ă faire c’est m’obĂ©ir sans poser de questions. Si tu n’es pas bien docile, je te jure que c’est la dernière fois qu’on joue avec le gode. Tu as bien compris ? Tu es prĂŞt Ă faire tout ce que je dis ?— Oui, c’est promis, je t’obĂ©is et je ne dis plus un mot.— Je pense que des sons sortiront quand mĂŞme de ta bouche, parce que je suis sĂ»re que tu vas tellement jouir que tu vas crier… je t’autorise donc Ă extĂ©rioriser ton plaisir.IntriguĂ© et excitĂ©, je la regarde se dĂ©barrasser du gode, ce qui me déçoit un peu, mais je ne dis rien, j’ai promis. Elle passe derrière moi et vient me nouer un foulard sur les yeux, puis elle me prend la main et me dit :Je me laisse guider et nous sortons de la chambre. Je devine que nous arrivons dans le salon, et je foule le tapis quand elle me dit :Je m’exĂ©cute, sens ses jambes qui se collent dans mon dos et son bassin Ă l’arrière de ma tĂŞte. Ses mains viennent se poser sur mes seins et elle taquine mes tĂ©tons comme elle sait si bien le faire, cela suffit Ă faire remonter mon Ă©rection qui faiblissait, puis ses mains remontent sur mes Ă©paules, glissent le long de mes bras et saisissent les miennes… elles sont attirĂ©es vers l’avant et rencontrent un obstacle. Je tâtonne pour savoir ce que c’est, je sens des poils et ce que j’identifie comme une bite en Ă©rection. Surpris, j’ai un mouvement de recul et balbutie un :— Mais qu’est-ce que c’est ?— Silence, tu as promis… obĂ©is-moi ! Reprends dans ta main cette belle queue qui est devant toi et qui est lĂ pour te donner du plaisir.Pas vraiment tentĂ©, plutĂ´t mal Ă l’aise, je ne sais pas pourquoi j’obĂ©is. Je tends la main et saisis timidement ce sexe inconnu. C’est chaud et très doux au toucher, je laisse ma main serrĂ©e autour de cette hampe de chair qui palpite dans ma paume. Je suis affreusement gĂŞnĂ©, mais ça commence Ă m’exciter… je sens pourtant mon sexe pendre mollement entre mes jambes. Carine me dit :— On dirait que ça ne te plaĂ®t pas ? Ne reste pas comme ça, je veux que tu le caresses, mets-y les deux mains et montre-moi que tu es toujours le gentil petit pĂ©dĂ© que j’aime tant enculer.Je ne rĂ©siste pas plus longtemps et me mets Ă caresser avec douceur cette queue qui me remplit la main, mon autre main a saisi ses couilles qui sont bien grosses. GagnĂ© par l’excitation, je me surprends Ă branler consciencieusement la pine dressĂ©e d’un homme que je ne connais pas. Soudain, je le sens qui s’approche, certainement attirĂ© par les mains de Carine. Je ne peux retenir un mouvement de recul en sentant le contact de sa peau avec mon visage, mais le pubis collĂ© dans ma nuque m’empĂŞche de reculer très loin et la pine de mon inconnu s’appuie sur mon visage :— N’aie pas peur, goĂ»te ce gros membre, je t’assure qu’il est propre et beau, c’est une vraie gourmandise. Je veux que tu le prennes en bouche, que tu le pompes comme une salope jusqu’à ce qu’il te jute dans la bouche, et tu avaleras bien tout son foutre… Je sais que tu vas aimer ça. Allez, vas-y, suce-le bien pour qu’il jouisse dans ta jolie bouche. Moi, je vais m’asseoir dans ce fauteuil oĂą je serai bien placĂ©e pour voir mon homme en train de sucer une bonne grosse queue. Ça m’excite tellement, je crois que je vais me branler en te regardant.Elle se retire de mon dos et je peux reculer ma tĂŞte pour pouvoir venir poser ma bouche sur le gland, je l’imagine luisant et violacĂ©. J’ouvre les lèvres et donne quelques coups de langue timides, qui ne semblent pas suffire Ă mon mec, car ses mains se posent sur mon crâne et me poussent Ă avaler sa queue qui force le passage. Étrangement, je ne ressens aucun dĂ©goĂ»t, cette bite est douce sur ma langue et son goĂ»t est agrĂ©able. Mon plaisir se fait Ă©vident, ma bite se met Ă gonfler, je ressens de l’excitation en sentant ce membre de chair me remplir la bouche. Pour mieux assurer ma fellation, je saisis la base du sexe dans une main et me mets Ă le sucer doucement. Ma langue jouant avec le gland, si lisse, je fais des mouvements de va-et-vient, sortant presque entièrement l’engin de ma bouche avant de l’avaler de nouveau, le plus loin possible, jusqu’à sentir le gland bien dur au fond de ma gorge. Je lâche soudain la queue de mon mec, attrape ses fesses, et reviens coller sa bite sur mon visage, que je frotte dessus, respirant en mĂŞme temps son odeur de mâle, puis je fais courir ma langue sur toute sa longueur, commençant au bout du gland, oĂą je trouve une goutte de liquide de prĂ©-Ă©jaculation que je lèche, son goĂ»t est fort, mais c’est agrĂ©able. Après avoir taquinĂ© le frein, je lèche la veine gonflĂ©e et, me retrouvant le nez dans ses poils pubiens, je lèche les couilles, que je sens très grosses et velues. Je ne rĂ©siste pas au plaisir d’en gober une et de la sucer. Pendant ce temps, l’une de mes mains tripote les fesses musclĂ©es et l’autre masturbe la queue qui semble encore avoir pris du volume. C’est le moment que choisit Carine pour parler :— On dirait vraiment que tu aimes ça. Tu t’occupes de cette bite comme si tu avais fait ça toute ta vie, et d’après ce que je vois, ton homme apprĂ©cie beaucoup. Je suis sĂ»re qu’il te le dirait s’il Ă©tait autorisĂ© Ă le faire, mais lui aussi a promis de ne rien dire ; le seul avantage qu’il a sur toi c’est qu’il peut voir, et je peux te dire qu’il n’en perd pas une miette. Moi non plus d’ailleurs… et ça m’excite terriblement, je suis toute mouillĂ©e en te regardant tenir, branler et sucer cette belle bite qui attend avec impatience que tu la reprennes dans ta bouche afin qu’elle y crache son plaisir. Fais-moi plaisir, suce-le bien Ă fond, fais-le jouir dans ta bouche et avale tout.ObĂ©issant, je lâche cette grosse couille que je suçais et reprends en bouche la queue qui attend devant moi. Je l’avale et, la serrant bien entre mes lèvres, appuyant ma langue sous le gland, je fais bouger ma tĂŞte d’avant en arrière. Rapidement, j’entends un gĂ©missement au-dessus de moi, une main me caresse les cheveux, puis ma tĂŞte est prise entre deux mains. Tenant mon mec par les hanches, je sens son bassin qui s’avance puis recule, fourrant ma bouche avec cette grosse queue. Je suis en train de me faire baiser la bouche et le mouvement de cette pine prĂŞte Ă juter s’accĂ©lère jusqu’à ce qu’avec un cri de plaisir, mon mec me lâche sa purĂ©e au fond de la gorge. Je suis surpris, mais tellement heureux que j’attrape sa pine Ă la base et la branle pour faire sortir ce sperme amer qui coule en quantitĂ©. Je poursuis ma succion quand mon Ă©jaculateur lâche ma tĂŞte et se recule pour libĂ©rer sa queue qui me semble avoir moins de vigueur. Carine commente :— Ça, c’était une belle pipe ! Tu as sucĂ© ce mec comme il faut, je serais presque jalouse. Maintenant que tu as senti le bon goĂ»t du foutre dans ta bouche, il faut que tu sentes sa chaleur dans ton ventre. Lève-toi et viens.Je la suis et elle me guide jusqu’à ce que mes cuisses butent sur ce qui semble ĂŞtre notre table : une grosse table de ferme assez haute. Plaçant une main sur chacun de mes mollets, elle les Ă©carte au maximum puis me pousse doucement, mais fermement, dans le dos. Je me retrouve couchĂ© Ă plat ventre sur la table, les pieds posĂ©s par terre. Je devine que Carine monte sur la table pour venir, tournĂ©e vers mon arrière, se mettre Ă califourchon sur mon dos. Assise ainsi sur mon dos, elle me bloque et me caresse les fesses avec douceur en disant :— PlacĂ©e comme ça, je vais avoir une place de choix pour assister Ă ta première et sans doute seule vraie sodomie. Profites-en bien, apprĂ©cie toutes les sensations et Ă©coute-moi, car je vais te raconter tout ce qui se passe. En ce moment, l’homme qui va t’enculer est derrière toi et te regarde avec envie. Je le comprends… ton cul ainsi totalement offert et très tentant. Il tient sa queue Ă la main et la caresse pour lui redonner toute sa vigueur. Je la vois qui gonfle progressivement, elle est vraiment grosse et belle, avec un gros gland violacĂ©, c’est lui qui sera le plus dur Ă passer, mais ne t’inquiète pas, souviens-toi que tu t’es prĂ©parĂ© sur mon gode tout Ă l’heure. Ça y est, elle est de nouveau toute raide, il enfile un prĂ©servatif et l’enduit de lubrifiant. Il s’approche et je lui ouvre tes fesses. Ne te contracte pas, ce n’est pas pour tout de suite… comme il ne veut pas te faire mal, il va te lubrifier aussi. Tu sens ce doigt, plus gros que les miens, qui te pĂ©nètre, on dirait un petit sexe enfoncĂ© dans ton cul. VoilĂ , c’est bien, avec deux doigts comme ça c’est comme trois des miens.Et je sens, en mĂŞme temps, ces doigts s’enfoncer en moi, me fouiller et faire des mouvements de rotation pour bien me dilater. Je suis Ă peine rassurĂ©, car quand j’ai eu la pine de mon mec dans la main et la bouche, j’avais la nette impression qu’elle Ă©tait beaucoup plus grosse et longue que la mienne. Je n’avais jamais pris un tel engin dans mon cul qui, il n’y a pas si longtemps, Ă©tait encore vierge. MĂŞme le gode qui me fouille de temps en temps est plus petit que cette pine… Carine se plaĂ®t souvent Ă me dire que sa pine et la mienne ont l’air de jumelles. J’ai peur d’avoir mal mais j’ai aussi envie de prendre dans mon cul ce qui m’a si bien baisĂ© la bouche tout Ă l’heure. Je suis en train d’espĂ©rer, j’ai envie de demander qu’il m’encule maintenant, en sentant les doigts sortir de moi. Carine commente :— Tu as senti ses doigts se retirer ? Ne sois pas déçu, ce qui va les remplacer est beaucoup mieux. Je vois entre tes fesses Ă©cartĂ©es par mes mains ton petit trou qui semble entr’ouvert et n’attend que de s’ouvrir Ă de plus grands plaisirs. Ton homme s’approche de toi, il tient son gros sexe d’une main, pourtant, raide comme ça, il devrait tenir tout seul. Tu en as de la chance de profiter d’un beau morceau bien dur et Ă©pais comme ça. Il semble viser et guide son gland, agressif et fort, vers ton anus qui, en face de lui, paraĂ®t si fragile et Ă©troit. Tu le sens qui se pose dessus ? Ton homme t’attrape la taille pour mieux assurer la pĂ©nĂ©tration et je le vois qui commence Ă pousser sa pine dans toi.J’ai en effet senti le contact sur mon anus et la poussĂ©e ferme qui a suivi. C’est dur, mais j’en ai envie. Je pousse pour aider et ne peux m’empĂŞcher de crier quand le gland force mon anus et entre en moi, provoquant une douleur vive, mais supportable. La poussĂ©e s’arrĂŞte pour me laisser m’habituer. J’entends Carine :— Ce gros gland est rentrĂ© et tu as Ă peine criĂ©. Tu es vraiment fait pour la sodomie, soit tu as dĂ©jĂ pris des gros trucs comme ça dans le cul, soit tu es vraiment une salope qui est prĂŞte Ă tout supporter pour se faire enculer bien Ă fond par une grosse bite bien dure. Tu te cambres comme une chienne en chaleur qui veut se faire baiser bien fort. Ça vient mon petit chĂ©ri, je vois ce gros piston qui rentre doucement et qui t’écarte les chairs pour aller tout au fond de toi. Ton anus est tout tendu, il doit ĂŞtre sensible, tu sens mes ongles qui le caressent.En mĂŞme temps que la grosse queue de mon mec rentre, m’arrachant un gĂ©missement de plaisir et de douleur mĂŞlĂ©s, je sens comme une brĂ»lure supplĂ©mentaire… Carine torture, pour me donner plus de plaisir, mon anus qui enserre la hampe. Elle s’arrĂŞte quand les hanches de celui qui me possède jusque dans mon trĂ©fonds viennent buter sur mes fesses. Il est tout au fond de moi et me remplit comme je ne l’ai jamais Ă©tĂ©. C’est vraiment trop bon cette sensation d’être pris par un homme, que j’aime pour ce qu’il me fait. J’ai l’impression de lui appartenir et de ne vivre que pour sentir enfin sa queue bouger en moi… ce qu’il commence Ă faire, et j’accompagne ses mouvements de petits cris, qui font dire Ă ma femme toujours attentive Ă ce qui se passe :— C’est bon, hein ? Tu ne croyais pas que tu aimerais autant ça. Je vois sa grosse bite qui rentre et qui sort, elle te baise, te lime, et ça te fait du bien. Tu sens ses grosses couilles qui tapent contre les tiennes ? Si tu veux qu’il aille plus fort, cambre-toi encore, voilĂ , je savais bien que tu Ă©tais un petit pĂ©dĂ© lubrique. C’est fou comme tu aimes la queue, tu la savoures dans tous tes trous et, mĂŞme quand elle est grosse, tu veux te faire dĂ©foncer… Attends, on va arranger ça ! Attends, sors ta queue de ce petit trou ! Il en veut plus et on va s’arranger pour qu’il ait ce qu’il demande.Avec beaucoup de frustration, je sens que mon amant se retire. Pourtant, mĂŞme ce retrait est agrĂ©able, car j’espère qu’il signifie une nouvelle pĂ©nĂ©tration, j’adore sentir mon trou s’écarter sous la poussĂ©e d’un beau sexe, qu’il soit vrai ou faux. Carine se retire de mon dos et dit :— ChĂ©ri, couche-toi sur le dos, les fesses au bord de la table et les jambes levĂ©es.J’obĂ©is et me retrouve dans cette position humiliante que ma femme semble beaucoup aimer me voir prendre, quand elle joue dans mon cul avec ses doigts, sa langue ou son gode, et qui laisse mon cul tellement ouvert que j’ai l’impression que je me donne complètement. Je sens que Carine revient au-dessus de moi, elle est tournĂ©e vers mon cul mais je sens que cette fois, son entrejambe est au-dessus de mon visage. Elle attrape mes chevilles, tire mes jambes vers elle et les Ă©carte, elle interpelle mon mec :— Regarde comme je te l’ai bien positionnĂ©, tu vas pouvoir fouiller bien profond ce cul que je t’offre. Je veux te voir le dĂ©foncer avec ta grosse queue, qu’elle s’enfonce le plus loin possible pour que j’entende crier mon mari, que je te prĂŞte. Prends ton plaisir en sodomisant très fort ce trou que tu dĂ©pucelles, et fais gueuler mon mari de plaisir, il saura aujourd’hui ce que c’est que de se faire enculer par un mec bien montĂ©. Et toi, mon amour, pour me remercier, je veux que tu me bouffes la chatte pendant qu’il me baise… et si tu veux hurler, ne te gĂŞnes pas, vas-y !Elle descend son bassin au-dessus de mon visage et vient coller son sexe trempĂ© de mouille sur ma bouche, je m’y plonge avec dĂ©lice et bois ce liquide que j’aime tant goĂ»ter, car il signifie que ma femme a du plaisir. J’en ai moi aussi un immense quand je sens Ă nouveau le sexe de mon amant se poser sur mon anus et trouver lentement sa voie en moi. Mon mec a saisi mes cuisses et pousse sa queue tout au fond, j’ai l’impression que son gland vient cogner ma vessie tellement il est profond dans mes entrailles. Ses lents aller-retour Ă l’intĂ©rieur de mon fourreau anal me font gĂ©mir de plaisir et, quand son rythme s’accĂ©lère, je crois devenir fou.Je n’en oublie pas pour autant de m’occuper de la chatte qui se frotte sur ma bouche, et j’ai pris dans mes mains les fesses de ma femme qui pousse de petits cris alors que ma langue la fouille. En ayant assez de laisser mes mains inactives, je saisis ses seins que je caresse avec vigueur, car je ne contrĂ´le plus tout, chavirĂ© par les sensations que la bite de mon initiateur fait naĂ®tre dans mon cul, mon ventre et tout mon corps. Il s’est mis Ă me donner des coups de boutoir de plus en plus forts et de plus en plus profonds. Mes jambes sont lâchĂ©es et viennent naturellement enserrer le cou de l’homme qui s’active en moi. Cela semble redoubler sa fougue et il accĂ©lère en tapant toujours aussi fort en moi. Mon cul n’est plus que brĂ»lure, Ă©cartement, dilatation, plaisir, souffrance, jouissance… en rĂ©sumĂ©, je me fais sodomiser, j’ai une belle et grosse queue qui me dĂ©fonce et j’aime ça Ă en hurler. C’est ce que je fais au moment oĂą je sens les mains qui tiennent mon bassin se serrer et le sexe en moi qui paraĂ®t se contracter et grossir encore… Mon amant râle de plaisir en m’enculant toujours plus fort et plus vite.Ă€ ce mĂŞme moment, je sens la main de ma femme qui saisit ma queue… inutile depuis un moment, j’étais traitĂ© comme une femme, alors elle bande mou. En quelques mouvements, elle lui redonne une belle rigiditĂ© et me branle vigoureusement. Je la lèche et la mordille de plus belle, je lui pince les tĂ©tons et je sens soudain un coup de queue monstrueux dans mes entrailles. Mon amant crie son plaisir, il Ă©jacule en moi en limant toujours très fort mon cul qui accueille cette jouissance en se contractant sur la grosse pine qui jute en lui. Mon sexe savamment masturbĂ© par ma femme se joint Ă celui de mon amant et laisse s’échapper mon sperme, alors que je crie moi aussi et bientĂ´t, Carine ajoute ses cris de plaisir aux nĂ´tres. Mon anus subit encore quelques aller-retour, plus doux et apaisants de la queue qui l’a si bien fait jouir. La main qui me branlait presse doucement mon sexe comme pour en extraire quelques dernières gouttes de sperme. J’embrasse Ă pleine bouche les lèvres verticales posĂ©es sur ma bouche.Doucement, mon amant se retire, je lâche un :— Merci, mon mec, tu m’as donnĂ© beaucoup de plaisir.Mais je n’ai pas de rĂ©ponse. Carine s’enlève et se couche sur la table Ă cĂ´tĂ© de moi et m’embrasse. Elle me retire mon bandeau et je lève tout de suite la tĂŞte pour voir l’homme qui vient de me possĂ©der avec tant de vigueur, mais il n’est pas dans la pièce et j’entends couler la douche. Carine attrape une serviette et essuie le sperme que j’ai sur le ventre. Elle passe la serviette entre mes jambes, dans le sillon, entre mes fesses et vient poser doucement un doigt très doux sur mon anus, très sensible Ă cette caresse, elle me demande :— Ça va, tu n’as pas mal Ă ton pauvre petit trou ? Il n’avait jamais Ă©tĂ© pĂ©nĂ©trĂ© par quelque chose d’aussi gros et vigoureux.— Non, je n’ai quasiment eu que du plaisir, mais tu es folle d’avoir fait ça !Distraitement, elle joue avec ma queue et rĂ©pond :— J’avais envie de rĂ©aliser ton fantasme, et l’idĂ©e de te prĂŞter Ă un homme pour qu’il te prenne m’excitait aussi beaucoup. J’ai voulu que tu connaisses le plaisir d’être possĂ©dĂ© et totalement soumis aux assauts d’un mec, tout en sachant que je t’observais. Alors si tu as pris du plaisir, et avec les cris que tu as poussĂ©s, je suis sĂ»re que oui, je suis heureuse. Oh ! j’ai mal nettoyĂ© ton sperme, attends, je vais arranger ça.Et je la vois se pencher sur mon sexe Ă moitiĂ© mou et le prendre dans sa bouche. Je lui demande :— Qu’est-ce que tu fais ?— Chut ! rĂ©pond-elle en posant un doigt sur mes lèvres.Elle suce mon sexe doucement, son doigt posĂ© sur mon anus le caresse avec beaucoup de lĂ©gèretĂ© et je suis aux anges. Très rapidement, je bande Ă nouveau et ma femme relève son joli visage, elle regarde avec satisfaction le rĂ©sultat de son travail et vient s’asseoir sur moi, s’empalant sur mon sexe. Elle se met Ă onduler, se penche vers moi. Je saisis ses seins, approchant ma bouche pour en lĂ©cher le bout. J’entends claquer la porte de la maison. Mon amant est parti… je ne saurai jamais qui il Ă©tait. L’intermède homosexuel est fini, le cadeau de ma femme a Ă©tĂ© entièrement consommĂ©, et je retrouve le plaisir irremplaçable d’avoir mon sexe plantĂ© en elle. Elle paraĂ®t heureuse et Ă©panouie, cette aventure lui a assurĂ©ment beaucoup plu ; quelle Ă©volution en quelques mois !