Je m’appelle Katerine, j’ai 37 ans. J’ai rencontré mon mari à 20 ans en allant faire un stage dans son entreprise. J’étudiais le droit mais ça ne m’enchantait guère. Immédiatement, il m’est tombé dessus comme on dit, et il profita d’un voyage d’affaires qu’il devait faire avec son équipe à Hongkong pour m’emmener avec lui. Là-bas, il ne s’est rien passé, mais il me faisait une cour assidue et ne laissait personne m’approcher. Il était en pleine puissance de ses moyens mais avait quand même le double de mon âge.J’ai résisté pendant un an. Il n’en pouvait plus et je dois dire, moi non plus. Fervent catholique pratiquant, il ne voulait pas trop me toucher mais l’interdit religieux – rien avant le mariage – nous enflammait plutôt qu’autre chose…Enfin, à 21 ans, il m’épousait et aussitôt nous fîmes l’amour sans protection, bien sûr. J’acceptais joyeusement ces contraintes ayant moi-même été élevée dans un milieu pratiquant, austère et me réjouissais même à l’idée d’être pleine… Ce mot « pleine » m’excitait au plus haut point. Et je me suis retrouvée grosse aussitôt et, encore une fois, un an plus tard, des jumeaux. Pour le coup, j’eus peur pour mon corps et voulus absolument en rester là. Il accepta difficilement.Dès lors, nos relations ne furent plus qu’amoureuses, sans sexualité ou presque. Il était pris par son travail et moi, jeune mère, j’oubliais la femme en moi. Quand nous faisions encore l’amour, c’était toujours très classique sans imagination aucune, sans divertissement.Quand je ressentais des envies, je m’imaginais un monde trouble, des personnages inquiétants, homme ou femme, des rapports inégaux, un homme et une jeune cousine… une femme et un adolescent… deux femmes innocentes, mariées… délaissées… Un amant entreprenant, cérébral, sadique envers une pauvre femme mariée mais non épanouie…J’imaginais des circonstances aussi… Il m’est arrivé l’été, d’être allée sans réfléchir dans un magasin de chaussures après être revenue du bord de mer et en ayant gardé ma robe de plage… Je suis très excitée aussi dans un ascenseur, je ne sais pourquoi exactement. Bref, le risque d’être engrossée (ce terme me fait des choses cérébralement…) n’étant plus là, l’excitation avec mon mari tomba.Puis aujourd’hui, nous sommes aisés peut-être, mais il a 57 ans… et il est très stressé par son travail. Peut-être a-t-il comme maîtresse l’une de ses jeunes secrétaires ? je n’en suis pas jalouse. Cela m’excite que mon mari se tape une fille pour se purger, car sur le plan sentiments nous sommes encore très unis. Bizarre n’est-ce pas ?J’ai élevé mes bébés avec passion et j’éprouvais énormément de plaisir à les allaiter. Cela dura pour chacun, plus de six mois. J’éprouvais une délicieuse sensation à voir mes chérubins prendre possession de ma poitrine, de mes bouts de seins… me martyriser… avec leur bouche et leurs mains… J’avais quelquefois mal, mais me sacrifier me troublait, compensait ma culpabilité de ne pas travailler, de me faire entretenir par mon mari…Lors des montées de lait, mes mamelons étaient hypertrophiés, surtout avec les jumeaux. J’adorais mes seins gonflés mais un plaisir trouble, sexuel celui-là, n’y était pas étranger. Partout où j’allais, mes seins dénotaient avec le reste de mon corps, mince par ailleurs, et de voir toujours tous les regards, n’importe lesquels : des hommes, des femmes, des jeunes filles, des garçons se braquer sur ma poitrine, me faisait honte. Une honte trouble, réelle, très gênante, mais qui m’excitait aussi beaucoup. Rien qu’à l’idée que ce que vous allez lire maintenant me trouble, m’excite énormément.J’ai retardé le moment de me mettre nue, mais là, maintenant, il va bien falloir que je le fasse ; ce site est fait pour ça, pour se mettre nue devant vous, lecteurs, hommes, femmes, garçons et filles…Avouer mes penchants les plus inavouables, pervers… Hum, rien que cette idée ! … Je suis dans un bureau en peignoir, j’aimerais que vous me voyiez… je suis encore une très belle jeune femme, mate, brune, de 1,72 m, à la taille encore bien dessinée, haute, ce qui me fait de belles cuisses et de longues jambes.Il est vrai que je me suis entretenu le corps par des massages, de la gym et de la piscine. Je suis habillée très classique, vieille France, j’ai les traits bien prononcés des filles du sud. Mais voilà, nue je n’ai pu retrouver mes bouts de seins comme avant mes grossesses. Ils sont restés gros, saillants. Également, je n’ai plus la forme originelle des lèvres de mon sexe. Elles sont comme gonflées, épaisses. Est-ce dû à mon côté (en partie seulement) latin, du sud de l’Italie ? Je ne sais pas exactement.J’ai la bouche charnue et les sourcils prononcés, longs. J’ai les cheveux longs à mi-dos, souvent retenus par une barrette. Mon corps me plaît et me fait honte (délicieusement) maintenant. Quand on est en famille à la plage, tout le monde, oncles, tantes, cousins remarquent tout de suite mes mamelons qui percent toujours mon maillot… Quand je suis excitée – ça m’arrive de plus en plus souvent – mes lèvres sexuelles se gonflent encore plus, comme de babines.Être nue comme cela devant la glace me fait mouiller, mes seins lourds, saillants, mes lèvres obscènes sur mon corps par ailleurs gracieux… C’est un plaisir de honte toujours constant…Voilà où tout changea, il y a un mois. Encore à l’occasion d’un voyage d’affaire pour mon mari, il voulait absolument que je l’accompagne pour présenter du mieux possible son image car il était sur une affaire très importante de fusion de société.Au bout de trois jours infernaux de négociation très difficiles, il remporta l’affaire. Exténué, mais ravi. En rentrant le soir, du salon spécialement réservé, à notre chambre où je l’attendais, dans le même hôtel, il referma la porte et se jeta sur moi comme je ne l’avais jamais vu faire. Il me plaqua sur le mur telle une fille, me brutalisa en m’embrassant, saccagea ma robe en arrachant une bretelle, me dénuda à moitié la poitrine.Je luttais pour la forme, mais ça me plaisait. Toutefois jamais je ne l’aurais avoué… D’un seul coup, il m’épingla tel un papillon en prenant à pleine main mon sexe à travers mon slip. Il fut surpris d’en avoir plein la paume et malaxait tel un maquignon de foire mes lèvres humides…— Quelles babines, me dit-il, je n’avais jamais remarqué.J’étais tétanisée par sa vulgarité, sa violence, ses façons. Je suffoquais. Il me tenait par la chatte, la vulve d’une main et ça me faisait jouir. J’aurais voulu qu’il tire et m’emmène comme cela à travers la chambre… Je lui appartenais. Il mordilla un de mes tétons et ça nous rendit fous tous les deux. Il jouait comme il voulait de mon corps. Il triturait, pinçait, tordait presque brutalement.Mon plaisir n’était pas tant physique, plutôt cérébral. Oui, je suis une cérébrale… Je ne résistais pas à ce traitement, mes jambes se dérobaient. Lentement, je pliais les genoux, consciente délicieusement de tout ce que je subissais.Vous savoir en train de m’imaginer me rend encore tout de suite, très réceptive. Que faites-vous en me lisant ?Tombée à genoux entre le mur et mon mari, je cherchai mon souffle. C’est alors qu’il ouvrit sa braguette et me présenta sa verge devant le visage. Je compris alors que mon mari trop puritain avait accumulé trop de stress pendant ces trois jours et que je devais l’aider. En regardant son sexe, je le pris donc délicatement en main et le caressai maladroitement.Manifestement ça ne lui suffisait pas car il m’empoigna les cheveux derrière la nuque et me plaqua la tête au mur. Je trouvai ce geste autoritaire et follement excitant. De son autre main, il empoigna son sexe et se masturba très vite.Je réfléchissais à toute allure, puisque tel était son plaisir, je devais accepter. Je regardais devant mon visage sa main qui actionnait sa verge et découvrait de façon obscène, le gland rouge et humide. Je ne l’avais jamais vu faire ça. Instinctivement je tirais ma tête du mur pour approcher ma bouche entrouverte de son gland. Mes cheveux me tiraillaient. Je ressentais comme une punition légitime de ne pas pouvoir le sucer, j’en avais envie je pensais à ce qui allait suivre…Compatissante, heureuse pour lui, j’osai alors effleurer de la paume ses lourdes bourses qui ballottaient vivement derrière sa main. J’étais dans l’attente d’un moment très fort. Irréel. Un peu de jus blanc s’est mis à couler au bout de verge, comme de la bave. D’un seul coup, il s’est tendu et j’ai su que ça allait sortir. J’appréhendais curieuse, avec honte de ce qu’il allait me faire…J’ai pas vu le premier jet dans ma bouche et sur mes joues, après j’ai vu sortir les autres ; je savais que j’allais en recevoir sur les joues encore, sur le front quand il me força à incliner la tête. Ça y était. J’étais souillée, honteuse, mais excitée comme jamais. J’allais jouir, moi aussi. C’est à ce moment-là que je réalisai que je ne pouvais plus arrêter ce que j’étais en train de faire avec mon autre main.Le visage maculé, le goût de son sperme dans la bouche me rappelait sans cesse ma déchéance, cette souillure que je découvrais délicieuse. Honteuse, vicieuse, j’aimais être ainsi dans cette position de vaincue. Pour rajouter à ma débauche, je regardais mon mari dans les yeux et… hum… redoutais, espérais aussi follement ce qu’il n’allait pas, de toute façon, manquer de découvrir.Car il regarda, vit ma respiration rapide, mon unique sein maculé lui aussi, obscène, le mamelon raidi. Il se baissa et s’écarta de moi, voulut voir ce que faisait ma main sous ma robe. J’allais jouir au moment où il verrait. J’en étais certaine et lui aussi je crois. Pour bien me faire languir, car je ne maîtrisais plus, il souleva enfin doucement ma robe et je suivis son regard, moi aussi.Je voulais voir ce que je me faisais devant lui. Je vis bientôt ma touffe noire en haut de mes cuisses, coupée en deux par mon slip blanc réduit à un cordon qui se perdait dans mes grosses lèvres. Je me torturais délicieusement l’intérieur et je le tirais par le haut en le faisant aller légèrement de gauche à droite pour qu’il me malmène un peu plus sur mon clitoris.Quand j’ai réalisé que je me violais devant mon mari, je jouis longuement avec un feulement de chatte… Depuis, nous n’avons pas été sans refaire l’amour, mais ce fut l’unique fois où ce fut si fort et je le regrette beaucoup. Peut-être ici trouverais-je parmi vous des correspondants qui sauraient me dicter leur loi ?Cette mise à nu dirigée par un ou une inconnue ajoutée au sentiment que j’aurais de tromper mon mari me font un peu peur et très envie.