Un vendredi, fin août, dans sa chaleur de saison. Je reste au bureau ce midi pour ranger quelques papiers qui traînent ici et là en mangeant un plat cuisiné trop salé. Le temps passe, et plutôt que de me faire une petite pause en regardant des informations inutiles, je décide de me connecter sur un chat plutôt connu pour son côté libéré et pas trop modéré, à la recherche d’un salon qui me permettra de mater quelques photos de gens qui, eux aussi, ont trop chaud.Évidemment, je précise mon âge et ma ville, histoire de ne pas manquer un éventuel dialogue qui pourrait rapprocher deux personnes aux envies claires et précises. Les dialogues sans intérêts se lisent avec plaisir et une légère excitation se fait ressentir, surtout sur le salon « entre mecs » avec des photos en gros plans de sexes masculins au repos ou bien érigés.Mon pseudo est plutôt clair, je suis mon envie du moment, je suis chaud et j’ai envie de voir de près un sexe masculin. Après quelques minutes, un pseudo très clair aussi rentre en contact avec moi. Il se présente et me demande ce que je recherche… un moyen comme un autre de briser la glace, malgré les précisions de nos pseudos respectifs. Il est chaud, a très envie de se faire sucer, annonce un membre érigé à dix-sept centimètres et m’indique qu’il aime se faire sucer en gorge profonde. Le reste des échanges standards se font, et bon an mal an nous décidons de nous retrouver à sa chambre d’hôtel en périphérie de la ville en fin d’après-midi. La chambre 116 d’un hôtel, type motel, où il n’y a pas besoin de passer par une réception ! Parfait, très discret…J’arrive devant la porte, je toque d’une main décidée, et c’est un homme de mon âge qui m’ouvre. Grand, comme moi, décontracté, au physique commun, ni trop large, ni trop mince. En fait, je m’en fiche. Les caractéristiques physiques d’un homme ne se situent selon moi qu’à l’entrejambe. On ne bavasse pas pendant trois plombes, on sait tous les deux pourquoi on se retrouve là . Je me déshabille rapidement, ma bite commence à se tendre doucement. Il se met à nu également laissant son caleçon et s’allongeant sur le lit. À partir de ce moment, mon état d’esprit change complètement et je me transforme en femelle avide de sexe.Je remonte avec mon visage le long de ses jambes à la recherche de ses odeurs corporelles. La journée est passée, il est resté dans ses habits et n’est pas passé par la douche. Tant mieux, l’odeur du savon est tellement facile à trouver ! J’en profite un maximum, je remonte vers son caleçon qui sent la transpiration, si particulière à l’entrejambe. Un musc salé et tellement défini, avec ses odeurs d’urines si caractéristiques. Mon nez n’en perd pas une miette, et mon amant du jour semble apprécier, en tout cas il me laisse faire. Mes mains sont dans mon dos, je m’active à la seule force de ma bouche, et je retire le dernier morceau de tissu qui me sépare de son sexe. Il est habitué, il ne bande pas encore, mais apprécie le moment. Un bon point pour la suceuse que je deviens, il y a du chalenge !Son sexe est dans son capuchon, ses boules déjà bien remontées. Le petit bout de peau qui culmine au-dessus de son gland est fermé et luisant, je frotte mes joues contre. Il sent encore la pisse, ça me rend dingue. Mes sens me contrôlent, je me laisse aller. Je redescends vers ses couilles, je commence à les lécher doucement. Il frémit doucement, je descends sur son périnée. Cette odeur de transpiration me transcende, je ne sais plus quoi de ma bouche, de ma langue ou de mon nez font des allers-retours sur tous ces plis, à la recherche de la moindre particule odorante. Ce traitement ne l’a pas laissé de marbre. Au-delà de ses grognements, je remarque en remontant sur l’objet de mes désirs que ce dernier gonfle doucement. Il gonfle, se gorge de sang et lève doucement le nez. Cet appel est entendu, je remonte en embrassant de mes lèvres humides chaque millimètre carré de sa bite. Lorsque j’arrive à son sommet, il n’est pas encore complètement dur.Je l’embouche sans le décalotter, aspire à fond et je laisse ma langue aller à la rencontre de son gland sous son prépuce. Ça fait son effet, il gémit et je suis complètement fou de la situation. Il mouille un peu, il sent la pisse…l’effet est génial sur ma bite, je bande comme un taureau. Je ne lâche pas ma dépression, je commence des va-et-vient sur sa bite qui à présent est tendue et gonflée. Il ne m’a pas menti, il fait bien son dix-sept centimètres et c’est un morceau de choix. Je commence à baver dessus, il adore ça. Il me regarde le sucer en s’allumant une clope, je suis sa chienne et je ne lâche pas mon os. Je le branle, je lui tète le gland, m’amusant à le décalotter et le recalotter pour sucer son prépuce. Son vit est reluisant de ma salive, ça coule sur ses couilles. Je décide donc d’entamer ce qu’il voulait. Sans l’en avertir, je commence à avaler son mât en ouvrant bien la bouche, je descends tout doucement, son gland bute sur mes amygdales et je continue d’avaler paisiblement jusqu’à ce que mon nez s’écrase contre son pubis. Il retient sa respiration, je sens son gland et toute sa bite durcir au fond de ma gorge, et je le surprends encore en léchant ses couilles en même temps. Je l’avais prévenu, je sais sucer !Je me rends compte qu’il apprécie, et qu’il prend son temps. Il bande dur, il gémit, me dirige en mettant ses mains sur ma tête. Je ressors tout, reprends ma respiration, et recommence plus rapidement et entreprends de le sucer en longueur et profondeur. Il me tient la tête et commence à me faire des va-et-vient, il bande dur et me fais bander dur.Je me retire, il veut que je m’allonge sur le dos, la tête au bord du lit – je ne me fais pas prier – et vient littéralement me baiser la bouche. Il y va tellement fort que j’en ai des hauts de cœurs, mais je tiens. Je bave sur sa bite, sur ses couilles, mon visage est gluant. Il stoppe, et va dans sa valise chercher un cockring. Il est endurant, ça doit faire déjà vingt minutes que m’occupe de lui et il n’est pas prêt de jouir. Il est debout, face à moi, je suis encore sur le lit, ma gaule en l’air et je m’astique doucement le manche. Il enfile son jouet qui lui fait ressortir des couilles et enserre la base de sa bite, faisant gagner quelques millimètres de longueur et surtout qui la fait gonfler encore plus. Elle est magnifique, brillante, grosse et longue. Je me traîne à ses pieds, et le suce à genoux pour rendre hommage à ce mâle qui fait sortir la femelle qui sommeille en moi. Il est encore plus dur et me force la gorge, me maltraite la bouche, je le laisse faire et me branle en même temps.On retourne sur le lit, il s’allonge et me fait placer sur le côté de sorte que je puisse le sucer et qu’il puisse me branler à son tour. Il ne s’occupe pas beaucoup de ma queue et semble plus intéressé par mon petit trou. Il se crache dans la main, applique sa salive sur mon cul et force mon trou qui n’oppose pas vraiment ce qu’on peut appeler une résistance. Il me doigte le cul – j’avais prévu le coup – et il m’insère au bout de quelques minutes de ce merveilleux travail trois doigts. Je suis aux anges, je vois mon gland perler et je bouge pour mieux m’empaler sur ses doigts, le suçant avec toute la passion qu’il me rentre dans le cul. Malheureusement, ni lui ni moi n’avons pris de capote. La sodomie en restera qu’au niveau tactile.Il lâche mon cul, me retourne, je m’attends à un 69. Je suis tellement chienne que je n’ai pas envie de me faire sucer. Ma bite s’est transformée en clitoris, je veux me sentir femme. Il s’avance sur moi, ma bouche est grande ouverte. Il s’introduit en moi, son gland tape le fond de ma gorge encore et encore, il me baise la bouche comme il baiserait une chatte, m’offrant une respiration de temps à autre. Il s’allonge sur moi, crache sur ma bite et entreprends de me branler fort. Je comprends le message, il n’en peut plus. Je lui demande à plusieurs reprises d’arrêter de me branler, je risque de jouir trop tôt…il s’arrête à chaque fois, continue de me baiser la bouche.Cette fois-ci, je sens qu’il arrive au point de non-retour. Son gland gonfle, je sens tout son corps se raidir, il accélère le mouvement, me défonce, je ne peux plus respirer. Dans un dernier va-et-vient, il se retire, je lui saisis le membre et le branle vite en le serrant fort, il gémit et se redresse, il se libère d’une heure d’un plan cul mémorable, ma bouche est grande ouverte, son sperme me frappe le palais, les lèvres, la langue. Il me donne son jus, je me rapproche tant bien que mal en me contorsionnant tel un ver sur le dos de sa bite qui laisse encore sortir sa semence, je ne veux pas en perdre une goutte. Je l’avale, je le suce, et il reprend sa masturbation de ma queue qui doit être violette. Je me vide dans sa main, sur mon torse, je sens mes jets jusqu’à mon visage. Je suis tellement excité que je lèche les doigts qu’il me présente couvert de mes enfants. Je ne me reconnais pas, je me suis transformé en une heure, et j’ai adoré ça.La tension est redescendue, la chambre sent la transpiration, le cul et le sperme. Les membres sont flasques, je passe par la salle de bains. Je me vois dans le miroir, j’ai un peu honte. Mais je suis content. On échange à nouveau quelques banalités en se rhabillant, et j’en oublie de proposer d’échanger nos coordonnées. Je me sauve, je rentre à ma vie d’hétéro. Depuis, je me reconnecte tous les vendredis espérant retrouver le locataire de la chambre 116, mais je ne l’ai toujours pas revu. Vendredi prochain peut-être ?