J’aurais beaucoup aimé avoir une existence normale et, comme tout un chacun, enculer ma belle-mère, sauter ma patronne ou me faire sucer par ma tante. Et bien non ! Ma belle sœur ne me branle pas en cachette, ma femme ne m’emmène pas la voir se faire prendre en sandwich par des camionneurs sur les parkings ! Toutes ces choses simples et banales de la vie courante ne sont pas pour moi !Je dois avoir la poisse, car toutes mes mésaventures, bien que réelles, sont bizarres et étranges.Le mauvais œil qui me poursuit m’entraîne toujours dans de ténébreuses histoires.Le récit qui suit et qui est la stricte vraie vérité véridique en est une preuve supplémentaire…..Mes pérégrinations périgourdines m’avaient conduit au château des Milandes, encore plein du souvenir de Joséphine, la danseuse d’ébène à la ceinture de bananes. Bien entendu, l’histoire du château de Joséphine Baker et de ses nombreux enfants figurerait dans le guide.Maintenant, il me fallait trouver une chambre pour la nuit.Je roulais depuis quelques minutes quand je vis une pancarte. »Chambre d’hôtes-Bed and breakfast-Zimmer frei »Pourquoi pas ? L’allée menait à une grande demeure d’époque. Le portail en fer forgé était surmonté d’une arche où on pouvait lire malgré la rouille : « Domaine de BoisDupont ».Je fus accueilli par une charmante vieille dame toute menue, toute fripée, avec des cheveux blancs comme neige.Elle me montra avec fierté sa vieille demeure d’époque puis m’invita à partager le repas du soir à la table d’hôte. Il fut chaleureux, mon hôtesse ayant manifestement envie de dialoguer.Elle me parla de l’histoire de la région depuis la guerre de Cent ans à nos jours, de l’histoire du manoir et de la famille BoisDupont. Ce domaine fut un marquisat jusqu’à la révolution.Las, la lignée des marquis de BoisDupont faillit s’éteindre quand les têtes roulèrent dans la sciure……Seul un jeune fils de la maison en réchappa, il était en voyage. Mais il ne profita pas très longtemps de la vie. Quelques années plus tard, lui et sa femme furent jugés puis pendus au milieu de la cour pour une sombre histoire de messes noires, et les BoisDupont disparurent définitivement. Pas très drôle, tout ça ! Puis le domaine passa de mains en mains jusqu’à ce que l’hôtesse actuelle le rachète et le transforme en chambres d’hôtes…..Bien, il est temps d’aller dormir. La maîtresse de maison me conduit à ma chambre, située dans la tour du manoir.Un brin de toilette, et dodo. Je me glisse entre les draps frais. La nuit est claire et douce….Crouicccc ! Un grincement. Crouiiic ! Un autre grincement. Et encore. En cadence. C’est la plainte caractéristique d’un lit mis à mal par un couple ! C’est pas ça qui va m’inciter à dormir. Ces hôtes ne sont pas venus dîner avec nous ce soir car ils avaient manifestement mieux à faire…Le bruit commence à m’agacer, mais aussi à me donner des idées salaces. Je jetterais bien un œil !Je sors de la chambre sans faire de bruit. Sur le palier, il y a un escalier qui dessert l’étage. Le bruit vient de là. Je monte doucement. Sur le palier supérieur, une porte. Le bruit est maintenant très distinct. Aux grincements se mêlent des halètements et des gémissements. Décidément, ils sont infatigables. Je me penche pour jeter un œil à travers la serrure, mais je fais un faux mouvement et ma tête heurte la porte. Sans doute mal fermée, elle s’ouvre. Au milieu de la pièce trône un immense lit sur lequel un homme grand et musclé honore une femme magnifique, aux longs cheveux blonds. Elle est en levrette et lui pistonne, pistonne. La scène est éclairée par une dizaine de chandeliers posés à même le parquet.Mon entrée les stoppe net. Je n’ai pas fait attention en quittant ma chambre, mais je suis nu comme un ver. Ils n’ont pas l’air surpris de me voir.— Entrez donc vous joindre à nous, ma femme adore faire l’amour avec deux hommes.— Oui, venez prendre du plaisir avec nous.Elle se lève, vient me prendre par la main et me tire vers le lit. Elle est vraiment très belle, épanouie, avec une poitrine arrogante, des jambes fuselées, des hanches pleines. Un doux duvet blond laisse voir une vulve fine et bombée. Sa beauté a un effet immédiat sur moi : mon sexe se dresse à vue d’œil. Elle le regarde avec intérêt, s’en saisit, le porte à sa bouche pulpeuse. Sous les caresses de sa langue, ma verge gonfle, enfle, prend de l’ampleur. Mon désir d’elle grandit en même temps que mon sexe. J’ai maintenant une folle envie d’enfouir ma tête entre ses cuisses, de mettre ma verge dans son puits d’amour. Son homme que j’avais oublié s’approche à son tour et présente sa queue à sa compagne. Il bande toujours. Il est vrai que mon entrée a dû le frustrer ! Son sexe est énorme, long et épais. Elle le prend d’une main et le suce, alternativement avec le mien. Elle nous masturbe, nous lèche le gland, nous pompe l’un après l’autre. Ma main a emprisonné un sein ferme et élastique. Je glisse un doigt dans la vulve humide de la belle. Il y a déjà un occupant qui s’active. Je mêle mes doigts aux siens et ensemble nous fouillons les chairs de la capiteuse créature, nous attardant sur le clitoris bandant, dans le vagin frémissant, sur l’œillet odorant… Elle accélère les mouvements de ses mains sur nos hampes, de sa langue sur nos glands. Elle a bien coordonné ses divines masturbations car nous jouissons simultanément, envoyant de longs jets de sperme crémeux inonder son visage. Elle ouvre la bouche en grand, essayant de ne pas perdre une goutte des jus qui s’écoulent par saccades…Incroyable, il bande toujours. Il couche délicatement sa femme sur le lit, s’allonge dessus, passe les longues jambes sur ses épaules et lentement la pénètre. Je vois disparaître son gros pieu dans la vulve luisante. Il commence un nouveau ramonage, puissant et régulier. Il est infatigable. La femme commence à gémir, à onduler en cadence. Son regard se trouble. Dans un râle, elle se libère, jouissant de tout le corps. Elle mouille de tous ses orifices, elle se pâme.Il devrait être calmé, maintenant.Non, c’est pas vrai, c’est Priape en personne! Il est toujours en forme. Il me regarde, me dit d’approcher!Sa femme s’installe à quatre pattes sur le lit. Elle aussi est insatiable ! Elle se cambre, nous offre sa croupe rebondie. Sa vulve trempée laisse échapper d’abondantes sécrétions. Son homme lui écarte délicatement les fesses, dégage la raie culière, me présente une rondelle rose et brillante.— C’est pour toi, tu l’as bien mérité, enfin presque, dit-il avec un grand sourire.La vue de ce cul parfait et l’idée de le posséder me redonne vigueur à la vitesse grand V.Je dirige mon membre de nouveau bandant vers les fesses rondes. Mon gland appuie sur l’œillet qui s’ouvre sans effort. Il est bien rodé ! Je pénètre à fond dans ses entrailles chaudes. C’est doux et soyeux. Je suis bien, j’ai envie de ne plus bouger.Soudain je sens deux mains agripper mes hanches et me bloquer fermement. Elles me tirent en arrière, me faisant ressortir du cul moelleux, puis me poussent en avant, me faisant à nouveau pénétrer le fourreau de soie. Puis recommencent, et encore. La cadence imprimée, il relâche mes hanches et vient se plaquer contre mes fesses. Sa main a saisi sa verge encore toute lubrifiée de sa belle amie et me la promène de haut en bas le long de la raie. Son autre main est plaquée sur mon ventre et me maintient fermement contre lui. Il a une force surprenante. Je suis comme dans un étau, toujours planté dans le cul de la blonde. Son gland est maintenant positionné et doucement, millimètre par millimètre, il force le passage. Je tente de résister, mais en vain. Il est d’une puissance inouïe !— Ne résiste pas, c’est inutile ! Ouvre-toi, au contraire.— Oui, laisse-toi envahir, c’est un plaisir extrême. Pense à ton sexe dans mon trou d’enfer et pistonne-moi encore.Je suis pris entre deux feux. Mon désir brûlant de posséder ce cul charnu m’incite à ramoner, mais à chaque mouvement de hanche, je sens la déchirure s’amplifier. Ma rondelle lâche d’un coup. La douleur est fulgurante, les larmes me viennent aux yeux. D’un mouvement puissant, il me pénètre au plus profond. Quelle sensation étrange que d’être envahi par un corps étranger ! A la douleur se mêle un trouble très sensuel. J’ai l’impression d’être traversé de part en part. En voulant échapper à cette étreinte, je pénètre encore plus profondément la belle qui commence à gémir. Aussitôt, il commence un lent va-et-vient et m’entraîne à sa cadence, jusqu’à être dans le même rythme. C’est incroyable. Pénétrer et être pénétré. Les sensations sont décuplées. Le va-et-vient s’accélère et encore une fois, l’homme jouit. Il m’inonde les entrailles d’un liquide chaud et abondant. Je ressens chaque tressaillement de son sexe, chaque giclée. Mon désir est à présent à son paroxysme et à mon tour j’éjacule à longs jets puissants. La jouissance est intense, fulgurante.Ah, si seulement il n’y avait pas cette douleur à l’anneau !!!L’homme se retire délicatement, avec encore un moment pénible au passage du gland. Puis à mon tour je me dégage. C’est fini. Le calme revient dans nos corps. Je prends congé, redescends dans ma chambre. Je marche les jambes écartées, comme si j’avais fais 1000 km à cheval !!!Je me couche sur le ventre, cuisses ouvertes, puis je sombre dans le sommeil……..Quand je descends prendre le petit déjeuner au matin, je suis seul dans la salle.— Bonjour, chère madame ! Le couple du dessus ne vient pas se restaurer ?— Quel couple ? Il n’y a personne, vous êtes mon seul hôte. La pièce au-dessus de votre chambre sert de débarras. D’ailleurs personne n’y va plus depuis des lustres, depuis la fin des BoisDupont. C’était leur chambre. Un bien beau couple, paraît-il !Ah, hier soir, j’ai oublié de vous dire, vous savez quel était le principal chef d’accusation lors de leur procès pour messes noires? Les BoisDupont étaient des sodomites !A part cela, vous et moi étions les seuls occupants de cette maison, cette nuit !Les seuls, les seuls, pourtant j’avais le cul en feu. La douleur lancinante qui me taraudait l’anus, m’empêchant presque de m’asseoir, était bien présente et réelle, elle !!!!!! ……..