Résumé : Dans le récit précédent, mes vacances au Maroc avaient bien commencé.Je venais d’arriver en vacances au Maroc, avec ma belle-mère Chantal et son fils, ma femme n’ayant pu nous accompagner. Très vite, un concours de circonstances m’a permis d’occuper la même suite que Chantal qui, dès la première nuit après un doux massage qui a réveillé sa libido, s’est révélée être une femme avide de sexe…Jeudi 14 heuresCes trois derniers jours passés ont été riches en émotion ! La libido de ma belle-mère était incessante, ainsi que ses envies auxquelles je répondais toujours présent. À chaque fois qu’elle voulait de la crème solaire, c’est vers moi qu’elle se tournait, un après-midi elle m’a même masturbé longtemps dans la piscine, puis avec un sourire coquin s’en est allé en me disant qu’elle rentrait se prendre une douche ! La salope ! J’ai dû attendre cinq bonnes minutes avant de pouvoir sortir et je me suis précipité dans notre suite. Là, je peux vous dire que je l’ai gentiment grondée de m’avoir allumé ainsi, et elle en a eu pour son compte !Un soir nous sommes allés nous promener dans une petite palmeraie proche du club. On entendait au long la musique avec un brouhaha indescriptible de personnes qui chantaient. Après avoir trouvé un endroit à l’abri des regards, on s’est assis et notre étreinte a commencé. Je ne faisais rien, elle menait la danse. Elle a ouvert mon short, sa bouche s’est emparée de mon sexe qui commençait à durcir sous l’effet de ses caresses buccales, puis elle a remonté sa jupe, écarté son string et est venue s’empaler sur ma queue. Elle menait la cadence comme une folle et mes mains, passant de ses fesses à ses seins, ne restaient pas inactives ! Après quelques minutes on s’est relevés, je l’ai prise par les fesses pour la porter et tout en s’embrassant goulûment, je l’ai fait descendre sur mon sexe, puis je l’ai plaquée contre le palmier pour finir de la baiser et d’exploser en elle !Les journées auraient pu se suivre et se ressembler par des parties de jambes en l’air, de plaisir, de caresses et d’envie, mais en ce jour un événement imprévu fit son apparition.En effet, depuis notre arrivée Chantal s’était liée d’amitié avec une animatrice du club, Saïda. Elles s’entendaient comme deux bonnes copines de classe, allant même jusqu’à s’échanger des fringues ! Saïda était une jeune algérienne de vingt-neuf ans qui était venue au Maroc avec son mari pour un job d’été. Elle s’occupait des animations du club alors que son mari était chargé de l’organisation des excursions journalières. Physiquement, elle ressemblait à ma belle-mère, mais avec des seins plus petits, peut-être un 90B. Son visage était doux, fin, les cheveux assez longs qu’elle coiffait en une multitude de petites tresses, sa peau légèrement ambrée. Elle aimait notre compagnie. Chantal et Saïda était tellement devenues copines qu’elles s’échangeaient même des fringues pour la journée ou des soirées, mais le plus important, c’est que ma belle-mère se sentait rajeunir auprès d’elle.C’est donc tout naturellement qu’en cet après-midi, après avoir un peu lézardé au bord de la piscine, elle me dit qu’elle allait voir Saïda dans son logement pour essayer des fringues et voir la tenue qu’elle mettrait ce soir. Je la laissai donc partir et continuai à bronzer dans mon transat.J’ai dû m’assoupir car au bout d’une heure trente, je rouvris les yeux et regardai autour de moi. Il y avait toujours autant de monde dans et autour de la piscine, mais ma belle-mère n’était toujours pas revenue. Je me levai, pris mes affaires et me décidai à aller les rejoindre. Je connaissais l’appartement de Saïda pour y avoir déjà été avec Chantal. C’était dans un bâtiment à un étage à l’écart du club, en bordure du désert. Arrivé devant sa porte au rez-de-chaussée, j’allais frapper quand j’entendis des bruits particuliers, c’étaient des sons de plaisirs. J’écoutai quelques instants et me dis que notre belle algérienne devait bien s’amuser et prendre son pied.Mû par un désir de voyeurisme, je contournai le bâtiment par un petit passage entre celui-ci et une haie d’arbustes et vis que le volet de son logement était entrebâillé. Je regardai autour de moi pour être sûr que j’étais seul et m’approchai sans faire de bruit.Ouah ! Quel spectacle ! La chambre partiellement éclairée me montrait une femme allongée sur le lit et la tête de Saïda entre ses cuisses en train de la lécher avidement. Je n’aurais jamais cru que notre amie était lesbienne, vu la façon dont elle parlait des hommes et les regards pleins de malice auxquels j’avais eu droit. Le spectacle était saisissant, plein d’érotisme. J’avais une vue magnifique sur le joli cul de l’algérienne et je voyais distinctement sa belle petite chatte rasée. L’inconnue jouissait sous ses coups de langues et ses caresses. Je bandais, j’avais envie de prendre ce sexe qui appelait à la délivrance à quelques mètres de moi, j’enviais l’inconnue de prendre du plaisir dans les bras de Saïda. Mais l’inconnue ne resta pas inconnue pour longtemps, car lorsque celle-ci leva la tête ce fut un choc ! Je reconnus ma belle-mère Chantal ! Quelle salope ! Le séjour au Maroc était vraiment pour elle les vacances de toutes ses envies, et je compris qu’elle comptait en profiter au maximum !— Vas-y ma chérie, continue, c’est trop bon, ah ah ah !— Slurp slurp slurp ! Hum, tu l’aimes ma langue, slurp slurp slurp…— Ouiii, lèche-moi encore, ah ah ah…Au bout d’un moment, Saïda se releva et se dirigea vers sa table de nuit d’où elle sortit un gode argenté. Elle s’approcha de ma belle-mère et lui tendit le gode qu’elle suça en fixant de son regard de salope sa jeune proie, puis alla se replacer entre les cuisses de Chantal pendant que celle-ci s’était déjà enfilé le gode au fond de la chatte.Puis au bout d’un moment, Saïda se plaça en position de 69 au-dessus de ma belle-mère et leurs ébats reprirent. Ce fut au tour de Chantal de prendre le gode et de s’en amuser avec la chatte de la belle algérienne, pour son plus grand plaisir. Elles variaient les positions, leurs caresses étaient sensuelles, elles avaient déjà jouis plusieurs fois quand elles s’arrêtèrent pour se reposer un peu.C’est à ce moment-là que je décidai d’arrêter mon voyeurisme et de retourner m’allonger sur les transats de la piscine et d’attendre le retour de Chantal. Je me demandais bien si elle allait tout me révéler ou comment j’allais pouvoir lui en parler.Ce n’est qu’au bout de quarante-cinq minutes qu’elle revint me voir.— Ben alors t’étais où ? Vous en avez mis du temps ! lui dis-je avec un sourire ironique.— Oh mon chou ! Désolée, on a essayé plein de fringues et discuté un peu. On n’a pas vu le temps passer !La menteuse ! Elle ne voulait rien me dire ! Les idées s’entrechoquaient dans ma tête et en une fraction de seconde j’avais trouvé ma réplique et décidé de jouer avec elle.— Oui c’est sûr, vu votre « bavardage » vous devez avoir les langues bien fatiguées !Chantal rougit. Mes derniers mots l’avaient mise mal à l’aise.— Mais pourquoi cette ironie, on a juste discuté !— Arrête, ne te sens pas mal à l’aise ! J’ai trouvé le spectacle sublime !— Quoi, tu nous as vues ?— Oui, mais ne t’inquiètes pas c’était superbe et je ne te porte pas de jugement, si tu as pris ton plaisir c’est l’essentiel !— Oh, t’es vraiment un amant parfait ! Confidences pour confidences j’ai toujours eu envie d’essayer avec une femme et l’occasion s’est présentée ! Mais rassure-toi, j’aime toujours autant les hommes !— Oui c’est bien d’essayer. Et sans prétention, vu le plaisir qu’on a tous les deux, je pensais bien que tu ne renoncerais pas aux hommes.— Avec une femme, c’est bien aussi !— Oui c’est sûr, mais là tu m’as mis en appétit, viens avec moi dans la suite, j’ai envie de te baiser !Et sans attendre une seconde, nous sommes allés dans notre chambre où nous avons baisé jusqu’au petit matin. Mon beau-frère ne voyait rien de ce que nous faisions, ce qui nous arrangeait pleinement, tellement occupé et fier de sa nouvelle copine Marina de dix-neuf ans.Vendredi 15 heuresCe jour-là, ma belle-mère était partie en excursion « spéciale femmes » pour découvrir les charmes des produits marocains, et m’avait laissé seul au club avec pour mission de rendre à Saïda ses escarpins rouges empruntés la veille. Tout en me confiant cette mission, elle avait aussi ajouté avec un grand sourire qu’il fallait que je sois très gentil avec elle !Je retrouvai Saïda déambulant dans le club pendant sa pause et lui rendis ses escarpins.— Merci, c’est très gentil.— De rien, t’es en pause ?— Oui.— Tu vas faire quoi ?— Je sais pas trop, je vais aller à mon studio.— Ok, ben à plus tard alors !— Ok ça marche ! Non attends, viens, je t’invite à prendre un café.— Avec plaisir.Et nous voilà partis, moi suivant cette belle algérienne vêtue de son petit short moulant et de son t-shirt vert du club.Une fois rentrée dans son studio, elle me prépara un café, me le servit et se mit devant sa fenêtre en regardant vers l’extérieur.— Alors, elle est belle la vue d’ici ?— …— Allez, t’en fais pas, Chantal m’a déjà tout raconté, dit-elle en se retournant.— Ah bon !— Oui et elle m’a aussi dit pour vous deux !— Oh non, elle a osé !— Oui et ça m’a beaucoup excitée ! Je me suis caressée plusieurs fois en y pensant, il paraît que tu es un super amant et j’ai envie d’essayer…— Ah oui ! Et ton mari ?— Chut…Saïda s’avança vers moi, tellement près qu’elle plaça sa main sur mon sexe à travers mon bermuda, qui commença à bander sous sa caresse. J’ai posé mes mains sur sa taille pour l’attirer contre moi et nous nous sommes embrassés sauvagement. Ses lèvres étaient douces, sucrées. J’en ai profité pour lui enlever son t-shirt vert, ce qui me permit d’apprécier sa belle poitrine maintenue par un soutien-gorge mauve à dentelles. Elle fit de même avec le mien et vint me caresser mon torse en y déposant quelques baisers, puis d’elle-même enleva son petit short. Son string était transparent, de couleur mauve aussi, et on pouvait très nettement voir la forme de sa petite chatte. Saïda s’accroupit, fit descendre mon bermuda, retira mon caleçon et d’une main saisit mon sexe déjà bien dur qu’elle commença à masturber. Ces caresses étaient précises et délicieuses. Elle remonta ma queue et sa langue vint me lécher les couilles et par moment me les sucer.— Hum c’est bon continue, vas-y suce-moi !— T’as une belle queue, comme celle de mon mari.— Oui mais lui te fait l’amour comme un mari, sans véritable passion, moi je vais te baiser comme la salope que tu es !Ma vue plongeante était un régal, et d’une main je lui pris la tête pour l’amener à me sucer. Sa bouche grande ouverte elle avala ma queue tout en me fixant avec un regard de chienne en chaleur. Je me délectais de ce traitement, d’autant plus qu’elle aussi prenait du plaisir en se caressant la chatte sous son string.Je n’aurais pas pu dire laquelle de ma belle-mère ou d’elle suçait le mieux, mais l’une comme l’autre avaient l’expérience de la chose et savaient s’y prendre ! J’étais au bord de la jouissance mais je ne voulais pas jouir maintenant, je voulais goûter à son petit abricot.— Arrête Saïda, c’est trop bon mais j’ai envie de te lécher, viens sur le lit !Je la fis se relever, elle alla s’allonger sur le lit, retira ses sous-vêtements et écarta grandement les cuisses entre lesquelles ma tête s’engouffra. Je commençai à la lécher sur toute la surface de sa chatte, puis en écartant légèrement ses lèvres ma langue accentua ses caresses sur son clitoris.— Aaaah, comme c’est bon ! Ah ah ah, tu me lèches bien, continue, ah ah ah…Tout en la léchant j’introduisis deux doigts dans sa chatte dégoulinante, mais elle en voulait plus et me tendit son gode après l’avoir léché quelques secondes.— Tiens, vas-y, mets-le moi, j’adore ça !Alors tout en continuant mon cunnilingus, j’introduisis le gode au fond de sa chatte. Je le rentrais et le sortais aussi vite que je pouvais, comme si ce morceau de plastique était animé d’une furieuse envie de la baiser.— Ah ah ah, oui je vais jouir, ah ah ah, vas-y continue, ah ah ah…Je continuai quelques secondes, mais lorsque je sentis qu’elle était au bord de l’explosion je retirai le gode pour y engouffrer ma queue. Je voulais qu’elle jouisse avec mon sexe ! Et tout aussi rapides qu’avec son gode, mes va-et-vient la clouaient littéralement sur le lit, lui arrachant des cris de plaisir. Je m’amusai à lui caresser les seins, à les sucer, à l’embrasser à pleine bouche.— Oh putain qu’elle est bonne ta queue ! ah ah ah !— Alors c’est mieux qu’avec ton mari ?— Ah ah ah, oh oui, vas-y continue, ah ah ah, c’est trop bon, ah ah ah, je vais jouir, ah ah ah…— Vas-y fais-toi plaisir, jouis, elle est trop bonne ta chatte !— Aaaaaaaaaaaaaaah, je jouis, ah ah ah ah aaaaaaaaaaaaah ah ah ah ah !Son corps légèrement cambré frissonnait de plaisir, ses cris de jouissance remplissaient la pièce. Je ralentis ma cadence pour lui permettre de reprendre ses esprits et en profitai pour caresser toutes les parties de son anatomie. Sa peau était douce et mes lèvres y glissaient dessus avec envie et plaisir.— Alors, tu trompes souvent ton mari ?— Non, c’est la deuxième fois avec un homme depuis quatre ans qu’on est ensemble.— Et avec les femmes ?— C’est plus souvent…— Et pourquoi moi ?— Parce que tu me plais, et aussi avec tout ce que Chantal m’a raconté, ça m’a terriblement excitée !Tout en restant en elle, je nous fis rouler sur le côté pour me retrouver allongé sur le dos pendant qu’elle me chevauchait.— Allez, vas-y ma belle, chevauche-moi, fais-toi plaisir !— Ah ah ah, oui c’est bon comme ça, ah ah ah, je te sens bien en moi, ah ah ah…Saïda me chevauchait comme une furie, elle prenait plaisir à me dominer et s’amusait à changer par moment le rythme de la pénétration pour contenir son excitation. Je voyais sa belle poitrine assez ferme au-dessus de moi. Mes mains empoignaient ses fesses ou venaient malaxer ses seins. Par moment elle se cambrait assez pour me permettre de lui mordiller les tétons, ce dont je raffolais. J’étais au bord de l’explosion mais je me retenais tant bien que mal pour faire durer notre plaisir.— Vas-y ma belle, continue, je vais jouir !— Ah ah ah, oui oui, moi aussi, ah ah ah…Saïda accéléra sa chevauchée, elle voulait nous faire jouir.— Ah ah ah, ça vient, ah ah ah, je jouis !— Argh oui, moi aussi je jouis !Nous jouîmes en même temps, et mon sperme se déversa tout au fond de sa chatte. Au bout de quelques secondes Saïda s’écroula sur moi et je l’enlaçai de mes bras tout en la couvrant de baisers. Au bout de quelques minutes, elle se leva pour aller se rafraîchir et se nettoyer un peu, puis vint me rejoindre dans le lit.— Humm, c’était très bon ! J’ai encore envie de toi.— Ça tombe bien, moi aussi.Ma belle algérienne se retourna pour m’offrir sa chatte à lécher pendant qu’elle redonnait de la vigueur à ma queue à l’aide de ses mains et de sa bouche experte. Une fois que mon sexe fut bien bandé, je lui dis de se mettre à quatre pattes sur le lit.— Oui vas-y, prends-moi comme une chienne ! me dit-elle.— Oh oui, ma belle salope, je vais te baiser comme une chienne !Et positionné derrière elle, je mis mon gland à l’entrée de sa chatte et je l’enfilai d’un coup.— Ah putain, tu me l’as mise d’un coup !Mes couilles butaient contre son cul et ma queue s’engouffrait au plus profond de sa belle petite chatte, et chacun de mes coups lui arrachaient un cri de plaisir.— Ah ah ah, c’est bon, ah ah ah…— T’aimes bien te faire baiser ?— Ah ah ah, oui, ah ah ah…— T’es une salope, dis-le !— Ah ah ah, oui, je suis une salope, ah ah ah…Mes mains lui maintenaient la taille ou empoignaient ses seins, et par moment pour qu’elle se cambre encore plus, je la tirais par les épaules.— Alors, ton mari baise mieux que moi ?— Ah ah ah, non, ah ah ah !— T’aimes le faire cocu, ton mari ?— Oui, ah ah ah…— T’es une salope qu’aime se faire baiser !— Oh oui, ah ah ah, baise-moi, ah ah ah, baise-moi bien profond, ah ah ah…Cela faisait déjà plusieurs minutes que je la baisais par derrière quand j’écartai ses fesses et après y avoir salivé dessus, j’introduisis mon pouce dans son cul.— Et par là, tu aimes ?— Ah ah ah, oui !— T’aimes te faire enculer ?— Ah ah ah, oui !Alors je sortis ma verge et la présentai devant son cul. Je n’eus qu’à pousser deux fois pour que ma queue rentre entièrement.— Oh putain, tu me déchires le cul avec ta grosse queue ! ah ah ah !Tout en la sodomisant, je pris son gode que je lui fis sucer quelques instants avant de le lui enfiler dans la chatte.— Aaaaaaaaaaaaaaaaah !— T’as déjà couché avec deux hommes en même temps ?— Ah ah ah, nooooon !— Et la double pénétration avec ton gode, t’as déjà fait ?— Ah ah ah, nooooon…— Et alors tu aimes ?— Ah ah ah, ça fait un peu mal, ça me déchire, ah ah ah, mais c’est trop bon !— Tiens ma petite salope, regarde comme mes « deux queues » te baisent !— Ah ah ah, je jouiiiiiiiiiiiiis ! ah ah ah !Saïda s’effondra de plaisir alors que je continuais de l’enculer avec force. Puis, ayant repris ses esprits, c’est elle-même qui donna un rythme au gode qui lui labourait la chatte pendant que je la tenais par les hanches et que ma queue lui défonçait le cul. Quelques minutes plus tard, je jouis à mon tour au fond de son cul.Vendredi 17 heuresIl était temps pour Saïda de retourner au boulot, et après un langoureux baiser nous nous quittâmes.— Merci pour cet après-midi, me dit-elle. C’était trop bon, je ne me souviens pas avoir déjà pris autant mon pied !— De rien, tout le plaisir est pour moi !— Reviens me voir avant ton retour pour la France, j’aurais encore envie que tu me baises !— Pas de soucis, je reviendrai avec plaisir !Je retournai me reposer dans ma chambre, et vers dix-neuf heures Chantal rentra de son excursion les bras chargés de souvenirs. La première chose qu’elle voulut savoir était si j’avais bien rendu ses escarpins à Saïda, et si j’avais été gentil avec elle.— Alors, tu l’as baisée ?— Oui.— Salaud ! Et alors c’était bien ?— Oui.Je m’empressai de tout lui raconter en détail, ce qui réveilla son excitation mais aussi sa jalousie.— Ah oui, elle baise si bien que ça ! Tu vas voir ce soir, je vais te faire changer d’avis !— Humm ça promet d’être torride !À suivre…