Chapitre 1 : Un vieux fermier
Une voix me murmura dans la tĂŞte
— Dis Salope, regarde, il est laid et vieux. Il est encore temps de tout arrĂŞterÂ
Depuis que, je lui avais laissĂ© voir ma chatte, mon sexe Ă©tait trempĂ©. Tout Ă coup ses deux mains tremblotantes se posèrent sur ma taille… Advienne que pourra, trop tard pour arrĂŞter
Proposée le 27/05/2022 par Trixie Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Forêt, campagne, natureType: Fantasme
Chapitre I : Le vieux fermier
Je me regardai dans la grande glace de la salle de bain. J’Ă©tais nue, le miroir me renvoyait l’image d’une jeune femme de vingt sept ans, des cheveux chatain-blond assez longs, aux yeux bleu-vert, un petit nez fin lĂ©gèrement en trompette, un corps mince, mesurant un mètre soixante-huit, avec des seins ni trop gros, ni trop petits, aux arĂ©oles bien marquĂ©es et aux tĂ©tons lĂ©gèrement proĂ©minents. J’aime porter des dessous sexy en dentelles, soutien gorge noir demi-lune, laissant mes seins libres de toute entrave, bas et porte-jarretelles noirs, string. J’ adore le contraste du noir sur ma peau blanche.
Mes amis m’appellent Trixie car c’est le diminutif de mon prĂ©nom, j’adore le sexe et je trouvais l’image que me renvoyait la glace assez sexy.
Je me demandais pourquoi mon macho de mari, se dĂ©sintĂ©ressait de moi et ne me donnait pas trop satisfaction sur le plan sexuel, je ne comprenais d’ailleurs pas pourquoi ! Ou plutĂ´t si, son boulot lui permettait de s’Ă©clater ailleurs lors de ses nombreux dĂ©placements ! J’avais donc dĂ©cidĂ©, pour ne pas ĂŞtre en reste, de faire pas mal d’expĂ©riences. Dans la boĂ®te ou je travaille, j’ai un amant Maxime, il est aussi mon confident, je m’Ă©panche souvent auprès de lui surtout Ă la pause cafĂ©, et ce jour lĂ , nous Ă©tions seuls dans le local Ă boisson.— Vois-tu Max, je me suis aperçue Ă plusieurs reprises quand je vais dans une ferme chercher des lĂ©gumes, que le fermier, un vieil homme de soixante-dix ans passĂ©s est très intĂ©ressĂ© surtout lorsque j’ai des tenues sexy. Je le fais bander, l’énorme bosse qu’il a sous son pantalon lorsqu’il me regarde a attirĂ© mon attention. Je l’ai mĂŞme surpris Ă se caresser discrètement le sexe tout en me regardant. Il est laid, les cheveux Ă©pars et grisonnants, il est maigre, le faciès barrĂ© par une moustache. Mais la beautĂ© cachĂ©e des laids se voit sans dĂ©lai, disait Gainsbourg avec malice. Et lui me semble-t-il en cache une vraiment grosse et ça m’excite malgrĂ© moi. Et puis vois-tu, si par hasard, comment dirais-je, si je succombais Ă ses avances, l’avantage de faire l’amour avec des moches et vieux c’est qu’ils se donnent tellement qu’ils ont toujours l’impression que ce sera la dernière fois. Mais tu dois me prendre pour une petite vicieuse, de t’avouer mes fantasmes, surtout de baiser avec un vieux !Je lui dĂ©crivis le rĂŞve rĂ©curent ou je voyais le vieux maraĂ®cher nu devant son Ă©tal de lĂ©gumes.
Personne en vue, je mis mon talon sur le banc, Ă©cartai les jambes, ma jupe remonta et dĂ©couvrit ma chatte, je ne portais pas de string, cela excitait Maxime de me savoir nue sous ma jupe, et il me demandait souvent de lui montrer a chatte.— Regarde vient toucher, rien de d’y penser je mouille ! Ouiii, enfonce ton doigt !
— Houla, oui mon majeur est tout poisseux ! Ma petite chérie, me dit-il, si tu as envie de faire une expérience avec lui, vas-y ! Aguiche le, tu verras bien, ou cela te mène !
— Mais tu n’es pas jaloux que je dĂ©sire me faire baiser par un vieil homme ?
— Tu n’es pas Ă moi ! Tu es libre comme l’air, tu fais comme bon te semble ! Et il me semble que ton fantasme Ă l’air de vouloir devenir rĂ©alitĂ©Â !
— Oui, pourquoi ne pas tenter l’expĂ©rience.Donc le samedi suivant, revigorĂ©e par les propos de Max, je dĂ©cidai de voir ce que voulait vraiment ce vieux fermier. Nue, je fouillai dans le tiroir de la commode de ma chambre et attrapai une paire de bas et un porte-jarretelles noir, que j’enfilai. Je fis courir les bas sur mes jambes et les accrochai. Mon sexe, presque imberbe sembla presque sourire entre les deux lanières du tissus, reconnaissant des Ă©gards qu’on allait lui accorder. La vue de ma chatte Ă l’air dans le miroir me fit frissonner.
Tout au long du parcours en direction de la ferme, j’avais une petite boule d’apprĂ©hension dans l’estomac. Mais les dĂ©s Ă©taient jetĂ©s ! Est ce que j’allais le regretter ?
Il n’y avait personne dans la cour de la ferme. En levant les yeux, j’aperçus le vieux bonhomme derrière une fenêtre de son hangar, sûrement alerté par le bruit du moteur de ma voiture. Il n’ouvrait le magasin qu’à partir de 15 heures, il était 13 heures 30, personne ne viendrait me déranger. Je me garai perpendiculairement à cette fenêtre, coupai le moteur.
Le vieux Ă©tait toujours Ă m’épier. J’ouvris en grand ma portière, et jetai un regard aux alentours, pas âme qui vive ! Je portais une robe lĂ©gère lĂ©gère grise, assez ample. Elle se fermait par une ceinture nouĂ©e Ă la taille. Je la remontai sur mes cuisses, pivotai ensuite sur mon siège et me mis face Ă la fenĂŞtre, les fesses posĂ©es sur le bord du fauteuil. M’assurant que le vieil homme me regardait toujours, je me contorsionnai sur le siège pour quitter mon string, rangeai le triangle de tissu noir dans mon sac tout en laissant mes jambes assez Ă©cartĂ©es, je fus sĂ»re que le vieux se tripotait en me regardant, je descendis de la voiture, la robe relevĂ©e jusqu’Ă la taille, pour bien lui montrer que j’Ă©tais nue dessous.
Je vérifiai dans la vitre de la portière, en me penchant que le haut de ma robe s’entrebâillait suffisamment pour laisser apparaître, mes deux seins soutenus par le demi-soutien-gorge noir. Je fis la moue et desserrai ma ceinture pour lui permettre de bailler largement. Une légère brise écarta les pans de ma robe, dévoilant mes bas noirs et les attaches du porte-jarretelles en dentelle noire, ainsi qu’un bout de peau nue au-dessus des bas. Satisfaite de mon examen, je grimpai les cinq marches du hangar et poussai la porte.
Le vieux paysan, m’avait vu arriver et de derrière la fenĂŞtre qui surplombait exactement la voiture, il n’avait rien perdu de la scène, il se prĂ©cipita Ă ma rencontre.— Bonjour, jolie demoiselle, Vous ĂŞtes en avance aujourd’hui. Mais vous ĂŞtes toujours la bienvenue dans mon petit magasin.
— Oui, et je vous remercie de votre accueil dis-je avec un sourire resplendissant.Je lorgnai sur son entrejambe, sous la toile de sa salopette, une bosse importante descendait sur sa cuisse, il bandait, mais après ce qu’il avait vu c’Ă©tait plus que normal !— Il fait chaud aujourd’hui, il vaut mieux ĂŞtre habillĂ© lĂ©gèrement !
— J’ai retirĂ© le superflu, dis-je en riant. Lors de mes prĂ©cĂ©dentes visites, et aujourd’hui encore je m’aperçus, que j’étais loin de le laisser indiffĂ©rent sur le plan physique. MalgrĂ© son âge avancĂ©, il me semblait dotĂ© d’un sexe vraiment gros, du moins le subodorais-je, vu la bosse qui se profilait sous son pantalon, lorsqu’il Ă©tait aguichĂ©. J’avais du m’avouer que sa grosse bite m’excitait au plus au point, et me faisait fantasmer, bien qu’il soit laid comme un pou. Ma libido Ă©tait exacerbĂ©e car il m’avait dĂ©jĂ fait quelques rĂ©flexions assez salaces, mĂŞme très crues. J’allais Ă mon tour jouer le jeu de la sĂ©duction et on verrait bien ce qui arriverait.
Étant pour l’instant, sa seule cliente, le vieux Ă©moustillĂ© par ce qu’il avait vu lorsque j’Ă©tais descendue de la voiture, ne me quittait pas d’une semelle, me tournant autour, me frĂ´lant, pour me vanter les mĂ©rites de ses lĂ©gumes, il osait des comparaisons assez osĂ©es.— Vous avez-vu mes lĂ©gumes ? Ils sont frais et verts comme moi. Regardez la barbe de ces poireaux, elle est aussi fournie que ma toison pubienne, et ces Ĺ“ufs de cailles, ils sont aussi gros que mes testicules ! Quant Ă ces courgettes, je crois que mon sexe est plus long et tout aussi large ! Je vois que vous souriez, vous ne me croyez pas. Vous voulez voir ?Je lui souris, profitant qu’il se mit en face de moi, je me penchai savamment sur un Ă©talage, le haut de ma robe s’écarta laissant apparaĂ®tre, sciemment, mes deux seins sortant de leur Ă©crin noir.— Oui, rĂ©pondis-je, je vois très bien ce que vous voulez dire et je n’en doute pas ! Me donnez-vous la permission de tripoter votre marchandise ? Mais pour cela il faut peut-ĂŞtre vous montrer patte blanche, lui dis-je me penchant encore un peu.Le regard du paysan plongea dans le dĂ©colletĂ© offert, ses yeux enveloppèrent mes courbes gracieuses, malgrĂ© moi, mes seins se raffermirent, mes arĂ©oles se hĂ©rissèrent, mes tĂ©tons durcirent et s’allongèrent, je restai penchĂ©e pour bien lui faire profiter du spectacle magnifique. Il eut l’air changĂ© en statue et ne put pas dĂ©tacher son regard. Je me penchai encore un peu, la robe bailla encore, et sa vue se porta en dessous du porte-jarretelles, je lui laissai deviner mon sexe.
Je décidai alors de passer à un autre stade, un peu plus poussé de mon jeu de séduction. Le hangar était toujours désert. Je me dirigeai vers des cageots inondés de soleil qui étaient rangés par terre, et m’accroupis dans la clarté pour examiner la marchandise. Ainsi positionnée en pleine lumière, il ne pouvait rien manquer de qui allait suivre.
Lorsqu’il me vit me baisser, le vieux fit à toute vitesse le tour de l’étal. Quand il fut à trois mètres de moi, je pivotai sur mes talons hauts, me tournai vers lui en souriant et dans le mouvement écartai doucement les jambes. Ma robe glissa le long de mes cuisses, dévoila dans un premier temps les attaches du porte-jarretelles, puis le haut des bas et ma chatte s’offrit aux regards du vieux, il s’arrêta comme paralysé.
Ses yeux brillèrent de convoitise, son regard perçant essaya de me fouiller le sexe, il partit des attaches du porte-jarretelles et remonta le long des lanières noires bien tendues qui contrastaient avec le blanc de ma peau. Alors naturellement, je séparai encore un peu mes cuisses, mes grandes lèvres s’écartèrent laissant apercevoir le rose de ma chatte et deviner mon clitoris.
De mes yeux bleu-vert, je plongeai en souriant mon regard dans le sien, avec ce regard langoureux, que soi-disant, je lançai aux hommes pour les séduire. Je me dis qu’il n’était vraiment pas beau, même très laid, mais ce n’était pas cela qui importait.
A son expression hĂ©bĂ©tĂ©e je voyais que le vieux Louis n’en revenait pas que je lui permette de mater ainsi ma chatte. — Eh bien dis donc, petite salope ! Puisque tu me montres ta chatte, regarde ma bite ! Il dĂ©boutonna sa braguette et sortit son imposant mandrin. Mes yeux descendirent vers le sexe de l’homme, il Ă©tait Ă©norme, mais Ă©tant Ă contre-jour, le soleil dans les yeux, je distinguai mal, il me sembla que la grosseur descendait assez bas sur sa cuisse gauche, une douce chaleur envahit mon ventre et l’intĂ©rieur de ma vulve commença Ă s’humidifier. Je restai un moment, sans bouger, ainsi offerte Ă ses regards, mon cĹ“ur commença Ă battre plus fort dans ma poitrine. Qu’allait-il arriver ?
Rapidement, il tourna les talons et toujours le sexe Ă l’air se dirigea vers la porte, qu’il ferma Ă double tour. Pendant ce temps je me rendis devant l’étal des courgettes, et fit mine de chercher celles qui me convenaient. Je l’entendis arriver derrière moi, le souffle court. Mon pouls s’accĂ©lĂ©ra.
Je m’appuyai des deux mains sur la table, et perchĂ©e sur mes talons hauts qui affinaient mes jambes gainĂ©es de noir, cambrai imperceptiblement les reins, pour faire ressortir ma croupe. Il s’approcha doucement. Une petite voix me murmura dans la tĂŞte.— Dis Salope, tu as vu comme il est laid et vieux. Il est encore temps de tout arrĂŞter ! Depuis l’épisode ou accroupie, je lui avais laissĂ© voir ma chatte, je mouillais Ă©normĂ©ment, mon sexe Ă©tait trempĂ©. Tout Ă coup ses deux mains tremblotantes se posèrent sur ma taille, enserrèrent et caressèrent le pourtour de mon porte-jarretelles Ă travers ma robe assez fine, puis elles partirent en exploration. Je frissonnai et me raidis. Advienne que pourra, trop tard pour reculer ! — Laisse-toi faire, laisse moi caresser ton corps de rĂŞve. Depuis que tu es arrivĂ©e tu ne fais que m’exciter en me montrant tes trĂ©sors.Tu me rends fou. Je me branle presque toutes les nuits en pensant Ă toi ! J’ai vue que tu Ă©tais nue dessous, tu as quittĂ© ton string dans ta voiture !
— Ohhhh… non… chuutttttt… non, non.Elles palpèrent les dentelles du devant, suivirent les lanières sur l’avant de mes cuisses jusqu’aux attaches et remontèrent lentement. Au passage, il dĂ©fit la ceinture de la robe et Ă©carta lĂ©gèrement celle-ci, il effleura doucement mon pubis du bout des doigts, je frĂ©mis.— Oui, oui lĂ aaaaaaaaaa, c’est bien, laisse toi faire.
— Ohhhhhh… nooooonnnnn…. Ses mains se posèrent ensuite le long de mes hanches et descendirent Ă nouveau le long de mes cuisses suivirent les lanières arrières. Je me cambrai un peu plus. Les mains passèrent sous la robe et remontèrent doucement jusqu’à la peau nue au-dessus des bas. J’écartai un peu plus les jambes, il commença Ă relever doucement la robe jusque sur mes reins. Sa main droite passa devant et il me caressa avec lenteur le sexe ruisselant, puis il insĂ©ra le majeur Ă l’intĂ©rieur de ma fente humide et commença un va-et-vient, de sa main gauche.— Ouiiiii, tu mouilles ça te plaĂ®t ! Putain ce que tu peux me faire bander ! Ouiiii, c’est bien tu sens bien mon doigt, en veux un autre ? Il bandait de plus en plus, son sexe devint effectivement Ă©norme, mĂŞme les plus grosses courgettes de l’étal ne souffrirent pas de la comparaison. Mais lui tournant le dos, je ne pouvais pas avoir une idĂ©e de la grosseur rĂ©elle. Il dĂ©grafa ses bretelles et le long de ses jambes frĂŞles, son pantalon tomba sur ses chevilles, il ne portait pas de slip.
Pour lui faciliter les caresses, j’ écartai encore plus les jambes et penchai le buste en avant, la robe toujours en haut de mes reins, qui s’étaient cambrés malgré moi.
La libĂ©ration de son sexe effectuĂ©e, tout en continuant son en va-et-vient, maintenant avec plusieurs doigts Ă l’intĂ©rieur de ma chatte qui ruisselait et s’écartait de plus en plus, il remonta sa main libre jusqu’au sein gauche, qu’il se mit Ă caresser sous le mince tissu. Puis il commença Ă l’écarter lentement et fit sortir mes deux seins. Un gĂ©missement de contentement, s’échappa de mes lèvres.— Oh ouiiiiiii, c’est bon, caressez moi les seins, ouiiiiii… comme ça !
— Je savais que tu ne dĂ©sirais que ça, petite Salope. Je voyais bien ton manège lorsque tu venais, je te plais tant que ça ! Tu as vu ma bite ? Elle est grosse, hein ! Tu vas te rĂ©galer quand je vais la mettre dans ta jolie chatte, et ta minette ruisselle, le vieux Louis te fais de l’effet petite Salope !Il vint se plaquer contrer ma croupe dĂ©nudĂ©e, son Ă©norme rouleau de chair bandant au maximum s’insinua entre mes jambes, et il le frotta doucement contre la fente de mon sexe. Sa main droite abandonnant le va-et-vient qui prodiguait un flux humide de plus en plus important, remonta elle aussi vers ma poitrine soutenue par le demi-soutien-gorge. Il se saisit dĂ©licatement des deux tĂ©tons et les fit rouler entre son pouce et son index, puis il en pinça l’extrĂ©mitĂ© entre ses ongles, les tira, les malaxa, je les sentis s’allonger et durcir sous les caresses rĂ©pĂ©tĂ©es, je les regardai, ils ne m’ avaient jamais semblĂ© aussi longs et ni aussi gros. De lĂ©gers râles de plaisirs sortirent de mes lèvres.
On ne parla plus, seuls mes gémissements et ses halètements se répercutèrent dans le silence du hangar.
Au bout d’un petit moment, il me prit une main et la porta sur son phallus, qu’il continua Ă frotter doucement, un tout petit peu Ă l’intĂ©rieur des lèvres de mon vagin, sans vraiment me pĂ©nĂ©trer. Je commençai Ă me joindre au mouvement, en essayant de faire entrer un peu plus profondĂ©ment ce que je prĂ©sentai d’énorme de par le frottement. Lorsque ma main enserra le sexe, mon cĹ“ur s’emballa, ma main Ă©tait loin d’en faire le tour. Il Ă©tait dur comme un roc. Au toucher, j’estimai que sa bite devait faire plus de six centimètres de diamètre, cela accrut mon dĂ©sir. J’avais toujours fantasmĂ© sur ce genre de sexe, c’Ă©tait un peu pour ça que j’Ă©tais ici ! J’ oubliai son âge, sa laideur, il ne restait plus dans mon esprit que ce gland Ă©norme qui me chatouillait le clitoris, augmentant mon envie de me voir pĂ©nĂ©trer par ce mandrin phĂ©nomĂ©nal. Sa respiration s’accĂ©lĂ©ra, mon dĂ©sir se fit de plus en plus fort. Ma main partit en une lente exploration progressant par va-et-vient le long de cet Ă©norme rouleau, il me sembla ne jamais arriver au bout, je pensai qu’il faisait au minium vingt-cinq centimètres de long, mon fantasme se prĂ©cisait. J’arrivai aux parties, qui lorsque je les caressai me parurent elles aussi de taille assez respectable. Je dĂ©sirai de plus en plus qu’il me pĂ©nètre. De ma main, j’ essayai de diriger le phallus monstrueux Ă l’intĂ©rieur de mon vagin qui Ă©tait maintenant abondamment lubrifiĂ© par ma mouille. Mais le vieux rĂ©sista, il ne voulut pas encore me pĂ©nĂ©trer, il dĂ©sirait que je me rappelle de cette expĂ©rience, et il souhaita profiter pleinement de l’occasion qui lui Ă©tait offerte par cette magnifique jeune femme. Il voulait faire durer le plaisir, il en rĂŞvait depuis si longtemps de me possĂ©der !
Il me retourna face Ă lui, me pencha en arrière sur la table, il rĂ©ussit Ă me quitter complètement ma robe, et passant ses mains dans mon dos dĂ©grafa mon soutien-gorge et l’Ă´ta. Je me retrouvai appuyĂ©e sur les coudes Ă demi couchĂ©e sur la table. La vue que je lui offris devait ĂŞtre splendide, mes seins pointant aux tĂ©tons Ă©rigĂ©s, mon porte-jarretelles encadrant mon sexe ruisselant, mes longues jambes fines gainĂ©es de noir, terminĂ©es par des talons aiguilles pendantes de la table. De plus en plus Ă©moustillĂ© par mon corps offert, il se tint devant moi, son Ă©norme sexe tendu comme un arc. Il fut fascinĂ© par ce spectacle magnifique, le corps d’une jolie blonde offert Ă ses regards, qu’il allait pouvoir baiser.— Putain que tu es belle ! Je n’espĂ©rais pas pouvoir te voir un jour ainsi, nue devant moi, tes bas et ton porte-jarretelle me rendent dingue ! ! Mais je me demande bien pourquoi tu t’offres Ă moi ?Je regardai son corps maigre et fripĂ©, ce n’Ă©tait pas ragoĂ»tant, mais mon regard venait se fixer sans cesse sur l’énorme pĂ©nis striĂ© par une Ă©norme veine, en Ă©rection totale. Avec mon majeur, je suivis la longueur de ma fente et arrivĂ©e au clitoris, je le dĂ©gageai entre le pouce et le majeur. Avec mon index, je le caressai avec de petits cercles concentriques. Ce qui me fit gĂ©mir de plaisir, n’y tenant plus le vieux avança sa main droite vers mon sexe palpitant, abondamment lubrifiĂ©, il insĂ©ra Ă nouveau d’abord trois doigts Ă l’intĂ©rieur, puis il rĂ©ussit Ă y adjoindre le quatrième, ses doigts Ă©taient longs, rugueux ce qui fut loin de me dĂ©plaire, il les fit aller et venir lentement dans mon vagin. Cela fit augmenter mes roucoulements. Il se pencha sur moi, avec un grognement sauvage, me prit le tĂ©ton du sein droit entre ses lèvres et l’aspira goulĂ»ment, il le mordilla, le suça, fit connaĂ®tre le mĂŞme sort au sein gauche, recommença plusieurs fois, je ne voulus pas que cela s’arrĂŞte, jamais mes tĂ©tons ne reçurent un hommage aussi sauvage, et mon sexe Ă©tait en feu.
Les grosses mains calleuses du vieux, se posèrent sur la peau nue de ma taille à hauteur du porte-jarretelles, j’écartai les jambes pour offrir à sa vue la profondeur de mon sexe béant, qui frémit. Je regardai cet énorme bite qui s’approchait de mon vagin, et je commençai à me demander, vu la grosseur, si j’allais pouvoir la recevoir au plus profond de mes entrailles. Mais je le désirai ardemment, une pensée fugace me fit traiter de petite salope, mais je la chassai vite de mon esprit ! Sans se presser, le vieux dirigea d’une main son énorme phallus, vers les grandes lèvres de ma chatte, tandis que son autre main continua à me triturer un sein, puis l’abandonnant son pouce vint frotter mon petit bouton rose, ce qui eut pour effet de me faire trembler d’extase. Le gland du sexe commença à me pénétrer et a écarter mes grandes lèvres, je me cambrai à sa rencontre, il me pénétra jusqu’aux petites lèvres, puis stoppa sa progression, et se retira lentement.
Je grognai de frustration, je me cambrai à nouveau pour rechercher le contact. Il frotta son énorme gland tout le long de ma fente, fit deux allers et retour, en me pénétra de nouveau jusqu’aux petites lèvres. Il vit bien que je n’attendais qu’une chose, qu’il continua sa pénétration. Je commençai à gémir d’impatience.
Il replongea alors, son Ă©norme phallus un peu plus profondĂ©ment, puis voyant que la grosseur de son appendice malgrĂ© l’abondante lubrification avait un certain mal Ă entrer ne voulut pas forcer, et suspendit le mouvement. Il se mit Ă frotter la tĂŞte de sa bite le long de ma fente, Ă©cartant les lèvres.— Putain Salope, tu mouilles, elle te plaĂ®t ma bite ?Tu veux que je t’enfile entièrement ? Elle est vraiment grosse et longue, tu la veux vraiment ? J’en ai très envie moi aussi ! Dis moi que tu la veux !
— Ouuu… ouiiiii rĂ©pondis-je le souffle court et haletant. Mettez lĂ toute !
— Tiens Salope, tiens, tu la sens glisser dans ta chatte. Tu aimes ça, salope, je le lis dans tes yeux ! Ton mari ne l’a pas aussi large et longue ! Putain que c’est bon ! Putain je vais toute te la mettre, ouuiii, voilĂ Ă©carte bien les jambes, ça y est je l’ai presque entrĂ© entièrement, ouiiii voilĂ Â !Mon ventre s’embrasa avec violence, mon foutre coula Ă flots, mon vagin fut empli d’un sexe monstrueux, j’écartai de plus en plus les jambes, je fis jouer mes muscles internes pour pouvoir l’accepter en moi. Le sexe Ă©tait vraiment monstrueux, mais j’aimais ça. Je me tortillai pour essayer de lui faire accĂ©lĂ©rer la pĂ©nĂ©tration. Il reprit sa progression, en poussant doucement, centimètres par centimètres, je le reçus en moi lentement.
Les poils grisonnants du vieux bonhomme, se retrouvèrent bientĂ´t plaquĂ©s contre mon pubis soigneusement Ă©pilĂ©. Son sexe de six centimètres de diamètre et de vingt-cinq centimètres de long entra entièrement Ă l’intĂ©rieur de ma chatte. Je me tordis de plaisir, il se retira complètement, puis, sans scrupule renfonça d’un coup sec, le monstrueux tuyau luisant de mon foutre sur toute sa longueur, je criai de plaisir. Les mains solidement fixĂ©es Ă mes hanches, il commença alors une sĂ©rie de va-et-vient, ponctuĂ©s de han sourd, surveillant les expressions de mon visage. Je l’accompagnai, je m’ouvris Ă lui, j’aurai voulu que cet Ă©norme sexe qui entrait tout juste dans ma chatte, me transperce et puisse aller encore plus loin au fond de ma vulve. Il ne ralentit pas la cadence, je ne sus plus oĂą j’étais, rien n’existait plus que cet Ă©norme marteau pilon qui me pĂ©nĂ©trait encore et encore. Je gardai les yeux ouverts, fixant celui qui me prenait, jetant parfois un coup d’œil sur ce sexe Ă©norme qui m’emplissait, je gĂ©missais et haletais. A ses pĂ©nĂ©trations de plus en plus rapides, je sentis qu’il n’ y avait plus qu’une seule chose qu’il dĂ©sirait, Ă©jaculer son vieux sperme dans le jeune corps qu’il possĂ©dait. Au bout d’une Ă©ternitĂ©, me sembla-t-il, mon plaisir monta, un plaisir lui aussi Ă©norme, le vieux continua son va-et-vient incessant, tout Ă coup, mes muscles vaginaux eurent plusieurs spasmes, se contractèrent et enserrèrent ce sexe monstrueux qui me donnait tant de plaisir. Je ressentis alors les soubresauts de l’éjaculation du vieil homme, le sperme chaud qui gicla par saccades en moi me fit hurler et le cri de mon Ă©norme jouissance rĂ©sonna Ă l’intĂ©rieur du hangar. AllongĂ© sur moi, les deux mains plaquĂ©es sur mes seins, il continua lentement en haletant ses mouvements de pĂ©nĂ©tration, les yeux brillant du plaisir de m’avoir fait jouir.— Oh putain, ce que j’ai joui, cela faisait une Ă©ternitĂ© que je n’avais pas baisĂ©.Ta chatte est merveilleuse. Tu reviendras, hein, tu reviendras. Putain que j’ai joui, tu la sens encore ma bite, ouiiiii, je sens ta chatte qui palpite ! C’est merveilleux ! Tu as aimĂ©, dis moi que tu as aimĂ©Â !Je lui fus grĂ© de ne pas s’être retirĂ© aussitĂ´t de me laisser profiter, de la grosseur qui m’ emplissait entièrement le vagin en Ă©cartant mes parois au maximum. Il continuait Ă me pĂ©nĂ©trer doucement, avec de longs va et vient.
La bouche du vieux vint se plaquer sur la mienne, sa langue essaya de se frayer un passage entre mes lèvres. Je rĂ©sistai un instant, puis encore Ă savourer mon Ă©norme jouissance, cĂ©dai et desserrai les dents. En terrain conquis la langue s’enfourna dans ma cavitĂ© buccale, je lui rendis son baiser, nos langues et nos salives se mĂ©langèrent. Encore dans les limbes de ma jouissance, je le laissai faire. Il prit mes deux poignets et les rejoignit sur mon ventre au-dessus de mon porte jarretelles. Il attrapa une cordelette qui Ă©tait sur la table et me lia les deux mains. Je rĂ©alisai trop tard que j’étais maintenant Ă sa disposition complète. Il me regarda avec un Ă©trange sourire. — Petite Salope, tu viens de me faire prendre mon pied comme jamais, mais cela fait trop longtemps que tu m’excites, cela ne me suffit pas, c’est la première fois que j’ai pu entrer entièrement ma grosse bite dans la chatte d’une fille, alors on ne va pas s’arrĂŞter en si bon chemin, surtout que tu as eu l’air de bien jouir toi aussi. Dis moi que le vieux Louis t’a envoyĂ© au septième ciel, dis moi que ça t’a plu !
— Ouuuiii, j’ai joui avec votre grosse queue, elle est merveilleuse !
— Alors, tu vas aimer ce qui va suivre, j’en suis sĂ»r ! Il se pencha sur ma chatte et enfourna sa langue Ă l’intĂ©rieur, il me lĂ©cha longuement. Je ne sus
pas quoi penser car ses caresses buccales commencèrent à réveiller mon excitation. Mon vagin redevint humide, le désir de sentir à nouveau cette énorme bite me posséder, embrasa à nouveau mon corps.— Ton foutre est succulent, écarte encore les cuisses ! Mes genoux s’écartèrent au maximum pour bien ouvrir ma chatte, ses doigts entrèrent dans mon sexe, il les trempa dans le foutre mélangé à son sperme qui s’en échappait et en enduisit son énorme pieu. Le vieux me traita de petite salope. Il me mit sa bite dans la bouche et m’ordonna de la sucer. Je la léchai et j’aspirai le gland avec ardeur. Sa queue redevint grosse. Puis, le vieil homme le sexe de nouveau énorme, se remit entre mes jambes. Il attrapa mes chevilles et les releva, il les posa sur ses épaules. Je compris là aussi ce qu’il voulait faire, j’eus peur, mais avec les mains attachées, je ne pus pas le repousser. — Nooonnnn, pas ça, vous êtes trop gros
— Mais si, mais si, une jolie fille comme toi a dĂ©jĂ du se faire sodomiser rĂ©pondit le vieux en ricanant. Tu vas sĂ»rement aimer ça. Alors on t’a dĂ©jĂ enculĂ©Â ?
— Oui, oui mais…
— Je vais y aller doucement, tu apprĂ©cieras mieux la grosseur !Il cracha de la salive et de ses doigts toujours poisseux, Ă©tala du foutre Ă l’entrĂ©e de mon anus. Une fois le trou lubrifiĂ©, il approcha son Ă©norme gland et l’enfonça cette fois sans trop de mĂ©nagement. Je criais de douleur, c’Ă©tait ma première sodomie avec un tel diamètre, le vieux continua sa progression. Une fois la douleur passĂ©e, je commençai Ă trouver cela agrĂ©able, je me mis Ă gĂ©mir de plaisir, ma chatte avait Ă©tĂ© envahie par un objet monstrueux et mon orifice anal Ă©tait pĂ©nĂ©trĂ© maintenant par son Ă©norme pĂ©nis, je crus rĂŞver. Mon ampoule rectale se retourna, son Ă©norme mandrin glissa, Ă©cartant mes parois anales. Il me parlait, me demandait si ça me plaisait. Il ne se pressait pas, je hoquetai, je sentis que mon plaisir montait. Je lui sommai d’aller plus vite. Je lui demandai de me dĂ©tacher les mains, il refusa. Mon plaisir arriva comme un ouragan, je n’avais jamais joui aussi fort de ma vie. Je hurlai de bonheur Ă©lectrisĂ©e par le plaisir. Le vieux Ă©jacula Ă son tour, je sentis son sperme chaud s’écouler au fond de mes entrailles. J’eus soudain envie de sucer ce sexe monstrueux qui m’avait donnĂ© tant de plaisir. Avant que la rigiditĂ© du membre qui Ă©tait encore en moi, ne cessa complètement, je me dĂ©gageai, glissai de la table et m’accroupis devant le sexe du vieux, luisant de foutre et de sperme qui commença Ă flĂ©chir. Je le saisis des deux mains liĂ©es, et ma langue fit plusieurs fois doucement le tour de la partie dĂ©couverte par le prĂ©puce, je lui lĂ©chai Ă petit coup le frein, le bout, ma langue s’insinua dans la fente du mĂ©at, cela suffit pour lui redonner un peu de vigueur. Ma langue lĂ©cha le cylindre monstrueux sur toute sa longueur, il avait le goĂ»t lĂ©gèrement salĂ© de mon foutre mĂ©langĂ© au sien. Puis je saisis le gland dans ma bouche et commença Ă essayer d’en faire entrer le plus possible, il Ă©tait tellement gros que je ne pus n’en avaler pas mĂŞme la moitiĂ© du gros tuyau.
Du fait de la grosseur et de la longueur, du sexe du vieux, lors de l’éjaculation, il Ă©tait restĂ© Ă l’intĂ©rieur du mĂ©at, une certaine quantitĂ© de sperme. Le vieil homme, me saisis d’une main la tĂŞte me la pencha vers l’arrière, son autre main appuya plusieurs fois sur son sexe, chassant ce qui restait de liquide sĂ©minal vers le gland. Je sentis le reste du sperme chaud et visqueux couler dans ma bouche, je dĂ©glutis et l’avalai, je fus Ă©tonnĂ©e du goĂ»t, ne le trouva pas mauvais.— Tu as vu le vieux, il est encore capable d’Ă©jaculer deux fois de suite ! Putain que c’Ă©tait bon ! Tu me promets de revenir, je vois que toi aussi tu as joui, et tu as tout avalĂ© mon sperme, il est bon ?C’est Ă ce moment que nous entendĂ®mes le moteur d’une voiture s’engageant au dĂ©but du chemin, menant au parking de la ferme. En toute hâte, le paysan coupa mes liens, je remis ma robe, arrangeai quelques mèches de cheveux, le vieux remonta son pantalon, referma sa braguette et se prĂ©cipita vers la porte pour la dĂ©verrouiller. Je pris mon panier de provision, en passant près de lui je lui attrapai la bite et la pressai, je l’embrassai rapidement sur les lèvres.— Dis, tu reviendras ? Dis moi que je pourrai encore te baiser !
— Oui, c’est promis, je reviendrai !Je me dirigeai vers ma voiture, contente de mon expĂ©rience, en me disant que je reviendrai acheter des lĂ©gumes au vieux Louis et surtout goĂ»ter encore Ă sa grosse queue.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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