Je m’appelle Charline, j’ai vingt-huit ans. Je mesure 1,60 m, je pèse 50 kg, j’ai les cheveux châtain clair en carré mi-long, légèrement bouclés. Je suis mariée à Thibault, trente ans, depuis maintenant cinq ans. Mon mari gagne très bien sa vie et je n’ai pas besoin de travailler, je suis femme au foyer. J’occupe mes journées dans mon appartement, en faisant la cuisine, du shopping, et je lis beaucoup.Pour son travail, mon mari doit très souvent s’absenter en province, parfois plusieurs jours d’affilée. Lorsqu’il rentre, il est souvent fatigué et notre vie sexuelle s’en ressent, mais j’en ai pris l’habitude et ça ne me manque pas tant que ça.Enfin, ça, c’est ce que je pensais jusqu’au printemps dernier.Comme souvent, Thibault avait dû s’absenter pour toute la semaine et je me retrouvais seule dans mon appartement. Je me souviens que ce lundi il faisait très chaud et que j’avais décidé de trier un peu ce que j’avais entassé dans ma cave… Des vieilles affaires que je ne remettrai plus, dans des valises un peu oubliées depuis notre emménagement.Je pensais aussi lire, allongée dans la chaise longue que j’avais installée sur mon balcon.Après ma toilette, j’avais enfilé une petite robe fleurie me descendant juste au-dessus du genou, légèrement évasée et boutonnée sur le devant, ainsi que des petites sandales à talons de quatre centimètres. Le bouton du bas de ma robe n’était pas mis, ce qui me donnait un peu plus d’aisance, mais pouvait aussi très légèrement dévoiler mes cuisses en marchant. Dessous, je portais une petite culotte satinée, mais pas de soutien-gorge. J’ai en effet une assez petite poitrine, et avec cette chaleur, le soutien-gorge est assez désagréable pour moi.J’étais sortie faire quelques courses, j’avais préparé et dégusté un déjeuner léger.Je me décidai donc à descendre ranger ma cave. Mon appartement est situé au quatrième étage et je décidai de passer par l’escalier. Arrivée au sous-sol, je me dirigeai vers ma cave et ne remarquai pas vraiment au départ que les parties communes étaient éclairées. Une fois dans ma cave, j’évaluai rapidement le rangement à faire lorsque j’entendis du bruit provenant du fond des parties communes. Il semblait que l’on s’y affairait à quelque tâche. Piquée par ma curiosité, je décidai d’aller voir de plus près.Dans le local de la chaudière, j’entendis des voix. La chaudière avait eu une panne durant l’hiver et je supposais que l’on était venu la contrôler. J’aperçus deux hommes avec des outils qui semblaient en effet être des chauffagistes. Je m’approchai. Ils me virent et me saluèrent, je leur répondis.Ils finissaient leur repas, et la chaleur aidant, ils avalèrent un demi-litre d’eau d’une bouteille chacun. Puis l’un d’eux me dit qu’avec cette chaleur ils avaient très soif. Celui qui m’adressa la parole et qui semblait être le responsable semblait avoir la quarantaine, brun, avec un accent portugais. L’autre était un grand noir assez bedonnant qui devait avoir à peu près le même âge. Tous les deux étaient vêtus de combinaisons de travail dont ils avaient baissé le haut et noué à la taille, sûrement à cause de la moiteur de leur tâche.Je leur souhaitai bon courage et retournai dans ma cave. Les valises que je cherchais étaient en fait rangées en hauteur sur une armoire placée au fond du local.Je disposais d’un escabeau afin de les atteindre, mais elles étaient assez lourdes et encombrantes, difficiles à manipuler. Je décidai d’attendre le retour de Thibault pour lui demander de l’aide pour les sortir. Il râlerait sûrement si je lui demandais de descendre avec moi.Contrariée, je remontai à l’appartement. Dans l’escalier, je repensais aux deux hommes en bas, légèrement troublée par la nudité de leurs torses. Ils n’étaient pas spécialement beaux… ils étaient même assez laids, mais ils avaient un côté extrêmement viril.Une fois rentrée, j’essayai de lire, mais n’arrivais pas à me concentrer sur mon roman. Je me fis couler un grand verre d’eau fraîche qui me désaltéra. « Et si j’allais leur porter à boire, ils doivent mourir de soif en bas ».Je remplis un grand pichet d’eau, pris deux verres et redescendis à la cave. Une fois arrivée, je leur tendis le pichet, les verres, balbutiai quelques mots et décidai de retourner dans ma cave sortir mes valises, mais je n’arrivai qu’à les faire glisser jusqu’au bord de l’armoire, incapable de les soulever pour les faire descendre, juchée que j’étais sur l’escabeau.Peut-être les deux hommes pourraient-ils me donner un petit coup de main, une fois qu’elles seraient posées au sol, je me débrouillerais.J’avais malgré tout quelques scrupules à les déranger dans leur travail. Avec un gentil sourire, ça devrait passer. Et si je leur donnais un peu plus qu’un sourire ? Et si je m’excitais un peu de la situation ?Les pensées tournaient dans ma tête. Seule dans ce sous-sol avec ces deux hommes virils. Moi, avec ma petite robe légère. J’hésitais un peu, mais l’excitation montait de plus en plus. Et là , je perdis un peu la raison. Je vais faire ma coquine, je vais voir jusqu’où je suis capable d’aller. Je commençai par retirer ma petite culotte que je posai assez en évidence sur un carton au sol de ma cave, puis je décidai de leur demander de l’aide.Je leur expliquai que les valises étaient sur une armoire, que je souhaitais un peu d’aide pour les attraper et les poser au sol. Ils acceptèrent.Une fois venus avec moi, je leur montrai les bagages que je voulais récupérer, puis sans leur laisser le moindre temps, je montai sur l’escabeau. Ainsi perchée, je fis en sorte que cela dure un peu et je remuai suffisamment pour qu’ils aient une vue sur ma nudité, sous ma robe. J’étais sûre de les avoir excités. Je fis glisser la première valise, en prenant bien soin de m’accroupir pour dévoiler mes cuisses. Puis pareil avec la seconde valise, cette fois en écartant un peu les jambes afin de ne rien leur cacher de mon intimité qui, soit dit en passant, était trempée.Je voyais bien qu’ils avaient très chaud. J’étais sûre, ils avaient tout vu. La culotte jetée sur le carton aussi, puisque je leur avais demandé de poser les valises juste à côté.En descendant, je perdis l’équilibre et je me fis mal à la cheville. Le grand noir me rattrapa, puis il me souleva afin de me déposer. Son collègue me dit que si je permettais, il allait regarder ma cheville. Je dis « Oui ».Il commença à la tâter, puis à la masser doucement, et je lui dis de continuer. Son massage commença à remonter légèrement, puis de plus en plus haut jusqu’à mon mollet. Appuyée sur mes coudes, je rejetai la tête en arrière en gémissant.Ses mains remontaient toujours, sur mes genoux, puis sur mes cuisses. Je le laissai faire. Il dégrafa ma robe puis en écarta les pans. Il massa mon ventre, il descendit sur mon pubis. Il s’approcha, baissa le reste de sa combinaison et vint coller son sexe chaud et dur sur mon ventre. Il me dit :— T’es belle, madame !Puis il me mit sa langue dans la bouche, tout en se frottant contre moi. Il me fit écarter les jambes et il me pénétra sans difficulté.Pendant ce temps, son collègue avait sorti un sexe d’ébène luisant, d’une taille comme je n’imaginais même pas que cela puisse exister, qu’il glissa dans ma main qui avait du mal à en faire le tour !Le Portugais me retourna et me sodomisa. Le noir approcha son sexe de ma bouche et je l’engloutis en le regardant dans les yeux. Le Portugais eut une jouissance rapide et finit de se répandre sur mes fesses. Le noir s’installa à sa place. La sensation de ce sexe colossal dans mon petit trou me figea dans la douleur mêlée au plaisir. Il me besogna un moment comme ça pendant que son collègue immortalisait la scène avec son portable.Le noir me retourna alors et me dit :— Maintenant, je vais jouir dans ta chatte, je vais te féconder, petite salope de blanche. Heureusement que je prends la pilule.Il me baisa comme ça encore quelques minutes et je sentis tout son sperme chaud m’envahir. Puis il se retira. Ma chatte et mon cul étaient endoloris et le sperme de mes deux amants dégoulinait sur mes cuisses.Le chantier devait durer plusieurs jours et ils me dirent qu’ils reviendraient, même après, avec des collègues. Ils tinrent promesse et je fus baisée comme jamais pendant une semaine par deux à quatre hommes plusieurs fois.