L’aventure que je me propose de vous raconter est en fait arrivée à mon épouse. Nous avions envisagé d’avoir un enfant, aussi avait-elle pris rendez-vous avec sa gynéco habituelle pour s’assurer qu’il n’y avait de problème particulier, mais malheureusement je n’avais pas pu assister à la visite, pris par mon travail à plusieurs kilomètres de là.Elle ne m’a avoué cette histoire que récemment, alors que je lui parlais d’un fantasme que je nourrissais la concernant et qui se passerait pendant une visite médicale. Voyant que j’étais particulièrement excité à l’idée qu’un médecin puisse profiter de son statut pour obtenir ses faveurs, elle se décida à me raconter l’histoire qui suit.oOoTu n’avais pas pu venir avec moi et c’est donc seule que je me suis présentée chez le gynécologue, mais, au lieu d’avoir affaire à Mme X… c’est un remplaçant qui m’a reçu. On ne m’avait pas prévenue ; aussi, lorsqu’il me demanda si cela me dérangeait qu’il fasse la visite en lieu et place de ma gynéco attitrée, j’ai accepté, surtout pour ne pas avoir l’air d’une nana pleine de préjugés, etc.Bref, il m’a fait déshabiller puis m’a demandé de glisser mes pieds dans les étriers de la table d’examen, comme cela se fait habituellement. J’aurais dû voir dans son regard qu’il me trouvait à son goût, car ses yeux ne quittaient pas ma chatte presque imberbe avec son mince filet de poils blonds surmontant mes lèvres intimes.Il était mignon et très doux, aussi me suis-je rapidement détendue malgré ses mains qui palpaient mes seins d’une manière si peu médicale. Lorsqu’il m’a demandé d’ôter mon soutien-gorge, je me suis exécutée en mettant ça sur le compte d’une demande plus professionnelle qu’autre chose. Je dois reconnaître que ses longs doigts sur mes aréoles puis sur mes tétons m’ont rapidement fait frissonner, tandis que, sans que je m’en rende compte, mes pointes de seins se mettaient à bander outrageusement.Lorsqu’il s’attaqua à mon entrejambe, il posa son tabouret juste en face de moi, les yeux rivés sur ma fente, un étrange sourire aux lèvres. Je sentis ses mains se poser sur la face interne de mes cuisses puis appuyer légèrement pour me les ouvrir un peu plus.Je ne sais pas pourquoi mais, peut-être à cause des caresses appuyées qu’il m’avait déjà prodiguées sur les seins, une décharge électrique me parcourut l’échine tandis qu’il appuyait sur mes cuisses comme l’aurait fait un amant. Je sentis ma chatte s’ouvrir tandis qu’il se penchait en avant, les mains toujours sur mes cuisses. Il était si près de ma chatte qu’il me semblait sentir son souffle sur mes lèvres intimes. Cela me procura une nouvelle décharge dans les reins, et immédiatement je sentis mon sexe se liquéfier tandis qu’au même moment une de ses mains ou plutôt ses doigts se posaient autour de mes lèvres pour les séparer complètement.C’était la première fois qu’un gynéco agissait de la sorte, d’autant que je n’avais pas l’impression de sentir la texture particulière du latex au contact de ma peau. J’en étais à ce stade de mes pensées lorsque je sentis un ou plusieurs de ses doigts parcourir ma fente jusqu’à mon clitoris, avant de revenir s’enfoncer doucement dans mes chairs intimes, puis ressortir immédiatement et remonter une nouvelle fois jusqu’à mon bouton que je sentais s’étirer sous la sollicitation.Paralysée par les agissements étranges de mon gynéco, je ne bougeais pas, d’autant que ce qu’il me faisait n’était pas désagréable, bien au contraire.Devant mon manque de réaction, les doigts s’enhardirent et s’enfoncèrent une nouvelle fois plus profondément dans mon intimité, mais cette fois-ci en tournant, ce qui déclencha un spasme de mes muscles intimes. Autant sous l’effet de la surprise que du plaisir, je laissais échapper un léger gémissement qui n’échappa pas à mon gynéco, lequel m’invita à me décontracter au maximum pour le laisser m’examiner.Au lieu de lui faire remarquer que ce qu’il faisait ne ressemblait en rien à un examen médical, j’ouvris un peu plus les cuisses pour le laisser me fouiller carrément de ses doigts, tandis que son pouce se posait comme par inadvertance sur mon clitoris en pleine ébullition.Sans que cela soit fait franchement, je sentais qu’il bougeait presque imperceptiblement son pouce sur mon bouton, accentuant sa pression pour le faire grossir et déclencher des spasmes révélateurs du plaisir qu’il me procurait.J’essayais de ne rien laisser paraître, tout en me persuadant que j’étais en pleine affabulation car, pour moi, jamais un médecin n’aurait pu se mettre à masturber une de ses patientes sur la table d’examen.Pourtant, mon corps, lui, ne s’y trompait pas. C’était bien des caresses qu’on lui prodiguait et moi je refusais de l’admettre, alors que lui réagissait positivement aux sollicitations. Je ne pouvais me mentir plus longtemps car je sentais parfaitement ma mouille envahir mes muqueuses, lubrifiant copieusement les doigts qui me prenaient maintenant plus franchement dans un lent et profond va-et-vient.Mon gynéco, dont les doigts pataugeaient allègrement dans mes sécrétions intimes en faisant un bruit obscène, continua à flatter mon clitoris que je sentais complètement sorti de sa gaine puis, sans que je puisse esquisser le moindre geste, il posa ses lèvres pour l’aspirer goulûment.Au moment même où je sentais ses lèvres m’aspirer et sa langue me flatter, j’explosais dans un puissant orgasme en laissant s’échapper de ma gorge un cri de bête blessée.À peine dix minutes s’étaient écoulées depuis le début de l’examen. Je me retrouvais les bras ballants, les jambes pantelantes, secouées de longs spasmes incontrôlés, alors que mon médecin, la bouche soudée à mon entrejambe, était en train de boire les fruits de ma jouissance.Épuisée, je ne réagis pas lorsque je le vis se relever en s’essuyant négligemment la bouche du revers de la main et écarter sa blouse pour laisser apparaître une queue raide comme du bois, dressée fièrement contre son ventre.Surprise, je réalisais qu’il s’était débarrassé de son pantalon sans que je m’en aperçoive, mais déjà il posait son gland turgescent devant ma vulve que je savais encore ouverte par le passage de ses doigts.Affolée en réalisant qu’il voulait aussi me posséder, j’esquissais un geste pour me relever en tentant de refermer mes jambes, mais bien trop tardivement. Plaqué contre mes fesses, son corps m’empêchait de refermer les cuisses. D’une main placée sur mon ventre, il m’ajustait déjà et, d’une poussée tout en douceur, il s’engouffrait au plus profond de mon ventre.Je me laissais retomber en arrière, vaincue par le chibre qui progressait rapidement pour m’investir jusqu’aux couilles que je sentais contre mes fesses.Je laissais échapper un nouveau râle en le sentant bien calé dans mes chairs, les deux mains sur mes cuisses pour assurer sa prise, ses yeux bien ancrés au plus profond des miens.Sans un mot, il se mit en mouvement, lisant dans mes yeux le plaisir qui m’envahissait à nouveau. C’est à ce moment qu’il se mit à me parler :— Regarde-moi. Garde les yeux ouverts. Je veux voir ton plaisir dans tes yeux. Je veux te voir jouir.Ces paroles, qui auraient dû me faire réaliser pleinement qu’un autre que toi était en train de me posséder, qui auraient dû me pousser à me rebeller, m’excitèrent au contraire au plus haut point.J’ouvris les yeux pour soutenir son regard tandis qu’il allait de plus en plus fort en moi, secouant mon corps à chacun des coups de boutoir qu’il m’assénait.Ses mains sur mes hanches me faisaient sentir sa possession encore plus fort, et je me sentais comme une chienne en chaleur, incapable de résister au plaisir qui me secouait les tripes de plus en plus fort.J’avais l’impression de sentir chaque centimètre de sa queue frotter l’intérieur de mes chairs intimes. C’était dément. Hallucinant de bestialité.J’accompagnais chacune de ses perforations par des râles de plaisir incontrôlés. Je ne me reconnaissais pas mais je n’en avais cure car, pour l’heure, seule m’importait la jouissance qui arrivait au galop. J’avais envie, comme après chaque jouissance que tu me donnes avec ta bouche, j’avais envie de sentir une bonne grosse queue m’ouvrir le ventre sans ménagement, me perforer, me clouer à cette table tel un papillon. La jouissance était là, puissante, frappant à la porte, elle était dans mon ventre pour que je la laisse exploser, s’épanouir, me submerger…— Baise-moi. Plus fort. Fais-moi jouir, salaud, fais-moi jouir encore, encore…Ses yeux plantés dans les miens, l’homme m’observait, il observait dans mes yeux la montée inexplorable du plaisir, satisfait de voir mes prunelles s’obscurcir puis basculer au moment de ma jouissance.Je ne le voyais déjà plus, j’entendais juste sa voix résonner dans ma tête :— Jouis, ma belle, jouis et laisse-moi vider mes couilles dans ta petite chatte de femelle en chaleur. Jouis.Je n’étais plus qu’un pantin désarticulé entre ses mains tandis qu’il continuait à m’attirer violemment par les hanches pour m’empaler sur son vit. Je commençais à émerger lorsqu’il se planta profondément au fond de mon ventre pour me remplir la chatte de son foutre épais. Les spasmes de sa queue en train de se cabrer à l’intérieur de ma chatte pour expulser sa semence en plusieurs jets me firent réaliser qu’il était en train de prendre son plaisir à son tour.Je le laissai docilement terminer de jouir, malgré l’envie de me libérer de cette étreinte volée mais au cours de laquelle j’avais joui violemment à deux reprises.L’homme reprit rapidement ses esprits, il me sourit et me caressa le ventre tendrement comme pour me remercier de lui avoir accordé mes faveurs. À aucun moment il n’avait essayé de m’embrasser. Je n’aurais sans doute pas accepté l’intrusion de sa langue dans ma bouche. Tout cela n’avait été qu’une simple affaire de sexe, de désir et de plaisir partagé.— Merci. C’était le meilleur moment que j’ai passé avec une femme depuis bien longtemps.Je ne lui répondis pas, me contentant de le regarder extirper de mon ventre sa hampe luisant de nos sécrétions intimes. Il bandait encore fièrement. Je tendis la main vers le chibre pour l’envelopper de mes doigts et faire plus ample connaissance avec celui qui venait de me posséder et de me faire jouir. Je l’abandonnai après deux ou trois allers et retours tandis que l’homme fixait mon entrejambe et ma vulve entrouverte d’où commençait à s’échapper le fruit de sa jouissance.— Vous êtes encore plus belle comme ça.Je le laissai mater mon entrejambe encore un court instant, puis posai une de mes mains sur ma chatte pour endiguer le flot de sperme sur le point de s’étaler sur la moquette du cabinet et je me levai pour me rhabiller rapidement.Gênée, je ne savais quelle attitude adopter quand l’homme me dit :— Je suis désolé mais il va falloir prendre un autre rendez-vous car il ne sera pas possible de vous ausculter après ce que nous venons de faire.Je rentrais à la maison dans un état second, incapable de comprendre comment j’avais pu laisser un homme que je ne connaissais ni d’Ève ni d’Adam me masturber, me faire jouir, glisser sa queue dans ma chatte et me posséder aussi facilement.En arrivant chez nous, je pris immédiatement une bonne douche pour laver mon sexe encore débordant du sperme de cet inconnu, puis j’attendis avec appréhension ton retour, partagée entre l’envie de tout te raconter, au risque de jeter aux orties nos projets de bébé, ou de garder cet épisode à jamais enfoui dans ma mémoire, comme une mise en garde contre la faiblesse du corps humain.Bien que cette petite séance m’eût été pour le moins agréable, j’avais envie de faire disparaître toute trace de mon infidélité et de t’appartenir à nouveau, de redevenir ta petite femme. Ce qui est arrivé dès ton retour, dans le vestibule de notre petit appartement…À ma visite suivante, ma gynéco était de retour. L’homme avait terminé son remplacement le soir même de ses exploits. Je ne l’ai jamais revu. C’était il y a huit ans.oOoPendant tout son récit, fou d’excitation, je n’avais cessé de la caresser, si bien qu’elle aussi avait soif de plaisir. Son sexe débordait de mouille tant elle était excitée, vraisemblablement autant par mes attouchements que par l’évocation de cette brûlante étreinte sur la table de son gynéco.Je me rappelais effectivement ce fameux soir où elle m’avait annoncé après sa visite qu’elle avait été déclarée apte à la procréation, m’agressant littéralement dès mon entrée dans l’appartement.Ce soir-là, la maison résonna de soupirs, de cris et d’autres manifestations de notre plaisir, tant son récit nous avait émoustillés, et il me tarde de savoir s’il n’existe pas d’autres épisodes brûlants de sa vie qu’elle m’avait jusque-là soigneusement cachés.