Je n’en peux plus. J’ai les cuisses et les mollets lourds de fatigue. Cet entraînement m’a lessivée et je ne suis pas mécontente qu’il soit terminé. Mes cuisses tremblent à chacun de mes pas. J’insiste longuement sur les étirements, mais cela ne suffit pas, j’ai du mal à marcher et Claude, notre entraîneur, le remarque :— Ça ne va pas ma petite Sophie ?— Je suis claquée et j’ai les jambes lourdes, mais rien de grave.— Si tu veux, j’appelle le centre de kiné, un bon massage te fera le plus grand bien. Tu devras sûrement patienter un peu, le temps que quelqu’un puisse s’occuper de toi, mais je suis sûr qu’ils pourront te prendre. Suis-moi on va les appeler.Les filles sont toutes parties à la douche. Je commence à me refroidir et j’ai la chair de poule. Mon short ne me tient guère chaud vu le peu de tissu qu’ils nous mettent pour le volley et mon tee-shirt trempé de transpiration me colle à la peau.Je suis donc Claude jusqu’au téléphone et j’attends sa réponse.— C’est ok. Tu peux aller quand tu veux. Ils te proposent de prendre un bon sauna en attendant et un kiné viendra te chercher dès qu’il aura terminé avec son rendez-vous. Va vite te couvrir tu as l’air d’avoir froid…Il me dit cela avec un énorme sourire coquin en fixant mes seins. En effet, mes tétons pointent de manière arrogante. Je ne suis pas gênée et lui non plus. Il dit cela sans arrière-pensée car il nous a quasiment toutes déjà vu nues et il nous considère comme ses propres filles. C’est pourtant bien vrai que je suis congelée et à travers mon soutien-gorge et mon maillot blanc, tous deux mouillés de sueur, on peut voir mes auréoles et mes tétons comme si j’étais la poitrine à l’air…Je quitte ses habits trempés, me sèche rapidement et enfile mon survêtement à même la peau. Cela ne me plait pas particulièrement, mais je me dis que je remettrais mes dessous après la douche, chez le kiné.La sensation n’est toutefois pas désagréable. Le coton de mon jogging me caresse la peau de manière très douce et je prends plaisir à ce contact. Mes fesses et mon pubis ne sont pas comprimés dans ma culotte et mes poils intimes se laissent bercer par les mouvements du pantalon alors que je marche jusqu’à la voiture.Arrivée au centre de kiné, comme prévu, je vais directement au sauna.— Quelle conne je suis ! Je n’ai même pas de maillot de bain…Tant pis, je garderais ma serviette s’il y a une autre personne.Évidemment je suis rapidement déshabillée, et enroulée dans ma serviette, nouée au-dessus de ma poitrine, je me dirige vers le sauna. Il faudrait que je prenne une douche avant d’y entrer et heureusement les vestiaires ne sont pas mixtes. Je me mouille donc rapidement sous l’eau tiède, sous le regard surpris de deux femmes plutôt âgées qui me découvrent totalement nue.Je sors donc des vestiaires, cachée dans ma serviette et pénètre dans le sauna.Il y a déjà un homme, en maillot de bain, lui !Après l’avoir salué, je m’installe sur une des paillasses pour profiter de la moiteur et de la chaleur ambiante. Je me décontracte petit à petit. Cela fait vraiment du bien. Tout est calme, je me repose. L’homme ne prête pas attention à moi et c’est tant mieux. Il ne manquerait plus qu’il vienne gâcher ce moment de quiétude.Je m’allonge sur le dos et m’assoupi quelque peu. J’entends que l’homme bouge mais je n’y prête pas attention. Je suis tranquille et je repense à la sensation que me procurait mon sexe nu, au contact de mon pantalon. Cette sensation de liberté était très excitante et le souvenir réveille mon intimité. Je tente de calmer cette brûlure naissante en bougeant légèrement les jambes et j’essaie de penser à autre chose. Le mouvement de mes cuisses presse les lèvres de mon sexe qui se frottent mais cela ne suffit pas, évidemment. J’aimerais pouvoir poser ma main pour calmer tout cela, mais même si j’étais seule, je ne pourrais quand même pas me caresser ici… Quoique… Si seulement il sortait…En ouvrant discrètement les yeux, je constate que l’homme est maintenant allongé sur le ventre, sur une paillasse perpendiculaire à celle que j’occupe, la tête à hauteur de mes pieds. Il n’a pas l’air très à l’aise dans cette position et je comprends vite pourquoi : ce bougre a tout loisir de regarder entre mes jambes et il ne s’en prive pas. La serviette ne doit normalement pas laisser apparaître grand chose mais durant ma petite gymnastique d’apaisement de tout à l’heure, il a sans aucun doute pu se rincer convenablement l’œil.Son bassin ne cesse de bouger, sûrement pour trouver une position plus confortable pour son sexe qui, je pense, ne doit plus être aussi mou qu’à son arrivée.Innocemment, je suis responsable de l’excitation de ce pervers et j’avoue que cela est plutôt flatteur. Je réalise que, nous les femmes, avons quand même de la chance de n’afficher aucune trace visible de notre excitation, à part bien sûr quelques petites auréoles dans le fond d’une culotte quand le désir est très fort. Il ne peut dissimuler son début d’érection qu’en restant sur le ventre cela ne doit pas être pratique. Tant pis pour lui, il n’avait qu’à pas profiter de moi à mon insu.Imaginer ce sexe masculin qui durcit à cause de moi, même si cela était innocent, me titille quand même fortement. Cela n’arrange rien à la situation initiale et je décide de lui faire payer.Je referme les yeux, je ne crois pas qu’il ait remarqué que j’ai vu…Feignant de me prélasser d’avantage, j’écarte à peine plus les jambes et remonte quelque peu la serviette. Je relève, de temps en temps, légèrement un genou et je pense qu’il ne rate aucun détail de mon sexe. La moiteur de l’endroit et la sueur sur mon corps cachent toutefois, enfin j’espère, l’humidité de l’entrée de mon vagin.Mon ventre réclame des caresses, mais je ne peux pas, devant cet inconnu. N’y tenant plus, et ne voulant d’ailleurs pas résister plus longtemps, je me décide à sortir pour aller me soulager à l’abri de tout regard. Alors que je m’assois en réajustant ma serviette, mon mateur se relève et sans oser me regarder se dirige rapidement vers la sortie.Je ne peux m’empêcher d’essayer de constater si mon petit manège a fait son effet et je regarde franchement son slip de bain. Une honorable bosse le déforme et je devine une bonne érection. L’élastique ne lui touche même plus la taille…Son regard évite le mien et il sort sans même me remercier. Quel ingrat !Je me lève pour renouer mon drap de bain. Je suis donc dos à la porte, la serviette me cachant. Je descends la main vers mon pubis pour enfin apaiser les démangeaisons de mon sexe, et… la porte s’ouvre…— Est-ce toi Sophie ? Tu peux me suivre, c’est moi qui vais te masser.Je me retourne après avoir refait le nœud entre mes seins et découvre le joli visage souriant de ma future masseuse. À son sourire, je comprends qu’elle a vu mon inconnu sortir du sauna et qu’elle s’imagine tout un tas de trucs. Mais bon, je n’ai strictement rien fait, non ?Je suis donc ce petit bout de femme jusqu’à une cabine de massage. Elle me demande de retirer ma serviette avant de m’allonger sur la table. Je n’ai d’autre choix que de lui avouer que je suis nue dessous.— Cela n’est que mieux, il n’y aura aucune entrave au mouvement de mes doigts !Je lui avoue que je suis gênée par ses sous-entendus et lui explique que je sors de l’entraînement, que j’ai les jambes lourdes et que le type dans le sauna s’est excité tout seul à me mater.— Pas de problème, je te dois donc des excuses ! Mais quand j’ai vu l’état du slip de l’homme qui sortait alors que j’arrivais pour te chercher, j’ai pensé que vous…— Non, non, pas du tout j’ai simplement remarqué trop tard qu’il bloquait sur mon entrejambe !Bon d’accord ce n’est pas toute la vérité, mais à quoi bon lui en dire plus…Elle ferme la porte derrière nous. La clarté soudaine de l’endroit me fait mal aux yeux. Elle baisse la lumière et me propose de m’allonger sur le ventre.Je la regarde plus attentivement, elle est petite et menue, 1m55 tout au plus. Elle a un très beau visage très fin. Ses yeux, bleu très clairs, contrastent avec sa peau de métisse et ses cheveux noir ébène, qu’elle a très courts. Bref, c’est une belle femme.Elle s’enduit les mains d’huile et commence à me masser les épaules en me disant de me laisser aller. J’avais surtout mal aux jambes, mais c’est très agréable. Et puis elle y viendra sans doute.Ses doigts agiles n’oublient aucun centimètre de peau. De ma nuque, elle passe aux flancs, à mes reins, à mes épaules. Je subis complètement ces actions bienfaitrices.Puis elle s’attaque au bas de mon corps. Ses mains chaudes et grasses d’huiles essentielles me pétrissent la plante des pieds. Elle joue avec chacun de mes orteils, glisse ses doigts partout sans me chatouiller. C’est divin et cela me trouble beaucoup.Elle remonte et prend possession de mes mollets. Ses longs mouvements continus et langoureux me font du bien. Elle doit savoir l’effet de ses massages et cela est étourdissant. Je ne me suis jamais autant abandonnée aux mains de quelqu’un et surtout pas d’une femme. Me laissant dans cet état second, elle me dit :— Je reviens tout de suite, je vais chercher un instrument de massage parfois très utile et souvent très agréable.Je garde les yeux fermés et patiente, impatiente.À son retour, je sens qu’elle pose une serviette pliée sur mes fesses et qu’elle s’agite autour de moi.— Tout va bien ?— Parfait, je ne suis pas pressée que ce massage s’arrête !— Nous ne sommes pas pressés ! Me répond-elle simplement.Elle pose à nouveau ses mains à la hauteur de mes genoux, pour mon plus grand bonheur. Et alors qu’elle me flatte les cuisses, je sens deux autres mains se poser dans mon cou.Je sursaute et ouvre les yeux pour distinguer face à moi, un homme, kiné lui aussi à en juger sa blouse. La lumière est plus faible encore que tout à l’heure et je ne peux même pas voir son visage.— Laisse toi aller, me dit-elle. Il va te faire au moins autant que de bien que moi !Je m’offre alors, résignée et curieuse à la fois, à ces quatre mains.Alors qu’elle s’active sur mes jambes, je sens que ses mouvements se font de plus en plus insistants sur l’intérieur de mes cuisses et que ses doigts ont tendance à chercher la limite de mes fesses, que la serviette ne doit plus beaucoup cacher.Quant à lui, il est toujours devant moi, activant ses mains musclées sur mon dos en de longs allers retours qui m’électrisent quand il arrive dans le bas de mon dos.Leurs mains poussent plus loin à chaque fois sous la serviette et bientôt elles se rejoignent sur mes fesses qu’ils malaxent à tour de rôle. Je me rends compte de la tournure érotique de la scène quand je sens qu’on m’ôte la serviette. Même si leur attitude est jusque-là très professionnelle, je suis quand même allongée sur le dos, nue et livrée aux mains de deux parfaits inconnus.Alors qu’elle s’amuse à prendre chaque fesse entre ses deux mains, en appuyant toujours un peu plus entre mes cuisses, il me comprime les côtes en laissant franchement traîner le bout de ses doigts sur les côtés de mes seins. Et quand elle redescend s’occuper me mes orteils, comme si elle me les masturbait chacun leur tour, il vient alors me pétrir les fesses de ses deux mains viriles. Dans cette configuration, son ventre touche légèrement le dessus de ma tête et je m’imagine son bassin, si près de mon visage.Cette pensée me fait totalement oublier le côté sportif et professionnel de leurs actions manuelles. Je sens mon derrière aller imperceptiblement à la rencontre de leurs mains. Aucun mot, ne vient troubler la situation et chaque geste se fait de moins en moins innocemment.Elle stoppe ses doigts entre mes cuisses à la limite de mon sexe que je sens palpiter pendant qu’il me caresse clairement les seins, écrasés sur la table. Elle passe ses doigts entre mes fesses alors qu’il les soupèse. Je sens son pantalon frôler mon visage et je tends la joue à cette caresse.Il joue avec mes fesses et elle m’en griffe gentiment l’intérieur avec son ongle. Il s’est encore penché sur moi et je sens clairement son sexe raidi que j’excite au travers de son pantalon avec des mouvements de la tête.Elle ne doit rien rater de mon intimité tant il m’écarte les globes fessiers. Le rythme qu’il impose à l’ouverture de mes fesses et la présence, vulgaire, de cette femme qui passe son doigt lentement sur l’entrée dégoulinante de mon sexe me rendent folle de désir.J’en veux plus. Mon petit abricot, qui est maintenant trempé depuis près d’une heure, en demande beaucoup plus.Mon kiné doit être lui aussi tres excité car je sens qu’il bouge son bassin à la rencontre de mon visage. Il lâche mes fesses et j’entends qui enlève son pantalon.Je relève les fesses pour qu’elle précise ses caresses mais cette garce ne l’entends pas ainsi et elle continue de passer lentement ses ongles du haut de ma raie jusqu’à mon clitoris qu’elle évite de peu systématiquement.Je sens les mains de l’homme me relever le visage et il me colle sa verge contre la joue. Je lui embrasse tendrement le sexe sur toute la longueur. Il a une bite ni trop grosse ni trop petite et le parfum qui s’en dégage m’enivre. Il avance encore, probablement pour que je l’avale mais je lui refuse, me dérobe et lui aspire les bourses. Son gland décalotté joue dans mes cheveux alors que ma bouche aspire ses couilles une à une.Je sens sa main descendre le long de mon dos, passer dans la raie de mes fesses. Son index vient alors recueillir la sève qui s’écoule de mon ventre et il l’étale sur mon petit trou, en plus de l’huile.Pendant cela, ma petite fée glisse et m’embrasse l’intérieur des genoux, les mollets, les pieds et je sens sa langue jouer avec mes orteils. Elle me suce, les gros orteils comme elle sucerait un sexe d’homme, bavant sa salive, aspirant et léchant mes doigts de pieds.Je pose alors ma bouche sur le gland brûlant qui se présente à moi, arrondis les lèvres et le laisse me pénétrer la bouche comme il le désire. Il s’enfonce lentement, me laissant le temps de mouiller convenablement son membre. Il me force les mâchoires et quand il est bien au fond de ma bouche, il me pénètre la gorge. Je ne peux plus déglutir, et alors que son pubis s’écrase sur mon nez, il enfonce sans avertissement son doigt dans mon fondement.C’en est trop ! Cette petite lesbienne qui me suce les orteils et m’écarte les fesses pour que son copain me fouille le cul de son doigt agile alors que son membre me viole la bouche…Je jouis, soudainement et fortement. Un orgasme qui me foudroie, qui me rend folle. Je pousse mon cul sur son doigt et je pompe sa bite comme la pire des traînées. C’est la première fois que j’ai un orgasme sans que l’on touche à mon petit fruit secret.Je sens qu’il se retire alors que je le voudrais encore en moi, son doigt quitte mon cul, mais il est vite remplacé. Ma masseuse préférée vient poser sa bouche sur mon anus et sa langue me lèche en bonne et due forme. Apaisante, cette langue est aussi très stimulante et je monte et descends les fesses pour qu’elle puisse lécher mon abricot béant et suintant de mouille.Il continue néanmoins ses allers-retours dans ma gorge et alors que je sens sa bite palpiter, recule et me remplit la bouche de son sperme. En de longues giclées assez puissantes, il se vide les couilles dans ma bouche.Voyant cela, et voulant en profiter, ma petite salope me délaisse le cul et vient me baiser la bouche avec sa langue. Moi qui avais toujours refusé à mes ex de goûter leur sperme, moi qui n’avais jamais eu de rapports homosexuels, me voici dégoulinante de mouille comme la pire des chiennes, en train de partager le sperme dans ma bouche avec une femme qui vient de me lécher le cul…Alors qu’elle explore ma bouche avec sa langue, il se met un préservatif et me tire les fesses sur le bord de la table. Mes jambes pendent de la table et il prend place face à mon cul. Il me caresse le clitoris avec son gland puis je le sens s’enfoncer dans mon vagin, comme un pieu qui vous déchire. Loin d’être douloureuse cette pénétration soulage enfin ma petite chatte, qui n’en pouvait plus et je me mets aussitôt à jouir. Sa bite de cet inconnu glisse dans mon ventre et me fais jouir. Il m’impose son rythme et me remplit à chaque fois jusque la garde, lentement. Chaque poussée dans mon con me fait tourner la tête.L’autre petite salope me crache entre les fesses et je sens sa bave dégouliner sur mon fion jusque la bite qui me pilonne. Il se retire brusquement et, après avoir ôter la capote, me lâche de longues giclées de foutre brûlant sur le cul, la chatte, et elle s’empresse de venir lécher. Sa langue passe goulûment sur toute la longueur de la raie et apaise mes muqueuses, échauffées par tant d’attention.Quand je me décide enfin à bouger, il est déjà parti. Je ne saurai donc pas qui il est…Elle me sourit et me dit :— Je te conseille de prendre une douche, il faut toujours après un bon massage…Et elle m’accompagne jusqu’aux vestiaires maintenant déserts…