Epilogue car l’événement qui s’est produit dernièrement fait que la série n’a plus lieu d’être. Je vous explique, les 4 premiers épisodes ne comportent pas grand’chose de vrai (vous vous en doutiez.) mais le fond de l’histoire est vrai, les personnages le sont (les prénoms changés toutefois), les situations générales ont existé également, mais mon imagination a fait le reste. Cet épilogue lui-même n’était pas prévu au programme, mais je me dois de vous raconter ce qui peut se passer en écrivant des histoires ici.J’ai toujours de bons contacts avec Kathy, même si nous habitons à plusieurs centaines de kilomètres et je vis aujourd’hui avec une autre femme. Et justement, pour la Toussaint, nous avions invité Kathy à passer quelques jours dans notre région qu’elle ne connaît pas. L’écriture de la série (qui pour certains épisodes est loin) n’a pas laissé trop de traces dans mon esprit, et c’est donc très tranquillement qu’on la reçoit pour une semaine. La joie de passer une semaine tous les 3 n’est que peu ternie par la mauvaise nouvelle des derniers jours : ma compagne doit s’absenter 2 jours pour son travail, mais ayant pris une semaine de vacances, je me promets de faire tout visiter à Kathy.Le premier week-end se passe tranquillement, entre visite de la ville, cinéma ou petits restos. Jusqu’au jeudi matin, tout se passe pour le mieux, et c’est avec regrets que ma compagne nous quitte pour prendre son avion pour Paris. Elle part tôt le matin, laissant l’appartement endormi. Quelques heures plus tard, j’émerge enfin et me dirige vers la cuisine pour déjeuner. Kathy couche dans le salon et j’évite de faire trop de bruit pour ne pas la réveiller. Le temps a l’air correct, quoique venté et on va pouvoir parcourir les recoins de la ville encore à découvrir. Je ne suis pas debout depuis 10 min que Kathy apparaît dans l’embrasure de la porte, avec son pyjama 2 pièces qui la moule bien. Malgré ce que j’ai pu dire précédemment, les souvenirs de mes récits précédents remontent un peu en surface, d’autant plus quand je remarque que les boutons du haut de sa chemise sont défaits et qu’ils laissent donc un espace permettant de voir le creux entre ses seins. Ils n’ont pas l’air aussi volumineux que dans mes souvenirs, mais restent d’une taille plus que raisonnable. Bref, mon trouble passé, le petit déjeuner avalé, la salle de bain libérée et les blousons enfilés, nous prenons le chemin des ruelles de notre jolie ville.Au hasard des ruelles, des hôtels particuliers et autres lieux touristiques, on discute de choses et d’autres. À un moment, Kathy me félicite sur le temps de la région. »Il fait meilleur qu’en Bretagne en tout cas. » C’est vrai que lors de notre séjour là haut, on n’avait pas eu de chance, même si, contrairement au récit, nous n’avions pas eu besoin de rentrer plus tôt à la maison. Un léger trouble m’envahit, mais je lui réponds du tac au tac, sans relever plus ce qui me paraît encore être une simple allusion à des souvenirs de vacances.Là où le trouble grandit plus, c’est quand elle me demande des nouvelles de Véronique. Parce que là . Même si elles se connaissaient un peu, il n’y a guère de raisons qu’elle me demande des nouvelles de cette fille plus que d’une autre de nos promos. Mais, en essayant de masquer mon trouble, je réponds rapidement que je n’en ai pas eu depuis plusieurs années et que je ne sais pas ce qu’elle est devenue. Ma réponse et mon aplomb semblent un peu la surprendre, et après un petit blanc, la discussion reprend sur l’histoire de la ville et ses petites histoires.La fatigue se faisant sentir après une bonne promenade juste coupée par un sandwich sur un banc, on décide de rentrer. Le vent du nord s’est mis à souffler plus fort et on commence un peu à avoir froid. Mon esprit est toujours torturé par ses questions quand on monte dans l’ascenseur, et encore plus quand on rentre dans l’appartement chauffé. »Il y fait bon dans ton appart, quand on rentre du froid comme cela. Presque autant que chez tes parents quand on se faisait les bouffes pendant les vacances » Là le doute n’est quasiment plus permis. C’est impossible qu’elle sorte cela par hasard. On a du en tout et pour tout faire 2 ou 3 bouffes chez mes parents, dont certaines l’été. J’avoue que j’en reste coi cette fois. Mais, ce n’est pas grave, elle est déjà passée à autre chose et se dirige vers les toilettes. Dans quelle situation suis je ? M’en veut elle d’avoir fantasmé sur elle ? Veut elle me faire chanter pour que j’aille en couple avec elle ? Ce qui me rassure, c’est que malgré les occasions, elle ne m’en avait pas parlé du tout quand ma copine était encore là . Voilà la porte des toilettes qui s’ouvre. Il va falloir se décider, mon vieux.Mais Kathy a décidé pour moi, elle a laissé sa jupe sur le sol des toilettes et apparaît devant moi en collant noir (comme je les aime), en ayant gardé sa culotte toutefois. Là , c’est l’apothéose. Je ne dis rien et reste bouche bée en la regardant partir comme de rien n’était dans le salon. Mon sexe n’en peut plus, et je ne sais comment faire pour assouvir mes besoins naturels en étant dans cet état là .Quand j’entre à mon tour dans le salon, elle est assise sur le canapé, les pieds sur une chaise, les jambes vers le haut.— J’aurais bien quitté aussi ma culotte, mais je ne savais pas comment tu réagirais.— Crois-tu que j’aurais été choqué après tout ce que j’ai écrit sur toi ?— Non, mais entre les rêves et la réalité, il y a un pas à franchir, non ?C’est sûr, de la voir dans son collant et sa culotte blanche, les fesses bien moulées, je peux dire que ça m’apporte une excitation, pire que celle que j’ai eue en écrivant les histoires.— Ecoute Kathy, je suis désolé de t’avoir utilisé pour mes histoires. Ça ne t’as pas vexé au moins ?— Je n’étais pas franchement sûre que ce soit toi l’auteur, mais en recoupant avec d’autres histoires que tu as écrites et avec les questions dans la journée (quoique j’ai un peu douté parfois), j’ai eu la quasi-certitude que c’était toi l’auteur. Ce qu’il y a de bien, c’est qu’en lisant ces histoires, je pouvais facilement entrer dans le moule et c’était d’autant plus excitant—  »Vraiment ? Tu as été très excitée en les lisant ?Quoi de plus flatteur que de s’entendre dire que ses histoires sont excitantes et d’autant plus quand c’est le sujet de ces histoires qui vous le dit.— Terriblement. Seule dans ma maison dans mon petit village, crois-moi, j’ai passé des soirées très chaudes, en lisant et en repensant à tes histoires.— Et tu avais déjà pensé à certaines choses que je te faisais faire ?— Certaines, oui, mais pour la plupart, je n’y avais jamais trop pensé. Et pour leur immense majorité, elles m’ont très intéressée, et pour certaines données envie d’être pratiquées. » Ajoute-t elle dans un petit sourire.Puis se levant, elle se dirige vers la chambre—  »Je reviens, je vais finir de me mettre dans la tenue que tu préfères. »Et elle me laisse là , dans le salon, l’excitation à son comble.J’en profite pour fermer les volets, l’exhibitionnisme devant les voisins n’étant pas mon fort et je m’occupe tant bien que mal jusqu’au moment où j’entends la porte de la chambre s’ouvrir. Je me retourne et vois Kathy, vêtue de sa chemise de pyjama et de son collant noir. La chemise est trop longue et cache une bonne partie des fesses et des cuisses, mais je sais déjà , d’avance, qu’elle n’a plus de culotte. « Ca te plait ? La chemise entrouverte de ce matin t’a fait de l’effet je crois, alors, je l’ai remise » Je m’avance vers elle, l’enserre dans mes bras et l’embrasse fougueusement, mes yeux tentant d’apercevoir l’ouverture de la chemise et mes mains rejoignant les fesses, nues, sous la chemise. Dès que la position est stabilisée, elle commence à ouvrir mon jean et le descend me laissant en boxer, puis enlève mon polo pour découvrir mon buste un peu poilu et guère musclé. Je ne tiens plus et ma main s’aventure entre les cuisses de Kathy et découvre petit à petit le trésor que j’ai longuement imaginé dans mes histoires. Ses poils sont moins nombreux que je l’imaginais mais très naturels, et la moiteur est déjà bien là entre ses cuisses. S’entrouvrant de plus en plus, elles m’autorisent le passage jusqu’au sexe protégé par le collant noir. Le baiser n’en finit plus et elle ne lâche ma bouche que pour m’inviter dans la chambre à faire l’amour. Après avoir découvert ses seins laiteux, je m’en vais m’aventurer dans son trésor intime et ma langue remplace bientôt le collant qui finit sa course au pied du lit.Pendant que je découvre son intimité, son odeur, elle me raconte ce qu’elle a ressenti en lisant les histoires et les plaisirs qui lui manquent (la chaleur d’un homme, le sperme dans sa bouche.), me demandant par contre de ne pas exécuter les autres fantasmes tout de suite. Elle veut s’y préparer psychologiquement encore un peu. Je lui promets que ce sera pour une autre fois (j’espère). Son orgasme atteint, elle m’attire pour happer mon sexe, lécher mes couilles jusqu’à ce que je craque que son petit visage soit rempli de mon jus blanc. Le reste de la nuit ne sera que jouissances, découvertes, pénétrations et caresses de tout type. La pluie du vendredi nous aidera à justifier à mon amie l’absence de visites. Mais, aucun des autres fantasmes que j’avais décrit dans mes récits ne s’accomplira. Elle m’a promis des récits érotiques par mail, qu’elle n’enverra pas tout de suite sur le site pour ne pas « passer pour un moineau devant ces aigles d’écrivains » (pour dire qu’elle a peur d’être nulle.). Elle devrait aussi me commenter les histoires qu’elle lira sur le site (d’après les échanges qu’on a eu dans le lit à ce sujet, je suis sûr que certaines récentes vont beaucoup lui plaire. Et lire les histoires en passant à ce que va faire Kathy est encore plus excitant).Ma compagne de retour, Kathy rentrée dans son nord d’adoption, la vie a repris son cours, le souvenir de ces 2 jours va sûrement s’éteindre petit à petit, mais la prochaine fois, je me méfierais avant d’écrire une histoire inventée…