Résumé des précédentes parties: Suite à un accident de laboratoire impliquant de la bioénergie, la vie de Marc a complètement changé. L’esprit de Marc a acquit la faculté de se déplacer d’un corps à l’autre. Après avoir pris possession du corps de Nadine, Jean-Paul et Tom, il est maintenant dans celui de Pierre, l’amant de tom.— Pierre Franelli! PIERRE! Réveille toi!Marc, avait pris l’habitude de ses « changements » de personnalité. Il observe ce qui l’entoure avant d’ouvrire la bouche. Il ne connaissait pas la personne qui venait de le réveiller. Elle était grande, sapé dans un tailleur rose Vichy de Jean-Sébastien Gaufré. C’était sûrement la femme de Pierre. Il risque un mot:— Chérie?— Tiens! Cà fait bien 5 ans que tu ne m’as pas appelée comme çà! Je ne fais que passer Pierre, j’avais oublié de prendre ma valise marron pour transporter mes nouvelles acquisitions. Où l’as-tu rangé?— Pfffff! Je ne m’en souviens plus…— Je vois que tu as encore reçu des amis ce matin, pour assouvir tes fantasmes de dépravé. De toute façon, je retourne chez-moi à Deauville. En passant: je te signale que c’est aujourd’hui que ta fille passe son audition pour la nouvelle production de Thériault avec Sophia Marsolini, la fameuse grande actrice italienne qui fait fantasmer tous les Européens. Tu lui as souhaité bonne chance au moins?— Sophia! LA Sophia! Wow!— Bon. Laisse tomber pour la valise, je la prendrais plus tard. Ciao!La tornade rose claque la porte et le silence revient dans le grand appartement parisien.— Sophia Marsolini! Quel canon! Je me la taperais bien… Bien oui, je pourrais bien la rencontrer avec mes pouvoirs! Premièrement, il faut entrer en contacte avec ma fameuse fille. Elle devrait me permettre de l’approcher.Marc fouille ses affaires pour trouver de quoi comprendre la vie de son hôte Pierre Franelli. Il tombe sur un agenda électronique. Il entreprend d’examiner la liste des contacts de l’agenda. Il tombe sur une Eva Franelli. « C’est sûrement ma fille! ». Il compose le numéro sur son téléphone et deux sonneries plus tard une voix rauque répond.— Oui allô!— Heuu, c’est Pierre!— Pierrounet! Quelle surprise! Comment va mon cher fils!— Heuu, ça va bien mère!— Je paris que tu m’appelles pour me donner des nouvelles de Gwendoline! Non?— Gwendoline?— Bien oui, elle devait passer une audition à Paris.— Non! Je n’ai pas de nouvelles! J’essayais de l’appeler justement, mais j’ai composé ton numéro par erreur!— Sacré Pierrounet! Toujours distrait!— Bon, je te laisse maman. Je te tiens au courant!— Bisou mon fils.Marc raccroche le combiné et trouve enfin le numéro de sa fille Gwendoline. Soudain, le téléphone sonne. Le numéro de l’appelant est justement le numéro de portable de Gwendoline! Il décroche…— Gwendoline?— PAPA!!! J’ai le rôle!— Fantastique!!! Je savais que ça marcherait!— J’ai besoin de ton aide. Le tournage commence dans quelques jours à la Réunion, j’ai un avion à prendre ce soir et j’aimerais que tu viennes me reconduire à Orly.— Pas de problème chérie! Je vais te chercher où?— Dans une heure chez moi! Le temps de boucler ma valise.— Oui d’accord, mais tu habites…Gwen avait déjà raccroché. Marc garde son sang froid. Il examine de nouveau l’agenda de Pierre pour trouver sans difficulté l’adresse de Gwendoline: 157, rue des Papillotines à Boulogne.Marc douche le corps de Pierre, s’habille, descend au garage prendre sa voiture et va directement à l’appartement de Gwen à Boulogne.Arrivé au pied de l’immeuble, il appuie sur la sonnette au nom de G. Franelli: « Cà ne peut être qu’ici! »— Papa?— Oui!— J’arrive! J’en ai pour 2 minutes!Quelques instants plus tard, je vois sortir une belle grande femme de 22 ans environ. Elle transporte une petite valise rouge et un petit sac en bandoulière. Elle porte une courte jupe fleurie et évasée. Des petits souliers plats, un débardeur blanc qui laisse deviner une belle petite poitrine en liberté.— Papa! Je suis tellement contente!— Et moi de même!Gwendoline se jette dans les bras de Pierre pour lui faire la bise. La poitrine de la fille se presse de ce fait, sur le torse de Pierre. Marc pense: « J’ai beau être officiellement son père, mais que c’est agréable de sentir cette belle poitrine. Mmmmm »— Félicitation ma fille! Donne-moi tes bagages.— Merci encore Papa! C’est un peu grâce à toi que j’ai décroché ce rôle. Sans l’aide de ton copain Gilles, je n’aurais jamais été présentée au directeur du casting.— Cà me fait plaisir Gwendoline! Monte dans la voiture et raconte moi ce que tu dois faire…La fille raconte à son père comment c’est passé l’audition. Elle raconte aussi le rôle qu’elle doit jouer dans le film. Elle incarnera le rôle d’une touriste qui devra séduire le mari de la femme interprété par Sophia Marsolini, et plus tard, elle devra séduire aussi la femme pour se venger de l’homme. Elle doit partir rapidement à la Réunion, avec une première équipe, pour parfaire son bronzage et aussi apprendre son texte. Le tournage débute officiellement dans 2 semaines.L’esprit tordu de Marc comprit rapidement que c’était une bonne affaire! Arrivée à Orly, il arrête la voiture, se tourne vers Gwendoline et lui prend la main.— Ma chère fille, j’aimerais être à ta place…Comme c’est arrivé auparavant, le miracle se reproduit de nouveau. L’esprit de Marc change de corps. Il quitte le vieux corps de Pierre, pour celui de sa fille, Gwendoline Franelli.Le corps inerte de Pierre repose dans sa voiture. Il se réveillera dans quelques temps avec un bon mal de crâne. Par contre, le joli corps de Gwendoline était bien vivant et sous le contrôle de Marc. Il cherche le comptoir d’enregistrement pour son vol vers la Réunion. Un jeune homme vient à sa rencontre— Mademoiselle Franelli! Enfin vous voila!— Enchantée.— Je suis Edwards, assistant de production pour l’équipe 1. J’ai votre billet et l’avion décolle dans 30 minutes. Nous avons juste le temps de vous enregistrer. Venez.Gwen était assise dans un siège confortable de première classe. Edwards lui avait donné une copie des textes qu’elle doit apprendre pour son rôle. Il était un beau garçon de 30 ans. Il prenait à cœur son travail. Marc contemplait avec satisfaction son nouveau corps. Sa courte jupe dévoilait de superbes jambes dignes d’apparaître en cinémascope. Il sentait bien qu’elle ne porte effectivement pas de soutien-gorge, par contre, il sentait bien la présence d’un étroit bout de tissu entre ses fesses: « Mmmm, un string! »Homme ou femme, nous avons tout besoin de vidanger notre corps. Marc ne résiste pas à l’appel de la nature. Il s’enferme aux toilettes pour se soulager. Il ne peut pas s’empêcher de remonter sa jupe pour admirer l’intimité de son nouveau corps. Il baisse le string de dentelle anglaise et contemple un joli mont de venus velu: « Tiens! Elle n’est pas épilée intégralement? Sauf que… C’est évident! Ca aurait été mal vu, au cinéma, une femme totalement rasée! ». Il remonte son débardeur pour contempler cette jolie petite poitrine féminine: « Mmmm, pas mal! J’aime bien ses petites auréoles et les petits tétons dressé comme ça! ». Marc sent la pression monter au niveau de son bas ventre. « Bon, c’est quand même chiant, de pisser assis tout le temps! Et je n’arrive pas à voir par où çà sort? C’est plus bas que le clito mais je n’ai pas l’impression que ça sort du vagin! Mystère féminin? »Marc, toujours dans le corps de Gwen arrive en fin de soirée à la grande villa louée par la production. Il en profite pour se mettre nue et prendre une bonne douche destressante. Il en profite pour parcourir de ses mains son nouveau corps de starlette. Sa petite poitrine est tout à fait mignonne. Ses petits bouts réagissent au moindre touché. Le savon mélangé à l’eau chaude de la douche, ruisselle sur sa peau douce et coule entre ses cuisses. Ses poils pubiens bougent en harmonie comme les blés dans un champ. Il attrape le pommeau de douche, pour diriger le jet vers son entre jambe. Immédiatement, il ressent sur son sexe, les caresses de l’eau chaude. Il lâche involontairement un cri de plaisir. Sa respiration s’accentue pendant que des fourmillements lui parcourent ses grandes lèvres gonflées par l’excitation. Il concentre le jet directement sur son bouton. La pression monte dans son corps. L’orgasme explose et résonne partout dans son corps de jeune première. Une série d’autre orgasme le frappe comme les tics d’un métronome. Ses jambes se dérobent et tout son corps s’écroule au fond de la douche. Plusieurs longues minutes lui sont nécessaires pour reprendre conscience de ce qu’il lui est arrivé.Le soleil s’infiltrait dans les rideaux de sa chambre. Il dormait paisiblement dans le grand lit. On frappe à sa porte et puis une voix d’homme dit: « Mademoiselle Franelli! C’est Edwards! Vous êtes réveillée? »— Heu… Maintenant oui!Marc, par habitude, prend une serviette pour couvrir le bas de son corps et ouvre la porte.— Il y a un problème Edwards?Le visage du jeune homme change de couleur pour un beau rouge. Une goûte de sueur apparaît sur son front.— Mademoiselle! Je vous demande pardon! Je suis confus!Marc venait de réaliser qu’il avait oublié de cacher sa poitrine féminine, car il pensait encore comme un homme.Il referme la porte plus rapidement qu’elle s’était ouverte: « Marc! Tu es une femme! Pense comme une femme bon sang de bonsoir! » La voix d’Edwards traverse la porte:— Mademoiselle! L’équipe vous attend pour le petit déjeuner à la terrasse.Marc ouvre la petite valise de Gwendoline et extrait une légère robe blanche de saison ainsi qu’un joli petit bikini rouge et bleu. Il a pris plusieurs minute pour comprendre la méthode pour enfiler et faire les nœuds du haut du bikini. Il découvre que le bikini augmente artificiellement la grosseur de ses seins par un coussinet caché dans les bonnets: « C’est de la triche, mais le résultat est quand même superbe! »Il se retrouve sur la terrasse de la villa en compagnie de d’une partie de l’équipe technique ainsi que quelques acteurs de soutien. Certain répètent leurs textes pendant que d’autres nettoient les objectifs des caméras entre deux gorgées de café.Le preneur de son accueille Gwen avec un grand sourire.— Gwendoline, vous arrivez à temps. J’ai besoin de vous voler un peu de votre jolie voix pour mes préréglages de son. Il me faut un test en extérieur et un autre en intérieur.— Soit!— Je vais préparer mon matériel dans le salon. Ça vous donne le temps de vous restaurer mais évitez les boissons chaudes comme le café pour ne pas affecter vos cordes vocales.La vie de starlette n’est pas de tout repos. Sa journée à été consacré aux essais de son, de maquillage, de costumes. Une relecture des textes avec le scénariste et finalement, une longue leçon de judo avec un professeur particulier pour préparer une scène de bagarre du film. Il était exténué. Il avait avalé rapidement le dîner spécialement préparé par le chef de la villa.Après ce court dîner, marc emprunte l’escalier pour monter à sa chambre. Il entend une voix derrière lui.— Gwendoline? C’est bien vous?Marc se retourne et son cœur s’arrête de battre. Sophia Marsolini était dans le cadre de la porte d’entrée, des grosses valises étaient à ses pieds.— Vous… Vwoui! C’est…C’est moi Gwendoline!Marc n’en revenait pas, la star de tous ces phantasmes était là, devant lui.— Bien…bienvenue dans la villa Madame…— Gwendoline! Bella signorina! Comme on va passer les prochaines semaines ensembles, appelez-moi Sophia tout simplement et laissez tomber la « Madame » et le vouvoiement por favor.— Entendu…Sophia! Je peux vous… heu! … T’aider à monter les valises à votre chambre?— Molte grazie, j’ai beaucoup trop d’affaires lorsque je voyage…Sophia était habillée d’un simple jeans et d’un pull assez banal. Elle n’aimait pas trop se faire remarquer. Les 2 stars se dirigent tant bien que mal, avec leurs charges, vers la chambre de Sophia.— Merci encore Gwendoline, vous êtes plus bellissimo que sur votre book. Ça va être un plaisir de jouer à vos côtés, même si officiellement, vous interprétez la pire ennemie de mon personnage.Sophia, tout en parlant à Gwen, ouvre ses valises et remplit les tiroirs de la commode et la garde-robe de la chambre. Elle ouvre une dernière valise et sort un sac portant la signature d’un grand couturier italien.— J’ai reçu ce cadeau juste avant de partir de Roma. Mais je crois qu’elle n’est pas à ma taille. Ma poitrine ne passera jamais dans cette robe, aussi belle et chère soit-elle.Sophia ouvre le sac et en sort une magnifique robe de satin et de paillette. Elle déplie la robe et fait mine de vérifier sur elle, la taille de la robe.— Définitivement, cette robe est trop petite. Par contre, elle devra vous aller comme un gant!— Je ne pourrais jamais porter une telle robe…— Tse tse… Vous aurez la chance dans votre carrière, de porter des robes encore plus belles et chères que cette robe d’une collection de prêt à porter. Taisez-vous et faites-moi plaisir de l’essayer.— Maintenant?— Ne soyez pas gênée Gwendoline, on est entre filles.Il laisse tomber sa petite robe blanche à ses pieds, retire lentement le soutien-gorge de son maillot qu’elle a porté toute la journée. Marc tend les bras pour saisir la robe par les bretelles. La qualité de travail était remarquable. Sophia aide Gwen à enfiler la robe. Les doigts de Sophia ajustent les bretelles de la robe et à la stupeur de Marc, elle se permet de manipuler les bonnets de la robe pour bien les positionner sur les seins de Gwen.— Splendido! Elle te va comme un gant! Ce décolleté met en valeur ta jolie poitrine. Et le galbe de tes jambes ressort bien.— Merci Sophia, tu va me faire rougir par tes compliments.— Tu es si belle Gwen. Je suis vraiment heureuse de partager l’affiche avec une jeune première comme toi.Marc commençait à ressentir de drôle de sensations dans le bas ventre de Gwen. Sophia, était à quelques centimètres de lui. Il sentait le parfum velouté et admirait la beauté naturelle du visage de la star qui se tenait, à portée de caresses du corps de Gwen. Ses yeux s’arrêtent de se balader au moment où ils croisent ceux de Sophia. Il se noie dans ce regard de braise. Les secondes passent, mais le temps s’arrête pour lui. Il observe le moindre détail de ses yeux marrons. Il ne peut détourner le regard. Ses yeux sont de plus en plus grands. Il sent de tendres lèvres se déposer sur les siennes. Ce baiser est voluptueux, charnel, humide. Les bouches ne tardent pas à s’entrouvrirent. Les langues se cherchent, se cajolent, s’entremêlent. Les corps des femmes se touchent, se pressent, se fusionnent. Les mains de Sophia se baladent dans le dos de Gwen. Ceux de Gwen caressent la peau nue et satinée sous le pull de Sophia.Des doigts descendent doucement la fermeture du dos de la robe que porte Gwen. Elles s’engouffrent dans l’ouverture pour mieux caresser la peau claire de la jeune actrice. Les bretelles tombent et la robe est attirée inexorablement vers le sol. Seul, le slip de son maillot cache encore la dernière parcelle de sa pudeur. Les deux nœuds qui retiennent encore ce petit tissu sont rapidement défaits et ce dernier ne tarde pas à rejoindre le reste de ses vêtements. Les mains continuent de se balader de plus belle. Elles dérivent vers la poitrine de Gwen. Elle caresse délicatement les rondeurs des deux petits monts. Les bouts des ces derniers réagissent immédiatement aux caresses prodiguées par l’actrice. Un bruit de succion signale la séparation des bouches. La langue de Sophia sillonne le visage de Gwen. Descend dans le cou pour déposer quelques baisers furtifs, et continue son chemin vers la vallée entre les deux seins de Gwendoline. La langue contourne la base des seins en évitant soigneusement les petites auréoles. Une trace humide dénonce le parcours de la langue sur le sein. La respiration des deux femmes s’accentue. Marc désire tellement se faire toucher les tétons. Sophia le satisfait par une longue caresse buccale humide sur chacun des ses auréoles. Il est déjà au bord de l’orgasme. Il arrive à peine à comprendre ce qui lui arrive.— Quale sera! Je crois que l’on va bien s’entendre ma chère Gwendoline.Sophia retire rapidement son pull. Un joli soutien-gorge violet est dévoilé. Il retient une superbe poitrine, célèbre pour sa rondeur. Marc dépose ses mains sur le tissu de dentelle. Il les soupèse, les caresses pour les garder en souvenir les formes dans sa mémoire. Il fait tomber une bretelle, et puis deux pour enfin découvrir lentement la peau laiteuse des ces magnifiques seins. Sophia s’abandonne aux caresses de Gwen. L’agrafe est défaite et les globes sont libérés de l’armature. Ils sont aussitôt pris en charge par les mains de la jeune fille. Ils sont couverts par des dizaines de baisers.— Je veux te goûter Signorina saporita. Etends-toi sur le lit.— Mmmmmm!Marc regrette un peu d’être dans la peau d’une femme. Il aurait aimé la prendre avec un sexe d’homme comme dans ses phantasmes. Par contre, les petites léchouilles que lui procure Sophia au niveau de son pubis, lui font rapidement oublier ses désirs machistes. Il se permet de lui tenir la tête avec ses mains pour la guider vers les zones érogènes du sexe qu’il commence à apprivoiser. Les coups de langue habiles de Sophia ne tardent pas à provoquer un ruissellement de cyprine entre ses petites lèvres. Elle n’en laisse pas une goutte s’évader de la chatte de Gwen. Avec l’aide de ses doigts, elle écarte les grandes lèvres, pour mieux atteindre le petit dard. Elle le titille, le maltraite, l’excite d’une manière perverse et osée. Elle le mordille avec ses dents, l’aspire avec ses lèvres au plus grand plaisir de Marc. Le cerveau est noyé d’hormone d’excitation qui atteint directement l’esprit de Marc, qui hante la tête de Gwen. Les orgasmes féminins que vit Marc depuis quelques temps, sont devenus comme une drogue, un opium du sexe.Et puis, il sent des doigts fouiller son intérieur pendant que son clito est toujours dévoré par la bouche de Sophia. Les doigts sont très baladeurs, ils glissent facilement sur les parois du vagin. Son poing G est rapidement découvert et commence alors une caresse appuyée sur cette zone du vagin. Marc perd le contrôle, la jouissance est trop forte, il ne peut étouffer ses cris. Il grimpe à un niveau jamais atteint par ses expériences. Ces vagues de plaisir semblent éternels. Des larmes sort de ses yeux, il pleure de joie. Il lance un sourire à Sophia qui vient de lui procurer cette immense caresse qui tue.— Merci, Encore Merci. Je ne peux t’expliquer ce que je viens de vivre.— Silenzio! Tout le plaisir était pour moi. Tu es très réceptive et j’ai adoré te faire l’amore.Marc se blottit dans les bras de Sophia pour l’embrasser longuement. Les corps des 2 femmes ne tardent par à être attirés par la force légendaire de Morphée.