Cela faisait plusieurs mois que je n’avais pas eu de nouvelles de Claire. Plus rien n’avait suivi son message m’engageant à renouveler notre rencontre la semaine qui avait suivi nos premiers contacts. Et je commençais à perdre espoir qu’elle me recontacte un jour, lorsque je reçus de nouveau un message :« Julien, rejoins-moi au Gymnase, rue Quesney, maintenant ».J’étais alors en train de boire un verre avec une amie, mais l’appel de Claire était trop fort. J’avais fini ma pinte quasiment cul sec et m’étais excusé auprès d’Ophélie. Il fallait que j’y aille. Tel un chien bien dressé qu’on appelle, je ne pouvais ignorer cette sollicitation. Pourquoi un gymnase ? Que pouvait bien avoir en tête cette diablesse ? J’en bandais d’avance !Le long de la route, j’élaborais des scénarii sur ce qui m’attendait. La seule chose dont j’étais convaincu était que j’allais passer un après-midi fort en sensation. J’étais encore loin de la vérité.Une fois le bus arrivé, j’eus une étrange hésitation. Pourquoi me rappeler plusieurs mois plus tard ? Qu’avait-elle pu faire pendant tout ce temps ? Avait-elle trouvé quelqu’un pour me remplacer ? Avait-elle fait goûter sa cyprine à la moitié de la ville ? Et puis qu’est-ce que j’en avais à faire… elle m’avait rappelé, non ? Je descendis finalement à l’arrêt « Gymnase ».Devant l’entrée, j’écrivis à Claire : « Je suis là ! »Et je reçus cette réponse : « Dirige-toi vers les vestiaires, entre dans le vestiaire numéro 5, mets-toi nu et allonge-toi sur le banc.Un vestiaire ? Tous mes fantasmes d’adolescent refirent surface, lorsqu’on s’imaginait ce qu’il se passait dans le vestiaire des filles, tous ces corps nus, enduits de sueur, toutes ces chattes à l’air libre, ces odeurs de sport et de phéromones. Hum, j’en frissonnais.Après avoir parcouru la moitié du gymnase où se tenait une séance de sport collectif quelconque, j’arrivais devant la porte du vestiaire. J’entrai, et exécutai précisément les ordres de Claire. Les lumières blafardes du vestiaire donnaient un côté glauque et excitant. J’avais froid à rester nu sur ce banc, mais cela ne m’empêchait pas de bander sévère.J’entendis une porte s’entrouvrir, une voix qui n’était pas celle de Claire me demanda de fermer les yeux, lorsque ce fut fait, on me mit un bandeau qui m’empêcha de voir autre chose que le noir le plus total. L’inconnue quitta ensuite le vestiaire et j’attendis ce qui me parut être une éternité, nu et aveugle, dans ce cloaque. Je me demandais ce que je faisais là et, pendant quelques secondes, ce qui me poussait à rester à poil ici en attendant je ne sais quoi. S’amusait-elle avec moi, voulait-elle me faire comprendre que je n’étais rien pour elle ? Allait-elle même venir ?La porte s’ouvrit de nouveau et j’entendis plusieurs personnes entrer sans que je ne puisse identifier précisément leur nombre. Instantanément, la pièce s’emplit d’une forte odeur de sueur. J’entendis des rires, on se moquait de moi. Puis Claire démarra un discours :— Mesdemoiselles, ce petit chien en train de bander est à nous pour l’après-midi. Il fera ce qu’on voudra… Pas vrai, petite pute ?— Oui, bégayé-je.— Ce petit chien aime sniffer les odeurs de femmes… hein, que t’aimes ça ?— Ou… oui, j’aime ça !— Marie… à toi l’honneur !Je sentais la présence de ces femmes autour de moi et pensais en dénombrer au moins quatre, mais sans certitude. La dénommée Marie s’approcha plus encore du banc. Je pouvais sentir qu’elle me toisait, qu’elle réfléchissait à ce qu’elle allait bien pouvoir me faire. Puis je sentis quelque chose s’approcher de mon visage. À l’odeur, je compris qu’il s’agissait de son aisselle passablement humide suite à une séance de sport que j’imaginais intense. Alors que je humais avec force cette odeur divine, elle approcha encore son bras pour que je puisse commencer à lui lécher l’aisselle. C’était bon… très bon !— À mon tour ! s’écria quelqu’un…Puis un rituel s’instaura. D’abord, je pris une grande inspiration de cette autre odeur, puis je commençai à lécher méticuleusement. Ma langue était ravie, mon odorat affolé. Une troisième demoiselle se prêta au jeu et je recommençai mon manège. J’entendis Claire :— Regardez-moi ça, il renifle et nous lèche comme un gros chien qu’il est. Petit soumis de merde !Puis le manège s’arrêta, pendant quelques secondes, plus personne ne disait rien et il me semblait avoir un instant de répit. C’est alors que je sentis quelque chose s’approcher de moi : un pied.Il dégageait une odeur forte et agréable. Il se mit à jouer avec mon visage, intercalant mon nez entre ses orteils, puis me caressant la joue avec le talon avant de forcer l’entrée de ma bouche. Je me mis à le sucer avec délice, puis un autre vint se caler sur mon front… une nouvelle odeur excitante, un nouveau pied à goûter. Enfin, un troisième pied s’invita à la fête et mon visage en était recouvert… ces odeurs, ces goûts, quel pied !Claire n’avait pas participé à ces deux premiers jeux, il me semblait qu’elle s’amusait de me voir exécuter ses ordres. L’une des léchées lâcha alors :— J’ai envie de pisser, je reviens.— Non ! Pisse-lui dessus.— Claire, attend… autant le truc des aisselles était marrant, autant là ça va loin…— Pisse-lui dessus !Je compris alors que Claire n’était pas qu’une dominatrice envers moi, mais bien envers tout le monde. Je me demandais dans quelle mesure ses amies avaient accepté de participer à cette séance de domination, et dans quelle mesure elle les avait forcées, elles aussi. Claire retira alors mon bandeau et je pus observer ces quatre filles autour de moi qui semblaient amusées, mais aussi un peu troublées par la scène qui se jouait.— Morgane, mets-toi sur lui et pisse-lui dessus !Et pour bien faire comprendre qu’elle ne rigolait pas, elle lui assena une violente fessée qui résonna dans toute la pièce. Morgane s’exécuta, elle baissa sa culotte et s’installa au-dessus de moi. Je m’attendais alors à recevoir une douche, mais il n’en fut rien. Morgane n’arrivait visiblement pas à uriner.— T’es vraiment une bonne à rien ! Va pisser aux toilettes, remets ta culotte sans t’essuyer et reviens vite.Vous autres, enlevez vos culottes de souillonnes, et faites-les-lui sentir.J’eus droit alors au délice de sentir ces deux odeurs intimes mêlées, l’une des culottes était gorgée de cyprine, c’était un délice. Morgane revint et participa au rituel également. Une odeur d’urine mêlée de transpiration s’ajouta alors au cocktail. J’étais comblé, mais c’est Claire que je voulais. C’est elle que je voulais lécher, c’est elle que je voulais sentir. Et comme si elle lisait dans mes pensées, elle libéra la troupe :— Laissez-moi seule avec lui, laissez vos culottes ici et cassez-vous.— Tu as aimé ce petit apéritif ? me lança Claire lorsque la compagnie eut quitté la pièce.— Oui, c’était délicieux.Elle m’assena alors une énorme gifle— Salop, tu n’as pas le droit d’aimer sentir d’autres chattes que la mienne.Et alors qu’elle disait cela, elle s’était elle aussi mise nue. Elle mit ses jambes de chaque côté du banc puis s’assit sur mon visage.— Tu vas me bouffer la chatte, tu vas me bouffer le cul aussi, tu auras le droit de respirer que quand je le dirais.J’avais son clitoris sur le nez, ma bouche était en plein milieu de son vagin, et j’entrepris alors le léchage méticuleux de son minou. C’était elle qui rythmait le tempo et je ne pouvais m’empêcher de respirer sa chatte de toutes mes forces. Parfois, elle me présentait sa rondelle que je m’appliquais à lécher tout aussi méticuleusement. Elle balayait sa chatte contre mon visage, j’étais littéralement couvert de cyprine.Après quelques minutes, elle se releva et se mit à copieusement lécher mon visage couvert de jus. Elle me cracha dessus plusieurs fois puis me remit sa chatte sur la tête. Je bandais comme un fou. J’essayais de me masturber, de soulager ma peine, mais Claire n’était pas de cet avis. Je sentais qu’elle montait en pression et j’étais content de la satisfaire, c’était ma mission.Brutalement, alors qu’elle était sur le point de jouir, elle s’enleva de mon visage. J’étais soulagé de pouvoir respirer un peu plus librement, même si j’étais imprégné de l’odeur de sa cyprine.Elle descendit alors sur ma bite et se mit à me sucer goulûment. Je ne pensais pas qu’elle me satisferait un jour, avec toute l’excitation que j’avais, je dus lutter de toute mes forces pour ne pas jouir en trente secondes. Elle suçait divinement bien, me jetant des regards qui me faisaient comprendre que j’étais son jouet et que mon manche n’était qu’un divertissement.Elle cracha dans sa main et entreprit de me lubrifier le cul. Puis elle se mit à me rentrer un, puis deux doigts dans l’anus. C’était divin. Avec cette pression sur la prostate, il ne me fallut qu’une minute pour jouir et recouvrir mon ventre de sperme.Sans aucun mot, Claire se releva, ramassa mes affaires et les prit avec elle. Elle ramassa sa culotte qu’elle me jeta au visage et je compris que le retour s’annonçait compliqué. Peu importe après tout, Claire m’avait fait jouir comme je n’avais jamais joui auparavant. Je mis quelques minutes à me remettre de mes émotions et dus attendre la nuit pour me faufiler dans un autre vestiaire pour enfiler une tenue qui avait été oubliée là.La culotte de Claire est toujours près de moi et je la hume de temps à autre pour ne pas oublier cet après-midi fantastique.