Clothilde propose à son amie Léonie de se rendre dans la salle d’eau et de faire quelques ablutions pour subir la sodomie proprement, d’ailleurs, il y a tout ce qu’il faut là-bas. Pendant que Léonie se prépare, Clothilde s’accapare, de Bernard, le fils de son amie. Elle s’allonge sur la table basse et ouvre largement les cuisses. Le jeune va enfin réaliser son fantasme de baiser une vieille peau comme il dit.
Il regarde la chatte aux lèvres pendantes. Il les gobe, les suce, et les mâchonne. Clothilde grince des dents, elle adore se faire bouffer la chatte tout autant que la sodomie et des introductions d’objets quelques qu’ils soient dans ses orifices. Pendant que Bernard la dévore, elle dit :
-Va chercher la mallette Firmin vite, vite !
Bernard aspire la boule de chair, et la tète férocement, le corps de Clothilde se met à trembler, la coquine est sur le point d’exploser.Il se redresse et présente sa queue bandée à la chatte dégoulinante de jus. Il l’enfonce facilement dans le trou de la vieille Clothilde qui doit consommer pas mal de grosses bites. Il la démonte en grognant comme un fauve, sa bite vigoureuse entre et ressort du ventre de Clothilde en prenant de la vitesse. Elle s’accroche à lui en poussant des râles d’enfer. Léonie revient de la salle d’eau, elle écarquille les yeux, elle admire la verge redoutable de son fils malmener son amante. Firmin lui attend avec la mallette, sa queue et bien raide. Clothilde lui cri entre deux grognements :
-Offre lui ta queue, à cette salope, ne la laisse pas inactive !
Firmin s’approche, il regarde Léonie qui timidement lui saisit la queue et la décalotte. Elle donne quelques coups de langues sur le gland avant de le gober. Firmin se cabre en gémissant de bonheur. Cela lui rappelle, les fellations qu’elle s’évertuait à faire à son mari avant qu’il ne la quitte. Elle savoure les perles suaves qui s’échappent du méat ouvert. Soudain un cri monstrueux interrompt la fellation. Firmin lui envoie une quantité non négligeable de sperme au fond de sa gorge. Léonie repousse son amant, elle manque d’étouffer. Le bougre lui dit :
– Avalez, madame, avalez, ne gâchez rien !
C’est avec les yeux presque révulsés et en grimaçant que Léonie avale avec difficulté la semence gluante. Clothilde explose comme une bombe sous l’ardeur de son jeune amant. Sa cyprine gicle sur les couilles de Bernard, le coquin ne désarme pas, il la défense avec plus de violence. Se crispe et lui remplit la chatte de son sperme épais. Clothilde propose un moment de récupération, après quelques petits encas et un bon verre, les hostilités peuvent reprendre. Clothilde prend les directives, elle demande à son amie de s’étendre sur la table basse et lui place un gros coussin sous les reins. La position ainsi obtenue fait que ses deux orifices sont accessibles. La vieille coquine lui caresse l’anus, le titille pour le faire frémir, soudain, elle crache dessus et place son majeur sur le muscle rectal.
Bernard regarde sa maman se faire doigter le cul, il est aux anges. Après avoir baisé sa maman, maintenant, il va la prendre par le cul. Clothilde appuie sur l’anus ridé, comme par enchantement le doigt semble aspiré par l’anus et disparait lentement dans le conduit étroit. Léonie se cabre en soufflant doucement, le visiteur tourne dans son étui, la sensation ne lui est pas désagréable, car elle agite sa croupe en grognant de plaisir. C’est avec un art du doigté, indescriptible, que Clothilde ramone de plus en plus vite le cul de son amie. Léonie s’agite en poussant d’innombrables soupirs. Clothilde cesse et retire son doigt, elle demande à Bernard :
-Prends la suite, mets y deux doigts et amène ta salope de maman, aux portes du plaisir !
Bernard mouilles son majeur et son index et, les enfonce progressivement dans le rectum de sa maman qui se raidit en serrant les doigts. Clothilde lui donne quelques conseils :
-Ramone-la en tournant tes doigts dedans, vas de plus en plus vite, dilate lui le cul, prépare le pour ta bite !
Bernard suit les directives de la vieille experte. Il pilonne avec ses doigts le rectum, qui petit à petit s’habitue au corps étranger qui le fore. Léonie respire de plus en plus rapidement, Clothilde dit en souriant :
-Plus vite, plus vite, elle va jouir du cul ta salope mon chéri, vas-y !
La prédiction se révèle exacte, Léonie pousse un hurlement, son corps se met à trembler, c’est sa première jouissance anale, elle répète :
-Bernard, Bernard, mon Dieu, c’est monstrueux, continue mon chéri !
Bernard retire ses doigts, sa maman semble frustrée, elle dit en grinçant les dents :
-Bernard, non, non, n’arrête pas !
C’est Clothilde qui répond en riant :
-Non, il n’arrête pas, il va t’éclater le cul avec sa bite le salaud, vas-y Bernard, puisqu’elle le demande si gentiment la salope, encule-la !
Le fils pose sa queue contre le cul palpitant, Clothilde pose les jambes de son amie sur les épaules de son fils, et commence à lui caresse le clito. Comme un soudard, Bernard enfonce sa bite dans le cul de sa maman sans la ménager. Elle pousse un cri de douleur :
-Non, non, Bernard, arrête, c’est trop douloureux, retire-toi !
Le bougre regarde Clothilde qui lui fait un signe négatif en hochant tête. Elle lui ordonne en criant :
-Vas-y à fond, vas-y éclate lui la rondelle, il faut qu’elle apprenne à adorer la sodomie !
Bernard donne un violent coup de reins, sa bite s’enfonce jusqu’aux couilles dans le fondement de sa maman qui se tord de douleur. Le bougre s’acharne, il donne des coups de pilons monstrueux. Sa maman ne cri même plus, elle n’en a pas la force. La bite redoutable lui fore les entrailles avec une violence inouïe. Au fur et à mesure du pilonnage, le rectum de Léonie commence à s’habituer au monstre qui le défonce. Ses plaintes de douleurs se transforment en gémissements de plaisirs. Elle se cambre davantage pour bien être empalée. Clothilde et satisfaite du résultat, elle encourage son amie :
-Vas-y ma chérie, prends ton pied, jouis, jouis !
Léonie, sous les assauts phénoménaux de son fils, s’arque- boute et jouit du cul en hurlant. Sa première sodomie est une réussite, elle clame tout fort :
– Oh merci, merci, mon chéri, tu m’as fait découvrir la sodomie !
Bernard s’en donne à cœur joie, il démonte sa maman comme un beau diable, elle grogne de plaisir sous chaque coup de reins. La gredine veut que jamais cela ne s’arrête. Bernard se bloque, il pousse un rugissement et remplit de son sperme les entrailles en feux de sa maman chérie. Il la besogne encore avec acharnement, il arrive à la faire jouir encore une fois. Enfin, il retire son glaive de l’étui de chair et contemple, les dégâts qu’il a causés. Ses yeux ne quittent pas le trou béant qui rejette le surplus de sperme.
Sa maman retire ses jambes de dessus ses épaules, il se penche et lui dit en murmurant :
-Tu as était magnifique maman, l’acte d’amour te rend encore plus belle !
Il joint ses lèvres aux siennes, les deux s’embrassent fougueusement comme des amoureux. Clothilde propose une pose, elle ouvre la mallette, Léonie et son fils sont scotchés par ce qu’ils voient, des objets sexuels monstrueux remplissent la mallette.
À suivreValériane