Résumé des épisodes précédent :Jérémie et Jessica sont invités par l’oncle de Jérémie dans son ranch aux States. Jessica, attirée par l’oncle très viril, succombe avec l’assentiment de son mari, mais elle promet de se rattraper le lendemain. Au réveil de Jérémie, Jessica à la place de lui apporter son amour, copule avec l’oncle.Fâché du manque de la part de Jessica, il les retrouve encore en train de forniquer et l’oncle s’excuse et lui suggère de faire un tour pour faire le point. Il ne veut pas détruire le couple.Après un essai raté de vouloir en faire sa soumise, Jérémie propose un pacte à Jessica plus conforme au respect de la femme et pour égaliser fornique avec la femme de Samuel avec son accord, vu qu’il est plutôt homo à tendance bi.Comment ce fut pour Jessica.Après le souper, je me retrouve avec Jessica pour faire le point.— Chéri, je suis très triste, John m’a dit qu’il était fatigué et ne voulait pas exagérer et que les bonnes choses, il faut les prendre avec parcimonie, ce qui ne calme pas mon envie. Je suis encore sous le coup de la dernière fois qu’on a fait l’amour, je trouve que ce n’était pas comme j’espérais.— Je suis désolé ma chérie, j’ai peut-être le remède à ton problème, j’ai eu une discussion avec Samuel qui m’a dit que quand l’avant ressemble à un hangar de Boeing, si on n’est pas soi-même un Boeing ou similaire, cela ne sert à rien de s’acharner, mais il faut prendre l’entrée des ouvriers en la préparant bien pour passer la porte sans problème.— Comment cela, je ne comprends pas bien ce que tu veux dire.— En gros, pour que tu puisses à nouveau apprécier ma gaule, il faut la prendre dans le cul, mais je n’ai pas assisté à la démonstration et je manque un peu de know-how en la matière et sa femme a dû partir pour faire la cuisine et je n’avais plus rien pour assister à la démonstration.— Tu veux dire m’enculer ?— Comme tu dis, mais je ne trouve pas l’expression très jolie et elle m’a suggéré comme une des possibilités qu’il me montre sur ta personne.— Tu exagères vraiment ; après John, tu veux que je me fasse enculer par Samuel.— Je ne sais pas si cela nécessite cette extrémité, mais il a été sympa en me prêtant son épouse. Ce serait bien que pour sa démo, je ne sois pas mesquin.— Si cela peut réaligner mes chats Kra, finalement pourquoi pas à ce niveau, une queue en vaut une autre.— Merci, ce n’était pas ce que je pensais avec Anna, quand je l’ai prise, j’ai eu le bonheur de trouver une chatte comme la tienne, avant qu’elle ressemble à un hangar à Boeing, où j’avais l’impression de m’enfoncer dans un pot de beurre fondu.— Tu m’en veux chéri ?— Difficile à dire, avant quand je te prenais, je ressentais du plaisir, on a voulu essayer une autre approche et cela a détruit quelque chose. Ce n’est pas tout à fait ta faute puisque je n’y ai pas mis le frein et que j’ai accepté que vous vous fassiez du bien. Ni toi, ni moi ne pouvions penser à l’effet que cela aura. Il faudra faire avec.— Mais dis-moi, d’avoir la chatte distendue, c’est définitif?— D’après Anna, qui a eu aussi ce problème il y a quelques années, c’est pas définitif, il y a un sorcier indien qui a une potion magique qui remet les choses en place. Si cela t’intéresse, vois avec Anna, avec Lancy je ne me souviens pas qu’il y ait eu du jeu quand je la prenais.— Bien, fais venir Samuel, si à court terme, sa technique peut remédier à notre problème, pourquoi pas.C’est ainsi que ma chère Jessica, après s’être fait élargir de manière disproportionnée le sexe, va se faire visiter le rectum pour mon plaisir.Je vais chercher Samuel, qui vient avec un ensemble de pommades plus ou moins odorantes et commence à lui masser les seins pour commencer, on voit qu’il a l’habitude pour forcer l’excitation :— Regarde comment il faut faire pour les faire mousser à mort.C’est vraiment bizarre sa technique, mais elle marche, le popotin de Jessica commence une danse que je connais bien, surtout quand elle enfourche John.— Je pense qu’elle est à point pour la suite, me dit Samuel qui la retourne d’un coup comme une crêpe bretonne.Il prend soin de l’œil de Satan, le beurrant comme une tartine au miel, sans les mouches évidement. La petite bouche donne l’impression d’appeler autre chose, on sent qu’elle a envie d’une visite, sans plus se poser de question, vu que j’avais bien profité de sa femme, il sort son engin, fin, mais d’une longueur très respectable, on voit qu’il ira loin, à défaut dans la vie, du moins dans le rectum de ma moitié. Ça rentre bien gentiment et quand sa toison vient frotter celle ma chérie, il se met en mouvement, j’espère qu’elle n’a pas trop de sels dans le colon ou dit autrement des merdes qui attendent gentiment dans le cul. Mais si c’est le cas, en tout cas, cela n’a pas l’air de les gêner, ni l’un, ni l’autre.Après avoir bien enfilé sa canne et l’avoir remué dans tous les sens, finalement, il se crispe et on voit qu’il décharge à gros flocons dans le cul de ma chérie qui part dans un orgasme bien partagé.— Chéri, c’est bon de ce côté, pourquoi tu ne l’as jamais visité.— Tant que le côté pile fonctionnait, je ne voyais pas la nécessité de m’emmerder par-derrière, mais maintenant, tu vas voir, vu que de l’autre côté, il y a du jeu, l’entrée de service va devenir mon entrée principale.Samuel se retire et me dit :— Vas-y, avec ce que je lui ai mis, cela devrait glisser sans problème.Écartant ses fesses, je constate qu’effectivement, son œillet bien ouvert a l’air d’attendre ma visite. Dans ces cas, il ne faut pas trop tergiverser, je baisse mon slip et me présente avec arme et bagages devant son temple dédié au culte de Sodome.C’est chaud, bien huilé et comme je l’ai un peu plus large que Samuel, j’ai l’impression d’avoir retrouvé mes sensations que je n’ai plus avec la voie normale. Là , je pistonne dur, assurant sec dans cette fissure diabolique.Cela me rappelle mes jeunes années d’escalade. Enfonçant avec rage mon trombone, je mets en route mon piston et lui joue rhapsody in blues dans l’intégrale. J’ai l’impression que j’ai regagné une partie de ce qui était parti sur le devant de la scène. Dans la joie de retrouver mes marques, je me laisse aller et sans que j’y prenne garde, dans un déchaînement de cymbales, j’éructe de la queue, j’arrose son cul en feu, cela fait déjà plusieurs jours que je n’ai eu un tel plaisir.— Bon, maintenant, tu sais comment faire, me dit Samuel dont la queue servait d’amuse-gueule à mon épouse. Regarde bien comme elle s’applique à me faire repartir pour une autre fois, elle le fait à merveille, c’est une chose qu’il faudra qu’elle apprenne à mon épouse.Ses sens rassasiés, mon épouse s’endort d’un sommeil que j’aurais du mal à qualifier du juste, mais au moins profond, jusqu’à ce que dans un sursaut, elle crie « John ! »Merde, même dans ses rêves, je n’y tiens plus de place, même après tout le mal qu’on s’est donné. Enfin, on fait ce qu’on peut comme on peut.La vie continue enfin pas éternellementJessica étant complètement accro à John, j’ai perdu espoir de la faire revenir comme avant et mon Indienne me convenait parfaitement. Mes relations avec Samuel avaient aussi évolué devant sa gentillesse, parfois je me prêtais à le masturber et même une fois je lui ai pris le jonc pour le sucer, il était aux anges, il m’a demandé s’il pouvait aussi m’enculer, là , je n’étais pas d’accord, en tout cas pour le moment, même si je sais qu’il apportera tout le soin que l’on peut attendre.Deux ans après notre venue, je m’étais installé définitivement dans le ranch et John me l’avait vendu pour une bouchée de pain et les soins de ma chérie qui était de plus en plus demandeuse finirent par avoir des conséquences. Comme dit le proverbe, tant va la cruche à l’eau, à la fin elle se brise et un matin, éperdue, Jessica, quittant le lit de John arrive en pleurant.— Je crois qu’il est mort, il m’a prise ce matin, comme d’habitude, mais au moment d’évacuer sa semence, il s’est raidi et s’est écroulé sans vie. C’est un cauchemar.Effectivement John était parti comme le président Félix Faure, en piochant dans la motte d’une gourgandine.Après des obsèques conséquentes, avec nombre de femmes des environs qui souhaitaient rendre un dernier hommage à celui dont elles avaient probablement bénéficié des faveurs, souvent accompagnées d’enfants ayant un petit air de famille ; on vit venir son fils pensant récupérer son héritage. Mais John m’avait légalement vendu son domaine, il était venu pour rien, enfin pas tout à fait, Jessica, le voyant, vit John ressuscité et n’eut de cesse à ce qu’il s’intéresse à elle en espérant que tel père tel fils. Elle ne m’en parla même pas, même si nous étions toujours mariés. Elle fit tout pour qu’il reste pour dormir et lui offrit la chambre de son père, ce qu’il refusa, il ne voulait pas prendre la chambre d’un mort.Tenant à son idée, elle me demanda si cela me gênait de récupérer la chambre de John et de laisser la nôtre à Dominique son fils. Pourquoi pas, maintenant effectivement la chambre du maître du ranch me revenait de droit, mais cela me faisait bizarre de recoucher avec ma femme, je n’y étais plus habitué. C’était Anne qui me tenait au chaud maintenant et je savais que ce con de Dominique était un peu coincé au niveau de la zigounette.— Et comment va-t-on faire ? Tu te souviens la vie qu’il a menée à son père quand il l’a vu lorgner le décolleté de sa femme, alors tu penses un homme avec deux femmes.— Mais je peux essayer de le séduire.— Tu espères qu’il est aussi bien monté que son père, je vois que cela commence à te manquer ; c’est à vérifier à la piscine, on pourrait l’y inviter avant le souper.— Bonne idée. Tu l’invites ou je l’invite ?— En principe, c’est à la bénéficiaire de faire le travail.— Oui, mais c’est un peu téléphoné, sois sympa mon chéri.— Comme d’habitude, tu me prends par les sentiments pour me cocufier, moi qui espérais que cela redeviendrait comme avant, je vois que je peux faire ceinture. Mais peut-on lutter contre cette drogue ? Dire que tu n’as même pas l’excuse d’être sa veuve pour sembler en manque.— Je te promets que je te revaudrai cela.— Comme la dernière fois que tu voulais me prouver ton amour et que je t’ai retrouvée en train de chevaucher John. Ne fais pas de promesses qui ne peuvent que me décevoir. J’espérais, mais je vois qu’il n’y a rien à faire. Si tu repars dans ce travers, je pense qu’il serait mieux de divorcer pour les deux ; tu pourras bien rester ici en amie, sans problème, mais ce sera plus clair pour tout le monde.— Mais mon doudou, je t’aime.— Ne sois pas hypocrite, quand tu te faisais ramoner par John, objectivement tu avais une pensée pour ton pauvre mari qui devait faire des parties de cinq contre un pour compenser. Non bien sûr, toute à ton addiction et moi, j’étais là , en fait je ne sais pas pourquoi ? En fait, je vais un peu le questionner et l’affranchir éventuellement de la situation suivant la discussion.Plus tard, au bord de la piscine, après que nous eûmes fait quelques traversées, devant un bon verre de Bourbon, je me permets d’entamer une discussion avec Dominique.— Au fait, tu n’es pas venu avec ton épouse ! Elle est malade ?— Non, on est en instance de divorce. Je suis ne suis pas large d’esprit et je l’ai surprise avec mon patron, sans que cela laisse beaucoup de doute sur leur activité.— Excuse-moi, je ne savais pas.— J’étais peut-être un peu trop rigoureux sur les principes et manquais probablement de fantaisie, trop souvent absent de la maison pour le travail, je suis sans doute aussi fautif.— Je sais que tu t’étais séparé avec ton père parce qu’il avait des regards indiscrets sur ta femme.— S’il n’y avait eu que des regards, mais je sentais bien qu’il avait des envies à son égard et qu’elle n’y était pas insensible.— C’est bizarre, cela me rappelle quelque chose, mon épouse m’a imposé chambre à part pour pouvoir s’occuper de la santé de John à 100 %. Je peux affirmer qu’il est mort dans ses bras. Sans pouvoir prétendre qu’il y a rapport avec un de nos présidents qui serait mort de manière similaire, c’est une hypothèse que je n’exclus pas. Cela fait des mois que nous n’avons pas de rapports entre nous autre qu’oraux.— Tu n’es pas jaloux ? Ce n’est pas normal ! Une femme doit vivre avec son époux.— Tu sais, il était bien vieux et je ne suis pas sûr qu’il y avait quelque chose en eux. Je ne l’exclus toutes fois pas, j’ai vu une fois à la piscine, me fait penser qu’il y avait de quoi faire rêver certaines femmes, du reste si je te regarde, tu m’as l’air d’avoir hérité certaines gênes et d’avoir aussi un slip bien fourni.— Oui, c’était aussi un de nos problèmes avec ma femme. Elle ne supportait plus ma grosseur, elle me disait que je lui faisais mal, ce qui était bien bizarre, car au début, elle ne s’en plaignait pas.— En français, il y a un proverbe « Souvent femme varie, bien fol est celui qui s’y fie », mais finalement, j’ai résolu le problème de mon côté avec une Indienne qui est super. Je sais que ce n’est pas très dans les mœurs, mais que faire d’autre, a priori, le divorce n’est pas loin, car malgré le décès de John, elle n’est pas revenue occuper ma couche.… La voilà après ces x traversées qu’elle dit nécessaires pour se détendre après le décès de John.— Ça fait du bien de nager, dit-elle en nous observant d’un regard quelque peu inquisiteur. Dominique, c’est fou ce que tu peux ressembler à ton père, j’ai l’impression de le voir quand il était plus jeune.— Même si la procédure n’est pas lancée pour vous, on peut dire que c’est la rencontre de deux futurs divorcés, lui répond Dominique.Je le vois venir avec ses gros sabots, s’il n’a pu hériter de John, il a bien envie de se rattraper sur le bénéficiaire, mais finalement pourquoi pas, Jessica pour moi, c’est mort à mon grand regret, mais il ne sert à rien de courir après une chimère. D’autant plus que Plume Rouge m’a promis sa fille cadette après mon divorce. Elle m’a l’air encore meilleure que sa sœur aînée. Elle a l’innocence en plus.— Je ne vois pas d’obstacle que vous essayez de vous mettre ensemble, connaissant les goûts de Jessica en matière de sexe, tu feras mieux l’affaire que moi, même si selon ses dires, je reste le champion incontesté du broutage de minette.— Ça, cela a évalué, j’ai pris des cours par correspondance et j’ai obtenu mon master justement dans cette discipline.— Alors là , tu vas vraiment la combler. Je ne peux que vous souhaiter le meilleur, d’après mes connaissances, c’est ce qui la retenait encore à moi. John n’était pas trop penché sur la dégustation des moules à moustaches, même épilées.Là , ma Jessica, ne sentant plus sa joie de voir ses vœux à nouveau sur le point de se réaliser :— Alors cette nuit, on dort ensemble avec Dominique ? Tu permets ?— Mais chérie, cela te démange drôlement ? Oui, si tu me promets d’accélérer la procédure de divorce.— Oui, mais à quelles conditions ? … Dominique, tu as de quoi faire vivre décemment une femme, s’inquiète-t-elle brusquement.— Couci-couça. Cela dépend de ce que va obtenir ma future ex-femme. Mais je suis optimiste, car elle a tous les torts et qu’avec mon ex-patron, elle ne sera pas à plaindre financièrement.— Mais dis-moi, tu es au chômage ?— Oui, mais avec les indemnités qu’il me doit, je pense que j’ai de quoi voir venir un bon bout de temps et que je n’aurai pas trop de peine à retrouver un job, certes peut-être un peu moins bien payé.— Finalement, au ranch, il y a du travail pour deux ou quatre si on compte les femmes.— Mais toi, qu’en est-il si je te prends ta femme ?— Tu ne peux pas me la prendre, parce que cela fait longtemps qu’elle ne m’appartient plus et que j’ai pris mes dispositions si jamais je divorçais, cela simplement officialiserait une situation bancale et on pourrait s’associer, ainsi je garderai une amie qui m’est chère quand même.— Je serais pour tenter l’essai et le transformer si cela marche.— Ouah, fait ma future ex-moitié en collant à Dominique un patin d’anthologie, ce qui laissait présager la suite.C’est ainsi que je me retrouvais avec Anne dans la chambre de maître, accompagné de Samuel. Une heure après, j’ai fait ma tournée habituelle d’inspection et en entendant une conversation dans mon ex-chambre, je ne peux m’empêcher de tendre l’oreille.— Oh ! Dominique, que je suis contente, je retrouve John en mieux, plus frais. Enfin je retrouve mon plaisir, une super queue qui me fasse du bien. Je ne pouvais plus m’en passer, mais maintenant que je te tiens, je ne te laisserais plus à une autre. Attention je suis une vraie tigresse si on me pique mon homme.— Mais Jérémie, cela ne te fait rien qu’il aille avec une autre.— Non, depuis qu’il m’a autorisée à coucher avec John, pour le sexe, il ne compte plus.Bon, cela confirmait ce que je pensais depuis longtemps ; que j’avais été versé aux pertes et profits.— Mais autrement, cela reste mon meilleur ami, cela me faisait de la peine ce que je lui faisais et j’ai été très soulagée quand il a pris une maîtresse.— Ah ! Parce qu’il a une maîtresse ? Je pensais qu’il était vraiment le cocu à plaindre.— Ça allait très mal, déjà il pensait divorcer quand on a conclu un accord, il pouvait coucher avec la femme de Samuel, qui est plutôt un homosexuel et moi je pouvais me donner tout à fait à John. On a bien essayé une ou deux fois de remettre ça, mais il ne faisait plus d’effet et je crois que c’était réciproque et même après la mort de John, on n’a pas réessayé, mais maintenant que j’ai le successeur de John, en mieux, dans mon esprit, c’est clair. Jérémie pour le sexe, c’est de l’histoire ancienne pour ne pas dire de la préhistoire.Au moins, cela a le mérite d’être clair. Elle n’a pas du tout envie de rabibocher. Ce qui me met à l’abri d’un nouveau cocufiage pénible combiné à une solution à risque.Le lendemain, au petit déjeuner. On est trois à avoir les traits un peu fatigués surtout eux qui passaient l’épreuve du futur.— Jessica, tu veux prendre un avocat pour le divorce ou on fait cela entre nous ? Pour ma part, si Dominique est d’accord de s’associer avec moi, je préférerais de ne pas passer par un avocat qui serait le seul à y gagner. On n’a pas d’enfant. Dominique ? — Ils sont adultes et indépendants.— Donc on pourrait faire 50/50 dans les couples et les enfants éventuels à venir ils auraient en fonction du nombre à venir. Je ne désespère pas d’en avoir.— Cela me paraît plus que favorable, mais avant mon divorce, je ne veux rien, je n’ai pas envie d’engraisser mon ex-patron par l’intermédiaire de ma femme. Ce n’est pas comme avec vous où vous êtes ouverts entre vous.Une semaine après, on était divorcés et je pouvais convoler avec Fleur d’Oranger. Neuf mois après, j’étais papa d’un garçon et deux ans après venait le deuxième bébé, une ravissante fille, et ma pauvre Jessica restait improductive, mais elle trompait son envie d’être mère en étant une tante exemplaire.Voilà comment se termine cette saga qui sur la fin n’encourage pas à la branlette vigoureuse, mais il n’est pas interdit au lecteur de faire des commentaires, si possible, flatteurs.