Ah ! les vacances de Noël ! C’est un moment très attendu par les étudiants, car il marque la fin du premier trimestre, et surtout ce sont les vacances. Pour nous, Julie et moi, ce fut un véritable cauchemar. Cela faisait presque un mois que notre idylle avait commencé et, déjà , nous devions nous séparer pour passer les fêtes avec nos parents respectifs. Ma cousine était toujours aussi gourmande de sexe, mais la tristesse se lisait à chaque instant dans ses yeux. Elle redoutait qu’à notre retour les choses ne soient plus les mêmes, que je ne l’aime plus, que je rencontre quelqu’un d’autre… J’avais beau dire et beau faire, rien ne lui remontait le moral. L’ambiance au studio était redevenue pesante, pour un peu on se serait cru au début de notre cohabitation. Le soir précédent notre départ, elle était tellement tendue que nous n’avons même pas fait l’amour.Le matin, nous nous sommes séparés presque sans un mot. Elle me fit juste une bise, les yeux emplis de larmes, avant de se sauver comme une voleuse, prétextant être en retard pour prendre son train. Le mien n’étant qu’en fin de journée, je passai la journée dans l’appartement à tourner en rond comme un lion en cage. Les heures me paraissaient interminables. J’avais hâte de rentrer chez moi car je ne supportais plus de rester dans cet environnement où tout me rappelait Julie. Enfin, l’heure de mon train arriva. Pour passer le temps durant le trajet, j’avais pris un livre, mais je n’arrivai pas à me concentrer. Je dus relire trois fois le premier chapitre pour me rendre compte que cela ne servait à rien.Ce fut horrible de dire bonjour à mes parents, rejoindre leur voiture et faire le chemin pour rentrer à la maison. J’étais content de les revoir, mais je n’avais qu’une hâte, c’était de téléphoner à ma cousine.Prétextant ne plus savoir si on avait bien fermé le gaz, je téléphonai à Julie.— Allô, Julie ?— Oui, comme je suis contente d’entendre ta voix. Tu me manques déjà tellement !— Tu es seule ?— Oui, et toi ?— Mes parents sont dans le salon, je leur ai dit que je ne savais plus si on avait bien fermé le gaz.— Moi, j’ai dit que j’avais un copain qui s’appelait Christophe, comme ça on pourra se téléphoner le soir.— Bon OK, alors je te rappelle tout à l’heure, vers minuit, quand mes parents seront couchés.— OK, à tout à l’heure, me dit-elle, je suis désolée pour ce matin.— Ce n’est pas grave, à ce soir.Ce fut la journée la plus longue de ma vie. Moi qui croyais qu’une heure de cours d’économie ressemblait à l’éternité, là je prenais enfin conscience de ce qu’était réellement l’éternité. Plus on se rapprochait de minuit et plus la trotteuse de ma montre devenait paresseuse. Elle semblait rester accrocher infiniment à chaque seconde. Comme s’il ne suffisait pas que le temps se fige, mes parents me saoulaient de questions sur la fac, la colocation, s’ils ne me manquaient pas trop, si Julie n’était pas trop chiante etc.Vingt-trois heures, ça y était, le sprint final commençait. Il restait moins d’une heure. Vingt-trois heures trente, l’envie de téléphoner me démangeait déjà .Vingt-trois heures quarante-cinq et mes parents n’étaient toujours pas couchés. Ce n’est pas possible, ils en faisaient exprès. Minuit dix, j’étais enfin seul dans mon lit, avec le téléphone à côté de moi.Elle décrocha à la première sonnerie.— Enfin, me dit-elle, j’ai bien cru que tu n’appellerais plus.— Mes parents ne voulaient pas aller se coucher, lui répondis-je, mais ça y est, tout le monde est au lit.— Toi aussi ?— Oui— Ça me fait drôle d’être seule dans mon lit, tu n’es plus là pour me réchauffer les pieds.— Si j’étais avec toi, ce ne serait pas tes pieds que je réchaufferais…— Ne commence pas, dit-elle. Je n’ai pas arrêté de penser à toi toute la journée et là , en plus d’entendre ta voix, ça me fait… de l’effet…— Tu es excitée ?— Oh oui ! beaucoup, me répondit-elle.— Si j’étais avec toi, je sais ce que je te ferai. Je commencerais par t’embrasser dans le cou comme tu aimes, tout en te caressant les seins.— Humm …— Comme je ne suis pas avec toi, j’espère que tu te caresses les seins pour moi.— Tu veux, demanda-t-elle. Et toi, tu te branles ?— Oui. Pince-toi les mamelons. C’est bon.— Oh oui ! continue à me dire ce que tu me ferais.— Ensuite, je te lècherais tes pointes toutes dures, et parfois je les mordillerais. En même temps, je glisserais ma main entre tes jambes et te caresserais l’intérieur des cuisses, jusqu’à ce que tu me supplies de te branler. Toi, tu ondulerais de plaisir. Tes gémissements m’exciteraient. Ton corps serait incontrôlable. C’est seulement à ce moment que j’introduirais un doigt dans ta chatte.— Oh oui ! ne t’arrête pas, j’ai ma main entre mes cuisses et je me fais tout ce que tu me dis. C’est trop bon.— Ma langue délaisserait tes seins pour glisser sur ton corps. Elle descendrait jusqu’à ton clito, que je lècherais avec passion. Je me serais tourné pour que toi aussi tu puisses jouer avec mon sexe. Tu le prendrais dans ta bouche…— Oh oui ! je l’imagine, humm. Il est dur. C’est bon, je sens que ça vient.— Alors nous jouirions ainsi, chacun dans la bouche de l’autre, tu veux ?— Oh oui ! je … le … veux … ça y est, je jouis !Le fait de l’entendre jouir au téléphone, déclencha mon propre plaisir. Mon sperme se répandit sur mon ventre et dans mon nombril.— Moi aussi j’ai joui, lui dis-je, j’en ai partout.— Humm… Dommage que je ne sois pas là , je t’aurais fait ta toilette, je t’aurais léché tout ça. Je ne sais pas comment je vais tenir toutes les vacances sans ma dose de sexe.— Pourquoi, c’est une drogue pour toi ?— Bien sûr, depuis que tu m’y as fait goûter, je ne peux plus m’en passer.Ainsi, pendant presque toute la durée de nos vacances, chaque soir, grâce au téléphone, nous nous retrouvions et assouvissions nos pulsions sexuelles.Retourner vivre chez ses parents, c’est bien, on y retrouve ses racines, ses habitudes. Les premiers temps, on est même enchanté. Mais ces mêmes habitudes pourtant deviennent rapidement pesantes dès que l’on a goûté à la liberté d’avoir un « chez soi », surtout si en plus on est amoureux. Tout chez moi, ou plutôt chez « mes parents » devrais-je dire, me paraissait terne, car « chez moi », maintenant, c’était notre petit nid d’amour avec Julie. Comme elle me manquait ! Chaque jour je ne vivais qu’avec l’impatience d’être au soir pour l’avoir au téléphone. L’ambiance à la maison s’en trouva altérée. Chaque jour, on se disputait avec mes parents pour des broutilles. Ce qui devait être « les fêtes de Noël » était devenu « le cauchemar de Noël ». Pour m’échapper à cette tension familiale, je me suis inventé un réveillon avec des amis pour le « Jour de l’An », bouclai ma valise et rentrai à l’appartement. J’étais trop en manque de Julie. J’avais besoin de sentir son odeur, voir ses affaires, de me retrouver chez nous.Du côté de chez Julie, la situation était différente car ses parents étaient tellement contents qu’elle se soit trouvée un petit ami, qu’ils cédaient à tous ses désirs. Ils espéraient voir le fameux « Christophe » pour les vacances de Pâques. Aussi, lorsqu’elle leur annonça qu’elle voulait passer le réveillon de la Saint-Sylvestre avec lui, ils furent enchantés de la conduire à la gare.De nouveau dans le train, l’attente de la revoir recommençait. Mon cœur faisait des bonds dans ma poitrine, il me semblait qu’il était connecté à la locomotive, plus le train prenait de la vitesse, plus mon rythme cardiaque s’accélérait. Julie m’avait promis une surprise à son arrivée, ce qui décuplait mon impatience. Je retrouvais l’appartement tel que je l’avais laissé la semaine précédente. J’eus à peine le temps de poser ma valise que j’entendis la clé tourner dans la serrure de la porte d’entrée.Pour une surprise, ce fut une surprise. Julie était complètement métamorphosée. La chenille était devenue un papillon – et quel papillon ! Elle avait écouté mes conseils. Elle n’avait plus ses grosses lunettes et elle avait coupé ses cheveux au carré. Ses sourcils, qui d’habitude étaient très épais, avaient été épilés. Elle était maquillée très légèrement, ce qui faisait ressortir ses magnifiques yeux verts. Elle avait également troqué ses horribles vêtements informes contre un petit pull à col roulé orange, qui la moulait à la perfection. Je ne me souvenais pas avoir remarqué avant qu’elle avait une aussi jolie poitrine. Le summum de cette métamorphose était une minijupe plissée à carreaux et des bottes lui arrivant presque aux genoux. Elle était sexy en diable. Je crois n’avoir jamais vu une aussi jolie fille. Je restais pétrifié d’admiration. Elle semblait rayonner tellement elle était belle.— Eh bien ! me dit-elle, tu ne m’embrasses pas ?— Euh ! si … articulais-je, sans pouvoir bouger, hypnotisé par son nouveau look.— Ça te plaît ? me demanda-t-elle, en se laissant admirer, dans l’entrée.Tout mon être semblait paralysé. Elle avait quelque chose de plus que lorsqu’elle était partie. Elle était devenue une femme, consciente de son pouvoir de séduction sur les hommes, et moi, j’étais entièrement en son pouvoir. Elle prenait un malin plaisir à faire durer ce moment. Le temps semblait s’être arrêté une nouvelle fois. Je ne me lassai pas de la contempler de la tête aux pieds. Très sûre d’elle et de son nouveau pouvoir, elle s’avança vers moi et m’embrassa à pleine bouche. Ses lèvres étaient douces et chaudes. Je sentais le désir monter en moi. J’avais l’impression que cette scène se déroulait au ralenti.— Ben, remets-toi, me dit-elle, c’est moi.— Waouh… ce que tu es belle, dis-je, en me reculant pour l’admirer à nouveau.— Le Père Noël a été très généreux avec moi cette année, alors j’ai refait toute ma garde-robe. Apparemment cela te plaît et encore, tu n’as pas vu ce qu’il y a dessous. Je n’ose imaginer l’effet que ça va te faire quand tu va le découvrir… ou plutôt si… j’imagine, ajouta-t-elle, avec un petit sourire espiègle. J’ai envie de faire durer le plaisir, alors tu ne verras rien avant de m’avoir aidée à ranger mes affaires et après, si tu es sage, peut-être que je te ferais voir.— Ce n’est pas juste, lui répondis-je, en retrouvant un peu mes esprits. Je ne pourrais jamais tenir.— Tss, tss, il faudra bien, puisque tu n’as pas le choix, et plus tu discutes, plus tu perds du temps. Alors, tu viens m’aider ?Je lui portai sa valise dans la chambre. Lorsqu’elle l’ouvrit, je pus me rendre compte qu’elle ne m’avait pas menti. Aucun des vêtements qu’elle sortait ne me rappelait quelque chose. Les couleurs étaient plus vives, les habits plus modernes, certains avaient même encore les étiquettes. Lorsqu’elle eut fini d’étaler sur le lit ses robes, pantalons, chemisiers et que sais-je encore, ses nouveaux sous-vêtements apparurent. Il y avait une multitude de strings et de soutien-gorges, tous plus sexy les uns que les autres, de différentes matières.— C’est à toi tout ça ? lui demandais-je.— Non, c’est à la concierge, répondit-elle, ironiquement. Bien sûr que c’est à moi, enfin maintenant, car j’en ai acheté quelques-uns, et les autres ma sœur me les a donnés.— Dis donc, super-sexy les dessous de la cousine ! humm …— Eh oh ! ne va pas fantasmer sur ma sœur, toi ! Passe-moi plutôt mes pantalons que je les range dans la penderie.Pour ranger ses vêtements en haut du placard, elle monta sur le lit. J’en profitai pour jeter un cou d’œil sous sa petite jupe. Ses fesses étaient séparées par un minuscule morceau de tissu en dentelle rouge-vif.— La vue te plaît ? me demanda-telle, sur un ton de reproche, mais en se laissant admirer.— Oh, oui ! beaucoup. Mais qu’est-ce qui t’est arrivée pendant les vacances ? Tu n’es plus la même !— Et tu n’aimes pas ?— Oh si ! beaucoup. Alors ?— Tous les soirs, nos conversations au téléphone et le plaisir que tu m’as donné, j’ai eu, moi aussi, envie de te faire plaisir. Ma sœur m’a donnée quelques conseils et nous avons fait les boutiques ensemble. Elle me disait ce qui m’allait et ce qui ne m’allait pas. Elle m’a appris à m’habiller sexy. Ensuite je suis allée chez le coiffeur et tu avais raison, les cheveux courts ça me va mieux, mais les lunettes ça n’allait plus. Alors j’ai pris rendez-vous chez l’ophtalmo pour des lentilles. J’ai commencé à me trouver belle. Et puis… et puis… voilà quoi !— Et tu ne m’en as rien dit.— Ben non, je voulais te faire la surprise. Mais si tu avais vu ta tête, tout à l’heure… Je ne regrette pas. Eh ! Arrête de regarder sous ma jupe !Malgré cette dernière remarque, elle écarta légèrement les jambes afin que je puisse m’allonger en travers du lit, la tête entre ses jambes. Ma position, en contrebas, me donnait l’impression que ses jambes étaient interminables. Je caressai presque machinalement ses mollets. Elle se laissait faire et semblait prendre du plaisir à être ainsi admirée. Mes mains montaient, à chaque mouvement, un peu plus haut. Sa peau était douce et chaude. J’étais hypnotisé par ce petit bout de tissu rouge qui me privait de la vue de son sexe. Lorsque mes mains atteignirent ses cuisses, un frisson traversa son corps.— Arrête ! me dit-elle, sans faire un geste pour m’empêcher de continuer.Sa bouche me disait d’arrêter, mais son corps réclamait mes caresses. Mes mains montaient toujours en direction de ses fesses. Je prenais mon temps et localisais mes caresses sur l’intérieur de ses cuisses. J’essayais de juste lui effleurer cette partie si sensible qui se situe tout en haut, entre les cuisses, à quelques millimètres de son sexe. Elle se tortillait dans tous les sens, m’indiquant qu’elle prenait du plaisir.— Arrête, tu me rends folle. Je n’avais pas prévu nos retrouvailles comme cela.— Ah bon, et qu’est-ce que tu avais prévu ?— De t’exciter à mort, pour te punir de m’avoir excitée chaque soir au téléphone … répondit-elle, en se tortillant encore plus.— Mais je suis excité à mort ! dis-je, en lui frôlant le clitoris au travers de son string d’une main, alors que l’autre pétrissait ses fesses.— Pas assez … Toutes nos conversations au téléphone m’excitaient tellement, que non seulement je me caressais jusqu’à la jouissance, avec toi au bout du fil, mais aussi dans la nuit, le matin avant de me lever, sous la douche, parfois dans l’après-midi en repensant à ce que tu m’avais dit. Je m’étais promis de te le faire payer…Le fait de savoir qu’elle s’était aussi souvent masturbée en pensant à moi rendit mon érection encore plus douloureuse. Je décidai d’abandonner quelques instants ses fesses pour ouvrir mon pantalon d’une main et libérer mon sexe de la pression auquel il était soumis. Une fois mon sexe à l’air libre, je décidai qu’il était temps maintenant de la débarrasser, elle aussi, de son string. Je lui déposai de très légers baisers du mollet jusqu’aux cuisses. Son string était littéralement inondé. Elle ne résista que pour la forme lorsque je le lui enlevai.— Je voulais te faire la surprise que plus tard, mais tu es un salaud. Je n’arrive pas à résister à tes caresses. Tu me rends dingue… dit-elle, en soupirant.Son sexe m’apparut dans toute sa nudité. Pendant les vacances, elle s’était rasé le minou. Il ne restait qu’un minuscule « ticket de métro », situé au-dessus de sa vulve. Sa chatte était devenue quasi imberbe.— Humm, ça, ça attire les bisous, lui dis-je, tout en amenant ma bouche sur ses grandes lèvres.Je passai ma tête sous sa jupe et de la pointe de ma langue, j’allai explorer son sexe, comme je l’avais fait des dizaines de fois, en rêve, depuis notre séparation. Mes mains s’acharnèrent sur le zip de sa jupe. D’un geste rapide, elle ôta son pull et son soutien-gorge. Elle vint à mon aide en défaisant elle-même la fermeture éclair de sa jupe, qui me tomba sur le visage. Je profitai de l’instant, où elle enlevait sa jupe, pour me déshabiller à mon tour et me rallonger sur le lit. Elle s’installa à quatre pattes au-dessus de moi et engloutit instantanément mon sexe dans sa bouche.— Humm ! dit-elle, ça m’a manqué. Je rêvais de l’avoir dans ma bouche.Je la léchai comme un malade, le nez presque au niveau de son anus dont les odeurs m’enivraient. Un véritable duel se livrait entre nous, celui qui amènerait en premier l’autre à la jouissance. Elle m’avalait presque entièrement le sexe. Elle me branlait avec sa bouche. Elle avait passé une main sous mes fesses et me caressait l’anus en même temps. Je sentais sa salive couler sur mes couilles et mouiller ma raie, ce qui décuplait le plaisir que me procurait son doigt. Pour ne pas être en reste, moi aussi je léchais son petit trou. Je la pénétrais avec ma langue que je gonflais au maximum pour qu’elle soit dure et pointue. Julie semblait beaucoup apprécier car son corps fut comme traversé de décharges électriques. Son plaisir était tel qu’elle en ralentit le rythme de sa fellation, me permettant de souffler un peu. Heureusement, car j’étais sur le point de succomber au traitement qu’elle m’infligeait. Ses gémissements provoquaient d’agréables sensations à mon sexe qu’elle avait gardé dans sa bouche. Profitant de cette rémission, je la basculai pour me retrouver au-dessus d’elle. Je repris mon cunnilingus. Elle avait replié ses jambes de manière à avoir les pieds à plat sur le lit. Son bassin venait à la rencontre de chacun de mes coups de langue. Quelques minutes dans cette position et je me retrouvai proche de la jouissance. Pour éviter cela, je me dégageai d’elle, car je voulais la pénétrer. C’était en elle que je voulais jouir.— Mets-toi en levrette, vite, lui dis-je.Elle ne se fit pas prier. D’un mouvement souple, elle se mit à quatre pattes, me présentant son cul offert. Un court instant, je ne pus m’empêcher d’admirer son cul callipyge. L’envie de la prendre par cet orifice me tenta un instant. Elle s’écartait les fesses avec ses deux mains, m’offrant son sexe dénudé de tout poil, de manière tout à fait obscène. Mais non, j’avais tellement rêvé de sa chatte, ces jours derniers, que c’est par là que je la pénétrai. Quel bonheur ! C’était comme si je faisais l’amour pour la première fois. Elle était toute chaude et humide. Je pointai mon gland à l’entrée de sa vulve et poussai de manière régulière jusqu’à me trouver entièrement en elle. Lorsque je fus à fond, Julie poussa un « Oooh » de satisfaction. Je profitai de l’instant présent et restai quelques instants sans bouger. C’est elle qui bougea la première. Elle s’écarta de moi, pour mieux me replanter en elle d’un coup sec. Petit à petit, ses mouvements devinrent plus amples et elle revenait plus durement, comme si elle cherchait à s’empaler. À chaque fois, son cul venait claquer plus durement sur mon bas-ventre. Mes couilles cognaient contre sa vulve, ce qui me permit de sentir sa main qui jouait avec son clito.Elle jouit la première, en criant très fort son orgasme. C’était trop pour moi. Je jouis, moi aussi, comme jamais auparavant. J’eus le sentiment de perdre conscience un court instant, comme un trou noir. Plus rien n’existait. Plus rien ne comptait. Mon plaisir avait été tellement fort, qu’une fraction de seconde, je ne sentis plus rien. J’avais l’impression de flotter dans l’air. L’expression « atteindre le septième ciel » prenait tout son sens. Il me semblait que j’étais monté jusqu’au huitième, neuvième, dixième ciel. Je sentais mon sperme, une infime partie de moi, se répandre dans son ventre. J’avais l’impression d’être avec tous mes spermatozoïdes en elle.Peu à peu, je repris conscience : tout d’abord de Julie, en qui j’étais toujours planté, puis du lit sur lequel nous venions de faire l’amour, de la chambre etc…Julie semblait dans le même état que moi. Nous étions tous deux en sueur. Il nous fallut plusieurs minutes avant d’être capable de parler.— Oh lala… parvins-je à articuler, c’était… whoua… Je veux bien que tu me punisses plus souvent…— Moi aussi, dit-elle, je ne me rappelais pas que cela pouvait être aussi fort. Quand je suis entrée tout à l’heure, si tu m’avais sauté dessus, je n’aurais pas pu résister. Je n’ai pas arrêté de mouiller de la journée. J’étais tellement excitée de te revoir… Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse d’être rentrée.— Moi aussi, notre petite vie à deux m’a manqué.— Ben… justement, puisqu’on en parle, m’annonça-t-elle, à propos de notre « vie à deux » et de demain pour le réveillon, il faut que je te dise que j’ai invité ma copine Virginie.— T’as pas fait ça ? Moi qui rêvais d’un petit réveillon tout les deux en amoureux. Qu’est-ce qui t’a pris ?— Eh bien, pendant les vacances, elle m’a téléphoné et elle m’a appris que, tu sais, Mathieu, son mec, il l’a larguée.— Et alors ?— Ben, elle n’avait pas le moral, alors je lui ai proposé de réveillonner avec nous.— Super, je sens que ça va être une super-soirée …Elle se leva et remit sa jupe et son pull, sans rien dessous.— Tu n’as rien oublié ? dis-je, en lui désignant ses sous-vêtements restés par terre.— Non justement, je n’ai rien oublié, répondit-elle tout en me faisant un clin d’œil coquin. Je n’ai pas oublié que je devais te faire payer tout ce que toi, tu m’as fait. À partir de cet instant, défense de me toucher avant ce soir, dans le lit.— Mais tu ne vas quand même pas rester comme ça, en minijupe et sans culotte, toute la journée, à côté de moi ? Je ne tiendrais jamais.— Il faudra bien, tu n’as pas le choix.Tout le restant de la journée, elle s’affaira à ranger les affaires, à nettoyer l’appart jusque dans ses moindres recoins, tout en s’assurant de bien s’exhiber. Je pouvais voir les pointes de ses seins qui pointaient et qui tendaient le tissu de son pull. Elle faisait exprès de se baisser en gardant ses jambes bien tendues pour que j’aie une vue imprenable sur son cul. Après chaque exhibition, elle me regardait bien dans les yeux pour voir l’effet qu’elle me faisait. Je devenais fou d’excitation. Chaque fois que je m’approchais d’elle et la frôlais, elle s’esquivait. Elle rayonnait de plaisir à m’allumer. Elle me rendait fou d’excitation. Mon sexe en devenait douloureux à force de bander. Inutile de dire qu’à peine le souper terminé, je lui sautais dessus et passais une nuit torride.J’étais malgré tout un peu contrarié que sa copine vienne passer la soirée de la Saint Sylvestre avec nous. C’est en traînant les pieds que je l’accompagnai le lendemain dans les magasins, pour faire les courses et organiser la soirée. À notre retour, toujours boudeur, je dus l’aider à tout ranger. Les quelques tentatives que je fis pour nous réconcilier « horizontalement », s’avérèrent vaines. Elle ne pensait qu’à son réveillon.Lorsque Virginie arriva, je l’accueillis froidement, mais elle ne s’en rendit même pas compte. Elle me dit à peine bonjour et se précipita dans les bras de ma cousine. Commença alors le pire repas de jour de l’An de ma vie. Durant tout le repas, Virginie raconta sa rupture avec Mathieu, entre deux crises de larmes. Il l’avait larguée pour une autre et il lui avait annoncé qu’il la quittait le jour de Noël. Les deux filles menaient leur conversation sans se préoccuper de moi. Les rares fois où j’essayais de me mêler à leur discussion, elles m’ignoraient. J’avais beau essayer de les faire boire, rien n’y faisait, elles m’ignoraient purement et simplement.Lorsque Julie proposa de passer minuit en boîte de nuit, pour changer les idées de son amie, je fus emballé. Les deux filles semblaient légèrement éméchées et voulaient maintenant s’amuser. Comme en arrivant, Virginie, n’étant pas d’humeur à faire la fête, était venue habillée en jeans et pull à col roulé :— Tu ne peux pas aller en boîte comme ça, dit ma cousine, suis-moi, je vais te prêter des fringues.— Pour quoi faire ? Je n’ai personne à qui plaire, répondit Virginie.— Peut-être que tu vas rencontrer l’homme de ta vie ce soir, ajoutai-je, avec un peu d’ironie.— Au lieu de retourner le couteau dans la plaie, tu ferais mieux de mettre un peu d’ordre dans l’appart, que ce ne soit pas trop le bordel quand on rentre, me répondit Julie, avec un regard noir.Décidément, ma soirée ne semblait pas s’arranger. Cependant je débarrassai la table et rangeai le désordre.Une demi-heure plus tard, les deux filles sortirent de la chambre, maquillées et habillées, aussi sexy l’une que l’autre. Julie lui avait prêté une minijupe en jeans et un bustier blanc, super moulant et suffisamment décolleté pour mettre en valeur sa généreuse poitrine. Ses cheveux blonds étaient détachés et étaient savamment arrangés. Une mèche était passée derrière son oreille et dégageait son visage. Le maquillage était léger mais faisait ressortir ses grands yeux marron. Elle portait également une veste noire qui complétait l’ensemble. Je ne savais pas ce que ma cousine avait bien pu lui raconter dans la chambre, mais un sourire illuminait son visage. Julie avait opté pour une jupe noire, lui arrivant à mi-cuisses et légèrement fendue sur le côté. Elle portait également une veste super habillée, sous laquelle elle semblait n’avoir mis qu’une petite chaîne avec une croix au bout. Elle avait mis un léger rouge à lèvres et maquillé ses magnifiques yeux. Être entouré de ces deux canons me donnait une certaine fierté.La boîte était déjà quasiment pleine. Cela faisait à peine un quart d’heure que nous étions dans la discothèque, que Virginie s’écria:— Il est là  !— Mais qui ça ? demandai-je.— Mathieu, il est là avec sa pétasse. Venez allons nous-en. Je ne veux pas le voir, annonça Virginie affolée.— Allons calme-toi, essaya ma cousine, ce n’est pas si grave. De toute façon il faudra bien que tu le rencontres un jour ou l’autre.— Peut-être, mais pas ce soir. Mais regarde-le, avec sa pouffiasse ! Allez, s’il vous plaît, on s’en va.— Attends, dit Julie, j’ai une idée. Et si toi aussi tu le rendais jaloux ?— Mais il n’en a plus rien à foutre de moi, regarde-le… et puis comment je le rendrais jaloux moi ?— Il ne connaît pas Franck. Vous n’avez qu’à faire comme si vous étiez ensemble. Je suis sûre que cela ne le laissera pas indifférent. Il va en être malade. Habillée comme tu es, je suis persuadée qu’avant la fin de la soirée, il sera à tes pieds et te demandera pardon.— Mais toi, tu ne seras pas jalouse ?— Eh ! les filles, moi on ne me demande pas mon avis ? demandai-je, vexé que l’on m’ignore toujours.— Non, je ne serai pas jalouse puisque je sais que vous faites semblant, répondit Julie, et toi, ne me dis pas que ça va être désagréable. En plus, pour une fois que tu peux rendre service… Allez, Virginie, arrête de discuter et assieds-toi sur ses genoux, passe-lui la main dans les cheveux… Faites comme si vous étiez amoureux.Virginie s’exécuta. Chaque fois que nous revenions de danser, elle s’installait sur moi, me câlinait, faisait semblant de me faire des bises dans le cou, tout en me demandant dans l’oreille de surveiller la réaction de son ex. Les quelques fois où le regard de Mathieu et le mien se croisaient, il me semblait qu’il me lançait des éclairs. Le plan de Julie semblait marcher. Nous faisions tellement bien semblant que Virginie me laissait de moins en moins indifférent. Mon sexe était à l’étroit dans mon pantalon. Virginie ne pouvait l’ignorer. Chaque fois qu’elle bougeait, cela m’excitait encore plus. Ma main avait naturellement trouvé sa place sur sa cuisse et je devais lutter à chaque seconde contre l’envie de la monter entre ses cuisses. La série des slows me sauva.— C’est les slows, dit Julie, qu’est-ce que vous attendez pour aller danser. Je suis sûre qu’il est prêt à craquer. Depuis un moment, il ne te quitte plus des yeux.Virginie se leva et, me tenant par la main, m’attira sur la piste de danse. Nos corps se plaquèrent l’un contre l’autre. Elle ne pouvait ignorer mon érection. Elle portait un parfum envoûtant, la proximité de nos corps, sa chaleur, la douceur de la peau de son cou, les quelques verres que nous avions bus et la quasi-obscurité me donnaient une furieuse envie de l’embrasser. La danse langoureuse me donnait l’impression que Virginie frottait son sexe contre le mien.Comme il était presque minuit, la musique s’arrêta. Le décompte des dernières secondes commença : cinq, quatre, trois, deux, une. Bonne année ! annonça le DJ. Nos regards se croisèrent. Nos bouches semblaient s’attirer comme deux aimants. Nous nous sommes alors embrassés passionnément. Nos bouches semblaient soudées l’une à l’autre. Nos langues s’unirent. Le temps semblait suspendu. Un nouveau slow commença. Nous avions l’impression d’être seuls. Nous étions aussi excités l’un que l’autre, par tant de désirs contenus pendant la soirée. Ma main glissa le long de sa colonne vertébrale et je lui caressai le cul.Soudain, je sentis une main se poser sur mon épaule et je reçus un coup violent. Pour craquer… le Mathieu, il avait craqué. Il venait de me frapper. Je n’eus même pas le temps de réagir que deux videurs nous séparaient et nous éloignaient des autres danseurs. Ils nous conduisirent dans les vestiaires de la discothèque.Virginie s’engueula avec Mathieu. Elle le traita de malade. Pour limiter l’esclandre, les videurs nous conseillèrent de rentrer chez nous, pendant qu’ils gardaient Mathieu pour que nous puissions partir tranquille. Virginie, folle de colère après son ex, alla chercher Julie qui n’avait rien vu de la scène et nous sommes rentrés à l’appart.Le trajet du retour fut des plus silencieux, chacun de nous perdu dans ses pensées. Julie s’en voulait d’avoir eu cette idée, Virginie était furieuse contre la terre entière et moi, perdu dans la confusion de mes sentiments. Ma fierté, tout d’abord qui en avait pris un coup bien plus douloureux que celui que Mathieu m’avait donné. Je ne m’étais même pas défendu. Ensuite, le désir que j’avais ressenti vis-à -vis de Virginie. L’année commençait plutôt mal.À notre retour à l’appartement, Julie nous proposa de boire un verre pour nous remettre de nos émotions de la soirée.— Je suis vraiment désolée, je vous ai gâché votre soirée, dit Virginie, en me regardant dans les yeux. Quel connard, ce mec ; et dire que j’étais amoureuse de lui… Tu n’as pas trop mal ? me demanda-t-elle.— Non, ça va.Julie apporta une bouteille de whisky et nous servit nos verres.— C’est dommage qu’il se soit passé cela, car la soirée avait plutôt bien commencé… pour vous, dit Julie.— Ah non ! Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi, répondit Virginie. On a eu notre dose de jalousie pour la soirée, tu ne crois pas ?— Je ne suis pas jalouse, répondit ma cousine, bien au contraire, je dis simplement que ça avait plutôt l’air de vous plaire de vous peloter sur les banquettes de la boîte.— Mais c’est toi qui nous avait dit de faire semblant, ajoutai-je.— C’était très réaliste, dit-elle, tu faisais même semblant de bander.— Euh…— Tu vois, dit Virginie, tu es jalouse.— Non, je dirais plutôt que moi, ça m’a excité de vous voir comme cela et je crois simplement que je n’étais pas la seule. Tu as mis Franck dans un état… Il n’a pas arrêté de mater ton décolleté. Et toi, ose dire que ça ne t’a rien fait.— Ben, c’est vrai que c’était très agréable. Franck est tellement doux. Ses caresses m’ont troublée.— Alors je trouve que tu lui dois bien une récompense. En plus, le pauvre, il s’est fait frapper pour rien.— À quelle récompense tu penses ? demanda Virginie.— Eh bien, je trouve que tu pourrais au moins l’embrasser, répondit Julie.— Ah, si c’est que ça ! répliqua Virginie, en me faisant une rapide bise sur la joue.— Non, non, pas comme cela, c’est trop facile, sur la bouche, comme sur la piste de danse, insista Julie. Il me semble que vous n’avez pas eu le temps de finir ce que vous aviez commencé. C’est la moindre des choses, non ?— Mais c’est ton mec, non ? répondit Virginie.— Oui, mais c’est aussi mon cousin et vous en aviez tellement envie tout à l’heure, que vous devriez finir. Allez, roulez-vous une pelle, qu’on en parle plus, ajouta Julie.Virginie, qui était assise à côté de moi sur la banquette, me regarda dans les yeux.— Bon, puisqu’elle insiste, dit-elle.Elle approcha ses lèvres des miennes. Sa langue vint chercher la mienne dans ma bouche. Julie me prit la main et la posa sur la poitrine de son amie. Ce contact la fit sursauter. Je sentais ses tétons durcir entre mes doigts. Comme par réflexe, ma main pétrissait ce sein déjà dur. Mon sexe retrouvait sa forme et tendait de nouveau le tissu de mon jean. Julie prit la main de son amie, la posa sur la bosse de mon pantalon et me caressa. Notre baiser devenait de plus en plus torride, mais ni l’un ni l’autre ne voulions l’interrompre. Julie délaissa la main de sa copine pour guider la mienne sous le haut de Virginie. Ma main était maintenant directement en contact avec sa peau, avec son sein.Soudain, Virginie s’écarta.— Oh là , dit-elle, on se calme, euh… je crois que je vais rentrer maintenant.Julie se pencha et lui parla à l’oreille.— Mais ça ne va pas, ta tête ! dit Virginie. Tu es complètement folle !Julie lui parla une nouvelle fois à l’oreille, puis se leva et se dirigea vers la salle de bain en disant :— De toute façon, je vous laisse, je vais prendre une douche.Dès qu’elle eût disparu, je demandai à Virginie :— Qu’est ce qu’elle t’a dit ?— Humm, c’est un peu embarrassant. Tu vas me prendre pour une salope.— Mais non, vas-y racontes, ajoutai-je, j’ai quand même bien le droit de savoir.— En fait… euh… je lui avais raconté que lorsqu’un mec mignon me draguait et qu’il devenait… euh… comment dire… trop pressant, il m’arrivait de lui faire une petite… euh… tu vois quoi pour le calmer…— Et ?— Et elle m’a dit que la moindre des choses que je puisse faire, pour toi… c’est de t’en faire une, et c’est pour cela qu’elle est allée prendre une douche, pour nous laisser tranquille.— Vraiment ?— Oui… et elle a ajouté que, vu l’état dans lequel tu es, dit-elle en fixant la bosse qui déformait mon pantalon, il était clair que tu en avais envie… et soit je t’en faisais une, soit tu devrais te soulager tout seul, car elle est fatiguée.Elle me fixait toujours dans les yeux. Ne pas regarder sa poitrine me demandait un énorme effort de concentration. Elle s’approcha de moi et m’embrassa à nouveau fougueusement. Sa main déboucla ma ceinture et ouvrit mon pantalon. Elle dégagea mon sexe du carcan dans lequel il était emprisonné. Elle me le caressait avec une infinie douceur. Elle se leva et se glissa entre mes cuisses. Elle me fixait dans les yeux et, comme au ralenti, approcha sa bouche de mon gland. D’un mouvement de tête très sensuel, elle rejeta ses cheveux sur le côté. Elle m’enleva mon pantalon. Mon sexe raide n’était qu’à quelques centimètres de sa bouche. Je sentais son souffle chaud sur mon gland. Elle commença par me lécher à grands coups de langue, comme si elle léchait une glace. Sa langue partait de mes couilles et remontait jusqu’au sommet de mon vit. Arrivée en haut, elle s’activait frénétiquement sur mon frein. Je ne pouvais détacher mon regard du sien. Enfin elle prit mon gland dans sa bouche. Sa tête montait et descendait toujours un petit peu plus bas. Le rythme était très lent mais avait la régularité d’un métronome. À l’intérieur de sa bouche, sa langue ne restait pas inactive, elle était partout à la fois.— Attends, lui dis-je, attends, fais-moi voir tes seins, je t’en supplie.Sa tête s’immobilisa, tout en conservant mon sexe dans sa bouche. Elle me regarda droit dans les yeux. Ses joues étaient creusées et je pouvais apercevoir la bosse de mon gland. Elle me sourit et se redressa. Elle ôta son bustier et resta debout face à moi pour que je puisse admirer sa poitrine qui m’avait obsédé toute la soirée. Elle était à la hauteur de mon attente. Ses seins étaient parfaitement ronds. Ils étaient un peu plus gros que ceux de ma cousine, avec des mamelons proéminents.— Ils te plaisent ? me demanda-t-elle, avec un petit sourire en coin.— Ils sont magnifiques, articulai-je avec difficulté.Tout en continuant de me sourire, elle s’agenouilla entre mes jambes pour reprendre sa fellation. Elle posa mon gland sur le bout de sa langue et me masturba avec le pouce et l’index placés en forme de bague autour de ma hampe. Elle prenait son temps et semblait prendre un malin plaisir à me faire monter la pression progressivement. De sa main libre, elle me malaxait les testicules. C’était une véritable experte dans l’art de la pipe.Julie, qui avait fini de prendre sa douche, entra dans la pièce. Elle portait un peignoir en satin blanc qui lui arrivait au ras des fesses. Elle mit son index devant sa bouche pour me faire signe de me taire. Elle nous observa silencieusement quelques instants. J’eus peur que ce délicieux moment ne prenne fin. Virginie continua à me sucer, sans s’être rendue compte de l’arrivée son amie. Julie resta un moment à nous observer, silencieusement. Je la regardais dans les yeux. Soudain, une des mains de ma cousine s’aventura entre les pans de son peignoir. Sans la moindre pudeur, elle se caressait les seins. J’avais craint que sa jalousie ne l’emporte, mais non, elle semblait, elle aussi, apprécier la situation. Je vis sa main descendre le long de son corps. Elle se caressait le ventre et je savais exactement où elle se dirigeait.Lorsque sa main atteignit sa chatte, son peignoir s’ouvrit entièrement, me permettant d’admirer son corps. Elle resta quelques instants à se caresser debout. Je pouvais voir le plaisir monter en elle. D’un mouvement d’épaule, elle laissa tomber son unique vêtement derrière elle et s’avança vers nous. Elle s’assit à côté de moi. Sans cesser de me sucer, Virginie leva les yeux vers ma cousine et lui envoya un clin d’œil complice. Julie m’embrassa à pleine bouche, tout en me pinçant un téton. Je glissai ma main entre ses cuisses et caressai son sexe. Elle était inondée. Pour faciliter le passage de ma main, elle avait écarté ses jambes en grand. Virginie semblait hypnotisée par le ballet que jouaient mes doigts sur le sexe de Julie. La respiration de ma cousine se fit de plus en plus saccadée. Elle était au bord de la jouissance. Ne voulant pas se laisser aller la première au plaisir, elle se glissa par terre, à côté de son amie.Ma cousine posa sa tête sur ma cuisse. Leurs visages étaient très proches l’un de l’autre. Julie sortit sa langue et me lécha à la base de la hampe. Elle profita de ce que son amie relevait la tête, pour gober mon sexe à son tour.Je n’en croyais pas mes yeux. J’avais entre les jambes deux filles qui me faisaient une pipe d’enfer. Mon sexe était dans la bouche de ma cousine, alors que Virginie continuait de me masturber. Les deux filles étaient parfaitement synchronisées. Je savais que je ne résisterai pas longtemps à ce traitement. À un moment, il y eut une légère confusion dans leur coordination. Elles se retrouvèrent toutes les deux à vouloir prendre mon sexe en bouche en même temps. Elles se regardèrent, penchèrent la tête chacune d’un côté et se mirent à me sucer chacune une moitié du sexe. Leurs lèvres se touchaient. Lorsqu’elles arrivaient au niveau du gland, c’est deux langues qui me léchaient. Je pouvais admirer la pointe de leur langue se toucher « accidentellement ».Virginie se saisit d’un téton de son amie. Elle le triturait entre son pouce et son index. Julie semblait tellement absorbée par ce qu’elle faisait, qu’elle donna l’impression qu’elle ne s’était rendue compte de rien. Virginie passa son bras autour du cou de ma cousine et elles se roulèrent une pelle avec mon gland pour épicentre. Les voir faire me déclencha une jouissance phénoménale. Virginie dirigea mon sperme vers ma cousine, qui le reçut sur le visage et les seins. J’étais dans un état second, à la limite de la perte de connaissance.Pendant que je retrouvais mes esprits, Virginie entreprit de nettoyer sa copine. Avec de tout petit coup de langue, elle récupérait mon sperme sur le visage de Julie qui se laissait faire. Une petite trace de sperme, juste à la commissure des lèvres de ma cousine, les entraîna dans un fougueux baiser. Je pouvais admirer leurs seins pressés les uns contre les autres, leurs mains découvrant le corps de l’autre.Virginie embrassa ma cousine dans le cou, puis dans le creux de l’épaule et enfin emboucha le téton de Julie, pour y récupérer la petite goutte de sperme qui s’y trouvait. Ma cousine rejeta sa tête en arrière et ferma les yeux pour savourer le plaisir que son amie lui procurait. Je les observais silencieusement, de peur de rompre le charme. Les voir ainsi, se peloter, s’embrasser, réveillait en moi le désir. Mon sexe commençait lentement à se redresser fièrement. En les observant un peu plus attentivement, je vis que la main de Virginie s’était glissée entre les cuisses de ma cousine et je ne doutais pas qu’un doigt ou deux, s’étaient aventurés plus profondément en Julie. Virginie s’écarta de ma cousine et se leva, abandonnant quelques instants ses caresses. Julie leva les yeux vers elle, presque en implorant la suite. Son amie défit le zip de sa jupe et la baissa, entraînant du même coup son string blanc. De là où je me trouvais, j’avais une vue imprenable sur la partie la plus charnue de son anatomie. Son cul était presque parfaitement rond, séparé au milieu par une adorable raie dans laquelle je me serais bien aventuré.Ma cousine était toujours assise par terre, jambes écartées, attendant la suite avec une impatience qui se lisait sur son visage. Virginie s’abaissa au niveau de son amie et tout en l’embrassant, elle lui appuya sur les épaules pour que Julie s’allonge, puis l’embrassa tout le long de son corps jusqu’à sa chatte. Je pouvais admirer ma chère cousine en train de se faire lécher et y prendre du plaisir. Julie avait posé ses mains sur la tête de sa copine et elle lui donnait le rythme, tout en ondulant du bassin et en me fixant dans les yeux.Moi, toujours assis sur la banquette, je me branlais doucement pour me faire bien durcir, en attendant que l’on fasse appel à moi. C’était un véritable supplice de Tantale que de voir ces deux femmes nues devant moi. Ma cousine prenait du plaisir sous mes yeux avec quelqu’un d’autre que moi. J’en éprouvais une pointe de jalousie ; mais quelle adorable torture. La jalousie et l’excitation qu’elle me procuraient, me faisait découvrir une nouvelle sorte de plaisir : le plaisir de la souffrance.Julie se roula sur le côté et Virginie, qui avait compris la manœuvre, rapprocha son bassin pour que ma cousine puisse lui rendre son cunni. Leurs deux corps ondulaient à l’unisson. Je voyais la langue de Virginie pénétrer ma cousine, ses doigts jouer avec son clito. Mon sexe avait retrouvé toute sa vigueur et en devenait douloureux. J’étais tellement absorbé par le spectacle, digne d’un film X, qui se déroulait à mes pieds que, sans m’en rendre compte, j’avais accéléré mon va-et-vient sur mon sexe. J’étais en symbiose avec les filles. Je rythmais mes va-et-vient avec leurs soupirs et leurs gémissements.Sans une parole, elles changèrent de position. Allongées par terre, elles se placèrent de manière à ce que chacune d’elle puisse se frotter le pubis sur la jambe de l’autre. Elles se tenaient très serrées. Elles s’embrassaient goulument. Elles semblaient être possédées. Leurs ondulations étaient très amples, de manière à ce que leurs clitos restent le plus longtemps en contact avec la cuisse amie. Leurs mains semblaient être partout à la fois, sur les seins, les fesses, les hanches… Malgré que leurs bouches étaient comme soudées l’une à l’autre, leurs gémissements se firent de plus en plus fort, me laissant penser qu’elles étaient en train de jouir, là , sous mes yeux et sans moi. Leurs ondulations ralentirent. Julie, se détachant légèrement de son amie, me fit signe d’approcher. Elle se saisit de mon sexe bandé et le présenta à Virginie.— À toi l’honneur, dit-elle, en m’indiquant de m’allonger sur le dos.Virginie ne se fit pas prier. Elle s’installa à califourchon sur moi, pendant que ma cousine dirigeait mon pieu vers l’entrée du puits d’amour de sa copine. Elle me branla ainsi, quelques instants, en prenant bien soin de garder la majeure partie de mon membre au creux de sa main. De cette manière seul mon gland pouvait pénétrer son amie.— Enlève ta main, supplia Virginie, je veux le sentir au fond de moi.Julie laissa glisser sa main et se saisit de mes couilles. Virginie s’empala à fond et resta ainsi quelques secondes, puis reprit son déhanchement.— Ooooh que c’est bon ! dit-elle.Julie profita de cette pause, pour pincer les mamelons de son amie.— Attends, me dit Virginie, en levrette, prends-moi en levrette.Elle s’installa à quatre pattes, la tête entre les cuisses de ma cousine. Je pouvais admirer la petite rondelle de Virginie et en même temps, je voyais le visage de ma cousine resplendissant de plaisir. Une jouissance sans commune mesure, nous faucha tous les trois.Lorsque nous avons retrouvé nos esprits, c’est le plus naturellement du monde que nous sommes allés finir la nuit dans le lit.Virginie passa de plus en plus de temps avec nous. Tout les week-ends, elle s’installait avec nous. Nous faisions l’amour tous les trois à n’en plus finir. Les vacances d’été arrivèrent et notre séparation fut douloureuse. Pendant l’été, Julie rencontra un garçon, Marc et décida de poursuivre ses études dans le Midi, pour être plus proche de lui. Virginie emménagea avec moi dans l’appartement.Aujourd’hui, Julie a épousé Marc. Elle vit toujours avec lui et leurs enfants dans le sud de la France. Virginie et moi sommes également mariés, et tous les étés nous passons nos vacances chez ma cousine. Marc ne sait rien de notre relation avec Julie mais, tous les étés, nous trouvons un moment pour faire l’amour tous les trois…