Hier soir, il s’est passĂ© quelque chose d’incroyable. Jamais je n’aurai cru que ça pourrait m’arriver. Je n’en reviens toujours pas ce matin. Il faut que je le raconte Ă quelqu’un mais c’est impossible, et pour cause, dans mon entourage. VoilĂ pourquoi j’ai dĂ©cidĂ© d’Ă©crire cette confession et de vous l’envoyer.Je suis mariĂ© depuis deux ans avec une femme superbe et sexuellement active. Elle a tout juste 20 ans et j’en ai un de plus. Nous nous sommes connus sur les bancs du lycĂ©e, il y a dĂ©jĂ quatre ans et nous nous sommes aimĂ©s tout de suite. J’ai Ă©tĂ© acceptĂ© par ses parents dès ma première visite chez elle. Ils sont encore très jeunes d’esprit et nous passons beaucoup de temps avec eux, puisque nous habitons un studio amĂ©nagĂ© dans la grange de l’ancienne ferme qu’ils ont retapĂ©e.Hier soir, donc, j’Ă©tais seul Ă la ferme avec ma belle-mère, Chantal. Ma femme et son père Ă©taient de sortie pour assister au conseil municipal auquel ils appartiennent tous les deux. GĂ©nĂ©ralement, cela dure bien deux ou trois heures. Je lisais un bon bouquin quand le tube de mon lampadaire halogène a lâchĂ©. Je n’avais pas d’ampoule de rechange. Je me retrouvai donc dans le noir et n’avais pas d’autre solution que de chercher de l’aide chez ma belle-mère. Je me suis alors tant bien que mal dirigĂ© vers le corps principal de la ferme Ă travers la pĂ©nombre.J’ai frappĂ© Ă la porte du bâtiment mais, n’obtenant pas de rĂ©ponse et puisqu’elle est toujours ouverte, j’ai pris l’initiative de la pousser. Je sais oĂą mon beau-père range son matĂ©riel de bricolage et je pensais trouver mon bonheur tout seul. En entrant dans le salon, j’ai Ă©tĂ© alertĂ© par un bruit qui ne pouvait pas me laisser indiffĂ©rent. J’entendais des petits gĂ©missements qui semblaient provenir de la chambre de mes beaux-parents, situĂ©e Ă l’Ă©tage. Pour en avoir le cœur net, j’ai gravi les quelques marches qui y conduisent. LĂ , sur le palier, j’ai trouvĂ© la porte de la chambre entrouverte. Je me suis approchĂ© et j’ai jetĂ© un coup d’œil. Sur le lit, Chantal Ă©tait agenouillĂ©e, le bras coincĂ© entre les cuisses, agitĂ©e de soubresauts.Vous imaginez bien combien j’Ă©tais troublĂ© par ce spectacle inattendu. Je le fus plus encore lorsque ma belle-mère, m’interpella :- Entrez Lucas ! Venez me toucher, ne restez pas coincĂ© sur le palier. Aidez-moi Ă jouir ! J’avais du ĂŞtre trahi par le miroir qui fait face au lit. Elle avait du voir mon reflet dans la glace. Je ne savais que penser ou quoi faire. Elle insista :- Venez, venez me fourrer. Nous sommes seuls, il n’y a rien Ă craindre. Personne n’en saura rien et j’ai trop envie de vous, de votre belle bite. Depuis que j’ai vu la bosse dans votre maillot de bain, l’autre jour, Ă la piscine, je rĂŞve de votre queue. Ouah, elle faisait fort la belle-doche ! Je commençais Ă transpirer et mes jambes semblaient vouloir me conduire vers le pieu. Je dĂ©cidai inconsciemment de ne plus rĂ©sister et de la rejoindre. En quelques pas, je me suis retrouvĂ© sur le lit avec elle. Elle m’a aidĂ© Ă enlever mes fringues. J’Ă©tais complètement Ă poil, tout comme elle. A part ma femme, je n’avais jamais vu de corps fĂ©minin totalement dĂ©vĂŞtu autrement qu’en image. Ca m’a fait un effet bœuf. Mon sexe s’est mis au garde-Ă -vous instantanĂ©ment. J’Ă©tais Ă genoux sur le lit, face Ă Chantal, dans la mĂŞme position. En me souriant, elle a pris ma queue en main et a commencĂ© Ă me la branler. Elle faisait ça bien, mieux encore que sa fille qui, pourtant est très douĂ©e. Elle faisait surtout agrĂ©ablement aller et venir sa main sur toute la longueur du manche. Je pense qu’elle ne voulait pas que je m’excite trop vite quand mĂŞme et que c’est pour cela qu’elle n’insistait pas sur la zone la plus sensible de mon gland. – Touche-moi aussi le sexe Lucas ! Caresse-moi la fente comme je te branle la bite et nous allons bien jouir. Dis-donc, elle est aussi grosse que je me l’imaginais, ma fille en a de la chance d’avoir un beau morceau comme celui-ci Ă sa disposition. Tout Ă l’heure, tu vas me le mettre bien au chaud.Elle Ă©tait passĂ©e au tutoiement et ça aussi ça m’excitait. Tout autant que le contenu scabreux de ses phrases ou que les attouchements qu’elle prodiguait Ă mon sexe. Pour ma part, je restai muet, bien incapable de prononcer quelque parole que ce soit. J’approchai ma main de sa vulve avide et lui fourrai deux doigts d’un coup, rapidement happĂ©s par son trou. – Petit vicieux, tu y vas en force. Tu as de la chance, j’aime ça. Tu peux y mettre un troisième si tu veux, j’ai de la place. De toute manière, il faut bien me prĂ©parer Ă recevoir ton beau zizi. Ouvre-moi la fente en grand !Effectivement, ce n’Ă©tait pas l’espace qui manquait au fond. Cependant, mes doigts Ă©taient bien serrĂ©s lors du passage. C’Ă©tait bizarre mais je me rappelai alors que je n’Ă©tais jamais entrĂ© dans une chatte de femme mĂ»re, n’ayant connu que celle de ma jeune Ă©pouse. Chantal avait tout de mĂŞme 40 ans et cela pouvait expliquer bien des choses. Qui plus est, ma belle-mère Ă©tait une femme active et sportive au corps musculeux, ce qui ne gâtait rien.- Oh, tu me touches bien mon cochon ! LĂ , oui, tripote mon clito, caresse-le, surtout le bout, j’aime quand tu fais ça. Tu es douĂ© pour la branlette.J’Ă©tais touchĂ© par ses compliments mais il faut ĂŞtre honnĂŞte : c’Ă©tait surtout la manière dont elle me branlait la queue qui me faisait haleter et qui me motivait. Je crois qu’elle sentit qu’il ne fallait pas que la situation s’Ă©ternise.- Je ne veux pas que tu jouisses dans mes doigts. Viens mettre ton mandrin dans ma chatte, je veux que tu jutes dans mon ventre !Tout en parlant, elle se retourna et se mit Ă quatre pattes, face au miroir qui m’avait dĂ©masquĂ© tout Ă l’heure. Je compris qu’elle souhaitait que je la prenne en levrette. J’aime beaucoup utiliser cette position avec ma femme car cela me permet d’entrer très profondĂ©ment en elle. De plus, ça me donne vraiment un total contrĂ´le sur la situation et je crois que cela satisfait mon vieil instinct de mâle dominant. J’apprĂ©cie de moduler les mouvements de ma partenaire en lui tenant fermement les fesses et en faisant glisser son cul sur mon manche. Bien sĂ»r, au bout d’un moment, je ne contrĂ´le plus rien du tout et les gesticulations de ma femme sur mon pieu deviennent dĂ©sordonnĂ©es. Il est très rare qu’elle ne jouisse pas totalement quand nous adoptons cette position.Chantal Ă©tait maintenant bien calĂ©e sur mon sexe. Avant de lui tenir les fesses, je lui tirai un peu sur les seins. Elle avait l’air d’apprĂ©cier ça. J’insistai donc sur les bouts que je lui Ă©tirai doucement et que je fis rouler entre mes doigts.- Oh cochon, tu me trais les seins, tu me tire dessus. C’est bon, mais n’oublie pas de me bourrer. Je veux que tu me foutes bien au fond. Ta bite est bien plus grosse que celle de mon homme et plus vivace que mes godes. Je la sens qui frĂ©tille dans mon ventre. Vas-y, vas-y, nique-moi Ă fond ! J’accĂ©lĂ©rai le mouvement. Je lâchai ses seins et me saisi de son cul. Je la tirai, je la poussai, j’accompagnai ses allers et retours sur ma tige. Elle me serrait en elle, elle joignait ses genoux pour se faire plus Ă©troite. J’Ă©tais bien dans sa vulve brĂ»lante et mon gland Ă©tait ultra-sensible. A chaque poussĂ©e, je sentais le plaisir qui montait. Pour la première fois, je m’exprimai :- Ah, tu es aussi chaude que ta vicieuse de fille. Elle a de qui tenir. Si elle savait que je baise sa mère comme une chienne. Car tu fais la chienne, Ă quatre pattes sur mon pieu, perforĂ©e par ton mâle.- Oh oui, vas-y encore, je suis ta chienne si tu veux. Et tu es mon chien. Vas-y MĂ©dor, pompe-moi le cul, nique-moi, oui, plus loin, plus fort !J’allais avoir du mal Ă tenir plus longtemps. Elle m’excitait trop avec son langage de pute. Mais je voulais qu’elle jouisse avec moi. Alors, pour l’achever, je suçai mon pouce et je vins le coller, bien lubrifiĂ©, directement sur son trou du cul. Je poussai un peu et je le lui fourrai jusqu’Ă la garde. C’en fut trop pour elle.- Oui, tu me fais le cul. Oh c’est trop bon, ça suffit, arrĂŞte, arrĂŞte, j’explose, je jouis ! Ta chienne jouis MĂ©dor, comme jamais ! Ahhhh, Ah…Ce furent ses dernières paroles avant de s’Ă©craser sur le lit oĂą je la suivis, tout en jutant une tonne de sperme au fond de son ventre.Je suis restĂ© quelques temps avec elle mais elle s’est endormie sans m’avoir reparlĂ©. Je me suis levĂ© et j’ai quittĂ© la chambre. Je suis retournĂ© dans notre studio, non sans avoir cherchĂ© une nouvelle ampoule au passage. Ce matin, Ă l’instant oĂą j’Ă©cris ces lignes, je ne l’ai pas encore revue. J’apprĂ©hende le moment oĂą, inĂ©vitablement, nos chemins se croiseront Ă nouveau.