Résumé de l’épisode précédent : Jeune homme en vadrouille sur la côte, j’ai trouvé un job comme professeur particulier auprès d’une famille. La première fois où je suis entré dans la maison, j’ai rencontré la mère de famille avec qui j’ai connu des relations intimes.Une semaine s’était écoulée depuis ma première rencontre avec Sandrine. Je poursuivais des activités saisonnières à proximité de la Maison : vente dans des snacks, distributions de beignets sur les plages, etc. J’aimais me balader sur la plage et apercevoir ses corps dénudés prenant le soleil, ces jeunes filles dans la fleur de l’âge dont la beauté était amplifiée par un bronzage naissant. Ma rencontre avec Madame m’avait tout de même fait relativiser mon intérêt pour les filles de mon âge. Non pas que je n’éprouvais plus d’excitation à l’idée de tâter ces bustes et ces petits culs, mais j’avais découvert qu’il existait autre chose : des corps plus matures. Toujours est-il que ces balades sur la plage étaient agréables, si l’on exceptait la chaleur étouffante qui rendait parfois le travail un peu pénible.Je comptais néanmoins les jours qui me séparaient d’un retour dans la Maison. Mon premier cours était programmé pour le samedi et j’appréhendais de revoir Sandrine. J’ai toujours été surpris par les personnes qui ont couché ensemble et qui, mine de rien, font comme si ça ne s’était passé… du genre : on s’claque la bise alors que j’t’ai bouffé le cul y a deux jours. Bref, je ne savais pas comment notre nouvelle rencontre allait se dérouler, et puis je devais rencontrer Mademoiselle, Magda, la « fleur ». Je me demandais si elle était aussi ingénue que sa mère semblait l’imaginer. La semaine s’écoula vite, entre mes activités précédemment citées, quelques soirées, et les bains de mer de fin de journée.J’eus quelques difficultés à m’endormir le vendredi soir, imaginant les différents scénarii qui m’attendraient le lendemain. Je regrettais d’avoir refusé une invitation à un barbecue sur la plage, cela m’aurait occupé l’esprit, mais il était trop tard, j’étais dans mon lit et je me faisais les films de ma journée du lendemain. Et si son mari avait appris la relation intime que j’avais eue avec sa femme ? Après tout, la bonne était dans la maison lorsque ça s’était passé et la terrasse était visible d’un peu partout. Et si Sandrine refusait de me laisser entrer, prétextant avoir trouvé un autre tuteur pour sa fille ? Comment était-elle d’ailleurs, cette fille ? Chipie pourrie gâtée comme je l’imaginais ? Je finis par m’endormir, tournant et retournant toutes ses possibilités dans ma tête.Il est dix heures tapantes lorsque je me présente au domicile pour ma première leçon. Je sonne à l’interphone, la bonne me reconnaît à la caméra et m’ouvre le portail. Après avoir traversé le jardin, j’arrive devant la porte d’entrée, la bonne – encore elle – m’ouvre la porte de la maison et je redécouvre cette entrée ainsi que ce foutu tableau de « maître ». La dernière fois, il m’avait semblé moche, mais là, il me fout carrément les boules… C’est sanglant et dégueulasse.— Bonjour, Monsieur. Vous allez bien ?— Oui, merci Paula.— Oh ! Monsieur connaît mon prénom ?— Oui, Madame me l’a dit.— Bien, très bien ! Suivez-moi, la famille vous attend.Quoi ? La famille m’attend ? On va quand même pas se taper les présentations générales avec le paternel ? Eh bien si, ça ne loupe pas ! Je suis Paula dans l’autre aile de la maison, et arrive dans ce qui semble être un salon. Je ne sais pas nommer les pièces dans les grandes maisons bourgeoises alors vous excuserez mon inexactitude. Chez moi on a un salon, une cuisine, une chambre et basta. Ils sont là, les trois ! Y aurait eu un chien assis à côté que j’aurais eu le parfait exemple de la bonne petite famille. C’est le pater familias qui prend la parole en premier tout en me serrant la main :— Bonjour, jeune homme.— Bon… bonjour monsieur.J’étais un peu troublé. Il ressemblait à une caricature du petit gars bien propre sur lui avec l’équivalent d’un polo Ralph Lauren sur les épaules et un short de tennisman du plus bel effet. Le genre de mec dont j’aime baiser la femme.Elle intervient d’ailleurs :— Bonjour Ben, un plaisir de vous revoir.— Bonjour, Madame, plaisir partagé.Elle aussi me serre la main. Le contraste de la situation m’amuse quelque peu… C’est bien la même main que t’as utilisée pour le branler la dernière fois ? Hein, juste pour être sûr ? Je m’abstiens bien évidemment de faire le commentaire, mais je ne peux m’empêcher de noter qu’elle a troqué sa jolie robe rouge pour une tenue plus sportive : elle aborde une minijupe de tennis et un débardeur blanc qui laisse légèrement transparaître ses tétons… ses délicieux tétons. L’espace d’une seconde, j’en oublie la situation dans laquelle je suis et m’imagine lui arracher son débardeur, lui descendre sa culotte, et la prendre intensément.— Et voici notre Magda.Ouf, le fait qu’elle reprenne la parole me sort un peu de ma torpeur. La voilà donc, cette fleur… Eh bien, elle a déjà bien poussé ! C’est une très jolie jeune fille qui ressemble un peu à sa mère, même si ses cheveux sont d’un brun encore plus prononcé. En revanche, je ne reconnais pas les traits du père. D’ailleurs, si vous me demandiez maintenant de faire un portrait-robot du paternel, j’en serai bien incapable. Au vu de ce qui s’est passé cet été-là, le pauvre bougre mériterait tout de même un peu d’attention, mais je crois que mon cerveau l’a complètement occulté.Madga me sourit timidement et lâche faiblement un « bonjour ». Les présentations terminées, il reste à régler la question financière. Un peu gêné, j’indique mes tarifs de 50 euros de l’heure. Le père acquiesce sans broncher :— Ce n’est pas un problème, nous sommes au courant de vos qualités et vous avez fait une très forte impression à ma femme. Tu m’étonnes ! J’attends cependant un comportement exemplaire, et pour être sûr que Magda progresse, j’organiserai un test tous les quinze jours.Mais c’est qu’il me met la pression ! Si je veux avoir une chance de pouvoir pénétrer de nouveau dans la Maison (et dans l’une de ses habitantes), je vais devoir assurer.— Oui, je comprends. Aucun problème, nous allons bien travailler, pas vrai, Magda ?Sans se départir de sa timidité, elle répond de nouveau par l’affirmative. Je suis un peu confus quant à la personnalité de la jeune fille. Elle va prendre 19 ans, a presque déjà un corps de femme, mais a la timidité d’une gamine. Je ne sais pas trop quoi en penser.— Si vous avez besoin de quelque chose, vous voyez avec Paula. Nous avons notre partie de tennis habituelle et un brunch, nous ne nous reverrons donc que la semaine prochaine. Vous pourrez vous installer ici, dans le grand salon, pour faire la leçon. C’est bien deux heures, aujourd’hui ?— Oui Monsieur, c’est bien ça.— Très bien, voici votre argent.Il sort une liasse de billets qui doit contenir pas loin de 300 euros, me tend deux billets de 50 et ajoute :Tandis que Magda part chercher ses affaires et qu’il va démarrer la voiture, j’ai un petit moment seul avec Sandrine. Elle se colle instantanément à moi, et me dit :— J’ai pensé à toi toute la semaine !— Moi aussi.— Je vais me démerder pour qu’on puisse se retrouver tous les deux, mais pour le moment, fais profil bas, mon mari n’était pas très emballé pour prendre un garçon et j’ai dû insister pour qu’il te fasse confiance… alors, déconne pas !J’ai envie d’elle. J’ai envie de l’embrasser. J’ai envie de lui bouffer les seins à travers son débardeur. J’ai envie de glisser ma main sous sa minijupe.— OK ! Promis. J’ai hâte.Je pense que je vais devoir me contenter de cette seule proximité physique de nos corps habillés, mais juste avant qu’elle ne parte elle fait glisser son string de sous sa minijupe, j’entraperçois sa chatte épilée, et elle me le tend.— Tiens, ça te fera patienter.Elle file à toute vitesse après m’avoir furtivement embrassé. Son string est mouillé. Je ne peux m’empêcher de sentir sa délicieuse odeur, mais je sais mon temps compté avant que Magda ne réapparaisse. Je le range alors dans ma sacoche et sors mes affaires. Quand j’attrape mon carnet de notes, j’ai l’impression de me sentir épié. Je relève brusquement la tête et vois un œil inquisiteur se dérober d’une pièce adjacente dont la porte est restée entrouverte. J’ignore de qui il s’agit. Je reprends à peine mes esprits que je vois Magda revenir. Elle n’a pas seulement amené ses affaires… elle s’est changée et débarque habillée d’un mini débardeur noir dans lequel ses seins sont libres comme l’air. Ils sont gonflés et je pense percevoir des tétons qui pointent légèrement. Décidément, c’est de famille ! Elle ne me semble plus aussi timide que tout à l’heure.— Alors, professeur, allons-nous commencer la leçon ? me lance-t-elle d’un air badin.— Oui, installons-nous.J’essaie de ne pas laisser transparaître mon excitation. D’abord Sandrine qui me chauffe puis la « timide » Magda qui descend, habillée comme pour aller en soirée. Je me répète comme un mantra « tiens-toi sage, déconne pas, t’fais pas la fille après la mama » ; « tiens-toi sage, déconne pas, t’fais pas la fille après la mama »…Je me dirige vers la grande table ronde qui paraît être la plus appropriée pour un cours, mais Magda m’interpelle et me dirige vers le canapé. On sera plus à l’aise, me dit-elle. J’en doute, et je sens poindre une demi-molle un poil gênante. Je sens qu’il me faut reprendre le contrôle de la situation.— Alors, Magda, quels sont les points dans lesquels tu souhaiterais t’améliorer ? Plutôt en arithmétique ? En géométrie ? En formules ?— J’aimerais savoir comment atteindre le point G ! me lance-t-elle dans un éclat de rire.— Haha… Eh bien, il te faudra un autre professeur, je suis spécialisé en mathématiques, pas en art érotique.Je l’entends pouffer, puis imperceptiblement se rapprocher de moi. J’ai comme une sensation de déjà-vu. Elles sont incroyables dans cette maison ! Mais non, pas cette fois, pas comme ça. Je me lève, et indique que la table sera plus appropriée pour travailler.— Comme tu veux, me répond-elle visiblement déçue.Ouf, je l’ai échappé belle. Je sentais mon caleçon se tendre sous une gaule de plus en plus difficile à maîtriser. Je m’installe à l’opposé de la table et m’imagine qu’une distance raisonnable entre nous suffira à calmer ses ardeurs de pucelle. N’empêche, c’est difficile de se concentrer. Je lui montre quelques schémas de figures classiques pour tester ses connaissances, mais elle ne regarde que moi. D’un regard pénétrant, et fascinant. Ce genre de regard dans lequel on a envie de plonger tout entier, de donner corps et âme, un regard qui nous fait rendre les armes. Elle perçoit mon trouble.— Ça va, professeur ? Vous semblez perturbé.— Oui, je suis juste un peu… fatigué. Concentre-toi sur les schémas s’il te plaît. Ici, qu’est-ce que tu reconnais ?— Un sacré beau gosse !— Madga, s’il te plaît, on me paie pour t’enseigner, j’aimerais bien qu’on avance. Et puis ton père m’a dit qu’il te testerait tous les 15 jours, il faut bien rendre des comptes !Je n’en reviens pas d’être devenu si raisonnable tout d’un coup. Je suis presque fier de moi.— Tu sais, il me teste régulièrement pour des drogues et ça n’m’empêche pas de m’en envoyer plein la gueule. Suffit d’être maligne. Tu l’es, malin, Ben ?— J’imagine, oui.— Alors tu vois, pas besoin de t’en faire ! Je te propose un truc. Tu fermes les yeux pendant 15 secondes, je reviens chercher quelque chose et après on bosse, OK ?Elle a cette confiance rare chez les jeunes femmes, une confiance en elle déstabilisante. Alors j’obéis. Naïf ? Non. Curieux ? Oui. J’entends la chaise qui se recule, mais aucun bruit de pas. Plutôt un bruit étouffé. Puis une main sur ma cuisse. Une main qui me caresse. Bordel, la garce a tout prévu ! J’aurais probablement dû reculer, faire semblant de me débattre, mais je suis tétanisé. Le pouvoir s’est complètement inversé. Une magicienne… une sorcière ?Elle se met à m’embrasser à travers ma braguette. J’entends un bruit presque vulgaire de succion, elle en fait trop, mais ça ne m’empêche pas d’être extrêmement excité. Puis mes boutons sautent un à un, ce qui me soulage, car j’étais un peu à l’étroit dans ce jean. Elle prend un malin plaisir à faire durer le déballage du paquet puis reprend ses bisous, cette fois à travers mon caleçon. Je sens déjà l’humidité de ses lèvres sur mon pénis et ça me fait un effet intense. Je me demande si elle a l’intention de mouiller l’intégralité de mon caleçon tellement cette étape dure longtemps. Je réalise que je n’ai toujours pas ouvert les yeux. Peut-être pour ne pas voir la réalité en face ?Elle me retire ensuite mon jean, étape pour laquelle je lui apporte mon aide : impossible maintenant de nier ma participation à cette débauche. Puis vient le tour du caleçon qu’elle fait descendre avec ces dents, comme une petite chienne. N’en pouvant plus, je recule la chaise pour la voir s’exécuter. Son visage est transformé. Elle ressemble à une guerrière prête à tout pour obtenir son butin de guerre. Une fois que le caleçon arrive au niveau de mes chevilles, elle me soulève les pieds puis le garde dans sa bouche en bougeant la tête de gauche à droite comme si la petite chienne était fière d’avoir obtenu son nonos. Et encore ce regard, plein de certitudes, qui me dit : il m’a fallu à peine cinq minutes pour te faire craquer, amateur. Elle relâche son butin et s’approche de sa cible.Ma queue est tendue et mes boules touchent la chaise. Je suis un peu mal à l’aise de souiller la chaise familiale sur laquelle dîne probablement le pater familias, mais je n’ai pas trop le temps d’y penser. Elle tire sur mes fesses pour me faire m’approcher du bord de la chaise et commence à me lécher les couilles avec avidité. Elle les soulève et m’en lèche l’intégralité de bas en haut, de gauche à droite. Parfois, elle m’en gobe une, ce qui n’est pas très agréable, mais qui suis-je pour me plaindre ? Elle crache ensuite dans sa main et entreprend une branlette maladroite.J’entrevois donc une relative inexpérience, derrière ses airs de celle à qui l’on ne la fait pas. Je veux sa bouche. J’appuie sur ma bite pour qu’elle soit parallèle à la chaise et dirige la tête de ma petite chienne vers mon chibre. Elle l’avale, goulûment dans un premier temps, puis exprime quelques haut-le-cœur. Deuxième preuve de son inexpérience. Je n’insiste pas et la laisse gérer à son rythme. Elle n’est peut-être pas très expérimentée, mais elle a quelques tours dans son sac. Elle m’embrasse le gland tout en me malaxant les couilles et fait des tours avec sa langue autour de mon sexe, puis elle embrasse délicatement mon frein, ce qui est une sensation que je n’avais jamais encore expérimentée et qui est délicieuse. Enhardi par mes soupirs de plus en plus soutenus, elle redouble d’efforts et, de nouveau, enfonce ma bite profondément dans sa bouche. Cette fois, ça passe beaucoup mieux. Je veux la toucher, lui toucher les seins, mais elle refuse.— Y a que moi qui touche, me dit-elle entre deux allers-retours sur mon membre.La fellation est bonne, je l’avertis que je vais jouir. Oui, je suis un gentleman. Elle me fait comprendre qu’elle veut tout dans la bouche. Ça m’étonne, mais puisqu’elle le veut, alors… je ne me retiens plus et lâche tout. Elle a un geste de recul, ça ne m’étonnerait pas que ce soit la première fois. Elle semble à la fois terriblement entreprenante et manifestement inexpérimentée. Elle recrache le tout par terre et me sourit. Je suis totalement troublé par cette jeune fille et par l’après-coup de la petite mort. Il me faut quelques secondes pour me remettre, et je la vois déjà se mettre de l’autre côté de la table.— Bon, on bosse maintenant ?