Comment je suis devenu acteur porno 1/5
Un jeune homme sans le sou va devoir passer de l’autre cĂŽtĂ© du miroir pour payer ses dettes…
Proposée le 6/08/2019 par goelan Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
ThĂšme: MasturbationPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Je m’appelle Hugo. J’avais cru qu’en envoyant des photos de ma bite en Ă©rection sur un site de photos trĂšs connu avec des channels privĂ©s, me donnerait rapidement des conquĂȘtes, mais en fait non. Il y avait plus de mecs que de filles la dessus et j’Ă©tais certain que la moitiĂ© des profils de filles a poil devait ĂȘtre tenus par des mecs ayant pompĂ©s des sĂ©ries de photos sur des sites pornos. Bref, mon seul faux profil ne suffisait pas, je m’abonnais Ă des groupes et partageais dessus diffĂ©rents plans de mon anatomie. J’Ă©tais normal de visage, un peu moins que banal, mais pas non plus un play boy, d’oĂč ma situation solitaire, surtout par timiditĂ© et une mĂ©ga mauvaise expĂ©rience, j’y reviens plus tard. Mais par contre j’avais une longue bite fine et courbĂ©e. Bizarre la vie mais je faisais prĂšs de 23 cm des couilles au bout du gland. Par contre, comparĂ© Ă des photos de sexes d’homme sur ne Net, j’Ă©tais plus fin en diamĂštre. J’Ă©tais loin de la tub des noirs hyper bien montĂ© et gros comme des concombres.Je n’avais eu qu’une petite amie et cela c’Ă©tait mal terminĂ© lorsque ses parents nous avaient trouvĂ©s au lit, un aprĂšs-midi d’automne. AprĂšs plusieurs sĂ©ances de bisous, touche pipi, nous n’Ă©tions qu’aux prĂ©liminaires et nous n’avions pas consommĂ©, mĂȘme si c’Ă©tait prĂ©vu. Disons que la vue de leur fille chĂ©rie ma bite dans sa bouche, et tous les deux nus sur le lit de sa chambre n’avait pas vraiment plu Ă son pĂšre. Le retour de bĂąton fut assez rude, j’Ă©tais jeune aussi, 17 ans et elle Ă peine 16. Son pĂšre ne fut pas tendre et je n’ai jamais osĂ© en parler Ă quelqu’un de cette dĂ©rouillĂ©e que j’avais eu droit. Je fus assez traumatisĂ© de ma relation Ă©ventuelle avec des « beaux-parents », ce qui me freinais assez lorsque je tentais de draguer. Je me demandais tout le temps « et si sa famille me voyait avec elle » lorsqu’une fille me plaisait.A force de frustration et de solitude, pour mes 25 ans, je m’Ă©tais inscrit sur des sites de rencontres, groupe et forum un peu olĂ© olĂ© . Mais bon moi je voulais baiser rapidement et sans relation sĂ©rieuse, enfin pour le moment. Et sans aller voir les putes non plus. Un jour de commençais Ă avoir des commentaires sur mes photos dans un des groupes de cul oĂč je les postais sur ce rĂ©seau social de photos assez connu. Et de prime abord pas du tout rĂ©servĂ© au sexe. On ne voyait pas ma tĂȘte et rien qui ne pouvait me relier Ă la rĂ©alitĂ©. A vrai dire, poster mon sexe dans toutes les situations m’excitaient beaucoup au moment de la pose, et du post ensuite, il m’arrivait mĂȘme de me branler et de poster le rĂ©sultat. Mais j’avoue qu’une fois en ligne, je me refroidissais et me jurais de ne plus recommencer, jusqu’Ă la photo suivante.Des commentaires d’un pseudo aussi anonyme que le mien apparurent rĂ©guliĂšrement, toujours positifs, avantageux, admiratifs, gourmands mĂȘme mais aucunement graveleux ou envieux . Je me mis Ă rĂ©pondre en remerciement et mĂȘme aux questions, tant que cela restaient anonyme.Lorsque je reçu un MP un jour sur ce mĂȘme site et de cette mĂȘme personne, je pensais Ă encore une invitation Ă un autre groupe ou une Ă©niĂšne tentative de plan Q gay. Je ne l’Ă©tais pas, j’aimais les femmes et exclusivement les femmes et leur plastique. Attention, je n’ai rien contre personne, mais les nichons, il n’y a que cela de vrai ! C’est un peu mon pĂȘchĂ© mignon et j’en matte autant que je peux. Mais bon les nanas habillĂ©es ne sont que du fantasme, en toucher c’est mieux, non ?Les messages me fĂ©licitaient sur la taille de ma queue, etje reçu un jour cette question « N’as-tu jamais pensĂ© Ă faire du porno ? ».Je ne rĂ©pondis pas, enfin pas tout de suite. L’idĂ©e ne m’Ă©tait jamais passĂ©e par l’esprit. Se pavaner nu devant des camĂ©ras trĂšs peu pour moi. Par contre, j’avoue cela serait un bon plan cul facile et rentable en plus. Mais ensuite, avec la diffusion sur le Net ou en DVDs de ma figure, je serais grillĂ© si par malchance quelqu’un tomberait dessus. Certes, vu le nombre de vidĂ©os ou films pornos tournant sur le Net Ă©tant tellement gigantesque, cela ne serait pas de bol, mais quand mĂȘme… Bon je n’Ă©tais pas moche, je faisais du sport, donc je ne serais pas pire que les autres.Les jours passĂšrent et je publiais de temps Ă autre d’autres photos de moi. J’Ă©tais assez pris par un projet perso d’art plastique pour mon mĂ©tier et, pour une fois, le sexe et les nanas n’Ă©taient pas ma prioritĂ©. Par contre, mon compte en banque si. Je venais de prendre une prune assez jolie et des points en moins, sans compter des factures impromptues et je me retrouvais dans le rouge.Comme par hasard, ce fameux contact m’envoya une adresse d’un petit studio de film de cul en plein Paris, plus le « salaire » des prises de vues pour des acteurs amateurs. Bon cela ne cassait pas des briques, c’Ă©tait loin d’un paiement d’un acteur pro, mais juste pour montrer ses fesses et tirer un coup, cela pourrait le faire. Je fis rapidement un calcul mental tout en grimaçant sur les possibles rĂ©percussions d’un tel engagement. L’un dans l’autre, si ce n’Ă©tait pas une arnaque, je pourrais remonter la pente rapidement avant d’avoir une amande de la part de ma banque, si ce n’est plus.J’hĂ©sitais un bon moment. Je notais mentalement les pour et les contre. J’eu du mal Ă dormir cette nuit lĂ et pour l’occasion, je postais une nouvelle photo de moi le sexe bien dressĂ©.Ce fut le courrier du lendemain qui me dĂ©cida. Mon loyer Ă©tait tombĂ©, je ne pouvais pas le rĂ©gler… Le samedi suivant au matin, je trĂ©pignais chez moi, toutes les deux minutes j’allais vers la porte puis revenais Ă mon petit salon. En bref, j’hĂ©sitais toujours et mĂȘme dehors et pendant mon trajet en mĂ©tro, car j’habitais la pĂ©riphĂ©rie de Parie, j’Ă©tais toujours incertain. j’avais mal au ventre comme lors d’un entretien d’embauche, car c’Ă©tait un peu cela en fait, j’allais plĂ©doyer pour un autre emploi !Je n’avais pas de rendez-vous. Je n’avais pas rĂ©pondu non plus au message. Je m’attendais Ă quoi alors ? SĂ»rement Ă trouver porte close vu l’heure et le jour. Comme si les gens travaillaient un samedi matin, enfin dans les bureaux j’entends.Le coeur plus lĂ©ger, je faisais l’effort de venir, mais sans suite, juste pour avoir bonne conscience, jâatterris devant une sĂ©rie d’immeuble gris dans une rue pleine de bureaux. J’ouvris et trouvait un escalier qui me mena au second Ă©tage. LĂ , plein de portes avec diffĂ©rents logos collĂ©s dessus. Au bout je trouvais avec apprĂ©hension le nom de l’entreprise que je cherchais.Je restais comme un pantin le coeur battant devant la porte attendant le dĂ©gel. Personne n’allait m’ouvrir si je ne toquais pas. Ma main mis un temps fou Ă frapper le battant de bois et j’Ă©tais prĂšs Ă partir lorsque j’entendis un « entrer ». Merde, il y avait quelqu’un ! AprĂšs un temps qui me parut trop long pour ĂȘtre sĂ©rieux, je finis par ouvrir et entrer. Dans une piĂšce aux murs clairs trĂŽnait un bureau devant une large fenĂȘtre. DerriĂšre le bureau se trouvait une jolie femme Ă la forte poitrine mise en valeur dans un bustier. La piĂšce n’Ă©tait pas trĂšs grande, Ă part cela il y avait deux chaises devant le bureau, un porte manteau et une armoire de rangement professionnelle. Une autre porte emmenait ailleurs. Et c’Ă©tait tout. C’Ă©tait assez spartiate, pas du tout ce que j’imaginait d’un studio de film de culs. »Hum, excusez-moi, bafouillais-je devant la jolie femme aux cheveux blonds qui me fixait entre l’impatience et la surprise. On m’a demandĂ© de venir ici pour… »Avancez un peu, je ne mords pas, me coupa-t-elle d’une vois assez agrĂ©able mais sĂšche.Je sentais la sueur perler dans mon dos. Ce n’Ă©tais pas une bonne idĂ©e, qu’est-ce que je venais faire ici ? Mon compte en banque se rappela Ă moi, j’Ă©tais dans le rouge, je n’avais pas le choix et je n’avais pas d’autres solutions de petits boulots pour empĂȘcher l’hĂ©morragie bancaire. »Vous savez ce que nous faisons ici me lança-t-elle me fixant dans les yeux.J’eu du mal Ă ne pas dĂ©rober Ă son regard. Elle Ă©tait jolie, encore plus avec son bustier qui attirait mon regard, et je fis un signe de tĂȘte par l’affirmative. »Asseyez-vous et racontez-moi qui vous a conduit ici. Et ne soyez pas si timide Ă la fin, Ajouta-t-elle agacĂ©e.Super comme premiĂšre impression. J’avais l’impression d’avoir 15 ans et de me trouver devant le proviseur pour une faute que je n’avais pas commise.Je lui narrais alors, le rouge aux joues, que je postais des photos de moi sur des sites spĂ©cialisĂ©es et qu’un de mes fans m’avait redirigĂ© vers elle, enfin le studio, pour, hum, peut-ĂȘtre trouver du boulot. Elle me sourit, tripotant un stylo entre ses doigts. Elle se cala au fond de son fauteuil et me fixa de haut en bas. « Donc vous ĂȘtes plutĂŽt exhibitionniste mais fort timide lorsque cela devient IRL, c’est bien cela ? « C’est Ă dire que cette proposition est nouvelle pour moi. »Alors pourquoi ĂȘtre venu ? »Disons que je suis curieux et que j’ai besoin d’argent… Merde je n’aurai pas du dire cela. Ses yeux se rĂ©trĂ©cirent et je me sentis comme une proie devant le loup. »Pourriez-vous me donner l’url de vos photos ?Je fus surpris et ne rĂ©pondis pas tout de suite. »Nous tournons des films pornographiques ici. Donc pensez-vous que je vais ĂȘtre choquĂ© Ă regarder votre anatomie sur le Net ? »Euh, non c’est que… « Je suis une femme c’est cela ? Elle me sourit et repris »Et alors qu’est-ce que cela change ? D’ailleurs j’ai changĂ© d’avis, dĂ©shabillez-vous plutĂŽt que je vois ce que vous pouvez nous proposez que les autres n’ont pas. J’ai plus de demande que d’offres, alors pourquoi auriez-vous plus de chance que les autres pour ĂȘtre au gĂ©nĂ©rique de nos films ?J’en restais baba, d’une part je devais me mettre nue devant cette femme, non pas qu’elle n’Ă©tait pas belle, mais quelque chose dans son attitude, un peu d’arrogance, un truc malsain dans son regard, sa provocation me gĂȘnait. D’autre part savoir qu’en fait outre toute cette mise en scĂšne, je n’aurai peut-ĂȘtre pas de job. Car oui, maintenant que j’y Ă©tais pourquoi pas aprĂšs tout. Il y avait comme une atmosphĂšre dans ce bureau coincĂ© au second Ă©tage d’un immeuble banal, entourĂ© d’autres bureaux avec des employĂ©s, des inconnus qui ne savaient peut-ĂȘtre pas ce qui se passaient ici. »Alors, dĂ©pĂȘchez-vous, j’ai d’autres chats Ă fouetter ! Sourit-elle en mettant ses coudes sur son bureau, son menton posĂ© sur ses mains en me fixant avec cynisme.Je faillis dĂ©guerpir, la laisser en plan et ne plus jamais revenir, mais Ă©tais-ce si diffĂ©rent que les photos que je postais ? Non pas plus, pas moins. Je me levais donc et comme un manchot j’enlevais le haut puis mes chaussures et enfin j’attaquais le pantalon.Elle ne me quitta pas des yeux, dĂ©vorant mon corps assez musclĂ© mĂȘme si je me trouvais plutĂŽt banal, surtout pas sĂ»r de moi, et lorsque je tirais vers le bas mon caleçon pour montrer mon membre dĂ©jĂ raidit, elle siffla. J’avoue que sa pose gonflait sa poitrine et que le fait d’ĂȘtre regardĂ© m’avait assez mis en Ă©moi. »Je dois avouer que vous avez quelque chose de plus que les autres. Me sourit-elle en fixant mon sexe bien dressĂ© maintenant. Je ne savais pas oĂč mettre mes mains, je me sentais comme une bĂȘte Ă la foire qu’on dĂ©taillait avant de la dĂ©couper pour se faire bouffer. »Tournez-vous, s’il vous plait.Ce que je fis. A quoi rimait cette situation. »Tatouage ? Percing ? Blessure ? Cicatrice ? »Non rien de tout cela rĂ©pondis-je, pressĂ© de me rhabiller. »Avez-vous de l’expĂ©rience sexuelle ? Fellation, sodomie, Ă plusieurs, avec des gens de couleurs, etc ? »Euh, rĂ©pondis-je. Les trucs classiques quoi. Je n’allais pas lui rĂ©pondre qu’Ă 25 ans j’Ă©tais encore puceau, que ma seule expĂ©rience fut un cunnilingus avortĂ©. »Hum, rĂ©pondit-elle un peu déçue. C’est vague tout cela. Branlez-vous que je vois dĂ©jĂ ce que vous pouvez faire de vos mains. »Hein, rĂ©pondis-je comme un demeurĂ©.Elle fit un geste de la main un peu irritĂ©e. »Dans ce genre de mĂ©tier, il ne faut ĂȘtre ni timide, ni demeurĂ©. Des gens sont nus ensembles, se voient nus, se branlent, font l’amour, sucent, baisent, s’enculent, c’est un business. Alors si vous n’ĂȘtes pas capable de vous branler devant moi, vous pouvez sortir tout de suite !Merde, quelle salope ! Mais elle avait raison. Je m’attendais Ă quoi, Ă un monde de bisounours en tutu ? Penaud, je fixais mes pieds et me mis Ă me branler doucement de haut en bas. »J’ai l’impression que vous manquez de motivation, sourit-elle. Je vais arranger cela. Elle se redressa et dĂ©boutonna doucement son bustier. Tout de suite l’excitation monta en moi. Merde, malgrĂ© son caractĂšre de peau de vache, elle Ă©tait rudement canon. 35/40 ans j’aurais dit, trĂšs jolie, quelques rides mais un visage d’ange, qui contrastait avec son job et son ton, et une poitrine Ă faire bander un ange.La dentelle d’un soutien gorge noir apparue et j’accĂ©lĂ©rai mon mouvement me branlant sans honte devant le spectacle. Deux boutons en moins, je pouvais voir une bonne partie de sa poitrine emprisonnĂ©e sous la dentelle. J’avais une brusque envie de les toucher, les sucer, les malaxer. Mais elle n’alla pas plus loin mais fut ravie de voir mon Ă©tat. »Et bien voilĂ , c’est nettement mieux. Approchez plus prĂšs s’il vous plait.J’obĂ©is tout de suite et me collais presque Ă son bureau, poussant mon bassin vers elle, ma bite tendue vers le plafond.Elle tendit la mains, hĂ©sita, mon coeur battait la chamade. Sa main manucurĂ©e aux ongles rouges et longs effleura mon sexe. Je frissonnais. »Vous ĂȘtes drĂŽlement montĂ©, trĂšs longue et en mĂȘme temps plus fine que la moyenne, trĂšs courbĂ© et ce gland en ogive, c’est Ă la fois bizarre et captivant.Sa main entoura la hampe de mon sexe et je manquais de respirer. Elle semblait mesurer mon diamĂštre et pencha la tĂȘte de cĂŽtĂ©. Allait-elle me sucer ? Je l’espĂ©rai.Elle glissa ses doigts depuis mes couilles jusqu’Ă mon gland, le griffant de ses ongles. Puis le tapota et recula dans son siĂšge, j’Ă©tais déçu et frustrĂ©. »Vous y avez cru, hein ? Gloussa-t-elle. Vous n’ĂȘtes pas ici pour faire quoi que se soit de plus, ce n’est pas un lupanar mais un premier entretien d’embauche. Asseyez-vous et restez comme cela, j’ai plusieurs poins Ă noter. J’avoue que vous m’intĂ©ressez.Je souris. Yes ! C’Ă©tait dĂ©jĂ cela de gagnĂ©. Assis sur la chaise dure, nu, la bite dressĂ©e, je me sentais Ă nouveau intimidĂ© par cette femme au grand charisme. Elle n’avait pas remis en place son bustier, je me rinçais l’oeil donc sans vergogne puisqu’elle pouvait faire de mĂȘme.Elle sortit des papiers de ses tiroirs, sa poitrine bougeait lors de ses mouvements et hypnotisĂ©, je ne pouvais regarder ailleurs. Elle me surpris lorsqu’elle m’adressa la parole Ă nouveau. »Reprenons. Vous dĂ©sirez jouer dans un film Ă caractĂšre pornographique en tant qu’acteur passif et actif, tout cela par curiositĂ© mais aussi par besoin d’argent ? »Euh, oui c’est cela, arrivais-je Ă rĂ©pondre. »Et ce sans expĂ©rience dans le domaine ? « Non, Ă part mes photos sur le Net, je n’ai jamais fait cela avant. »Bon. J’avoue que les novices, voire mĂȘme les puceaux en la matiĂšre peuvent parfois bloquer en prĂ©sence d’autres personnes nues, encore plus avec d’autres hommes. »Non, non, je vous assure, ça n’arrivera pas. rĂ©pondis-je avec vĂ©hĂ©mence tout en lorgnant ses seins. Surtout avec de tels pare-chocs sous mes yeux pensais-je. « Je vais remplir un prĂ©-contrat. J’avoue que malgrĂ© votre inexpĂ©rience, vous m’intĂ©ressez. Ne souriez pas ainsi, je dois avoir l’aval de mes collĂšgues. Elle me demanda alors plusieurs donnĂ©es personnelles. Je faillis mentir mais Ă quoi bon. Elle me posa plusieurs question sur ma santĂ©, notant les dĂ©tails, allergie, maladie, surtout sexuellement transmissible, j’aurai un test Ă faire et Ă ramener la prochaine fois. Ma bite dĂ©gonflait par manque d’intĂ©rĂȘt sexuel, elle n’en fit aucun cas, continuant Ă remplir des papiers comme tout autre entretien d’embauche. »Reprenons, selon vos dires, vous avez tout de mĂȘme de l’expĂ©rience. »Oui, quand mĂȘme. « Vous n’ĂȘtes pas farouche Ă la fellation, la sodomie, la baise Ă plusieurs et un peu de SM ? »Euh, sur ce dernier point, je ne sais pas trop, je n’ai jamais pratiquĂ©. RĂ©pondis-je avec sincĂ©ritĂ©. Elle me proposait des trucs assez sympas en fait. Je n’avais eu droit qu’Ă une seule fellation d’une gamine pucelle et c’Ă©tait dĂ©jĂ bien Ă l’Ă©poque. J’en rĂȘvais maintenant. En plus il y aurait des scĂšnes de pĂ©nĂ©tration, normal quoi, et de sodomie, ça volait haut chez eux !Elle nota tout cela satisfaite. Puis elle me demanda de me lever Ă nouveau pour faire des photos pour le dossier. Elle tiqua sur la mollesse de mon engin et soufflante, elle me demanda de m’approcher. Il lui suffit de toucher ma bite pour lui redonner vigueur. J’aperçu dans ses yeux comme un reflet d’envie.Je poussais mon bassin un peu en avant, juste au cas oĂč. »Tiens, vous n’ĂȘtes pas si timide que cela aprĂšs tout !Elle referma sa main sur ma bite et me fixant dans les yeux commença Ă me branler avec une lenteur extrĂȘme. Je la fixais sans perdre une miette de sa poitrine qu’elle comprimait volontairement avec ses coudes. »Allez, c’est suffisant, lĂącha-t-elle avec une voix lĂ©gĂšrement roque. Mettez-vous contre le mur.J’obĂ©is et elle vint avec un rĂ©flexe me prenant en photo de diffĂ©rents profils. Elle se mit Ă genoux tendant sa jupe sur ses cuisses musclĂ©es, elle Ă©tait trop loin de moi pour espĂ©rer quelque chose, mais me prit mon sexe en gros plan. J’eu l’impression que cette sĂ©ance dura plus longtemps que nĂ©cessaire. Elle me fit mettre Ă quatre patte aussi, me mitraillant de partout.Satisfaite, je vis bien qu’elle n’Ă©tait plus aussi mettre d’elle qu’au dĂ©but. Ainsi je pouvais faire cet effet aux femmes ?Elle rangea son appareil et revint s’asseoir derriĂšre son bureau. « Bon je crois que c’est tout pour aujourd’hui. Si je vous envoie un message cette semaine, revenez la semaine prochaine mĂȘme jour, mĂȘme heure pour finaliser le contrat, sinon, enchantĂ© d’avoir pu faire votre connaissance. Vous pouvez vous rhabiller.J’Ă©tais extrĂȘmement frustrĂ©. j’avais une envie de la baiser contre son bureau lĂ Ă l’instant, mais ce n’Ă©tait pas possible.En partant je sentis un truc me titiller l’esprit. A aucun moment elle n’avait demandĂ© qui m’avait poussĂ© Ă venir la voir. Serait-ce elle en fin de compte ? Me regardait-elle dĂ©jĂ sur le Net depuis quelques temps ? OĂč Ă©tais-ce l’un de ses collaborateurs ?FIN PARTIE 1************© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂȘtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂȘtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
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