Comment je suis devenu un acteur porno 2/5
La suite des aventures d’Hugo qui bon grĂ© et plutĂŽt mal grĂ©, se voit d’accepter de participer Ă un film porno
Proposée le 12/08/2019 par goelan Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
ThĂšme: MasturbationPersonnages: FHHLieu: Bureau, travailType: Roman
J’eu un message le lundi, positif, super et quel stress en mĂȘme temps.
Car par manque d’argent, je du me serrer la ceinture le reste de la semaine tellement mon porte-monnaie Ă©tait vide. Je fis les fonds de tiroir, je me fis inviter chez des amis, et j’Ă©tais Ă la limite de rĂ©clamer de l’argent ou de l’aide Ă mes parents. J’avais vraiment besoin de ce job, tant pis si on me voyait dans un film porno une fois diffusĂ©.Le samedi suivant, je revins avec nettement moins dâapprĂ©hension au bureau occupĂ© par la femme Ă la forte poitrine. Je fus déçu, elle n’Ă©tait pas seule, dommage pour moi. Il y avait un noir, chauve, belle carrure, le visage jovial et sympathique assis sur une chaise devant elle.Un autre candidat ? Peut-ĂȘtre. Mince, je ne pensais pas ĂȘtre en lice pour le job. Il fallait que je le dĂ©croche. « Asseyez-vous m’accueilli-t-elle avec quelques courtoisies. elle portait un sweet plus que moulant, d’ailleurs ses tĂ©tons Ă©taient visibles dessous, elle ne portait donc pas de soutien-gorge. Mon sexe grossit aussitĂŽt.Je pris place Ă cĂŽtĂ© du noir. Elle me prĂ©senta, GrĂ©goire, c’Ă©tait un acteur apĂ©riodique pour leurs studios et il pourrait ĂȘtre un de mes partenaires. C’Ă©tait donc l’occasion de faire connaissance.Je fis un peu la moue. Moi qui pensais qu’elle me toucherait Ă nouveau. Bref, passons.Elle m’affirma que je pourrais bosser avec et pour eux. Le salaire n’Ă©tait pas mirobolant due Ă mon manque d’expĂ©rience en la matiĂšre, mais bon au moins c’Ă©tait bien mieux que l’usine, non ?Elle me parla des closes. Une fois le contrat signĂ©, que je devais lire et valider, si je refusais de participer Ă leur film, sauf pour des raisons Ă©videntes mĂ©dicales ou autres du mĂȘme style, je leur devrais 10 fois le montant de mes honoraires. Je m’Ă©criais, je ne pourrai jamais payer cela. GrĂ©goire sourit mais je n’y fis pas attention. »En fait, c’est pour nous protĂ©ger. Nous avons eu plusieurs fois le cas de jeunes acteurs, novice disons dans ce genre de travail, qui ont annulĂ© leur prestation. Hors, comme toutes productions audio-visuelles, notre travail Ă un coĂ»t. Certes moindre qu’un film d’Hollywood mais quand mĂȘme. Comme nos budgets sont souvent serrĂ©s, nous prĂ©fĂ©rons prendre les devant. Cela vous ennuis ? »Je comprends mieux. Il n’y a pas de raison en fait. J’avais les mains moites. C’Ă©tait plus sĂ©rieux que je ne le pensais. L’industrie de la pornographie n’Ă©tait pas aussi simple qu’une vidĂ©o de couple larguĂ©e sur le Net. »Bien, pendant que je termine le contrat, dĂ©shabillez-vous tous les deux. Hugo cela vous habituera et Ă©vitera que le jour J vous paniquiez.Question panique, c’Ă©tait dĂ©jĂ le cas. Merde, et remerde. Si je n’Ă©tais pas aussi exsangue financiĂšrement, il y a longtemps que j’aurai claquĂ© la porte.GrĂ©goire fut plus rapidement nu que moi. Il Ă©tait montĂ© assez normalement pour un noir, loin des clichĂ©s des acteurs hypertrophiĂ©s. Par contre il Ă©tait plus musclĂ© que moi et sa peau luisait sans aucun poil.Une fois nu, j’Ă©vitais son regard fixant les seins de la patronne en face de nous. Mais pas moyen de bander. »VoilĂ , j’ai terminĂ© de remplir votre contrat. Elle poussa une liasse de papier vers moi. »Je vous conseille de le lire attentivement avant de le signer. C’est maintenant ou jamais d’accepter ou de refuser le job, ensuite une fois sur le plateau, vous serez tenu de suivre le scĂ©nario. Il sera dans la limite de vos expĂ©riences et des rĂ©ponses que vous m’avez donnĂ© la semaine passĂ©e. Donc pas d’inquiĂ©tude. Et je vous rassure, ce genre de scĂ©nario est assez light, les gens veulent voir du cul pas Ă©couter de la poĂ©sie.GrĂ©goire se mit Ă glousser. Il me matait de bas en haut, s’arrĂȘtant sur mon sexe. J’Ă©tais gĂȘnĂ©. Mais je devait m’y faire.Je pris les feuilles du contrat toujours debout et nu. Il Ă©tait Ă©pais avec de multiples closes. Je n’osais pas lui demander de le lire Ă tĂȘte reposĂ©e, chez moi par exemple. Pourtant pourquoi aurait-elle refusĂ© ? Je parcourais rapidement les pages, tout me paraissait en ordre, mĂȘme si je n’Ă©tais pas du tout concentrĂ© pour bien comprendre les diverses parties. Par contre j’avais retenu que je serai payĂ© 300 euros Ă la fin du film. Je pensais plus mais j’avoue qu’au moins cela me sortirai d’un mauvais pas. »Euh, si je signe, on commence quand ? « Si vous ĂȘtes disponible, cela peut se faire cette semaine. »Je pourrai m’arranger. Et pour le paiement ? »Je sais que vous ĂȘtes dans une situation un peu particuliĂšre, vous serez payĂ© une fois votre sĂ©ance terminĂ©e et non pas Ă la fin du film. Cela vous va ? »Oh oui j’apprĂ©cie beaucoup. »Tout est en ordre ? »Je termine de le lire et je signe ensuite. »Pas de soucis. Ensuite elle fit le tour de son bureau. Elle portait un jupe longue qui me cachait ses longues jambes musclĂ©es et pendant que je tentais de lire des lignes qui ne s’affichaient pas dans mon cerveau, elle se frotta Ă GrĂ©goire qui n’en demandait pas temps.Tout de suite son sexe prit de la grosseur et j’avoue que le mien Ă©tait aussi intĂ©ressĂ©.Elle se plaça entre nous et pris nos bites dans chacune de ses mains. Je bandais rapidement et j’eu soudain trĂšs chaud. Je ne lisais plus du tout.Puis elle se mit Ă genoux et s’en attendre, me tenant toujours dans sa main, lĂ©cha la bite de GrĂ©goire qui lui caressa la tĂȘte.Elle se tourna vers moi et demanda »Signe et tu auras la mĂȘme chose pas avant. C’est juste, disons, un avant goĂ»t !J’en avais assez lu, ou pas assez, mais excitĂ© comme jamais, je posais le contrat sur le bureau, pris un stylo qui traĂźnait et le signais.Le stylo Ă peine reposĂ© que je sentis sa bouche pulpeuse se poser sur mon gland, et d’un coup et engouffra sa bite entre ses lĂšvres. Je m’accrochais au bureau tendue. Elle tira sur la queue de GrĂ©goire pour le rapprocher et suça Ă tour de rĂŽle la sienne ou la mienne. J’Ă©tais nettement plus montĂ© que lui mais il ne s’en plaignait pas.C’Ă©tait divin, purĂ©e, cela commençait dignement bien.Elle prit nos deux queues dans une main et tenta de les sucer en mĂȘme temps. La proximitĂ© de cet autre bite me gĂȘnait un peu, voire mĂȘme beaucoup, mais je ne fis rien pour l’en empĂȘcher. GrĂ©goire se retint Ă moi concentrĂ© sur son plaisir. Ses mains Ă©taient fraĂźches et moites en mĂȘme temps. Il fixait comme moi la bouche qui nous donnait du plaisir. J’Ă©tais franchement excitĂ©, mon coeur palpitait et je commençais Ă souffler court. Elle titillait nos glands, glissait sa main sur nos couilles, nous caressait ou nous lĂ©chait sans jamais nous faire jouir. Elle se redressa et me prit la main pour tenir ma queue et celle de GrĂ©goire ensemble. C’Ă©tait la premiĂšre fois que je tenais la bite d’un autre mec. Cela ne le dĂ©rangea pas du tout. Elle se pencha vers moi et m’embrassa, me tenant la tĂȘte de sa main libre et m’encouragea Ă nous branler mutuellement.PurĂ©e, j’avais bien fait de signer, quelle nana !Je voulu tenter de la peloter mais elle me tapa sur la main et me mordit la lĂšvre. Je restais donc Ă nous branler pendant que sa langue jouait avec la mienne.Elle me laissa pour embrasser GrĂ©goire, je continuais machinalement Ă nous branler. Soudain, je reçu en pleine main et sur mon ventre des giclĂ©es de sperme. Je reculais d’instinct mais j’avais reçu le plus gros. La femme se mit Ă rire et GrĂ©goire n’y prĂȘta aucune attention. »C’est ton baptĂȘme, gloussa-t-elle ! Ce n’est pas grave, et tu en verras d’autres sur le tournage. Je restais comme un con, les bras Ă©cartĂ©s, le visage entre la surprise et la gĂȘne. Son sperme me coulais sur le ventre, j’en avais sur ma bite et sur ma main. Des gouttes glissĂšrent sur le sol s’Ă©crasant sur la moquette.La suite me choqua encore plus. GrĂ©goire se mit Ă genoux si vite que je n’eu pas le temps de rĂ©agir. Il prit ma bite entre ses doigts dĂ©licats et se mit Ă la lĂ©cher. »Eh, mais, qu’est-ce qu’il me fait ? « Il te nettoie, laisse le faire si tu ne veux pas qu’il te morde !SĂ©rieux ? Merde, ce mec me suçais ! Je fixais la blonde d’un air offusquĂ© mais elle n’y preta pas attention. Elle chercha des mouchoirs et m’en tendis pour mes mains.
Ahhhh, il m’avalait dans sa bouche et sa langue, il jouait avec mon gland. J’Ă©tais mal Ă l’aise, un mec me suçait aussi bien que la patronne.Elle se colla Ă moi Ă nouveau, frottant sa poitrine sur mon torse et me caressant les cheveux, elle m’embrassa fougueusement, cherchant ma langue, l’aspirant, la mordant jusqu’Ă plus soif. Je plaquais ma main sur ses seins. Elle voulu la repousser mais je la pelotais sans vergogne. Je sentais sa peau nue sous le tissu et ses tĂ©tons qui se dressaient. Elle finit par me laisser faire pendant que GrĂ©goire me pompait divinement.Soudain, il se mit Ă me branler en mĂȘme temps. J’avais fermĂ© les yeux, la langue de la femme jouant avec vigueur avec le mienne. Je tirais sur son sweet vers le haut, il n’y avait pas de raison, et je passais ma main dessous. Elle grogna et me pinça la main. Mais trop tard, je chopais un de ses seins Ă©pais et moelleux et je me mis Ă la tirailler.Je n’en pu plus et tentant de me retenir, je finis pas Ă©jaculer dans la bouche de GrĂ©goire qui ne recula pas, au contraire, il me vida et essuya mon gland une fois terminĂ©.La blonde lĂącha ma bouche et me repoussa. Un de ses seins Ă©tait visible qu’elle cacha rapidement. Elle avait le visage rouge, les cheveux dĂ©fais et je pouvais voir son excitation. »Vous devenez trĂšs entreprenant Mr Hugo, attention, cela pourrait ĂȘtre en votre dĂ©faveur. Sur ce, elle se retourna, se rĂ©ajustant. Rhabillez-vous, vous pouvez y aller. Hugo, on vous contactera rapidement.FIN PARTIE 2© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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