J’allais avoir seize ans, nous Ă©tions fin septembre, la rentrĂ©e scolaire approchait…Mon père avait repris le travail et j’Ă©tais restĂ© seule avec ma mère, dans la petite maison ou nous passions traditionnellement nos vacances. Maman en avait hĂ©ritĂ© de ses parents Ă la mort de ma grand-mère, huit ans plus tĂ´t.Ma mère avait Ă©pousĂ© mon père de presque quinze ans son aĂ®nĂ©, très jeune: elle avait maintenant Ă peine trente quatre ans. Subitement, je rĂ©alisais qu’elle n’avait que dix huit ans Ă ma naissance; elle Ă©tait donc « tombĂ©e enceinte » suivant l’expression consacrĂ©e Ă dix sept ans…Ă€ part cela, en ce qui concernait le sexe, mes connaissances Ă©taient succinctes. Tout au plus en fin de cinquième, j’avais appris de copains plus avancĂ©s que moi l’existence d’un « liquide visqueux et blanchâtre » que l’on pouvais libĂ©rer en se « branlant »: « la jute ». La nuit suivante j’avais aussitĂ´t tentĂ© l’expĂ©rience… Et dessinĂ© ma première « carte de France » dans mes drap. La sensation que j’en avais retirĂ© m’ayant procurĂ© une certaine forme de plaisir, depuis, je me « branlais » presque toutes les nuits. Avec le temps j’Ă©prouvais le besoin de passer Ă un stade supĂ©rieur, et depuis une semaine que nous Ă©tions seuls, je passais mon temps Ă Ă©pier les moindres gestes de ma mère. Le matin après le petit dĂ©jeuner, comme d’habitude je m’Ă©clipsais pour rejoindre mes copains, sauf… Que depuis le dĂ©but de la semaine je n’allais nulle part, mais attendait que maman s’enferme dans sa chambre pour faire sa toilette et s’habiller. En passant par le jardin, je me faufilais jusqu’Ă un poste « guet » d’oĂą je pouvais observer l’intĂ©rieure de cette chambre. Grâce au jeu combinĂ© de l’armoire Ă glace et d’un autre miroir peu de dĂ©tails Ă©chappaient Ă ma curiositĂ©.GĂ©nĂ©ralement maman se mettait « Ă poil » pour procĂ©der Ă sa toilette. Le premier jour j’avais Ă©tĂ© subjuguĂ© en la reluquant ainsi. Ses « doudounes » Ă©taient comme celles des filles que j’avais pu voir sur les magazines « cochons » de mon ami Claude G., mais le bas de son ventre Ă©tait lui tout diffĂ©rent. Une touffe de poils noirs, bien plus importante que celle qui encadrait maintenant ma « bite ». Elle se lavait cet endroit Ă l’aide d’un gant de toilette et parfois s’accroupissait sur un « bidet » en Ă©mail qu’elle remplissait prĂ©alablement d’eau avec un broc.Il faut prĂ©ciser qu’Ă cette Ă©poque la commune n’avait pas encore l’eau courante. D’une pompe dans le jardin nous tirions l’eau nĂ©cessaire Ă la maison dans un seau, ou dans un grand broc d’une dizaine de litres.Pour en revenir Ă ma nouvelle distraction matinale, dès le deuxième jour, au stade que je viens d’Ă©voquer, j’avais ouvert ma braguette et je me livrais activement Ă une branlette Ă©ffrĂ©nĂ©e. Après quatre jours de ce rĂ©gime j’avais dĂ©cidĂ© de passer Ă un stade supĂ©rieur. et improvisais un plan pour passer Ă l’action.La nuit suivante j’attendis donc fiĂ©vreusement que le clocher du village Ă©grene les douze coups de minuit… Alors, entièrement nu, je traversais notre logis Ă pas de loup et me glissais subrepticement dans la lit de ma mère…Doucement, tout doucement, je glissait ma main sous sa chemise de nuit. Au toucher de sa peau douce et tiède ma « bite » Ă©tait entrĂ©e en Ă©veil, mais dès que j’eus atteint sa toison, j’eus l’impression qu’elle Ă©tait devenu aussi dure qu’une barre de fer!A ma grande satisfaction, je sentis la pression de ses cuisses se relâcher. Mon cĹ“ur battait Ă tout rompre. J’essayais de me frayer un passage entre les poils frisĂ©s, craignant Ă tout instant le rĂ©veil maternel.Ă€ la seconde ou mon majeur avait finalement trouvĂ© un « passage » Ă travers les poils et dĂ©couvert l’orĂ©e du bonheur, maman s’Ă©veilla. C’est toi mon petit François, mais que fais-tu?Ma gorge se noua. Que dire, que faire, que rĂ©pondre… J’optais pour la force: je retirais promptement ma main et pris ma mère Ă bras le corps.Mais que fais-tu mon chĂ©ri? Tu es tout nu! Et … Oh tu… Tu es tout dur…Pardon maman, je ne voulais pas te faire du mal…Et je m’apprĂŞtais Ă fuir tout honteux, mais comme je la tenais toujours fermement enlacĂ©, les dĂ©hanchements qu’elle exĂ©cutais pour tenter de se dĂ©gager ne contribuèrent qu’Ă porter mon excitation au paroxysme, mon sexe turgescent Ă©tait terriblement douloureux.Qu’est-ce qui te prend mon petit garçon? ArrĂŞte, je suis ta maman…Finalement, je finis par balbutier:Je voulais juste savoir… Je ne suis plus un bĂ©bĂ© maman chĂ©rie, je te demande pardon.Et improvisant je glissait ma tĂŞte sous les draps pour poser mes lèvres sur son « minou »pensant y dĂ©poser un baiser pour me faire pardonner.J’avais ainsi maintenant le nez dans sa touffe. L’odeur qui en Ă©manait dĂ©cupla mon dĂ©sir. J’Ă©tais comme enivrĂ© par l’effluve. Je me fforçais un passage entre ses cuisses, l’obligeant Ă les s’ouvrir largement. Mes lèvres dĂ©posent dix, cents baisers sur cette motte interdite. Sa rĂ©sistance faibli Ă l’instant, ou d’instinct ma langue s’enhardit et entrant en mouvement, Ă©carta sa « fente ».Maman abandonnant toute vellĂ©itĂ© de rĂ©sistance., releva ses jambes. Ma tĂŞte est maintenant bien installĂ©e et ma langue qui a terminĂ© son Ĺ“uvre de pĂ©nĂ©tration s’active dans cette « grotte » subitement toute humide et bien ouverte.Je me redressais aussi rapidement que je le pu, sans brusquer et m’installais sur cette femelle qui se soumettait. Mon gland trouva sa place, et je le sentis s’enfoncer telle un Ă©pieu. Émoi, douce sensation, l’instinct, l’innĂ©, commandait Ă mes reins d’entrer en mouvement. J’allais et venais. Tel un piston de chair mon sexe s’activa dans la matrice maternelle dont il avait pris possession de force.Bien qu’elle n’offrit plus le moindre signe de rĂ©sistance, j’Ă©prouvais le besoin d’emprisonner fermement ses poignets pour lui faire comprendre qu’elle Ă©tait totalement sous ma domination.Je n’Ă©tais plus son petit garçon, mais un jeune mâle en forçant une femelle, sa première femelle! Elle Ă©tait « prise », et elle le savait, elle savait mieux que moi quelle serait la conclusion de cette copulation. J’exultais des sensations qui parcourant ma « bite » en action, remontaient au plus profond de moi. J’Ă©tais fort et instinctivement j’avais besoin de lui faire sentir.Combien de temps cela dura-t-il, j’avais perdu la notion de temps. Je sentis, je pressentis que quelque chose allait exploser. La « jute » dont je maculais mes draps auparavant, la nuit prĂ©cĂ©dente encore, cette « jute » giclait maintenant en longs jets dans l’utĂ©rus accueillant de ma petite maman! Je rĂ©alisais que je l’avais totalement possĂ©dĂ©, soumise. Et je jouissais en elle, je venais de jouir. J’Ă©tais, enfin, un « homme »!Peu Ă peu, je suis revenu sur terre. GrisĂ©. J’avais baisĂ© une femme. Je m’affalais sur son corps, ivre de plaisir. Je rĂ©alisais soudain que vaincue, elle m’Ă©treignait, tendrement, murmurant Ă mon oreille des mots d’amour de tendresse, de pardon, pour calmer l’angoisse, le remord qu’elle devinait monter en moi. Elle me demanda si j’Ă©tais heureux, elle ne me parla pas de honte. Je feignis la repentence, alors qu’Ă cet instant je n’en Ă©prouvais absolument aucune: j’Ă©tais dĂ©livrĂ© de l’angoisse de l’adolescentNous restâmes enlacĂ©s, peu a peu mon sexe, redevint flasque et ressorti, tout gluant du sien…Le jour se levait. Je m’Ă©veillais, ma mère Ă©tait toujours lĂ , tout contre moi, nue. Ses beaux yeux noisette, ouverts n’exprimaient aucun reproche, elle me sourit.Je t’aime me dit-elle simplement.Moi aussi maman.Es-tu heureux maintenant? Alors viens. Viens mon chĂ©ri!Elle m’attire sur elle. S’offre:Soit gentil, sois doux, mon petit chĂ©ri, cette fois. Mais baise moi, baise moi fort, très fort mon petit homme chĂ©ri.Il fait presque jour, son corps est tiède je l’enlace, la couvre de baisers amoureux. Quelle est belle. Ses beaux seins gĂ©nĂ©reux aux larges arĂ©oles sombres attire mes lèvres. Je les suce, alternativement. Ses tĂ©tons durcissent, tout comme mon « membre » qu’elle dirige vers sa « chatte » elle me guide en elle. Je me laisse faire. Mon dĂ©sir monte Ă nouveau. Lentement, timidement je lui fais l’amour. Elle m’encourage, me flatte. Peu Ă peu son vocabulaire chaste fait la place Ă des encouragements crus. Elle me fĂ©licite de la taille de ma « queue », ondule sous moi, commande, exige . Allez, dĂ©fonce moi, dĂ©chire moi, Tu es fort, tu le peux, je sais que c’est ce que tu veux mon salaud… Je suis ta pute… Tu me tiens par la queue.. Aaahhhh…..! Oui! Oh ouiiiii…Je lui donnais ce qu’elle voulait, je la dĂ©fonçais, Ă sa demande, de grands coups de boutoir. J’empoignais ses seins, les pĂ©trissais. Et quand je le pouvais compte tenu de la cadence qu’elle exigeait, je me dressais pour tenter d’apercevoir ma queue si bien empalĂ©e qui ramonait sa moule chaude et gluante, ce chibre qui s’agitait frĂ©nĂ©tiquement. Cette fois nous Ă©tions deux amants dominĂ©s par leurs seuls dĂ©sirs de jouissance. Elle noua ses jambes derrière mes reins, m’immobilisant au moment ou j’Ă©clatais, ou je « jutais ». Mon « foutre » jaillit Ă nouveau au trĂ©fond de sa vulve.Nous Ă©croulâmes ensemble, Ă©puisĂ©s. Avant de m’affaler, je me demandais comment cepetit bout de femme, si douce, si aimante pouvait devenir dans l’action, cette furie en chaleur.Je me rĂ©veillais seul, cette fois vers neuf heures et demie. Maman Ă©tait en train de procĂ©der Ă ses ablutions quotidienne. DĂ©tail que je n’avais jamais captĂ© auparavant, Ă califourchon sur le fameux petit bidet Ă©maillĂ©, elle se lavait le vagin en y enfonçant une grosse canule reliĂ©e Ă une Ă©norme poire en caoutchouc.Les trois jours et quatre nuits qui nous sĂ©paraient de notre retour Ă Paris, passèrent trop vite Ă mon grĂ©. J’avais dĂ©sertĂ© l’alcĂ´ve qui m’Ă©tait dĂ©volu habituellement, et m’Ă©tais « dĂ©finitivement » installĂ© dans le lit conjugal. Sans exagĂ©ration, nous baisions au rythme de deux Ă trois coups, l’après-midi, autant et mĂŞme jusqu’Ă cinq fois la dernière nuit!Ultime dĂ©tail, j’avais rapidement vaincu ses rĂ©ticences, sur « l’embouchage » et obtenu d’elle qu’elle me suce entre deux « coups » ce qui m’aidait Ă reprendre la « vigueur » pour l’assaut suivant. Toutefois ce ne fut qu’après le cinquième coup de cette dernière nuit de vacance que je trouvais la force, de lui maintenir fermement la tĂŞte sur mon sexe qui la pĂ©nĂ©trait de toute sa longueur pour l’obliger Ă dĂ©glutir mon sperme. Je ne la libĂ©rais qu’une fois certain, qu’elle eut bien « avalĂ© la fumĂ©e » suivant l’expression que j’avais entendu de la bouche des plus âgĂ©s de mes copains.