Avec le dĂ©part de mon père convalescent pour la campagne, et en attendant que maman le rejoigne pendant ses vacance, je retrouvais le chemin de leur appartement et nos Ă©bats reprirent, avec d’autant plus d’intensitĂ© que maman, contrairement Ă moi depuis ma rencontre avec Jeanine, Ă©tait restĂ© sur sa faim!Comme je ne souhaitais pas abandonner Jeanine, j’encourageais ma petite maman Ă aller retrouver papa chaque week-end. Chaque samedi soir, elle filait directement Ă la Gare d’Austerlitz et prenait la direction du Loiret, pour n’en revenir que le lundi en fin d’après midi…M. Goulard cultivait sa cirrhose avec une belle constance, laissant ainsi Ă sa Jeanine la plupart de ses nuits du samedi pour parfaire l’apprentissage de son jeune amant. De sa jeunesse cette petite femme avait conservĂ© le goĂ»t pour une pratique su sexe, dĂ©lurĂ©. Elle aimait varier les positions, hors sur ce plan, Ă part le classique « missionnaire » et la « levrette » que j’avais pratiquĂ© d’instinct lors de notre première rencontre, j’avais tout Ă apprendre.De plus les dimensions exiguĂ«s de ma chambre sous les toits ne permettaient pas d’y loger un grand lit. Mais comme ce qui primait avant tout Ă©tait autant, pour employer l’expression de Jeanine, « de me vider les couilles », et de satisfaire ses ardeurs, nous nous contentions de mon lit de 90.Comme elle avait remarquer le plaisir que je prenais Ă commencer nos Ă©bats par un « bouffage » de moule, elle en vint rapidement Ă un partage Ă©quitable et au soixante-neuf.Je prĂ©fĂ©rais avoir le « dessous », la tĂŞte entre ses bonnes cuisses potelĂ©es, ses nichons bien en main pendant que sa bouche montait et descendait sur mon « poireau » comme elle disait.C’Ă©tait agrĂ©able d’avoir simultanĂ©ment l’Ă©coulement de sa jouissance dans la bouche et de pouvoir lâcher mon foutre dans la sienne. Dans mon esprit d’alors, obliger ou faire en sorte que mes partenaires avalent mon foutre de leur plein grĂ©, me donnait une agrĂ©able sensation de domination. Plus tard, ma première partenaire Ă lunette, me procura un plaisir intense lorsque j’Ă©jaculai sur son visage, et la « dĂ©barbouillais» de sperme tiède. Mais c’est une autre histoire…Je rentrais Ă l’appartement, vide puisque maman ne reviendrait que demain soir, me confectionnais un sandwich, et dĂ©cidais d’aller dormir dans ma chambre sous les toits. En montant, je croisais Jeanine qui descendait sa poubelle. Elle me gratifia au passage d’un sourire radieux. J’avais dans l’idĂ©e de bouquiner en attendant de pouvoir Ă©couter sur mon petit poste radio mon Ă©mission quotidienne de jazz.Il Ă©tait près de minuit, je ne dormais toujours pas lorsqu’il me sembla entendre gratter Ă ma porte. Je me levais et comme le grattement persistait j’entrouvris. Jeanine en robe de chambre se tenait lĂ . Je la fis entrer.- Goulard dort comme un loir, alors je me suis dit autant profiter de l’aubaine…- Bonne idĂ©e entre, j’Ă©tais entrain de lire mais…- Mais tu prĂ©fères un gros câlin de ta Jeanine, hein mon petit François?Ă€ vrai dire l’idĂ©e Ă©tait tentante, bien que je fusse encore tout Ă mes souvenirs de mon après-midi.- C’est sĂ»r, dis-je en envoyant valser mon pantalonJeanine se mit tout de suite Ă l’Ĺ“uvre, tombant Ă mes genoux elle se mit en devoir d’extirper ma queue de mon slip, l’engloutissant presque aussitĂ´t dans sa bouche avide. Je la laissais travailler, me contentant de passer la main dans ses cheveux, comme on caresse un chien. Une chienne avide c’est bien ce qu’elle Ă©tait. Pas besoin de long prĂ©ambule. Je l’avais baisĂ© une bonne partie de la nuit prĂ©cĂ©dente, mais elle Ă©tait insatiable cette vieille peau. Elle en redemandait toujours.- Allez viens plutĂ´t sur le lit ma grande, que je puisse moi aussi « t’aimer ».Elle ne me fit pas rĂ©pĂ©ter mon invite. Le temps de nous mettre complètement Ă poils, et je m’allongeais. Mon amante vint me rejoindre, tĂŞte bĂŞche et nous nous mĂ®mes Ă l’Ĺ“uvre. Toute Ă la pensĂ©e de Claire, je m’appliquais Ă sucer le clitoris de ma vieille Jeanine, clitoris qui ne tarda pas Ă sĂ©crĂ©ter sa divine substance. Je n’avais pas envie de jouir dans sa bouche, aussi lui fis-je comprendre que je dĂ©sirais la pĂ©nĂ©trer. Elle s’installa Ă ma place, et je vins sur elle. J’engageais mon zob en douceur, mais bien Ă fond, puis la baisais doucement. Je submergeais littĂ©ralement ma partenaire mĂ»re, de baisers, la serrant tendrement. Dans ma tĂŞte, je m’imaginais faire l’amour Ă maman…- Viens mon petit, viens ne te retiens pas. Donne moi ton plaisir mon chĂ©ri, c’est trop bon!La voix de Jeanine me ramena brutalement Ă la rĂ©alitĂ©. Certes, elle Ă©tait encore très consommable, mais de lĂ Ă imaginer une jeunesse!Bien plantĂ© dans son vagin accueillant je lâchais ma semence, les yeux fermĂ©s.- Ben dis donc t’es drĂ´lement amoureux ce soir mon bĂ©bĂ©. Dommage que doive redescendre chez moi.- Pas tout de suite, reste encore un petit peu, j’ai envie de rester dans toi…- Un petit peu, mon petit chat, mais pas plus… Goulard risque de se rĂ©veiller et se demander oĂą je suis passĂ©e.La lumière du du jour naissant filtrant par la lucarne m’Ă©veilla. J’Ă©tais seul, il Ă©tait six heures. Je descendis Ă l’appartement familial, pour procĂ©der Ă ma toilette. Heureusement, le boulot allait me fournir un dĂ©rivatif. C’Ă©tait sans compter sur les hasards du sort. Et le sort avait les traits de Gisèle, une brunette avenante, qui me poursuivit jusqu’Ă la fermeture du magasin dans tous les recoins de la rĂ©serve. En sortant du travail, alors que je croyais enfin lui Ă©chapper, elle me rejoignit en trottinant.- Tu as l’air bien pressĂ© François- C’est que je dois prĂ©parer Ă manger, ma mère rentre dans la soirĂ©e…- Justement tu, veux pas me raccompagner, j’habite pas très loin, du cĂ´tĂ© de la Gare de Lyon.- Si cela te fais plaisir…militaire depuis un peu plus de quatre mois venait d’ĂŞtre affectĂ© en AlgĂ©rie. Fini les permissions quasi hebdomadaires, il ne reviendrait pas avant au moins dix, voir douze mois. Bref, « Gisou », bien seule Ă©tait en retard d’affection! Il est vrai que le personnel du magasin Ă©tait uniquement constituĂ© de femmes, Ă l’exception du vieux pointeau Alfred, du directeur, de son adjoint et du responsable de l’alimentation. Tous mariĂ©s et guère porter Ă badiner avec les employĂ©es.Ce n’Ă©tait effectivement pas très loin et en moins de dix minutes nous Ă©tions devant son immeuble.- Tu ne veux pas monter, il me reste de quoi nous prĂ©parer un petit dĂ®ner.- Ben je t’ai dit que je devais…- Ta mère peut bien se dĂ©brouiller sans toi quand mĂŞme.- Sans doute mais elle s’inquiĂ©terait si je n’Ă©tais pas lĂ .- Bon, mais demain midi tu n’auras qu’Ă venir manger ici, tu vois bien que c’est pas loin.- D’accord Gisèle- « Gisou »- Promis « Gisou- Allez Ă demain François. Rentre bien!J’avalais rapidement mon dĂ®ner, puis tournais en rond dans l’appartement dans l’attente du retour de maman. L’idĂ©e de la baiser n’Ă©tait pas particulièrement dĂ©sagrĂ©able. Et Ă l’Ă©vidence, elle en voulait… Alors je la laissais faire l’attirant sur moi et l’empalant sur ma queue. Elle se mit aussitĂ´t Ă monter et descendre sur mon dard turgescent. Je me contentais de l’encourager de temps Ă autres. Cela ferait bientĂ´t un an que je « couchais » avec ma mère, J’y prenais toujours du plaisir, en quelque sorte nous Ă©tions un « jeune couple ». Je n’avais pas Ă me tracasser, j’Ă©tais comblĂ© cĂ´tĂ© cul entre elle et Jeanine, et j’Ă©tais convaincu que demain « Gisou » me voudrait elle aussi « du bien ».Si j’avais un peu forcĂ© le sort avec maman, je n’avais pas Ă le regretter. J’avais seulement perdu quinze jours avant d’avoir l’audace de la « violer » . En fait, en satisfaisant Ă mon complexe d’Ĺ“dipe, j’avais dĂ©clenchĂ© chez mon encore jeune maman, une soif inextinguible de rapports sexuels. Cette nuit de retrouvailles fut donc courte, car ma mère Ă trente-cinq ans, Ă©tait de plus en plus d’exigeante sur ce plan. Elle ne s’Ă©tait pas beaucoup Ă©tendue sur ses rapports avec mon père. Tout au plus m’avait-elle appris que dans les annĂ©es qui avaient suivi ma naissance il l’avait obligĂ© Ă se faire avorter Ă plusieurs reprises.Je dus donc la « prendre » Ă trois reprises avant qu’elle succombe enfin au sommeil. Afin d’Ă©viter qu’elle « en rĂ©clame » encore Ă son rĂ©veil, je me levais avant qu’elle ne donne Ă nouveau signe de vie.Tout au long de la matinĂ©e, Gisèle ne manqua aucune occasion de venir me retrouver, pour s’assurer que je n’avais pas changĂ© d’avis sur son invitation. Ce n’Ă©tait pas le cas, vous vous en doutez, et j’avais mĂŞme hâte de voir comment notre dĂ®nette allait tourner.Il faut dire que si je ne me leurrais pas, elle reprĂ©sentait une rĂ©jouissante alternative Ă mes deux autres partenaires. J’allais avoir de la « chair fraĂ®che » Ă me mettre sous le nĹ“ud, et ce qui ne gâchait rien, cerise sur le gâteau, cocufier son bidasse de mari, car je ne doutais pas de ma capacitĂ© Ă la satisfaire.Comme elle me l’avait recommandĂ©, pour ne pas que ses collègues jasent sur son compte, nous partĂ®mes sĂ©parĂ©ment. Pour ma part je pris la direction habituelle de mon domicile, mais bifurquait par le square Trousseau et hâtais le pas pour la rejoindre rue Abel.La montĂ©e, derrière elle, dans l’escalier jusqu’Ă son petit deux pièces, fut en quelque sorte une mise condition. Maintenant un recul suffisant, je me rĂ©galais se la vue sur ses jolies jambes, vue qui remontait jusqu’Ă ses cuisses et par instant jusqu’Ă sa culotte. Il est bien Ă©vident qu’en arrivant sur son palier, ma trique ne tenait plus en place dans mon slip.Elle me fit entrer en premier et claqua la porte derrière elle..- Tu as très faim?Je n’hĂ©sitais pas une fraction de seconde:- De toi oui Gisèle!Elle me prit par la main, m’entraĂ®nant dans la chambre Ă coucher. En un tour de main, elle retira sa robe lĂ©gère, la passant par dessus sa tĂŞte et la laissant tomber sur le parquet. Il ne lui restait plus que son soutien-gorge, et sa petite culotte, elle ouvrit le lit, repoussant les draps, et lorsqu’elle se retourna, j’Ă©tais quasiment Ă poils. Nous nous couchâmes, et je l’enlaçais frottant mon dard contre la fine Ă©toffe de sa petite culotte. Je ne pris mĂŞme pas la peine de le lui Ă´ter, me bornant Ă l’Ă©carter juste ce qu’il faut pour diriger mon nĹ“ud vers le cĹ“ur de ma cible. Je la sentis s’ouvrir. C’Ă©tait juste pour la forme, je la pĂ©nĂ©trais Ă peine, juste pour m’assurer qu’elle Ă©tait prĂŞte Ă me recevoir.Je voulais commencer par lui montrer ma « tendresse », et donc je fis « marche arrière » et me laissais glisser pour placer ma bouche sur son abricot juteux. J’arrachais sa culotte et commençais Ă Ă©carter ses poils pour dĂ©nicher ses petites lèvres humides du bout de ma langue. Je remontais ainsi jusqu’au frein de son clitoris qu’une fois dĂ©gagĂ©, je titillais, puis me mis en devoir de le sucer.- Oh! Oooohh.! Aaaaahhh!Je le tĂ©tais pendant plusieurs minutes. Elle râlait de plaisir, et je me dĂ©lectais de son nectar.Rapidement elle se mit Ă exprimer de plus en plus fortement son plaisir. Divine mĂ©lopĂ©e Ă mes oreilles. Je ne cessais mon « biberonnage » que lorsqu’elle se mit littĂ©ralement Ă hurler.Ignorant si des voisins Ă©taient prĂ©sent, je pensais prĂ©fĂ©rable d’arrĂŞter ses vocalises. Je revins donc sur elle pour plaquer ma bouche engluĂ©e de sa cyprine sur la sienne et l’empalais sur mon vit.L’intromission de mon braquemart turgescent sembla la calmer. Mais le rĂ©pit ne fut que de courte durĂ©e. Elle commença Ă se tortiller sous moi, alors que je n’avais pas encore esquissĂ© le moindre mouvement, puis dans un sursaut plaça ses cuisses sur mes Ă©paules, m’offrant ainsi totalement son cul. AussitĂ´t je la trombonnais « à couilles rabattues ». C’Ă©tait une affaire au lit la jeune mariĂ©e! Ă€ cĂ´tĂ© d’elle, dans ses plus fous abandons, ma mère me faisait l’effet d’une nonne.Son « mitouzi » hyper lubrifiĂ© enserrait merveilleusement mon chibre, me procurant un bonheur qui m’emportait. Elle avait le paradis entre ses cuisses la belle Gisèle.Elle me fit jouir violemment. Pas une seconde pendant notre coĂŻt je n’eus de pensĂ©es pour mes autres partenaires. Je lui larguais six longues giclĂ©es de sperme.- Mon amour; que tu es fort murmura-t-elleSur quoi apaisĂ©s, nous restâmes prostrĂ©s l’un dans l’autre bon quart d’heure.- François, tu n’as vraiment que dix-sept ans?- Oui, enfin bientĂ´t.- Pourquoi…- Pourquoi quoi?- Rien.Une fois revenus sur terre, nous partageâmes en vitesse son repas. J’aurais bien « remis le couvert », mais hĂ©las il fallait songer Ă retourner au magasin.Il n’y avait pas photo, j’Ă©tais tombĂ© sur une nĂ©nette super, pas repoussante d’aspect et qui avait soif de bite. Le problème Ă©tant comment allais-je gĂ©rer les choses, tout au moins jusqu’Ă la fin de ce mois de juillet,? Car après comme j’avais dĂ©cidĂ© de travailler pendant toutes mes vacances ma petite maman serait pour un mois avec mon cher père. Autant dire que j’avais l’intention de m’installer chez Gisèle. Heureuse Ă©poque, sans tĂ©lĂ©phone et autres portables!Comme pendant la matinĂ©e, Gisèle ne manqua aucune occasion de venir me relancer dans la rĂ©serve. Elle me fit promettre de revenir dès le soir mĂŞme. Avec beaucoup de patience, j’arrivais Ă lui faire comprendre que cela serait difficile, mais que peut-ĂŞtre… Sur quoi elle dĂ©cida de me confier une clĂ© de son logement, ce qu’elle fit, en me retrouvant Ă la sortie Ă 19 heures.En rentrant au logis familial, je mis au point un stratagème qui devrait me permettre d’aller retrouver ma nouvelle maĂ®tresse. Le tout Ă©tant de faire avaler Ă ma petite maman que nous devions tirer des photos chez mon copain Julien. Cela reposait sur une base rĂ©elle, car nous avions rĂ©ellement montĂ© un petit labo photo dans la chaufferie de l’immeuble dont la mère de Julien Ă©tait la concierge. Je promis de ne pas trop m’attarder, et maman accepta que je la laisse se mettre au lit seule. Ouf!Ă€ vingt heures vingt-cinq je la quittais. Vingt minutes de marche Ă pieds vers le nirvana , et je m’efforçais d’ouvrir la porte discrètement , mais..- C’est toi François?- Oui ma chĂ©rie- Viens vite mon amour…Dans la pĂ©nombre je retrouvais le corps de la jeune femme. Elle Ă©tait vĂŞtue d’une seule nuisette, qui cachait Ă peine son pubis. Je posais un baiser appuyĂ© sur sa toison avant de la serrer dans mes bras. Mon sexe cela va sans dire Ă©tait dĂ©jĂ en Ă©rection maximale, mais je tenais Ă y mettre les formes, ne pas brusquer les choses. Après tout, mĂŞme si je devais rĂ©intĂ©grer le domicile familial, pour devoir rejoindre maman, nous disposions d’une grande partie de la nuit.- « Gigi ». SI tu le veux bien rien que pour moi tu seras Gigi, ma Gigi- Ce sera entre nous mon chĂ©ri, je serais ta petite femme…DĂ©cidĂ©ment, c’Ă©tait une manie. DĂ©jĂ ma mère m’avait dĂ©volu Ă cet « emploi » Certes le « sexe » avait Ă©tĂ© une rĂ©vĂ©lation pour moi lorsqu’Ă Ă peine seize ans je l’avais subornĂ©. Je n’avais eu aucun mal après l’avoir possĂ©dĂ© Ă la soumettre. C’Ă©tait dans sa nature, j’avais souvent entendu mon père lui rappeler qu’elle Ă©tait « soumise », sous sa domination tant mentale que sexuelle. En quelque sorte, je l’avais libĂ©rĂ© de la pesante fĂ©rule maritale qui l’Ă©touffait.Et sans aucune prĂ©tention, j’avais la sensation qu’elle jouissait enfin sans entrave lorsqu’elle se donnait Ă moi, son enfant.Pour en revenir Ă ma Gigi, je la caressais amoureusement, pour l’amener progressivement Ă s’offrir. Je baisais ses seins bien fermes, titillant ses tĂ©tons durcis entre mes lèvres, faisant mine de la tĂ©ter, pendant que mes doigts s’employaient Ă explorer l’intimitĂ© de son vagin dĂ©jĂ inondĂ© . Entre pouce, index et majeur je « triturais » en douceur son clitoris offert. Je la tenais Ă ma merci, mais je voulais qu’elle « implore ». Je jouais sur du velours.N’y tenant plus, c’est elle qui vint sur moi, me chevaucha, dirigeant de sa main mon vit dans son sexe ardent.Je rallumais la lampe de chevet pour profiter au maximum du spectacle. Cambrais mes reins pour qu’elle puisse s’empaler bien Ă fond sur le pivot de la joie que je lui offrais. Je la trouvais vraiment belle, me chevauchant « au trot enlevé » son visage juste au dessus du mien, submergĂ© par ses longs cheveux blonds. Afin de faire durer le plaisir je m’efforçais de limiter la cadence qu’elle semblait vouloir effrĂ©nĂ©e. Je ne pouvais plus me retenir, mais j’Ă©tais certain qu’elle mĂŞme en Ă©tait au mĂŞme stade. Je me laissais aller, giclant mon plaisir dans sa vulve amoureuse. Elle s’affaissa sur moi, toute « chattemite ».Lorsqu’elle eut repris son souffle,elle murmura:- C’est la première fois,- La première fois?- Que « je fais l’amour ». Raymond n’a pas ta douceur. Il me « prend » il ne m’attend pas. Toi tu es doux mon chĂ©ri.Et Gisèle, qui Ă©tait-elle? Une jeune mariĂ©e infidèle, une jeune femme amoureuse, ou tout simplement une femelle en rut?Elle Ă©tait douce, câline, aimante, elle s’offrait mais gardait quand mĂŞme une grande part de pudeur. Peut-ĂŞtre vivait-elle simplement mal l’absence de son mari? Pour ce qu’elle m’en avait dit, Il ne l’avait Ă©pousĂ© que pour tenter d’Ă©chapper au dĂ©part pour l’AlgĂ©rie. Je m’Ă©veillais nous Ă©tions toujours enlacĂ©s. Ă€ la clartĂ© de la lune j’observais ma compagne. J’avais eu la bonne fortune d’ĂŞtre tombĂ© au bon endroit, au bon moment…Ma montre indiquait un peu moins de minuit. Je respirais l’odeur des cheveux de ma blonde compagne. Je ne voulais pas la rĂ©veiller, mais il allait bien falloir me lever. Je posais un baiser sur son front, me dĂ©gageant aussi doucement que possible.Tout en me rhabillant, je contemplais ce jeune corps. Elle dormait comme une enfant, apaisĂ©e, mais je devais partir. J’ouvris et refermais la porte sans bruit, et me mis en route pour regagner mon « foyer ».Avec les mĂŞmes prĂ©cautions que j’avais prises pour quitter Gisèle, je rĂ©intĂ©grais le domicile, et me glissais dans le lit maternel.- Tu rentres tard, il est presque une heure!- Maman tu dormais je n’osais pas te rĂ©veiller.Et Ă©videmment elle vint se coller contre moi. Comme je n’avais pas envie qu’elle se saisisse de ma queue, Ă laquelle adhĂ©rait encore des traces de mes prĂ©cĂ©dents Ă©bats, je passais Ă l’action au plus vite, me doutant que je n’aurais aucun mal Ă m’engager dans l’utĂ©rus maternel.Sans problème ma bite la pĂ©nĂ©tra d’un coup. J’y allais bien Ă fond dès le premier coulissement, elle fut totalement Ă©veillĂ©e et s’activa. Comme je l’avais prise de cĂ´tĂ©, je la fis verser sur le dos. La dominant bien, je me dĂ©chaĂ®nais, je n’avais pas envie de traĂ®ner, et je me doutais bien que la seul chose qui la calmerait serait de ressentir ma semence gicler dans son cul. ExprimĂ© comme cela, ce n’est pas « romantique », mais la romance maintenant, je la rĂ©servais Ă Gigi.Mon Ă©jaculation, ne calma pas entièrement ma chère maman, Ă peine un quart d’heure après, elle voulait manifestement revenir Ă la charge, et commençait Ă flatter mes testicules. Comme ma gaule rĂ©agissait, elle se glissa sous les draps et entama une fellation appliquĂ©e. Je la laissais Ĺ“uvrer. Les yeux fermĂ©s j’imaginais que c’Ă©tait les jolies lèvres de Gigi qui me pompaient. Cette pensĂ©e agit comme un accĂ©lĂ©rateur et je ne tardais pas Ă jouir une nouvelle fois. Je n’eus pas besoin de lui maintenir la tĂŞte, d’elle mĂŞme elle avala mon sperme et me nettoya le jonc. L’idĂ©e qu’elle pourlĂ©chait le poireau qui avait donnĂ© du plaisir Ă une autre avant elle ne lui effleurait sĂ»rement pas l’esprit, mais me rendait tout guilleret.Je savais que je ne pourrais pas Ă©chapper Ă Gisèle, mais il Ă©tait exclu que je vienne coucher chez elle comme la nuit prĂ©cĂ©dente. Contenter deux femmes avides, dans deux foyers diffĂ©rents chaque nuit Ă©tait certes une idĂ©e plaisante, mais guère envisageable sur la durĂ©e. Il Ă©tait impĂ©ratif que je le fasse comprendre Ă la belle Gigi. Je commençais Ă la conditionner au cours de la matinĂ©e, conscient qu’il faudrait en remettre une couche lors de notre « dĂ®nette » amoureuse.