Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 14
Cécile revient à l’attaque et Arthur s’occupe à nouveau de sa belle-mère. Quelques jours après, sa copine Ambre fait gouter à ses futures coloc le jonc d’Arthur. Virginie et Maelys apprécient ce phallus exceptionnel. Les cousines travaillent des mains et de la bouche le phallus de l’étalon blanc.
Proposée le 7/06/2022 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuellesPersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Comment transformer son neveu impuissant
et harcelé en bête de sexe. 14
Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.Après une douche pour me nettoyer des relents de notre copulation, je reviens dans la chambre. Arthur est étendu sur le dos et somnole. Il a les jambes écartées et sa verge enfin au repos repose délicatement sur ses bourses. Je réalise que c’est la première fois que je la voie dans cette configuration et que même au repos, elle est plus imposante que celle de son père en érection.Suite :
Je m’assois sur le lit en tailleur entre ses jambes. Une envie folle me tenaille, j’ai envie de sentir, ou plutôt de toucher son pénis endormi avec mes pieds. Je pose mes pieds autour de son sexe et commence très délicatement un massage. C’est la première fois que je fais ça, un vieux fantasme…
Je continue mon petit jeu, masturbant entre mes pieds son sexe, n’en attendant pas plus que le plaisir que je me donne. Mais j’ai encore sous-estimé la virilité et la résistance de mon beau-fils. La chose flétrie prend de nouveau de la consistance, grossit entre mes petons, se redresse doucement. Je ne sais pas s’il est réveillé ou fait semblant, mais après quelques minutes de ce traitement, je dois serrer mes abdos pour lever mes jambes et que mes pieds puissent branler la totalité de cette poutre, du gland aux couilles. Je n’y tiens plus et me rapproche de lui pour que mes deux mains prennent la relève. C’est plus agréable et surtout moins fatiguant pour moi. Mes mains descendent sur son sexe en pleine érection pour la troisième fois de la soirée. Rien que de le « câliner » de cette façon me fait déjà remouiller, je suis une vraie salope.
Mon visage est entre ses cuisses, tout près de son énorme braquemart. Je l’observe, le détaille, le caresse, le branle doucement. Ma main n’en fait toujours pas le tour. Mes deux mains serrées sur son jonc l’une sur l’autre ne la couvrent pas sur toute la longueur, le gland et quelques centimètres dépassent encore. C’est impressionnant. J’ai envie de sa queue comme on a envie d’une glace délicieuse qu’on s’apprête à lécher avant de croquer dedans à pleines dents. Ma gourmandise est patente et je ne peux plus résister. Je passe ma langue tout doucement autour du gland, lèche la hampe et lui malaxe les couilles.
J’ai oublié toute réserve de prudence et m’active comme une folle. J’astique la bête, en fait le tour avec ma langue, en mordille le gland puis le glisse dans ma bouche et l’introduit doucement. Ça rentre tout juste, je constate. Je le ressors, y retourne, le ressort encore, le branle. Enfin j’ai le gland et une partie de la colonne de chair, mais il n’entrera pas grand-chose de plus, c’est impossible.
-Tu as encore faim, « maman » ? Les amuse-bouche et la saucisse de Morteau ne t’ont pas rassasiée ? Tu veux une bonne dose de crème comme dessert ?Je ne peux lui répondre car il a pris ma tête entre ses mains, pas pour la presser plus fort, mais pour retirer ma bouche de son nœud et que je le regarde, puis il la relâche. Je reprends son sexe dans ma bouche et suce le gros sucre d’orge de mon bébé.
Mais ça ne lui suffit plus. Il me plaque comme une crêpe sur le lit. Je suis à plat ventre et mon visage bien calé sur l’oreiller cette position accentue la cambrure de mon dos et fait ressortir mes fesses.
Il est sur moi, je sens sa verge dure s’insinuer entre mes fesses et chercher l’ouverture de ma vulve et sans même ouvrir le compas de mes cuisses, fore mon intimité déjà trempée de mouille. Je n’en reviens de devenir sous son joug une vraie hystérique à sentir son gland me caresser doucement avant d’enfoncer le portail d’entré de la citadelle de sa belle-mère qu’il vient de conquérir à nouveau.Arthur ne pousse pas plus loin l’avantage et écarte de ses doigts mes grandes lèvres bien charnues, exhibant l’intérieur de mon vagin avant d’y introduire deux doigts tout en caressant mon clitoris de son pouce. Il revient ensuite à l’assaut, avance son chibre sans même écarter mes cuisses. Me soulève le bassin de ses mains et appuie le bout de sa queue contre ma chatte à peine ouverte. Sa poussée et longue et rectiligne à l’intérieur de mon sexe, il m’empale sur son énorme jonc. Je me raidis sous l’envahissement titanesque mais malgré la position peu favorable à une pénétration, mon vagin s’adapte à l’intrus. Je serre mes mains sur les barreaux de la tête de lit pendant que mon bébé m’attire de ses bras puissants et redouble ses coups de boutoir dans ma grotte toute entière conquise à la cause. Je geins doucement à chaque fois qu’il s’enfonce en moi.
Dans cette position, malgré que sa grosse queue ne rentre qu’aux deux tiers de sa longueur à l’intérieur de ma chatte, son gland bute au fond de mon vagin.
Je garde les yeux fermés, faisant abstraction dans mon esprit de qui me laboure, me laissant baiser.
Je suis en accord avec moi-même, ayant brisé l’ultime tabou, prête à jouir pleinement en ne tenant plus compte de ma perversité. Mes derniers blocages mentaux n’ont pu résister à la puissance des assauts de mon bébé et de sa formidable bite.
La nuit suit son cours. On enchaîne les câlins, les positions, faisant des pauses pour reprendre des forces. Au cours de cette nuit mémorable, j’ai joui plusieurs fois, j’ai vécu plusieurs orgasmes révélateurs que mon ex ne savait pas s’y prendre. Mon bébé a vaillamment tenu le coup, même s’il devait se reposer régulièrement vu le nombre de ses assauts ! D’ailleurs, quand on en a reparlé après, il a avoué qu’il avait fait « ceinture », comme il dit, pendant plus d’une semaine pour être en pleine forme et les couilles bien pleines. Il était aussi très fier que ma sœur, une sexologue réputée, ait souligné que c’était très rare de trouver un homme avec une telle capacité de récupération.
Il faut que j’en profite car sa grande sœur en Erasmus à Londres revient à la fin du mois. (Ambre)
Il va falloir que je déménage, mon studio minuscule est vraiment trop petit quand on s’y retrouve à deux avec Arthur. Ce n’est pas que je veuille habiter avec lui, bien qu’il soit souvent mon partenaire, ce n’est pas véritablement mon amant mais mon compagnon d’infortune qui avec l’aide de sa tante, m’a permis de voir la gente masculine autrement que comme des connards machos.
Je cherche une colocation et me rends à un appartement où deux filles cherchent une ou deux colocataires supplémentaires pour se partager un grand appartement et son loyer.
Elles s’appellent Maelys et Virginie. Nous faisons connaissance et j’apprends que ce sont deux cousines qui veulent voler de leurs propres ailes tout en restant ensemble. Nous discutons et réglons les détails de notre future cohabitation. Je ne sais pas comment ça arrive dans la conversation mais quand on vient à parler des garçons, Maelys me demande :
-Mais Ambre… Tu n’es pas la fille dont j’ai entendu parler qu’il faut contacter si on veut faire la connaissance du garçon que l’on surnomme « l’Etalon blanc » ?
-Si ! Je vois que radio campus est toujours aussi écouté, même en dehors du microcosme étudiant. Que veux-tu savoir ? Je lui réponds.
-Je viens de passer un an en Angleterre et je ne peux pas dire que j’ai fait ceinture tout le temps, mais je ne dirais pas non à un peu d’exotisme. Il parait qu’il pratique le gloryhole, tu peux nous organiser ça ? Tu es partante cousine ?
-Pourquoi-pas ? Lâche Virginie, ça n’engage à rien, et ça scellera notre entente par les liens du foutre.Nous éclatons de rire. J’organise donc cette rencontre. J’ai aménagé un endroit pour ça depuis quelques temps pour les filles qui veulent connaître le grand frisson. Je convoque donc tout mon petit monde. D’abord Arthur pour garder son anonymat et une demi-heure plus tard les cousines.
J’ai aussi fait un montage des râles et des gémissements que sa tante et moi poussons quand il nous baise. Il adore ça et l’effet combiné de cette douce musique et des filles en train de traitre sa bite le font bander comme un turc.
Une fois Maelys et Virginie dans la pièce, elles attendent devant le trou vide. Arthur vient se coller à la paroi et fait passer sa verge dans le cercle. Elle est en semi-érection mais les filles ne le savent pas car elles ne connaissent pas les proportions gigantesques que peut atteindre son organe. Virginie est la plus entreprenante et vient se saisir avec précaution de l’organe.
-Hum ! Hum ! Belle bête ! Dommage qu’il bande mou mais il y a de la matière, c’est certain.
Maelys s’enhardie à son tour et vient caresser les bourses d’Arthur qu’il a fait passer aussi dans le trou.
-Il est couillu aussi. Un beau service trois pièces !
Je vois que ça ne doit pas être la première fois qu’elles s’amusent ensemble avec un garçon.
-C’est ça que tu appelles un étalon, Ambre ? Plutôt amorphe, non ?
-Eh les filles ! Au lieu de tripatouiller la marchandise comme les fruits et les légumes sur l’étal du maraîcher, vous feriez mieux de vous activer sur son poireau ! Je m’emporte. Arrêtez de faire la fine bouche et servez vous-en plutôt sur son nœud !Piquées au vif, elles s’activent enfin sur le vit avec leurs mains et leur bouche. La réaction ne tarde pas et le braquemard d’Arthur commence à se redresser et à s’épaissir pour devenir l’étendard flamboyant de l’étalon blanc. Les cousines ne savent plus quoi dire, leurs yeux fixant la colonne de chair impressionnante dressée à l’horizontal qui bouche tout le diamètre du trou tellement elle est massive.
-Putain de merde ! Ça c’est de la bite ! S’exclame Virginie. Excuse-moi Ambre, on a été mauvaise langue mais je vais me servir de la mienne pour goûter son chibre.
-Tu as raison Virginie, surenchérit Maelys. Il est à la hauteur de sa réputation, du moins sur ce plan là. A nous de voir si le reste est exact. Mais pour ça, c’est à nous d’œuvrer…
-Mon Dieu quel engin ! S’exclame Virginie en posant une main sur la bite palpitante et en commençant un lent mouvement de va et vient.
– Elle te plait maintenant on dirait ! Je constate.
-Oh oui, mais elle est énorme, j’en ai jamais vu d’aussi grosse, je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts. A suivre…
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