Je me présente, Julien 45 ans grand mince mais musclé et complétement accro aux odeurs des petites culottes usagées de femmes.Je suis marié et ma femme est parfaitement au courant de cette perversion fétichiste mais elle pense que depuis que lon est ensemble, je me contente de sa lingerie.Je ne rate jamais une occasion de renifler ces petits triangles détoffes que je récupère dans le bac à linge sale partout où cela est possible.Cela a commencé alors que je méveillais à la sexualité. Pour pimenter mes masturbations, javais recours comme beaucoup dentre nous, aux petites culottes sales que je récupérais dans le panier à linge de la maison.Les trois femmes de la maison étaient ma mère, ma sur ainée qui a 8 ans de plus que moi et ma sur cadette qui en a 2 ans de moins.Maman était assez coquette et portait de la lingerie très féminine. Comme cest elle qui nous achetait nos fringues, elle a transmis le gout des sous-vêtements un peu coquins à mes frangines.Elle faisait les lessives deux fois par semaine : le mercredi et le samedi matin. Je me masturbais tous les jours dans les dessous, mais jappréciais particulièrement le mardi soir car cétait le jour où mon butin était le plus important. Je sortais toutes les petites culottes et humais le fond les unes après les autres. Je conservais les plus parfumées pour les renifler à plein poumon, tandis que jenroulais celles qui restaient autour de mon sexe pour me masturber.Généralement, cest ma mère qui emportait la palme dor. Il est vrai que ma petite sur navait pas un poil tandis que la grande entretenait son petit triangle à coup de ciseaux et rasoirs, ce qui ne lui laissait quune petite touffe. Jai remarqué avec lexpérience que plus la touffe est importante, meilleur est lodeur. Les pertes, la mouille et lurine, se fixent beaucoup mieux dans les poils épais et en plus, il est beaucoup plus difficile de sessuyer après avoir fait pipi.Je me branlais comme un fou, frottant mon gland tout gonflé contre le petit renfort en coton qui orne lintérieur de ces précieux trésors, là où se trouvaient tous les dépôts. Certaine culottes portaient des traces importantes, jaunes, beige que je prenais plaisir à lécher. Ce petit gout acre accompagné de ces effluves magiques faisait monter la sève dans mon sexe. Au début, jéjaculais dans un mouchoir, un kleenex ou Sopalin, bref ce que javais pris avec moi pour ne pas en mettre partout, mais rapidement je me suis mis à jouir dans les culottes, mimaginant déposer ma semence à lintérieur de la petite grotte qui avait fourni ce parfum.Puis la première occasion de changement se présenta. Nous avions été invités quelques jours chez un couple damis de mes parents à loccasion de fêtes de fin dannée. Ils avaient une très jolie fille Amandine, un peu plus âgée que moi, mais qui me snobait depuis longtemps. Il faut dire que la mère nétais pas mal non plus et mavait déjà fait fantasmer quelques années auparavant. Nous avions été tous ensemble à lAquaboulvard et elle portait un maillot de bain qui était un peu transparent dès quil était mouillé. Je métais masturbé en pensant à elle pendant plusieurs semaines après cet après-midi-là.Cétait donc une occasion en or de franchir une étape supplémentaire dans mes branlettes.Cela ne se fit pas attendre car la maitresse de maison nous indiqua ou se trouvaient nos chambre ainsi que la salle de bain si on voulait se débarbouiller un peu après la route. Je my rendis en premier, à la recherche du bac à linge. Mon intuition était bonne, il trônait là, à côté du lavabo.Malheureusement la chasse nétait pas excellente car je ny trouvais quune seule culotte, certainement celle de la mère à en juger par la taille. Si la quantité ny était pas, la qualité par contre était on ne peut meilleur. Pas vraiment de traces mais une odeur si prenante que je me demandais si elle navait pas pissé dedans. Je mastiquais aussitôt, mais du me dépêcher car ma grande sur me pressait depuis le couloir. Avec un tel fumet, il ny eut pas à attendre longtemps. Plusieurs giclées virent éclabousser la faïence du lavabo. Je navais pas osé souiller la culotte. Je rinçais mes exploits et laissais la place.A plusieurs reprises durant la soirée, je me rendis dans la salle de bain voir si il ny avait pas un nouveau trésor, amis rien. Ce nest que le lendemain, alors que javais trainé pour prendre ma douche en dernier que jeus lagréable surprise de trouver un string et une culotte noire en dentelle. Elles avaient déposée chacune leur obole. Le string appartenait sans le moindre doute à Amandine, mais lodeur était assez discrète, par contre la culotte était encore humide, maculée dun dépôt blanchâtre et sentais aussi bon que celle de la veille. Je neus aucune hésitation en raison des taches, de décharger toute ma semence dedans.Durant tout le séjour, je me suis ainsi vidangé tous les jours dans une culotte de la mère.Je repris ensuite mon habitude avec les sous-vêtements de mes surs et de ma mère.Régulièrement, je me faisais ainsi reluire, trouvant sans cesse de nouvelles opportunités olfactives.Jai ensuite fréquenté des filles. Même si nous faisions lamour et que je leur dévorais la chatte car jadore ça, je ne pouvais mempêcher de renifler leur dessous.Je me suis ensuite marié. Ma première femme avait une sur qui vivait encore chez ses parents. Jappréciais donc de passer le week-end chez mes beaux-parents car le linge sale était déposé directement dans la machine à laver qui se trouvait sans la salle de bain. Je pouvais donc profiter des odeurs de ma belle-mère et de ma belle-sur.Notre mariage n pas tenu et le reniflage des culottes de copines de passage repris ses droits.Puis, nouveau mariage avec mon épouse actuelle. Comme elle connait mon petit secret, régulièrement elle porte sa culotte pendant plusieurs jours et ne sessuie pas lorsquelle va faire pipi.Jarrive à avoir ainsi des culottes extrêmement odorantes.Quelques fois nous avons accueillis des amies pour profiter de la piscine autoportante que nous avons achetée. Généralement elles se changent dans la chambre damis. Pendant la baignade je méclipse sous quelque prétexte et mempresse daller humer leur petites étoffes. Jai ainsi pu me rendre compte que certaines dentre elle très BCBG et très maniérée, étaient en réalité de grosses dégueulasses avec des fonds de culottes vraiment pas très nets.Ce qui mamène à vous parler de ma belle-mère. Cest une femme mûre mais bien conservée et « bandante ». Elle est plutôt mince et contrairement à ma femme, à de gros nichons. Elle est divorcée depuis plusieurs années et ne sest jamais remis en ménage. Elle est très distinguée et occupe un poste important au gouvernement.Qui pourrait se douter ? Se douter quelle ne change de culotte quune à deux fois maximum par semaine. Ceci pour mon plus grand bonheur, mais je dois avouer quau début jai été vraiment surpris.La première année ou je fréquentais mon épouse, je sniffais ses culottes discrètement lorsquon lui rendait visite. Cest vrai quelle dégageaient une très bonne odeur, mais ce nétait pas la première a posséder des culottes odorantes.Lété suivant, elle nous proposa de passer un mois chez elle. Elle travaillait et nous disait quon pourrait ainsi profiter de la maison sans nous gêner. Elle a une grande maison avec une véritable piscine dans un quartier huppé dune ville bourgeoise de la région parisienne. Cest avec grand plaisir que nous avons accepté. Je men suis donné à cur joie, car ma femme aimait se balader laprès-midi dans les rues commerçantes ou se côtoient de grandes enseignes, me laissant seul à la maison.Pas un tiroir na été épargné. Jai fouillé dans toutes ses affaires à la recherche de quelque chose de compromettant, ou plutôt de pervers devrais-je dire. Comme elle était seule et ne sortait pratiquement pas en dehors de son travail, javais bon espoir de trouver des sextoys ou quelque chose comme ça.Rien, à part une collection de lingerie coquine. Classe mais coquine. Des portes jarretelles, des bustiers et bodys et même un soutien-gorge qui maintien les seins mais ne couvre pas les tétons. Pour qui ? A priori juste pour son plaisir personnel car elle ne fréquente personne, bien que jai du mal à le croire.Sur le plan des culottes sales jai été servi. Plusieurs culottes dans le bac à linge, toutes plus odorantes les unes que les autres. Inutile de vous dire que je me suis branlé comme un damné avec ces petites dentelles plaquées contre mes narines. Linterdit et lodeur ont vite fait jaillir mon sperme.Le lendemain je retournai au panier secret, mais pas de nouveau trésor. Quimporte, je recommençais ma petite séance avec les mêmes que la veille. Comme cela pendant 3 jours. Cest alors quune nouvelle petite lingerie agréablement parfumée fut déposée dans le bac.Je maperçus ainsi quelle ne changeait de dessous que tous les 3 ou 4 jours. Surprenant quand on la voit habillé en tailleur Channel de se dire quelle porte le même slip depuis 3 jours ! Cest vraiment une cochonne cette belle-mère, mais jadore ça !Depuis cette année-là, nous passons systématiquement au moins une semaine de vacance chez elle durant lété. Jen profite bien sûr pour me vider les couilles, mais surtout lui embarquer une culotte en souvenir que je garde bien cachée dans une boite secrète dans mes affaires, ou ma femme ne met jamais les pieds. Ni le nezMalheureusement avec le temps, les odeurs sestompent. Cest dailleurs pour cette raison que jen repends une nouvelle chaque année. Je ne sais pas si elle sest aperçu que ses culottes disparaissaient, mais très certainement car je ne lui prends pas le haut . Elle se retrouve donc avec des soutiens gorges orphelins et a forcément dû se poser la question. A-t-elle fait le rapprochement entre notre présence chez elle et les disparitions ? Je ne sais pas mais cela fait plusieurs années que je me fournis ainsi et elle na jamais rien dit, ni fait la moindre allusion.Jusquà ce jour, je nai jamais osé jouir dans ses culottes. Elles sont très odorantes et un peu jaunies mais il ny a jamais de dépôt dans le fond. Je pense quelle a deviné que je me soulage en sniffant son intimité par lintermédiaire de ses dessous, dautant que les disparitions ne peuvent passer inaperçues. Mais si elle ne sen était jamais rendu compte et quelle découvre des taches de sperme dans ses petites affaires. Cela lui mettrait alors peut-être la puce à loreille. Elle pourrait alors en parler à sa fille, et comme elle connait mon penchant pour ces choses-là, il me serait impossible de nier.Lautre question est : Et si elle sen doutait et quelle laisse faire ? Si cela lui plaisait ?Lété prochain, je tente le coup et inonde ses culottes !