Extraits d’une série d’échanges avec « Cassiopée », c’était pour elle… Maintenant nous vous l’offrons…Tu pénètres dans le bureau d’un médecin.Le questionnaire est bref… Pourtant il te semble qu’il insiste sur des détails, comme s’il voulait découvrir tes points sensibles, ce qui te fait réagir de façon épidermique… Et toutes ces questions sur ton point G… cette exploration intime dont il te parle, schémas et textes à l’appui… Il t’a même écrit sur un papier le nom du livre de Ladas et Whipple « Le point G »… mais il insiste sur certains exercices musculaires qui te permettront de mieux l’utiliser et le découvrir.L’examen arrive… tu sais d’emblée qu’il ne sera pas comme les autres… juste le regard de convoitise qu’il t’adresse te certifie que ce sera un examen différent… Pourtant son rythme posé te rend aussi certaine que les choses seront faites en douceur, sans hâte ni précipitation, que le temps prendra du temps, que l’exploration sera systématique, minutieuse…Il t’invite à te dévêtir…Pas de drap, pas de paravent ni de rideau… Il observe ta réaction un peu par dessus ses lunettes : est ce qu’il pourra compter sur toi ? Est ce que tu es prête à t’assumer ?Des papillons dans l’estomac, mais aussi une curieuse chaleur qui envahit ton ventre, accélère ta respiration, fait gonfler ta poitrine et s’ériger tes mamelons…Tu te souviens que le médecin te demande de te dévêtir…Peut-être hésites-tu ?Lentement tu enlèves tes vêtements…Le médecin ne prend même pas la peine de détourner son regard…Il profite de sa position de voyeur pendant que tes vêtements tombent…— Vous pouvez enlever TOUS les vêtements…Tu te retrouves ainsi complètement nue…En attente…Mélange de gêne, du désir de t’exhiber et de la fierté d’exposer ton corps que tu sais désirable…Il te fait embarquer sur la balance…Sa main accompagne tes reins pendant que tu mets le pied sur la plateforme instable…Sa main descend juste un peu bas, à la jonction de ta croupe et de tes fesses…. ce n’est pas innocent et tu le sais… sous le couvert d’assurer ta stabilité c’est déjà presque une caresse…Il parle… un peu… tu n’es même pas certaine d’entendre ce qu’il te dit tellement tu sens que la situation est inusitée. Tu sens encore le contact de sa main chaude alors qu’il t’invite à passer à la toise pour te mesurer…Le contact froid du plastique te surprend alors que tu t’adosses à la mesure vissée au mur…En même temps il t’invite à coller tes talons, tes fesses et la tête sous la potence qui sert à te mesurer…Tu sens bien que son regard te détaille, qu’il s’arrête sur tes formes agréables et attirantes… (ce dont tu ne doutes pas !) Ta poitrine se soulève un peu plus rapidement, le froid de l’air (mais n’est-ce bien que cela ?) fait durcir tes mamelons…Sa main se pose sur ton ventre, pour bien t’adosser au mur… mais la paume de sa main te dit que c’est le contact de ton épiderme qu’il cherche, si bas, presque à la limite de ta toison pubienne…Et sa main remonte sur ton ventre… juste sous tes seins… en fait il ne fait juste que les effleurer un peu à la marge, en laissant glisser sa main un peu sur le côté de ton thorax, comme s’il allait soupeser ton sein…Mais pas encore…Juste le temps d’attendre…Une main se place sur le haut de ton thorax près de ton cou… pour ajuster ta position… le bout de ses doigts fait presque une caresse à la base de ton cou, endroit si sensible. C’est presque un petit frisson que tu réprimes.Et pendant ce temps il te dévisage, attentif à ta réaction, sentant ta respiration plus superficielle.Tu sens quand même son regard pressant sur ta poitrine, sur ton ventre, sur tes hanches et tes fesses…Il t’admire des yeux, du bout du regard. À peine de la pointe des doigts…Les secondes s’égrènent… le regard persiste… tu attends…Il t’invite à passer à la table d’examen…Il t’invite à passer à la table d’examen…Le carrelage est froid sous tes pieds.Tu sens son regard sur toi et il fait chaud…En même temps tu te soumets à la prescription, en même temps tu te demandes si tu ne devrais pas réagir… et pour rendre le tout confus tu sens ton désir, son désir qui se mêlent à toutes ces émotions…Un petit tabouret pour t’aider à prendre place sur la table… heureusement… ça t’évite de te déhancher pour monter sur la table…Par pudeur tu croises les jambes…Tu attends…Le médecin s’affaire à prendre l’appareil à pression… La position n’est pas évidente pour lui… il décroise tes jambes et se place entre elles… Verra-t-il la moiteur qui a commencé à humidifier le papier ?Le brassard s’enroule autour de ton bras. Les gestes sont précis, automatiques mais tu sens le regard qui erre…Tu sens le brassard se gonfler et ton pouls qui bat dans ton bras… si fort… si vite…C’est sûr que ta pression doit être au plafond… cette situation, ta gêne, ton désir…Enfin… l’étreinte se relâche…Un répit, le temps qu’il remette l’instrument en place…Ses mains se placent sur ton cou , se déplacent, telle une caresse, sur ta nuque… reviennent, palpent explorent… sous ta mâchoire, puis redescendent vers les creux au-dessus de tes clavicules… elles s’y attardent… ta respiration se creuse… sa vue sur ta poitrine est imprenable, tu sens bien qu’il laisse le temps défiler pour en profiter…Les oreilles, le nez, la gorge sont vite expédiés.. Ce ne sont pas les attributs qu’il recherche… il « évalue la marchandise » penses-tu… Je ne suis pas trop moche après tout…Il prend son stéthoscope et se penche sur toi. Le tube est court et il doit se rapprocher beaucoup pour pouvoir aller ausculter l’arrière de tes poumons… tu sens son odeur, tu ressens sa chaleur… tu sais son désir qui te fait languir…Il te fait respirer profondément… pour toi c’est presque un soupir…Tu prends conscience de son regard, de ton thorax qui se soulève, de ta poitrine qui se dresse, de tes mamelons en érection… de la chaleur de ton ventre…Le stéthoscope se balade. Il revient vers l’avant …— Retenez votre respiration.Quelques endroits pour bien écouter un cœur qui bat la chamade… Le stéthoscope sous le sein gauche, la main à plat qui s’attarde, qui soupèse presque… la respiration que tu ne peux empêcher de reprendre…— Bien… Respirez…Mais ce souffle qui reste superficiel, confus entre la gêne et le désir, confus entre la confiance et la crainte de ce qui s’en vient…Son regard plonge entre tes seins… il s’étale sur ton ventre et s’enfile dans ton entrecuisse… tu le sais… Que désire-t-il ? Que désires-tu ?— Étendez-vous sur le dos que j’examine vos seins…— Étendez-vous sur le dos que j’examine vos seins…Tu te couches sur le dos. Le papier est froid et te rappelle ta nudité… le bruissement du papier froissé te rappelle aussi à la réalité de ta situation, abandonnée que tu es, à la merci du « corps » médical…Le médecin te place les bras au-dessus de la tête… tes seins s’étalent et les pointes fièrement dressées semblent signifier que ton excitation souhaite aller plus loin…Il discours … tu entends presque dans le lointain « je vais examiner vos seins pour vérifier s’il n’y a pas de bosses anormales »… mais en même temps tu décodes bien que le discours ne suit pas le regard, que le médecin dégage autre chose que son rôle professionnel…Tu te demandes soudain ce qu’il ressent, ce qui se passe dans son pantalon à te voir ainsi exposée… un petit frisson ajoute à tes aréoles pourtant déjà crispées… l’air climatisé peut-être… ou l’appréhension ?Ses mains commencent à palper la chair de tes seins ; sa main gauche qui semble le retenir sur le côté alors que la droite pétrit ton sein droit… le geste est sûr, la touche précise… juste un peu trop appuyée… il s’attarde juste ce qu’il faut pour que tu comprennes qu’il prend plaisir, qu’il veut t’exciter… t’inviter à profiter de ce moment…La main sur le côté aime bien rester juste sur le bord du sein, à la limite du thorax… un endroit sensuel… on peut aussi y ressentir ta respiration…Le tour du premier sein est fait… le sein gauche va finalement avoir son tour… tu fermes un peu les yeux, juste pour mieux sentir … le geste ralentit… un peu… si peu que seule toi peut savoir que ses mains et son regard tentent de rejoindre ta sensualité…Et le temps passe… presque trop vite…Il explore tes mamelons. « Je veux vérifier s’il n’y a pas d’écoulement. » Le discours ressemble à ces vieux radios en toile de fond… comme une musique de centre d’achats… mais toi tu sais…Un petit pincement juste ce qu’il faut pour t’exciter et envoyer une décharge à ton bas ventre… ton vagin s’échauffe, comme s’il désirait passer à autre chose…Tes pointes se contractent encore plus, presque douloureuses… tu sens tes seins se congestionner comme pour s’offrir à ses dernières caresses…Il t’observe… son regard te désire, tu le sais… et il sait que tu sais…Ses mains vont explorer ton ventre… rapides dans le haut, elles s’attardent et massent ton bas-ventre. Elles font résonner la congestion qui s’est installée ; c’est ton utérus, tes ovaires, ton vagin qui ressentent l’onde qui se transmet de ta peau au plus profond de toi…Tu t’abandonnes, tu relâches ton abdomen pour mieux en ressentir la caresse…— Je vais faire votre examen gynécologique. Si vous voulez mettre vos pieds dans les étriers…— Je vais faire votre examen gynécologique. Si vous voulez mettre vos pieds dans les étriers…Tu n’aimes pas vraiment ces étriers… la posture n’est pas vraiment confortable (c’est un euphémisme) et tu t’y sens tellement vulnérable… offerte…Pourtant tu t’exécutes…Est-ce qu’il va voir ta vulve humide ? Luisante !Sait-il ton état d’excitation qui monte depuis le début ? En doutes-tu ?Est-ce pour cela ce petit sourire en coin ? Lubrique, dirais-tu…Lentement, posément, il prépare ses instruments, écouvillons, spatules et le fameux spéculum…— Avancez-vous bien sur le bord de la table.Tu te glisses sur le papier qui colle dans ton dos, qui fait un bruit… chaque mouvement que tu fais te rend consciente de ta nudité… de ta vulnérabilité à son regard et en même temps te permet de prendre conscience du pouvoir de séduction que ton corps exerce….— Glissez encore un peu…Ces derniers centimètres qui t’amènent tout au bord de la table d’examen, en déséquilibre… au bord du gouffre… c’est toi qui avances ton bassin vers ce qui suit…À quelques pas il te regarde te déhancher, te placer, rechercher une certaine zone de confort. Sa position privilégiée de voyeur t’explore, du désir…— Écartez bien les jambes…Comment ne pourrait-il pas voir cette vulve humide presque désireuse de cet examen, lubrifiée par l’attente. C’est presque un signal… tes lèvres sont congestionnées… tu les sens… tu dégoulines presque… ton clitoris se tend sous son capuchon… comment pourrait-il ne pas s’en apercevoir ?Il s’assoit entre tes jambes… il s’approche… ses mains se posent à l’intérieur de tes cuisses et d’une légère pression t’invitent à t’écarter un peu plus…Mais les mains s’attardent encore un peu… glissent juste ce qu’il faut un peu plus haut… mais s’arrêtent là… Il y a un rien d’ambigu… pas de limite franchie … et pourtant tu le souhaites… et pourtant ça t’inquiète…Au fait a-t-il mis des gants? Tu n’en es pas certaine et ton regard ne porte pas assez loin…Il écarte tes lèvres, les explore de haut en bas… Sont-ce des caresses ? Et toujours le même discours : « je vais vérifier s’il n’y a pas de lésions au niveau de la vulve »… toujours comme en arrière-plan alors que ton épiderme, lui, est à l’écoute de toutes tes sensations… Il pourrait se taire … tu te concentrerais mieux…Les doigts glissent si facilement sur tes lèvres, entre tes lèvres : tu as toujours bien lubrifié mais aujourd’hui s’il savait… mais probablement sait-il…Il décapuchonne ton clitoris déjà sous tension… Avec une tige montée, un genre de Q-tips, il en explore les contours… le supplice… tu sens ton clito durcir et durcir encore… Si le médecin pouvait te soulager… Il prend son temps … c’est certain qu’il fait durer son plaisir à te sentir ainsi…Il n’a pas pu ne pas remarquer ta respiration qui s’amplifie, ton bassin qui cherche à s’avancer vers ses mains…De ses doigts il saisit délicatement ton petit bouton, le palpe, le roule entre ses doigts… c’est pire que pire… tu voudrais que quelque chose se passe… Il s’éloigne pour prendre le spéculum… la tension baisse un peu mais la frustration grandit…Il n’a pas à écarter beaucoup les lèvres pour découvrir un vagin entrouvert qui suinte d’excitation… le spéculum glisse sans aucune résistance. Bien que petit tu le sens venir habiter ton ventre… c’est déjà mieux… tu voudrais presque le saisir de ton vagin…Lorsqu’il écarte les lames tu sens encore augmenter ta tension… Ce que tu aimerais que ce ne soit pas un morceau de plastique… Si ce pouvait être une colonne de chair chaude, turgescente et pulsative…Cette fantaisie même augmente ton excitation : tu es de plus en plus mouillée et tu sens tellement ta vulve, ton vagin, ton clitoris s’échauffer et se congestionner encore plus…— Je pense que sur le plan hormonal tout va bien.Que veut-il dire par là ? Que voit-il ? Tu voudrais le lui demander mais tu crains un peu sa réponse… s’il te parlait de ton état ? S’il savait ce que tu ressens ? Comment réagirais-tu ?— Il ne me reste qu’à faire votre toucher vaginal.— Il ne me reste qu’à faire votre toucher vaginal.Il y a deux techniques pour faire ce toucher : le médecin peut se placer entre les jambes de la patiente, ce qui lui permet d’aller un peu plus profondément mais il se retrouve avec le poignet cassé, ou, comme maintenant il se place à ta droite, son bras passant par dessus ta cuisse.Tu es pas mal mouillée…C’est sans doute pour ça qu’il n’a pas mis de gelée… mais il n’a pas mis de gant non plus…Je ne sais pas ce qu’en penserait le Collège des médecins…Le spéculum a déjà ouvert la voie et c’est sans difficulté que ses doigts experts trouvent le passage. Deux doigts pénètrent aisément, glissant dans ton vagin. Tu sens ce volume qui vient t’habiter…Son pouce vient se poser sur ton clitoris déjà bien gonflé …. Il t’électrise et tu te tends… ta respiration reste en suspend, comme dans l’attente…Il s’est arrêté… il t’attend… tu te détends un peu, si peu… De son pouce il ajoute un peu de pression… tu avances ton bassin, à sa rencontre…Doucement il entreprend un mouvement circulaire sur ton petit bouton… Tu sens bien que la consultation prend une autre tournure, que tous les sous-entendus prennent forme… et tu t’y abandonnes…Tu accompagnes le doux massage de ton clito d’un mouvement de rotation de ton bassin : tu veux profiter de cette caresse et toute cette tension que tu ressentais depuis le début…Le mouvement s’accélère… et que peut bien penser le médecin ? Si près de toi… tout collé contre la table…Tu laisses glisser ta main contre lui… pas de doute il y a une proéminence pas du tout professionnelle sous ce sarrau !Tu profites aussi de la situation pour caresser cette bosse qui t’attire…Ses doigts s’activent à l’intérieur de toi et tu sens bien ces premières impressions de la stimulation de ton point G… mais tu sais qu’une fois passée cette première envie d’uriner c’est tout un plaisir qui se développe en toi… et de sentir ses doigts qui t’explorent profondément, qui vont même à stimuler ton col… Sa mais sur ton ventre pousse ton utérus vers le bas, plus près encore de ses doigts…De ton côté tu t’actives… tu libères de sa gangue cette colonne de chair qui, à n’en pas douter te désire…Et qu’aussi tu désires … si seulement elle pouvait te soulager…Tu décalottes le gland que tu trouve bien lubrifié… ça doit faire un bout de temps qu’il est excité…Tu le caresses et tu masses ses couilles bien tendues…Les caresses se poursuivent et tu gémis… tu te mords les lèvres : si seulement tu pouvais te laisse aller à hurler…Du regard tu le supplies d’aller plus loin…Il se replace entre tes jambes et c’est son membre de chair, son spéculum personnel, son caducée qui s’enfonce en toi..Tout ton corps se tétanise, tu respires tellement vite, tu t’hyper-ventiles, tu en as des engourdissements tout autour de la bouche, tes mains perdent le contrôle et malaxent tes seins alors que ton ventre en feu danse au rythme de son sexe…Puis c’est l’explosion !!!Lui en toi ! Toi autour de lui ! C’est sa semence, ta cyprine, vos sueurs, vos plaisirs qui se mêlent et vous consument…Il rédige une ordonnance.Tu te rhabilles, rajuste tes vêtements…— Au fait docteur, j’ai oublié de vous parler de me hémorroïdes…— Dites à ma secrétaire que je veux vous voir de façon urgente en fin de journée la semaine prochaine.Sourires entendus, tu refermes la porte du cabinet…