Coumba
Fantasme sur une nouvelle collègue. Femme superbe d’origine sĂ©nĂ©galaise. J’espère un jour pouvoir la raconter comme vĂ©cue…;)
Proposée le 17/12/2017 par Superlicker Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Depuis 3 semaines qu’elle Ă©tait arrivĂ©e Ă l’accueil de la boite, je fantasmais sur Coumba.Elle a 35 ans, mesure 1m65, un corps fin et un fessier rebondi qui met en valeur une cambrure…criminelle.
Elle a une bouche pulpeuse, des yeux en amande Ă l’iris brillant.
Coumba est une lionne de la Teranga Ă la peau Ă©bène et de longues tresses noires entourent son visage d’ange…
J’ai vite repĂ©rĂ© une alliance Ă son doigt, ce qui m’arrange bien, n’Ă©tant moi mĂŞme pas cĂ©libataire.
Ce matin, quand j’arrive au boulot, je tente une approche (certes un peu lourdingue)
Tiens voilà la plus belle femme de la boite ! Vous allez bien Coumba ? Lui dis-je en lui tendant la joue.
– Oh merci c’est gentil ! Ca va bien et vous ?
Très bien merci ! Bonne journée
Ce soir, c’est une pluie battante et un froid de novembre qui m’attendent Ă la sortie du taf. Je me prĂ©cipite Ă ma voiture et j’aperçois l’objet de mes fantasmes qui attend son bus sous des trombes d’eau. Le gentleman que je suis s’arrĂŞte Ă sa hauteur.
Je vous ramène Coumba ?
C’est sympa mais je ne sais pas si je suis sur votre chemin…
La ville n’est pas si grande et cette pluie va vous rendre malade. Allez grimpez !
Je veux bien. Merci beaucoup
Votre mari ne pouvait pas venir vous chercher ?
Il est en déplacement la semaine, on ne se voit que le weekend.
Le court trajet se poursuit par des Ă©changes de banalitĂ©s sur son nouveau poste et l’ambiance dans l’entreprise. Après avoir dĂ©cidĂ© de se tutoyer, nous sommes arrivĂ©s en bas de son appartement.
Tu montes boire un truc ?
Je ne veux pas te dĂ©ranger Coumba…
Oh je suis seule et rien de prĂ©vu alors…
Alors je veux bien boire un truc !Coumba m’invite Ă entrer au salon et je me suis installĂ© dans un fauteuil douillet. Depuis la cuisine, la belle me lança :
Il est 18h30…ApĂ©ro ?
Tu as du whisky ?
Oui et du bon selon mon mari.
Alors apéro !
Coumba me rejoint vite avec un whisky pour moi, un martini pour elle et un bol de bĂŞtises Ă grignoter.
A ta santé ! Lui dis-je
Pas à la santé de la « plus belle femme de la boite » ? me retorque-t-elle dans un clin d’œil.
Oh, je suis dĂ©solĂ©, c’Ă©tait un peu lourd…
Pas du tout ! C’Ă©tait très gentil! Les compliments sont toujours très agrĂ©ables…
Sourires gĂŞnĂ©s, nous sirotons nos verres sagement. Coumba se lève alors, nous met un CD de Gainsbourg et revient s’installer dans le canapĂ©, près du fauteuil oĂą je suis affalĂ©.
Si tu n’es pas attendu, je peux te sĂ©questrer pour le dĂ®ner ? Me demande-t-elle alors.
Personne ne m’attend et tu peux me sĂ©questrer autant que tu veux…
La lueur dans ses yeux s’est transformĂ©e en braise…Elle s’est levĂ©e face Ă moi…Il ne lui fallut pas plus de deux minutes pour se retrouver entièrement nue !
J’ai admirĂ© quelques dizaines de secondes ce corps parfait.
Des jambes fines et musclées, un ventre plat, des seins menus mais fermes, auréolés de tétons turgescents noirs tels des raisins secs..
Une touffe noire savamment taillée surmontait son pubis et on pouvait deviner un clito particulièrement développé.
Enfin, son cul rebondi acheva de m’exciter.
Une Ă©rection gonflait mon jeana.
Je me suis levĂ©, l’attrapant par le cul et me suis collĂ© Ă elle.
Ma bouche est venue rencontrer la sienne. Totalement excitĂ©e, Coumba a entrouvert ses lèvres et sa langue puissante et gourmande s’est enfoncĂ©e dans ma bouche…
Nos langues se sont emmêlées dans un baiser humide et totalement impudique.
Tout en continuant Ă me bouffer la bouche, Coumba dĂ©grafait les boutons de mon jean. Ses doigts ont glissĂ© sous le tissu de mon boxer branlant ma queue dĂ©jĂ raide et caressant mes bourses…
Coumba me masturbait fort, sa langue lĂ©chait mon cou, mon torse…elle mordillait mes tĂ©tons… j’appuyais alors sur ses Ă©paules afin de guider sa bouche jusqu’Ă ma tige.
AgenouillĂ©e maintenant face Ă moi, Coumba avala entièrement ma bite jusqu’Ă sa base et entama une pipe aussi profonde que brĂ»lante…La salope passait de la succion Ă la branlette et crachait sur ma queue avant de mieux l’avaler…De sa main elle malaxait et soupesait mes couilles et un doigt curieux glissait mĂŞme entre mes fesses pour aller y titiller mon petit trou…
Je sentais que j’aurais pu rapidement laisser Ă©chapper mon foutre dans sa bouche…
Je me suis retirĂ© et l’ai assise dans le canapĂ©. J’ai Ă©cartĂ© ses cuisses en Ă©cartant ses fesses afin d’admirer ses orifices…
Son clitoris, effectivement Ă©tait particulièrement gros et semblait dĂ©jĂ bander, ses lèvres entrouvertes sur une vulve rose et brillante de mouille, enfin son anus Ă©bène serrĂ© pour le moment qui Ă©tait un appel Ă la sodomie…
Je n’y tins plus, j’ai approchĂ© ma bouche afin de me dĂ©lecter de ses fluides et respirer ses odeurs intimes…Je m’attaquais Ă son clito, parfois en faisant doucement le tour avec ma langue, parfois le suçant comme une petite bite, parfois le mordillant..J’entrepris alors de lĂ©cher son trou du cul, l’humidifiant, le titillant, l’enculant du bout de ma langue…
J’ai calĂ© mon majeur et mon index dans sa chatte trempĂ©e. J’ai doigtĂ© Coumba fort, cherchant les centimètres plus granuleux de son point G…Alors, mes doigts tels des crochets, j’ai accentuĂ© et accĂ©lĂ©rĂ© ma pĂ©nĂ©tration…Le clapotis puissant de sa chatte dĂ©goulinante ravissait mes oreilles et je n’ai pas tardĂ© Ă obtenir le rĂ©sultat dĂ©sirĂ©…une superbe Ă©jaculation fĂ©minine…. Dans un râle de plaisir et les jambes tremblantes, Coumba dĂ©versa sa cyprine entre mes doigts, trempant au passage le canapĂ© et le tapis du salon…
Quelques secondes pour reprendre ses esprits et Coumba se mit à quatre pattes sur le canapé et me lança un très pornographique « Baise moi ! ».
Ma queue entra sans aucun souci dans sa vulve gonflĂ©e et trempĂ©e de mouille. Je la baisais fort et sauvagement, Ă©cartant ses fesses afin d’admirer les contractions de son trou du cul Ă chaque fois que ma bite s’enfonçait au plus profond de sa chatte.
Il ne me fallut que quelques minutes pour sentir la sève monter le long de mon membre…Je me suis retirĂ© et me branlant au dessus de son cul, j’ai giclĂ© de longs jets de sperme sur ses fesses et son petit trou…Coumba a Ă©talĂ© ma semence sur son fessier et glissĂ© un doigt lubrifiĂ© de mon sperme Ă l’intĂ©rieur de son cul en me provoquant « la prochaine fois, tu pourras passer par lĂ … »Merci de vos commentaires, critiques et mesdames…de vos messages plus intimes…© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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