Comme nous sommes voisins à Paris, j’ai l’habitude de passer prendre un café, le dimanche après-midi, chez deux de mes cousines.
Lise et Anne sont deux soeurs d’une grande beauté qui n’est pas sans rappeller celle des italiennes. Formes plantureuses, seins généreux, fesses attirantes sous une taille fine, peau mate et bronzée.
Lise a la trentaine libérée, je sais par nos récits respectifs qu’elle a connu bon nombre d’hommes dans sa vie, et qu’elle est sur les choses du sexe particulièrement ouverte. Anne à l’inverse, de deux ans sa cadette, n’a jamais connu réellement d’homme et, à 28 ans, si elle n’est pas pucelle, n’est certainement pas experte pour autant.
Nous étions comme chaque dimanche à deviser gaiment de choses et d’autres, à musarder sans se soucier de l’heure, lorsque le sujet dériva comme à l’habitude sur la difficulté à trouver un homme potable à Paris, sur les coups d’un soir, sur les anecdotes diverses et de plus en plus pimentées.
Lise raconta, dans un grand éclat de rire, qu’elle avait la semaine précédente couché avec un mec qui était doté d’une bite si imposante qu’elle n’avait même pas pu le sucer correctement, se contentant de ne pouvoir que lécher son gland. Anne ouvrait des yeux de novice, cherchant probablement à se figurer mentalement la scène.
— Petite ou grosse, tu as déjà la chance de pouvoir t’occuper d’une queue, répondit-elle à sa soeur, moi, les pipes c’est pas trop mon truc, et je serais bien incapable d’en faire une correcte.
Naturellement, les deux soeurs se retournèrent vers moi pour s’enquérir des critères d’une pipe réussie. Je répondis aussi naturellement que possible, tout de même un peu gêné par une conversation qui commençait à avoir des conséquences tangibles sur mon état d’excitation.
Lise sans conteste s’apercevait de mon trouble, Anne la cadette quant à elle ne semblait rien remarquer. Lise conclut la conversation en disant à sa petite soeur qu’elle ferait bien de se perfectionner
— Si tu deviens une bonne suceuse, tu garderas tes mecs, une bonne pipe, c’est le secret de la fidélité ! Anne, bien que convaincue, ne voyait pas bien comment elle pouvait s’entraîner toute seule « désolée, mais les bananes ne réagissent pas à mes caresses » poursuivit-elle.
« bah demandons à Paul d’être notre cobaye ! », me lanca-t-elle sous forme de défi. Je pris un air offusqué, montai sur mes grands chevaux, eu l’air choqué, mais j’espérais bien en mon for intérieur que Lise continuerait sur sa lancée.
Etant cousins, nous avions partagé, jeunes, des bains, des jeux divers et variés. Mais depuis 20 ans mon anatomie comme celle de mes cousines avait quelque peu changé et à part sur la plage, je n’avais jamais eu l’occasion d’admirer la plastique de mes deux cousines.
— Ça va Paul, on est pas coincés à ce point là , tu peux bien te rendre disponible cinq minutes pour éduquer ta cousine ! poursuivit-elle sans lacher l’histoire.
Ce faisant, elle s’approchait de moi qui était assis sur la canapé, les deux soeurs étant assises par terre sur des coussins. Je me retouvai merveilleusement coincé seul sur ce canapé entre mes deux cousines chacune assise de part et d’autre devant moi.
Anne la plus jeune ne mouftait pas mais semblait intéressée voire amusée par la situation, elle n’avait, il est vrai pas grand chose à perdre.
— Bon Paul, montre nous ta bite au moins déjà , qu’on puisse avoir une idée.
Le jeu m’amusait aussi, et j’étais prêt à voir jusqu’où elles étaient prêtes à aller. D’un petit sourire narquois, je défis mon jean et le retirait. Je restais, un peu idiot, assis en boxer sur le canapé.
— Alors tu vois Anne, poursuivit Lise, on a déjà une première indication. Visiblement Paul ne bande pas encore complètement, mais on devine une bite acceptable au-dessus de deux belles couilles.
J’avais décidé de ma taire, laissant au professeur le soin de mener son cours à sa guise
— Donc, continua-t-elle, tu as deux solutions à ce stade. Soit tu attaques direct, tu prends la bite encore à moitié molle dans ta bouche et tu la fais durcir, soit tu masses lentement l’engin au travers du caleçon. Choisissons la deuxième solution.
Ma cousine, s’étant rapprochée, commença à me masser délicatement les couilles et la bite au travers de mon boxer, qu’elle descendit ensuite sur mes chevilles. La situation était pour le moins cocasse, et j’aurais pu me croire à la visite médicale, seul ainsi assis sur le canapé, à moitié nu, observé à la loupe par mes deux cousines endiablées. Mon sexe désormais apparaissait au grand jour, non encore totalement déployé, mais déjà assez émoustillé par ce jeu pédagogique. Anne poursuivait :
— Bien, nous sommes en présence a priori d’une bite respectable, ni petite ni énorme, mais propre à te procurer bien des plaisirs. Elle est large à la base, assez épaisse, pas trop longue, et les deux couilles semblent bien pleines et bien dessinées. Tu veux toucher soeurette ?
Anne se rapprocha, examina le décor ainsi planté, et mis sa main doucement autour de mon sexe.
— Elle est belle quand même sa bite, moi je n’en ai pas vu autant que toi, mais celle-ci est assez grosse, non ?— Oui, répondit sa soeur, elle est très honnête, attendons qu’elle soit à son maximum, laisse moi un peu la place et regarde bien… Il faut d’abord faire bander ton mec au maximum, que dès le début de la pipe, Qu’il comprenne bien qu’on est pas là pour rigoler, et qu’il doit se préparer à des émotions fortes. On n’est pas des rigolotes ma soeur, notre réputation est en jeu.
Joignant le geste à la parole, elle plaqua ma bite sur mon ventre avec sa main, et commenca à me lécher doucement entre les couilles. Elle les prenait l’une après l’autre dans sa bouche, alternait, puis remontait le long de ma bite avec la pointe de sa langue, jusqu’au gland désormais écarlate de plaisir. Mon sexe, déjà , était prêt à exploser, décuplé par le savoir faire de ma cousine comme par l’excitation que me procurait la situation.
— Vas-y Anne, à toi, fais pareil !
La petite soeur s’approcha et sans la moindre hésitation, imita sa soeur dans ses mouvements. La soeur admirait, fière des talents de son élève.
— Bien, poursuivit Lise, voilà qu’il bande comme un taureau maintenant, elle est belle en effet sa bite, bien droite, bien dure, tu n’as pas joui depuis combien de temps Paul me demanda-t-elle ?— Trois jours…— Hummmm, tes couilles doivent être bien pleines.— Donc, continua le professeur, là tu pourrais directement t’empaler sur sa bite, mais ce n’est pas l’objet du cours d’aujourd’hui, tu pourrais aussi le faire jouir en 2 minutes chrono en le pompant à fond, je te montrerai un autre jour. Mais là , adoptons la méthode classique. Regarde moi bien Anne, après ce sera à toi.
Pour être plus à l’aise, et probablement plus excitante, elle enleva sa robe, découvrant des seins sans soutien-gorge, des seins lourds, bruns, aux têtons pointus et sombres, deux seins à se damner. Elle portait aussi un string blanc du plus bel effet, laissant apparaître des fesses à levrette particulièrement bandantes. Elle vint se mettre sur le canapé, assise sur les genoux, à mes côtés. D’un coup d’oeil, elle mesura son effet sur moi, afficha un petit sourire de défi, et commença son oeuvre.
Elle m’administra alors l’une des plus belles pipes de ma vie. Tout en prenant mon gland entre ses lèvres, elle carraissait mes couilles, les soupesant, jouant avec, les malaxant. Mon gland coulissait entre ses lèvres, tandis qu’elle tendait de son autre main la peau de mon sexe au maximum. Sa langue descendait le long de ma bite, revenait plus haut, redescendait. Elle fit couler un filet de bave sur mon gland, qu’elle s’empressa de nettoyer consciencieusement en avalant ma bite sur toute sa longueur, son nez venant alors jouer avec les poils de mon pubis.
Sa main s’aventura alors entre mes fesses. Bien qu’un peu surpris de tant d’audace, c’est bien volontiers que je lui facilitais le passage. Son doigt jouait à l’entrée de mon anus. Elle suça son doigt, m’écarta les fesses, et titillait mon anus peu habitué à ce genre de plaisirs. Voyant le chemin quelque peu fermé, elle descendit du canapé, se plaça entre mes cuisses, plaqua d’une main ma bite sur mon ventre et se mit à me lécher fougueusement le cul, sa langue tentant de pénétrer mon anus.
Remontant sur la canapé, elle reprit sa position initiale, commenca à me pomper à fond et à rythme régulier, et introduit sans ménagement un doigt au fond de mon cul, décuplant ainsi mon érection pourtant déjà bien avancée.
Anne la petite soeur de son côté ne perdait pas une miette et ouvrait des yeux grands émerveillés devent tant de savoir faire. Lise me suça comme cela dix bonnes minutes. Ne souhaitant pas perdre une occasion si belle, j’en profitais de mon côté pour la carresser, soupeser ses seins, titiller son clitoris et, moi aussi, explorer son cul de mes doigts. Elle y était visiblement sensible, mouillant terriblement.
A un moment, elle retira son doigt de mon cul, arrêtà là sa pipe magistrale, releva ses cheveux et s’exclama :
— Ah bon dieu que c’est bon, j’aurais bien continué mais je voudrais pas qu’il jouisse avant que tu n’en profites ma soeur, je te le laisse, vas-y mollo il est pas loin de tout balancer.
La petite Anne, pourtant, souhaitait une explication de texte:
— La langue et le doigt dans le cul, euh, c’est obligé ?— Rien n’est obligé ma belle, répondit l’ainée, reste à savoir si tu veux qu’il crache ses tripes, qu’il se souvienne de toi pendant dix ans, ou si tu veux lui faire une pipe d’écolière. Les mecs adorent ca, c’est un semi-tabou qu’ils te savent gré de briser. Et ca leur procure de bonnes érections bien maousses, alors n’hésite pas.
Encore une fois, Anne se mit à la tache, imitant sa soeur à la perfection. L’ainée, Lise, quant à elle, ne faisait que suggérer un détail, l’encourageait de sa voix, replaçait une main inutile, la coachait littéralement.
— Vas y pompe le bien, allez ! ta main là , elle ne sert à rien, tu as deux mains bon dieu, une qui le branle, une qui le carresse ! surprends le, accélère, ralentit, allez, suce moi cette grosse bite ma salope !
Anne apprenait vite je dois dire, et je commençais vraiment à ne plus pouvoir controler mon plaisir.
Après les dix minutes réglementaires, elle s’arrêta, s’en remettant aux instructions de sa soeur.
— Bien Anne, bien, tu vois que c’est bon de faire du bien à un mec, regarde ses yeux de chien battu, il nous en est reconnaissant notre cousin chéri. Putain ce que j’aimerai qu’il me prenne en levrette là , par terre, comme une chienne, qu’il me défonce par derrière, mais ce n’est pas le jour, poursuivons. Là , il est mur pour balancer la purée. C’est un instant critique. Tu as le choix. Je ne pourrais pas tout te montrer, les mecs sont limités à deux ou trois éjaculations successives. Mais tu peux choisir d’avaler, ou de le faire jouir sur ton visage, ils adorent aussi. Les possibilités sont multiples.
Sans crier gare, elle se remit en position, se mit à me sucer à rythme soutenu, tout en me branlant d’une main et en me carressant les couilles et les fesses de l’autre. Je sentais que j’allais venir. Elle marqua un temps d’arrêt, vérifia que sa soeur était attentive, replongea entre mes jambes, accéléra et, au moment ou je criais de plaisir, éjaculant tout ce que je pouvais donner, elle m’enfonca son majeur dans le cul, continua de me lécher sans faiblir, jusqu’à la dernière goutte, nettoyant mon gland de la moindre trace de sperme.
Elle se releva, ouvrit la bouche et montra qu’elle avait conservé tout mon sperme sur sa langue. Parlant avec difficulté, elle dit à sa soeur « vient gouter ma belle, ce sera ta première fois, je t’en fais cadeau, il a bon goût ce con » et elle embrassa sa soeur à pleine bouche, leurs langues se mêlant, elle me regardèrent toutes deux simultanément, me montrèrent qu’elles avaient partagé mon sperme à parts égales, et avalèrent d’un coup le fruit de mon éjaculation.
J’étais anéanti de plaisir mais cette dernière pirouette m’avait redonné vigueur et je rebandais dur comme fer.
— Oh dis donc Lise, dit Anne, il en veut encore le cousin !— Pas aujourd’hui répondit l’aînée, la semaine prochaine, je te donne un cours de sodomie, tu verras c’est l’extase, avec une queue pareille, va falloir bien préparer le terrain.
Mais assez joué pour aujourd’hui…