Cette histoire comme la précédente ne devait être lue que par une personne, Hélaura ma belle. Le « tu » était donc destiné à la faire entrer plus facilement dans l’histoire. J’espère que vous saurez tout de même apprécier ce récit.Ah, les vacances ! Voilà deux jours que nous sommes sur le bateau qui nous promène à travers les Caraïbes. Cela fait deux jours que les hommes se retournent sur ton passage quand vêtue de ton bikini tu te rends à la piscine. De face comme de dos ton corps est une promesse pour des nuits plus chaudes ( il est midi et il fait déjà 35° ). Aujourd’hui nous avons préféré ne pas faire d’excursion et profiter du bateau. Il y a peu de monde et il semble n’être qu’à nous. Tu sors de la piscine où l’eau flirte avec les 32° , les gouttes sur ton corps descendent lentement vers tes pieds. Elles semblent ne vouloir jamais toucher terre et dans une dernière caresse sur ta peau, disparaître. Tu prends ton paréo sur un transat et dans un mouvement que beaucoup autour de la piscine regrettent mais ne peuvent s’empêcher de regarder du coin de l’œil, tu couvres tes reins de ce bout de tissus fleuri. Lorsque tu te retournes pour partir, on peut voir le devant de ton maillot de bain sous le nœud du paréo qui heureusement est la version Caraïbe, court derrière (juste sous les fesses), et très court devant (juste sous la taille ). Tu te sens bien sur ce bateau loin de tout ce que tu connais, indifférente aux regards des gens médisants, mais attentive aux regards de désir. C’est volontairement (le bateau n’a rien à voir la dedans) que tu fais chalouper tes fesses pour réveiller les endormis.Tu n’as plus le temps de repasser à la cabine pour te changer, je t’attends déjà depuis 10 minutes au bar qui surplombe la piscine. Des yeux envieux te suivent lorsque tu gravis une a une, les marches de l’escalier qui monte au pont supérieur, certains sont même tentés de te suivre mais se ravisent en te voyant te couler contre moi en haut de l’escalier.— « Tu n’as pas honte de torturer tous ces messieurs »— « Mais je n’ai rien fait » me réponds-tu ingénumentJe t’embrasse avec passion en caressant tes fesses à travers ton paréo, histoire que les choses soient claires pour tout le monde.Nous nous rendons au restaurant du pont principal, celui qui possède une terrasse ombragée, pour prendre notre déjeuner. Il ne reste plus de table libre sur la terrasse, nous regardons autour de nous pour voir s’il y en a une sur le point de se libérer. Mais vu l’heure, les gens commencent seulement leur repas. Nous nous apprêtons à rentrer dans la salle climatisée en tremblant d’avance quand un couple de canadien assis à une table pour quatre nous propose de dîner en leur compagnie. Heureux de rencontrer un couple de notre âge et qui plus est francophone, nous acceptons l’invitation avec plaisir. Tu t’assois à côté de monsieur et moi à côté de madame. Les présentations faites nous apprenons qu’ils se nomment Fabien et Marine, sont canadiens et refont une croisière pour fêter leurs 10 ans de mariage. Fabien ancien gymnaste est aujourd’hui professeur de danse latine, tu peux voir ses muscles fins se dessiner sous son tee-shirt. Et lui peut voir tes belles cuisses encore humides disparaître sous la table, il ne s’est d’ailleurs pas privé de regarder en connaisseur les courbes de ton corps. Marine quand à elle, est responsable clientèle dans un hôtel de Toronto, elle parle plusieurs langues et son corps est aussi bien fait que sa tête. Elle est vêtue d’une courte robe verte à bretelles qui met en valeur sa poitrine avec un décolleté si profond qu’il faut retenir son souffle pour ne pas s’y noyer. Le déjeuner se poursuit agréablement, et après avoir parlé des enfants, du travail et du temps la conversation dérive sur des anecdotes plus intimes. Ils nous racontent comment pendant leur voyage de noces, ils ont fait l’amour dans un des canots de sauvetage du bateau, et espèrent bien recommencer pendant cette croisière. Nous racontons quelques-unes une de nos séances photos en précisant qu’il serait dommage de ne pas profiter de ce beau bateau comme décors. Le repas terminé nous les quittons pour partir à la recherche d’un coin propice aux câlins, toutes ces histoires nous ayant passablement excitées. Tu as du retenir à deux mains ton bas de maillot le temps de regagner notre cabine. La porte fermée, tu as enfin daigné desserrer ton étreinte pour laisser ta culotte de bain glisser le long de tes jambes et finir au sol. Je suis à genoux devant toi, qui le dos à la porte me présente par l’ouverture de ton paréo un minou dont les poils très courts ne cachent pas tes lèvres gonflées de désir. Mes mains remontent de l’arrière de tes genoux vers tes fesses puis agrippant ces dernières plaquent ton sexe ouvert sur ma bouche avide. Ma langue sans mal, peut recueillir les perles de désir qui coulent de ton intimité en abondance, et je constate à quel point toi aussi tu as été excitée par le déjeuner. Très vite le sexe remplace la bouche pour te prendre debout contre la porte ta jambe droite sur une chaise pour me faciliter le passage. Tes cris et les coups sur la porte ont du réveiller quelques voisins endormis, tant pis pour eux ils n’ont qu’à faire pareil, de toutes façons on est tous là pour ça.Allongée sur le lit tu ne tardes pas à t’endormir dans mes bras. Après quelques minutes je me lève pour aller dans le fauteuil et pouvoir te regarder dormir. Que tu es belle allongée sur le dessus de lit bleu, une brassière moulante a remplacé le haut de maillot et je peux voir les mamelons dessiner deux boutons en haut de tes seins tous ronds. Allongée sur le côté, face à moi tu as gardé ton paréo sans rien dessous, tes fesses sont tous justes recouvertes mais ton minou me fait des clins d’œil. Je prends l’appareil photo afin de capturer cet instant qui vaut tous les couchers de soleil. Les flashs te réveillent et tu me souris :— « J’aimerai te prendre en photo comme ça sur le pont pendant le coucher du soleil » te dis-je dans un souffle— « habillée comme ça ? »— « oui »— « tu es fou » me dit-tu en souriant « ce n’est même pas une robe, toutes les personnes que nous croiserons verront mon sexe »— « oui je sais »Tu refermes les yeux comme si je n’avais rien dit.Je prends quelques autres photos puis après t’avoir embrassée, je sors de la cabine pour te laisser dormir.Je me rends sur le pont histoire de t’attendre dans un endroit moins confiné. Accoudé à la rambarde je regarde les vagues qui viennent se briser sur la digue en faisant plein de petits arcs-en-ciel.— « C’est beau avec cette lumière »Je me retourne, Marine est allongé sur un transat dans un bikini blanc en crochet qui met son bronzage mais surtout son corps en valeur. À côté d’elle le transat est vide, Fabien ne semble pas être là. Je lui fais à présent face et la magie des embruns est bien loin à présent. Son corps sans trace de cellulite, ses longues jambes et sa poitrine généreuse sont pour moi bien plus émouvants. Tout en lui demandant si elle aussi a perdu sa moitié, j’ai du mal à ne pas égarer mon regard sur les courbes profondes qui dessinent sa silhouette (merci les lunettes de soleil). Pas dupe de mon intérêt et prétextant l’absence de Fabien, elle me demande de lui passer de la crème, il ne faut pas rigoler avec le soleil des Caraïbes. Marine me tend un flacon de crème solaire bleue et en se mettant sur le ventre me demande :— « Tu feras attention à ne pas mettre de crème sur le tissu car elle tache beaucoup »Je commence à étaler la crème sur sa peau douce et soyeuse mais très vite je suis arrêté par une brettelle blanche qui barre son épaule. Profitant qu’il me reste encore un doigt blanc je fais tomber les bretelles des épaules et reprend mon massage avec application. Arrivé au niveau du bandeau horizontal qui traverse son dos je suis devant un dilemme : comment écarter le tissu sans le tacher alors que tous mes doigts sont bleus. La solution est évidente pour elle, dans un geste souple elle détache son soutien-gorge pour me libérer le passage vers le bas de son dos. Jamais je n’avais tartiné avec autant de plaisir, pas même une tartine de Nutella. Le renflement des seins plaqués contre le transat roule sous mes doigts de boy-scout, ce qui a pour conséquence classique de faire rétrécir mon short. La bougresse a bien vu les conséquences de ses actes et pour porter l’estocade me demande amusée :— « Maintenant que tu as les mains pleines de crème pourrais-tu également t’occuper de mes jambes ? »Comment refuser l’invitation de caresser des jambes aussi bien faites ? Pendant que je m’emploie à faire disparaître le bleu de cette crème longue à pénétrer (surtout quand on en met beaucoup exprès) je peux voir apparaître sur le maillot de bain de Marine une tache qui ne laisse pas de doute sur l’efficacité des caresses. En se retournant vers moi, elle pose la main sur la bosse de mon short pour me tirer vers elle, m’embrasser sur la bouche, avant de me repousser et dans un soupir et me dire :Je reste assis quelques minutes dans le transat à côté d’elle afin de pouvoir traverser décemment le bateau pour te retrouver dans notre cabine.En rentrant je te trouve debout, le sourire aux lèvres et le regard coquin. Je te raconte ce qui vient de m’arriver avec Marine pendant que tu te reposais. Une pointe de jalousie traverse ton regard mais bien vite un sourire plein de malice éclaire ton visage quand tu me dis :— Une belle femme avec un mari pas moins charmant, comment résister ? »Sur ce tu ouvres la penderie pour prendre une robe. Je te regarde dans la glace, heureux de ta réaction ! Tu prends la rouge à boutons qui t’arrive à mi cuisses, sous laquelle tu mets un ensemble string plus soutien-gorge blanc. Pour ma part je porte un bermuda marine avec une chemisette bleue et jaune. Nous partons pour faire le tour du bateau et un peu de lèche-vitrine. Nous déambulons entre les magasins, passons devant le casino où nous jouons quelques pièces. Mon désir de découvrir ton corps sous cette robe se fait de plus en plus fort et je cherche le moyen d’arriver à mes fins. À la sortie du casino une pancarte nous propose de découvrir les joies du billard. Nous nous regardons : pourquoi pas ? Il fait si chaud sur le pont, une partie de billard nous occupera un peu en attendant l’heure du dîner. La salle située à côté de la discothèque sur le pont « Paris » est déserte ,à cette heure les gens sont à la piscine ou à terre. Les murs de la salle recouverts de bois dans le style des vieux gréements et la music jazz qui sort du plafond donnent à la pièce un côté rétro qui appelle au calme. Je tiens enfin la solution! Pendant que je range les boules je te propose de pimenter la partie :— Chaque fois que je rentre une boule tu ouvres un bouton. Chaque fois que tu en rentres une tu en refermes un. Si tu rentres la boule noire avant la fin tu retires ta culotte »— Et si c’est toi qui rentre la boule noire ? »— Tant pis pour moi.»(Et si tu veux savoir pourquoi il n’y a que toi qui te déshabilles, c’est parce que c’est moi qui écris cette histoire, Na !)Tu choisis une queue (de billard bien sur) pour casser, honneur aux dames. Tu te penches en avant pour ton premier coup, les jambes tendues et le dos droit, le billard est vraiment le sport le plus sensuel que je connaisse à part le sport en chambre. Les boules partent dans toutes les directions mais aucune ne tombe dans un trou. À mon tour de jouer, je fais rentrer facilement deux boules qui n’attendaient que ça, voilà deux boutons qui sautent, ta robe est ouverte jusqu’à l’entrecuisse mais la raideur du tissus garde les pans rapprochés. Je fais le tour de la table afin de trouver la boule la plus facile, la boule deux est à quelques centimètres du trou mais je ne peux pas la pousser directement, une bande va être obligatoire. Les mains moites je calcule l’angle nécessaire et avec force je frappe la boule blanche … RATE, l’angle est trop serré, la boule blanche vient casser le groupe de boule qui faisait obstacle au tir direct, la blanche qui a été déviée roule vers la boule deux pour la pousser dans le trou (au billard il faut aussi compter avec la chance). Tu avances tes doigts vers le troisième bouton en te voyant déjà nue, au moment où tu finis d’ouvrir ce bouton tu entends une autre boule tomber. Tu lèves les yeux vers moi pour constater que ce n’est pas moi le responsable de cette chute, un rapide coup d’œil sur la table te permet de voir que la boule blanche a disparu. À toi de jouer, tu as bien l’intention de retrouver un peu de pudeur. Plusieurs boules sont faciles à jouer et semblent n’attendre que ton ordre pour sauter dans le trou. Je suis déçu à l’idée de voir tous ces boutons sur le point de se refermer. Mais avant cela, une vision comme je les aime s’offre à moi, tu es en position pour tirer la main gauche en appui sur le tapis faisant un anneau autour de la queue, la main droite en arrière tenant l’autre bout. Ainsi penchée en avant ton décolleté est largement ouvert et j’ai une vue plongeante sur ta poitrine soutenue par de la fine dentelle. Je me décale sur le côté pour ne pas rester dans l’axe de la boule et pour découvrir la partie de ton corps cachée derrière la table. Tes jambes sont décalées pour t’empêcher de basculer en avant ce qui a pour conséquence, trois boutons étant défaits, d’ouvrir le bas de ta robe jusqu’au nombril. Commence alors un concours de longueur entre la queue que tu tiens dans les mains et celle qui se trouve dans mon short.Le temps semble arrêté et tu te réjouis de mon trouble en faisant durer l’instant. Dans un fracas le temps reprend ses droits et la ronde des boules recommence ,1 ;2 ;3 nous voilà revenus au point de départ. En rentrant ta troisième boule a touché la noire qui doucement …doucement … se rapproche d’un angle … tombera…tombera pas…TOMBE. Tu me regardes pour voir si les règles ont changé depuis tout à l’heure, à l’évidence il n’en est rien, tu pourrais arrêter la partie tout de suite mais toi aussi tu frémis de désir et veux encore faire grimper les enchères. Alors comme si tu étais dans notre cabine, tu glisses les mains sous ta robe, saisis ta culotte, la retire et me la tends, un défi dans le regard. En la prenant je constate que la situation t’excite, je relève le défi et pose ta culotte au centre de la table. À présent il nous sera impossible d’ignorer les conséquences de ce jeu. La suite de la partie fut une valse de boutons s’ouvrant et se refermant selon le joueur mais jamais plus de deux boutons ne furent ouverts à la suite. Puisque le jeu n’a pu ouvrir ces boutons je le ferai moi même, je me dirige vers toi alors que tu t’apprêtes à jouer la blanche qui reste seule sur le tapis avec ta culotte. Je mets mes bras autour de ta taille, et mes mains s’immiscent entre tes jambes afin de dégager le passage pour mon sexe prêt à bondir.— …soleil des caraïbes est vraiment très chaud… »Deux hommes arrivent pour rechercher le frais certainement, je te lâche et me recule pendant que toi tu te prépares à tirer l’air de rien. Les deux hommes entrent dans la salle, nous saluent et constatant que la partie est presque finie se mettent contre le mur pour attendre que la table se libère. Rassuré qu’il n’aient rien remarqué je reporte mon attention sur toi. Tu es paralysée les fesses en bombe dans la position si sensuelle de la joueuse de billard … la culotte au centre de la table. Je l’avais oubliée celle-là. Le temps à nouveau nous joue des tours, il ne fait aucun doute que les deux hommes ont reconnu la nature du morceau de tissu qui trône au centre de la table. Le plus grand des deux s’avance, la saisit et se tournant vers toi te tend la culotte en boule en te demandant :— Ce mouchoir est-il à vous madame?»Tu réponds par l’affirmative et récupère ta lingerie, nous quittons la salle hilares sous le regard amusé et envieux des deux hommes.Nous voilà de retour dans une partie du bateau où règne l’agitation, il est 18h et les personnes parties à terre commencent à revenir. Les gens se regroupent dans les bars ou sur les terrasses pour se raconter leur journée. Certains trop épuisés vont faire une sieste avant le repas. Alors que nous passons devant le « nuit tropical », un bar dont la spécialité est un cocktail à base de rhum et de fruits, nous sommes interpellés par Marine et Fabien qui nous proposent de prendre un verre avec eux. Tu hésites un instant car tu n’as pas pu remettre ta culotte qui est toujours en boule dans ta main. Mais en voyant mon regard intéressé sur Marine qui a troqué son maillot de bain contre une robe beige à boutons qui ressemble étrangement à la tienne, tu décides de t’asseoir à côté de Fabien pour me rendre jaloux. Nous passons commande : quatre cocktails spéciaux. Quatre verres multicolores avec paille et ombrelle arrivent dans la minute, servis par un serveur qui ne sait vers quelle paire de cuisse il doit se tourner tellement vos robes sont remontées lorsque vous vous êtes assises. Son trouble ne nous a pas échappé :— « Il n’y a pas que le serveur qui soit sous votre charme mesdames, Marine m’a raconté comment, Yohan, tu as su préserver sa peau de l’agression du soleil et je t’en remercie car grâce à toi, lorsque je l’ai retrouvée elle était prête à beaucoup de choses. »Marine rougit devant l’évocation de la journée et me lance un regard pour voir ma réaction.Pour augmenter le trouble de ta rivale, tu demandes ingénument à Fabien ce qui a bien pu se passer cette après-midi. Trop heureux il saisit la perche que tu lui tends pour raconter leur journée.Lorsque j’ai rejoint Marine sur le pont Yohan partait juste. Je suis arrivé par l’arrière de son transat et j’ai posé les mains sur ses seins, les caressant à travers son maillot en les remontant à pleine main et en excitant les pointes avec les doigts. Marine a murmuré en se retournant:— « Yohan pas ici, viens dans ma cabine »Quelle ne fut pas sa surprise quand elle a constaté que les mains qui lui donnaient tant de plaisir étaient celles de son mari. Elle a rougi et nous avons éclaté de rire. Nous sommes effectivement partis pour la cabine mais en passant devant un canot de sauvetage l’envie a été plus forte que la peur de se faire prendre et nous avons fait l’amour dans le canot, à quelques mètres des gens qui passaient sans savoir.Marine souriait maintenant, heureuse de sa journée et fière d’avoir un mari qui comprenne que l’on peut désirer un autre homme sans pour autant ne plus aimer le sien. C’est Marine qui nous demanda si nous aussi nous avions réussi à mettre à profit cette journée pour avancer sur le chemin de l’amour. Après un échange de regard avec toi, je raconte notre partie de billard qui malheureusement ne s’est pas déroulée comme je l’espérais. Je suis vraiment trop mauvais à ce jeu ajoutais-je tristement. Fabien compatissant pour moi me propose en plaisantant d’être mon champion et de refaire la partie avant le dîner pendant que le reste des passagers se ruent dans les restaurants. Avant que j’ai pu le remercier de son offre généreuse, tu lui dis que tu relèves le défi à la condition que tout bouton ouvert sur ta robe le sera également sur celle de Marine. Nous te regardons tous les trois pour savoir si tu plaisantes. Ton sourire et ton regard ne laissent aucun doute sur tes intentions. Tu me regardes pour voir si je suis près à poursuivre ce jeu jusqu’au bout, Fabien fait de même avec Marine.Nous nous rendons dans la salle de billard qui comme prévu est déserte. Je m’assois avec Marine dans un canapé bleu placé au fond de la pièce pendant que tu rejoins Fabien pour prendre la queue qu’il te tend. Les boules sont prêtes ,en triangle au centre de la table, tu rappelles les règles à notre ami pour que tout soit clair :— Je rentre une boule, je ferme un bouton— Tu rentres une boule, tu ouvres un bouton (je suis surpris par cette modification des règles mais tu sembles décidée à précipiter les choses)— Je rentre la boule noire, je retire ma culotte, oups ! C’est déjà fait. Tu fais semblant de réfléchir avant de déclarer :— Je rentre la boule noire et vous me donnez tous un gage.La partie commence et la tension est déjà présente dans la salle (et dans les pantalons). Au centre de la pièce, tu te prépares à tirer ta première boule et comme cet après-midi lorsque tu te penches sur la table, ta robe s’ouvre jusqu’à mi-cuisse. Tous les regards sont tournés vers toi. La boule blanche roule vers ses sœurs rangées en triangle, et tel un loups au milieu d’un troupeau les éparpille dans tous les sens. Aucune ne trouve refuge dans un des trous qui encerclent la table. Fabien qui n’a pas suivi le déplacement de la boule blanche mais le mouvement de tes reins vers l’avant lorsque tu as frappé cette dernière, est ravi que sont tour arrive si vite. Un rapide coup d’œil sur la table lui permet de voir que le prochain coup sera facile qu’il a juste besoin d’effleurer la 15 pour la faire glisser dans le trou. Accoudée à la table face à Marine et moi, tu entends le bruit métallique qui suit chaque point. Fabien contourne la table pour te faire face, deux boutons sont déjà ouverts, toi tu attends qu’il vienne prendre sa récompense la tête en arrière et les yeux fermés. Il glisse deux doigts sous ta robe afin de faire sauter avec le pouce le bouton situé à hauteur de ton pubis. Ses doigts effleurent ta toison, preuve s’il en était besoin que tu ne portes rien sous ta robe. Lorsque le bouton lâche, ta robe s’écarte juste assez pour lui révéler la couleur de ton minou qu’il caresse doucement en retirant sa main. Tu réouvres les yeux, lui souris, puis tournes les yeux vers Marine. Elle se lève, se dirige vers un tabouret de bar, on sent dans sa démarche chaloupée qu’elle veut faire oublier ta prestation. En faisant le tour du tabouret elle retire deux boutons à sa robe beige à présent aussi ouverte que la tienne. Puis montant sur le tabouret elle s’assoit en relevant sa robe afin de poser ses fesses directement sur le siège, ses mains glissent à l’intérieur de ses cuisses légèrement écartées vers sa culotte blanche qu’elle caresse dans le même geste…