Daniel, Consultant – Chapitre 4
Daniel et Katia se retrouvent après des nĂ©gociations et dĂ©veloppent leur relation extra-conjugale. Ils se retrouvent dans un hĂ´tel et Katia lui avoue avoir invitĂ© un autre couple… La surprise sera de taille pour tous les quatre.
Proposée le 16/05/2022 par Imagine69 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: GroupesLieu: InclassableType: Roman
Après nos Ă©bats un mois plus tĂ´t, Katia et moi n’avions pas renouvelĂ© l’expĂ©rience mais avions repris nos discussions sur l’application de rencontre. Toute entrevue Ă©tait propice au flirt : « J’adore voir ton petit cul quand tu cours devant moi », « Ton short Ă©tait trop serrĂ© ou tu avais une Ă©rection ? », « Joli col roulĂ© au cinĂ©ma… et toujours aucun soutien-gorge », « Si nous n’étions pas accompagnĂ©s, je t’aurais sautĂ© dessus », « Si nous n’étions pas accompagnĂ©s, je t’aurais sautĂ© tout court ». D’accord, nous Ă©tions au-delĂ du simple flirt ! Aussi bizarre que cela puisse paraĂ®tre, je ne ressentais aucun remord par rapport Ă Ludovic ou Alessia. Mon amour pour cette dernière n’avait pas flanchĂ©. Je la trouvais toujours aussi belle, lui faisais l’amour avec toujours autant de passion, sinon plus encore : « J’adore quand vous me lĂ©chez de bon matin, Monsieur le consultant ». Je me relevais entre ses cuisses nues et Ă©cartĂ©es : « Le plaisir est pour moi… mais je dois y aller, il ne faudrait pas que votre mari nous voit ainsi ». Elle se redressa sur la table, Ă©moustillĂ©e Ă l’idĂ©e de tromper son homme imaginaire avec moi : « Je suis sĂ»re qu’il aimerait vous voir me prendre ». Toujours aussi provocatrice !Nos lèvres se rejoignirent et ses doigts ouvrirent ma braguette : « Monsieur ne porte pas de caleçon ? ». Elle extirpa mon sexe droit et me masturba en palpant mes bourses comprimĂ©es par le manque de place : « Un consultant doit toujours ĂŞtre prĂŞt Ă satisfaire ses clientes ». Elle haussa un sourcil faussement outrĂ© et je la pĂ©nĂ©trais. Je lui fis l’amour jusqu’à la faire jouir, puis me retirais : « Je ne veux pas souiller Madame de bon matin ». Je m’attendais Ă ce qu’elle refuse, me masturbe ou me suce, mais elle n’en fit rien : « Très bien ! Monsieur passera une meilleure journĂ©e ainsi ». J’avais envie de revenir sur mes mots mais Alessia m’en dissuada avec un sourire malicieux. Je m’en voulais ! Elle replaça mon sexe dans sa prison de tissu, dĂ©posa un baiser sur ma joue puis partit Ă la douche. Je dĂ©taillais ses jolies fesses et sa tâche de naissance. J’hĂ©sitais Ă la suivre un instant puis prenais une grande inspiration, saisissais mon sac et partais au travail avec mon Ă©rection.ArrivĂ© au bureau, Marc, mon directeur, s’approcha de moi avec un regard aiguisĂ© : « Salut Daniel, tu peux venir avec moi pour nĂ©gocier les licences de digitalisation chez le fournisseur ? ». Je jetais un coup d’œil Ă Ludovic, assit Ă son bureau : « Ludo a sa copine qui travaille… ». Marc me coupa : « Justement, il risque de ne pas ĂŞtre très neutre dans les discussions ». J’haussais les Ă©paules, opinais du chef et repartais sur ses talons. L’homme Ă©tait hyperactif et au lieu de prendre les transports, nous marchâmes une quinzaine de minutes dans les rues en effervescence avant d’arriver devant le bâtiment : « Bien ! Il faut qu’on les amène Ă un prix de 140 euros l’unitĂ© ». Je le toisais avec de grands yeux : « Mais ils vendent leur licence Ă 170 euros ». Il me donna une tape sur l’épaule avant de rentrer dans le hall : « T’en fais pas ! ». Patricia, la patronne de Katia, nous attendait au niveau de la rĂ©ception. C’était une jolie quadragĂ©naire au regard mystĂ©rieux et Ă la rĂ©putation de fer. Nous nous saluâmes courtoisement. Elle nous emmena jusqu’à une salle de rĂ©union dans laquelle Katia Ă©tait dĂ©jĂ installĂ©e. En entrant, la belle lithuanienne se leva, me sourit et me tendit sa main pour que je la serre. Elle portait une veste de costume, un haut ample en satin, un pantalon moulant et des talons de taille moyenne. J’avais très envie de l’embrasser ! Marc et moi nous installâmes de l’autre cĂ´tĂ© de la table et il ouvrit les hostilitĂ©s en exposant nos besoins jusqu’à conclure : « Nous souhaiterions avoir un prix unitaire de 110 euros ». Face Ă nous, les deux femmes Ă©changèrent un regard circonspect. Katia prit la parole, dĂ©fendit leur produit et finit sur : « … 110 euros, ce ne sera pas possible ». A mon tour, je montais au crĂ©neau et attaquais mĂ©ticuleusement les vulnĂ©rabilitĂ©s de leur logiciel. La belle blonde me regardait en m’implorant de m’arrĂŞter tandis que Patricia m’épiait avec un sourire Ă©nigmatique. La tension Ă©tait palpable, l’adrĂ©naline Ă son comble. La conversation dura une vingtaine de minutes pendant lesquelles mon amante et moi-mĂŞme nous affrontâmes devant nos patrons respectifs. Le tĂ©lĂ©phone de Marc vibra : « DĂ©solĂ©, je vais devoir vous quitter. Daniel, est-ce que tu peux finaliser Ă 120 euros ? ». Patricia se leva : « Attends Marc, je te raccompagne. Katia, peux-tu finaliser tout ça et faire visiter les locaux Ă notre invitĂ© ? ». Ces mots me rappelèrent quelque chose… La blonde acquiesça et m’invita Ă la suivre. Nous marchâmes jusqu’à l’ascenseur : « Qu’est-ce qui t’a pris de nĂ©gocier ainsi ? ». Je lui souriais : « Tu n’étais pas mauvaise… peut-ĂŞtre un brin Ă©nervĂ©e Ă la fin… et toujours aussi craquante ». Les portes s’ouvrirent et nous entrâmes. Katia me plaqua sur le cĂ´tĂ© : « Ne bouge pas ». Au lieu de me sauter dessus, elle recula Ă l’opposĂ© et attendit. Était-ce un moyen de me punir ? Certainement ! Nous sortĂ®mes de l’ascenseur et elle nous emmena vers une imprimante. Les pages sortirent, elle les rĂ©cupĂ©ra : « Suis-moi ». Je m’exĂ©cutais en reluquant son dĂ©hanchĂ© et ses formes gĂ©nĂ©reuses. Elle m’attira dans une salle de rĂ©union. Je savais que c’était lĂ oĂą elle avait, pour la première fois, fait l’amour Ă Ludovic : « On dirait un salon… ». Les rideaux commencèrent Ă se baisser, son plan Ă©tait dĂ©voilĂ©. Je me retournais vers elle, retirais son doigt du bouton : « Et nos voisins alors ? ». Elle sourit, puis me sauta dessus et m’embrassa fougueusement. Je fermais la porte, jetais nos affaires sur le bureau et la portais : « Tu m’as manquĂ© ! ». Elle sourit puis enserra ma gorge : « Monsieur devient sentimental après m’avoir humiliĂ©e devant ma patronne ? ». Je pouffais puis l’emmenais contre la baie vitrĂ©e : « Ce n’était pas du tout mon objectif ». Ses dents mordirent ma lèvre : « Dommage ». Je la faisais descendre et sa main palpa immĂ©diatement mon sexe : « Pas de caleçon ? ». J’hochais la tĂŞte et baissais son haut ample sous ses seins nus : « Pas de soutien-gorge ? ». Je la plotais en sentant ma braguette s’ouvrir et mon sexe se faire libĂ©rer et masturber : « Il ne s’agirait pas que tu prennes le dessus ». A mon tour, je dĂ©boutonnais son pantalon et le baissais Ă la moitiĂ© de ses cuisses. Mes doigts remontèrent sur ses fesses, jouèrent avec son string : « Hum, tu ne sembles pas disposĂ©e Ă me faciliter la tâche aujourd’hui ». Elle rigola : « Bien fait ! ». Je saisissais ses mains baladeuses et les plaquais Ă la vitre au-dessus de sa tĂŞte : « Ce n’est pas du jeu ! ». Ma langue taquina la sienne et mon majeur glissa dans son sous-vĂŞtement pour la masturber : « ExcitĂ©e on dirait ! ». Elle gĂ©mit de plaisir sous mes caresses : « Toi aussi tu m’as manquĂ© ». Nous nous embrassâmes puis mes lèvres vinrent suçoter ses tĂ©tons durs. Mon doigt s’enfonça en elle. Un instant plus tard, je me retirais et la retournais face Ă la fenĂŞtre. Je posais des baisers dans sa nuque et plaquais ses seins contre la parois : « Regarde, on a une fan ! ». De l’autre cĂ´tĂ© de la rue, une jeune femme d’une vingtaine d’annĂ©es nous Ă©piait depuis son balcon. Je m’agenouillais derrière elle, baissais son string, tirais son bassin et lĂ©chais son entrejambe. Son dos se creusa et m’offrit plus de libertĂ© pour dĂ©guster son intimitĂ© juteuse, lubrifier son Ĺ“illet. Un mois auparavant, je m’étais introduit en elle pas cet orifice mais n’en avait pas pleinement profitĂ©. J’espĂ©rais pouvoir rectifier cela. La blonde n’y semblait pas opposĂ©e. Ses râles s’amplifiaient et crĂ©aient de la buĂ©e sur la vitre : « Tu es dĂ©licieuse Katia ». Elle Ă©carte une fesse et ondula son basin : « J’adore ta langue… partout oĂą elle va ». ExcitĂ©, je me relevais finalement et longeais sa fente du bout du gland : « J’ai envie de te… ». Avant qu’elle n’ait pu finir sa phrase, je m’enfonçais au plus profond de ses entrailles et lui arrachais un cri. Sans attendre, j’agrippais sa hanche et sa nuque puis entamais des vas et viens virils en faisant vibrer ses fesses fermes : « Daniel… Daniel… Oui… ». Ses encouragement m’enhardissaient davantage : « Tu me fais bander Katia ». Elle arqua un peu plus son dos en bombant ses fesses. Je baissais sa veste au niveau de ses coudes qui se retrouvèrent pris au piège dans son dos. Au bout de quelques minutes, je la redressais contre la vitre et glissais ma main entre ses cuisses pour taquiner son clitoris : « Tu me fais mouiller Daniel ». Elle ne pouvait lutter sans dĂ©chirer sa veste. La seule dĂ©cision sage, Ă©tait de me laisser faire ! Face Ă nous, l’étudiante avait enlevĂ© son mini-short, posĂ© ses pieds Ă©cartĂ©s sur la rambarde et positionnĂ© un vibromasseur entre ses lèvres vaginales : « Elle a l’air d’aimer le spectacle. Tu aimes voir son sexe ? ». Haletante et fiĂ©vreuse, Katia acquiesça : « Oui ! ». J’accĂ©lĂ©rais la cadence de mes mouvements et poussais un peu : « Tu aimerais la lĂ©cher ? ». Elle me retourna la question dans un râle : « Oui, j’aimerais que tu la lèches pendant que je te pĂ©nètre. ». Ces mots eurent l’effet escomptĂ© et Katia atteignit l’orgasme en s’imaginant peut-ĂŞtre gouter Ă l’intimitĂ© de cette inconnue qui ne perdait pas une miette du spectacle. Je me retirais, m’accroupissais derrière elle et recueillais ma rĂ©compense avant de l’avaler. Entre temps, la blonde enleva sa veste et son haut. Elle se retourna, me releva et me poussa contre le bureau : « Je veux ton sperme en moi ». Sur ces mots, elle se pencha et enfonça les trois-quarts de mon sexe dans sa bouche. Je râlais : « C’est très prĂ©cis comme idĂ©e ». Elle taquina mon gland avec sa langue : « J’ai des idĂ©es encore plus prĂ©cises… Hum, ton sexe m’avait manquĂ© ! ». Elle entama une fellation soutenue, profonde et mouillĂ©e : « J’avais tellement envie de te le mettre dans la bouche quand tu parlais pendant la rĂ©union ». Elle se retira et rigola : « C’est une bonne façon d’écourter les nĂ©gociations ». Elle poursuivit jusqu’à m’accueillir dans sa gorge. Quelques instants plus tard, elle se retira en haletant : « Attends, je finis de me dĂ©shabiller ». Elle s’accroupit pour dĂ©faire ses talons : « DĂ©solĂ©, je ne peux pas attendre ». J’empoignais ses cheveux et enfonçais Ă nouveau mon sexe en elle. Katia fut d’abord surprise mais elle accepta son sort et releva le challenge. Elle se dĂ©shabilla tant bien que mal pendant que je pĂ©nĂ©trais virilement ses lèvres. Une fois nue, elle continua de me laisser faire avant que je ne la relève et l’embrasse. Elle posa ses genoux sur le bureau de chaque cĂ´tĂ© de mon bassin et guida mon sexe dans le sien : « Tu ne peux pas t’empĂŞcher de baiser mes trous… ». Je pouffais, elle s’empalait sur moi sans vergogne : « C’est pas de ma faute s’ils sont aussi attirants ! ». Elle passa une main dans mes cheveux puis guida mon majeur dans sa bouche pour le sucer. Son bassin ralentit la cadence : « Est-ce qu’ils le sont tous ? ». Elle libĂ©ra mon doigt qui partit se poser aussitĂ´t sur son sphincter avant de le pĂ©nĂ©trer : « En voilĂ un que je n’ai pas convenablement baisé…». Katia râla longuement et son bassin reprit son rythme intense : « Je suis sĂ»re que tu ne le voudrais pas, pas vrai ? ». Nous Ă©changeâmes un regard, nous jaugeâmes : « Jamais de la vie ! ». Sur ces mots, je la doigtais plus profondĂ©ment et domptais ses contractions. Je nous levais ensuite, retirais mon doigt, l’allongeais sur le bureau et poursuivais mes mouvements de bassin. Elle ramena ses cuisses vers elle et Ă©carta ses fesses Ă l’aide de ses mains. Je me retirais et m’agenouillais pour lĂ©cher son intimitĂ© et son anus : « Ça tombe bien, parce que sinon tu aurais dĂ» signer le contrat avant ! ». Je me redressais en contemplant son sourire malicieux puis en posant mon gland sur son Ĺ“illet : « Madame fait du chantage ? ». Elle saisit le contrat sur la table et l’avança vers moi : « Juste de la nĂ©gociation ». Je prenais le papier tout en exerçant une pression sur son sphincter. Mes yeux lurent le prix unitaire de « 140 euros ». Elle Ă©tait toute Ă moi ! Je pris un air abattu et elle sourit fièrement : « Dommage… une autre fois peu… ». Mon gland s’enfonça en elle et la fit gĂ©mir. Je pris un stylo dans ma poche et apposais ma signature sur le document : « Tu disais ? ». Elle se mordit la lèvre et mon sexe la pĂ©nĂ©tra. Je posais une main sous sa cuisse repliĂ©e et l’autre au-dessus de son pubis. Mon pouce malaxa son clitoris tandis que mon sexe dilatait progressivement son anus : « Oui ! ». Je finissais par me planter entièrement en elle et une guerre de contractions s’entama entre son orifice et mon membre : « Tu ne gagneras pas ce combat Katia ». Elle me lorgna avec ses yeux de biche : « Je n’en ai pas envie ». Je coulissais doucement en elle : « Tu es stressĂ©e ? ». Elle expira en essayant de se dĂ©tendre : « Ce n’est pas tous les jours que… je me fais sodomiser. Et toi ? ». Je regardais son entrejambe et souriais : « Je ne peux pas faire deux fois bonne impression, donc oui un peu ». Elle prit mes mains dans les siennes et nos doigts se croisèrent avec complicitĂ© : « Tu me fais une excellente impression Daniel… et tu as dĂ©jĂ gagnĂ© ton ticket d’entrĂ©e pour les prochaines fois ». Nous Ă©changeâmes un sourire et mon bassin entama de lents allers retours. Katia gĂ©missait, tentait de rĂ©guler sa respiration pour dĂ©tendre ses muscles. Peu Ă peu, je gagnais en amplitude mais conservais des gestes mesurĂ©s et tendres : « Madame veut-elle prendre le dessus ? ». Elle opina. Je me retirais doucement et son sphincter se contracta : « Ah ! Qu’est-ce que tu proposes ? ». Je l’attirais vers un fauteuil face Ă la fenĂŞtre et m’asseyais. Elle Ă©carta mes cuisses pour s’installer Ă l’envers. Elle plia les jambes, baissa ses jolies fesses devant moi et guida mon gland dans son anus. Mes mains Ă©treignirent ses hanches qui se baissèrent doucement jusqu’à ne plus pouvoir. Mon amante se dĂ©hancha fĂ©brilement en explorant ces nouvelles sensations : « Ton sexe est… Ă©norme ! ». Elle entama des oscillations sensuelles et enivrantes face Ă l’étudiante qui nous Ă©piait toujours. Au bout de quelques minutes elle se blottit contre moi et Ă©carta une cuisse. Nos lèvres s’effleurèrent. Mes mains palpèrent ses seins. Mon majeur alla masser son clitoris dĂ©licatement. Nos gĂ©missements se multiplièrent : « Tu vas me faire jouir Katia ». Elle me donna un coup de langue : « Ensemble ? ». Mon bassin se synchronisa avec le sien, deux doigts s’enfoncèrent dans son intimitĂ© : « Ensemble ». La belle blonde atteignit aussitĂ´t l’orgasme. Pendant que sa cyprine Ă©tait expulsĂ©e sur ma main, ma semence jaillissait en elle : « Oui ! ». A aucun moment, nos mouvements ne s’amplifièrent. C’était une jouissance intense Ă consommer lentement pour en saisir toutes les subtilitĂ©s. Elle faisait rouler ses reins contre moi, me transmettait les spasmes qu’elle subissait : « Tu me rajoutes encore une addiction, Daniel ». Nous Ă©changeâmes un rire complice : « C’est une addiction que je suis prĂŞt Ă cultiver ». Après un moment, elle se releva et prit des mouchoirs pour s’éponger : « J’ai eu ce que je voulais… et en quantitĂ© ». Nous nous rhabillâmes devant le grand miroir horizontal situĂ© au-dessus du bureau. Dehors, la voisine avait disparu du balcon. Nous prĂ®mes nos affaires et avant de sortir, j’embrassais une dernière fois Katia : « J’espère que nous n’aurons plus Ă attendre un mois avant de recommencer ». Elle opina puis me raccompagna Ă l’entrĂ©e comme si de rien n’était. Nous nous saluâmes pudiquement et je rentrais au bureau. Toujours assis derrière son ordinateur, Ludovic m’interpella : « Alors cette nĂ©gociation ? Katia m’a dit que tu Ă©tais dur en affaire ». J’esquissais un sourire : « C’est dans la poche ! Mais elle ne s’est pas laissĂ©e faire ». Si seulement il savait ! En fin d’après-midi, j’ouvrais l’application de rencontre et constatais qu’elle m’avait envoyĂ© trois messages : « J’ai adorĂ© ton orgasme en moi », « Oh punaise, je ne suis pas bien ! ». Mes yeux se plissèrent en lisant le message suivant : « Le miroir dans la salle de rĂ©union, c’est un faux ! Patricia Ă©tait derrière tout ce temps, elle vient de me partager la vidĂ©o qu’elle a prise… ». Mon rythme cardiaque s’emballa et je cliquais sur l’icĂ´ne pour lancer les images. Elle avait tout filmĂ© depuis notre entrĂ©e jusqu’à notre sortie. Je pianotais : « Comment c’est possible ? Est-ce qu’elle t’a menacĂ© ? ». Cinq minutes plus tard, la rĂ©ponse arriva : « Non juste fĂ©licité… Elle a supprimĂ© la vidĂ©o après me l’avoir envoyĂ©e ». J’expirais.Les mois suivants furent aussi exaltants qu’éreintants puisque j’avais dĂ©sormais deux femmes Ă satisfaire. Alessia et moi ne ralentĂ®mes pas le rythme de nos rapports et les voisins en eurent pour leur argent. Katia et moi Ă©chafaudâmes mille et un stratagèmes pour nous voir et passer du bon temps. A son bureau ou en extĂ©rieur, lors d’un dĂ©placement professionnel ou d’une pause-dĂ©jeuner : tout Ă©tait bon Ă prendre. Un soir, Ludovic m’invita Ă prendre un verre chez lui. Une fois dans son salon, la belle blonde vĂŞtue d’un short et d’un t-shirt large nous servit. Mon ami s’absenta pour prendre une douche. Je me rapprochais de ma proie, l’embrassais silencieusement, prenais l’un de ses seins dans ma main. Je glissais l’autre entre ses cuisses, la masturbais. Elle souffla, ouvrit ma braguette et extirpa mon sexe en m’intimant de patienter. Je pinçais doucement son tĂ©ton puis passais une main derrière sa tĂŞte et l’attirais vers mon mât. Elle ne rĂ©sista pas, me laissa investir sa gorge d’une traite. Ludovic chantonnait en se dĂ©shabillant tandis que sa copine patientait, le nez collĂ© Ă mon pubis. Mes contractions faisaient gonfler sa trachĂ©e, deux doigts s’enfoncèrent dans son intimitĂ© brĂ»lante et la firent gĂ©mir : « Chut ». Elle se tut docilement. L’eau commença Ă couler dans la salle de bain. Je retirais mon sexe, coinçais son t-shirt dans sa bouche pour dĂ©voiler ses seins, la repoussais sur le canapĂ©, Ă´tais son short et la pĂ©nĂ©trais virilement. Pendant que Ludovic se dĂ©tendait sous une douche chaude, sa copine se faisait prendre dans le salon par son collègue. Un missionnaire, une levrette et une supernova plus tard, c’est autour d’un soixante-neuf que nous atteignĂ®mes l’orgasme. Pendant que Ludovic se sĂ©chait dans la salle de bain, sa copine mouillait entre mes lèvres. Pendant qu’il recrachait son bain de bouche, elle avalait ma semence. Quand il nous rejoignit, il ne vit que son ami et sa copine en train de siroter leurs verres en rigolant. Il ne se doutait de rien, et c’était mieux ainsi. Avant les fĂŞtes de fin d’annĂ©e, Katia me proposa un « dĂ©placement professionnel » dans un hĂ´tel en pĂ©riphĂ©rie de la ville. J’acceptais sans rechigner et nous arrangeâmes nos mensonges auprès de nos conjoints respectifs. Le jour fatidique arriva et je partais de chez moi en fin d’après-midi. J’avais enfilĂ© un costume et une cravate, que j’imaginais dĂ©jĂ nouĂ©e aux poignets de mon amante. L’établissement n’était pas grand mais il Ă©tait luxueux. Je m’enregistrais auprès de la rĂ©ception, laissais mes consignes pour l’arrivĂ©e de mon invitĂ©e. Je montais dans la suite spacieuse et faisais un tour sur le balcon. La vue Ă©tait acceptable, le lit avait l’air confortable, la salle de bain Ă©tait grande. Je m’imaginais dĂ©jĂ avec Katia ! La porte s’ouvrit et elle apparut. Elle portait une longue robe rouge. Deux fentes remontaient jusqu’à son ventre, dĂ©voilant l’intĂ©rieur de ses jambes et son bas ventre. Aucun sous-vĂŞtement Ă l’horizon. Un dĂ©colletĂ© plongeant signalait aussi l’absence de tout soutien-gorge. Katia avait enfilĂ© des talons noirs compensĂ©s, un collier ras-du-cou et des boucles d’oreilles en argent : « Bonsoir Etienne ». Nous Ă©changeâmes un sourire complice puis un baiser lent et sensuel : « Tu es magnifique Coraline. Tu n’as pas trop froid ? ». J’écartais le pan avant de sa robe, contemplais son pubis nu et glissais mon majeur dans la fente de son vagin. Elle se mordit la lèvre : « Je prĂ©vois d’être bien rĂ©chauffĂ©e ». Je la caressais soigneusement puis elle s’éloigna, s’agenouilla sur un fauteuil face Ă la baie vitrĂ©e, se pencha en avant et balaya le pan arrière de sa robe. Ses magnifiques fesses bombĂ©es apparurent et, entre elles, la plateforme scintillante d’un plug anal : « Madame se prĂ©parerait-elle Ă quelque chose ? ». Elle haussa un sourcil aguicheur et je pris mon portable pour immortaliser la vue. Je me positionnais Ă cĂ´tĂ© d’elle, effleurais ses courbes et la fessais Ă deux reprises : « Ah ! ». Je redĂ©couvrais son intimitĂ©, Ă©cartais ses lèvres, la doigtais puis m’agenouillais derrière pour la dĂ©guster. Deux minutes plus tard, elle souffla : « Il faut que je t’avoue quelque chose Daniel ». IntriguĂ©, je me relevais et mon amante s’installa face Ă moi sur le fauteuil : « Après nos Ă©bats dans la salle de rĂ©union, avec la voisine qui nous Ă©piait… ». Ses doigts dĂ©firent mon pantalon qui tomba sur le sol : « … j’ai ressenti l’envie d’essayer avec une femme ». Elle baissa mon boxer, passa une main sous mes bourses et effleura mon gland avec ses lèvres pulpeuses. Sa langue tournoya sensuellement autour : « J’ai rencontrĂ© un couple sur l’application de rencontre et il se pourrait… que je les ai conviĂ©s ce soir ». Mon sang se glaça : « Comment ça ? Qui sont-ils ? ». Elle suçota l’extrĂ©mitĂ© de mon sexe, le colla contre sa joue en gĂ©missant : « Je ne sais pas, mais ils ont l’air terriblement chauds tous les deux. Elle aussi veut une première fois avec une femme. Lui n’est pas contre l’idĂ©e de la voir se faire prendre par un autre ». Mes pensĂ©es se mĂ©langeaient : « Est-ce que tu as envie de te faire prendre par un autre Ă©tranger ? ». Elle sourit : « J’ai uniquement dit que je voulais essayer avec une femme… Mais tu es bien placĂ© pour savoir que j’aime les Ă©trangers ». A son regard, je su qu’elle en mourrait d’envie : « Tu n’as pas peur de les recroiser dans la rue ? ». Elle se leva, partit fouiller dans son sac Ă main et me tendit un morceau de tissu : « Pour plus de discrĂ©tion, nous avons dĂ©cidĂ© de porter des masques ». Elle se rassit, noua le sien autour de sa tĂŞte puis reprit son Ĺ“uvre : « Tu aimes ? ». Je ne savais quoi penser de tout ça mais elle m’excitait terriblement. En guise de rĂ©ponse, j’enfonçais un peu plus mon sexe en elle. Ravie, elle entama une fellation nonchalante pendant que j’enfilais mon masque : « Hum, vous ĂŞtes bien montĂ© Monsieur l’Etranger ». Je me penchais pour palper l’un de ses seins nus dans son dĂ©colletĂ©. Elle poursuivit son Ĺ“uvre puis ajouta : « Elle devrait te plaire aussi, elle aime la sodomie ». Elle sortit son portable, ouvrit sa conversation avec le couple et me le donna. Mes yeux parcoururent les messages. J’apprenais que les deux personnes trompaient leurs conjoints et qu’ils Ă©taient ensemble depuis plus d’un an et demi. Katia avait partagĂ© quelques bribes de notre histoire, quelques moments de notre vie extra-conjugale, certains de ses exploits, certaines de nos envies. Elle m’avait aussi bien vendu ! Face Ă elle, l’inconnue semblait impatiente de me rencontrer : « J’ai hâte de rencontrer ton Ă©talon, de le chevaucher… je vais quand mĂŞme me prĂ©parer un peu avec le mien ». Le dernier message Ă©tait une vidĂ©o. Quelqu’un toqua Ă la porte. La belle blonde m’aida Ă remettre mon pantalon. Je cliquais sur l’icĂ´ne tandis qu’elle se dirigeait vers la porte. Sur l’écran, je vis un homme pĂ©nĂ©trer farouchement l’étrangère par derrière. En effet, elle semblait apprĂ©cier la sodomie ! Un dĂ©tail attira mon regard et me tĂ©tanisa. Une tâche de naissance, presque invisible, sur la fesse de la femme. Une tâche de naissance que je ne connaissais que trop bien : « Katia, attends… ». Trop tard, elle ouvrait dĂ©jĂ la porte. Une belle brune entra dans la chambre, suivie d’un homme en costume. Elle portait une longue robe moulante en velours vert foncĂ©. La fente sur le cĂ´tĂ© dĂ©voilait une cuisse fine, une jarretière et une jarretelle. Un large dĂ©colletĂ© rĂ©vĂ©lait les prĂ©mices de sa poitrine enfermĂ©e dans un soutien-gorge fait de lacets qui s’entrecroisaient jusqu’à son cou. Ses manches arrivaient Ă ses poignets et ses pieds Ă©taient chaussĂ©s de talons aiguille. Une bande en dentelle cachait son regard sur cinq centimètres. Derrière elle, les sublimes yeux d’Alessia me contemplaient. Elle aussi m’avait reconnu. Un coup d’œil Ă l’homme Ă cĂ´tĂ© d’elle, m’indiqua qu’il s’agissait de Ludovic. Je manquais de m’effondrer ! Katia vint se positionner Ă ma droite, soucieuse. Nous nous Ă©piâmes tous les quatre dans le silence puis mon ami s’adressa Ă sa copine : « Katia… qu’est-ce que… depuis quand ? ». La blonde rĂ©pliqua avec une pointe d’amertume dans la voix : « Visiblement moins que toi ». La tension Ă©tait Ă son paroxysme. Je m’avançais vers Alessia. Je n’en revenais pas qu’elle se fasse mon collègue de travail depuis tout ce temps. Était-ce pour cela qu’elle ne m’en avait jamais vraiment voulu pour m’être abandonnĂ© l’espace d’un instant Ă Christiane ? Certainement ! Mais pourquoi ne pas me l’avoir dit plus tĂ´t ? Pourquoi ne pas avoir proposĂ© une relation ouverte ? Pour l’excitation ? L’adrĂ©naline ? La curiositĂ© ? Je ne voyais que ça. J’avais terriblement envie d’elle ! Ma main se posa sur sa joue sans qu’elle ne bronche ou ne dĂ©tourne le regard. Mon pouce glissa sur ses lèvres entrouvertes puis mes doigts descendirent vers son dĂ©colletĂ© et l’écartèrent lĂ©gèrement. Son soutien-gorge n’avait pas de bonnets, ses seins Ă©taient nus. Elle souffla : « Pervers ». Je murmurais : « Salope ». Nous Ă©changeâmes un rictus indicible, un regard fait de tentations torrides. J’avais envie d’arracher sa robe, de lui faire l’amour passionnĂ©ment. J’avais envie qu’elle me gifle, me morde, me griffe tout en recherchant mes coups de reins. Elle aussi le voulait. Mais son esprit joueur en dĂ©cida autrement : « Laissez-nous seules, toutes les deux ». Ludovic et moi nous toisâmes avec dĂ©fiance puis sortĂ®mes sur le balcon. La belle brune ferma la baie vitrĂ©e Ă clĂ© puis s’en alla discuter avec Katia, qui n’en menait pas large. L’air Ă©tait frais Ă l’extĂ©rieur, l’ambiance Ă©tait Ă©lectrique. Je me tournais vers mon ami : « Plus d’un an et demi ? Tu m’expliques ? ». Sa mine se dĂ©confit : « Je suis dĂ©solĂ© Daniel… crois moi je voulais te le dire ». Je soutenais son regard, impassible. Il me raconta leur première fois, alors qu’ils organisaient mon anniversaire. Comment, deux jours avant la fĂŞte, Alessia l’avait conviĂ© chez nous et lui avait parlĂ© de son envie de m’offrir notre première sodomie. Comment elle lui avait ensuite montrĂ© la lingerie qu’elle allait porter : « Et puis ça a dĂ©rapé… Elle m’a demandĂ© si elle devrait garder ses sous-vĂŞtements. J’ai dit « Non » pour rigoler… et elle les a enlevĂ©s devant moi ». Mon cĹ“ur se serra en imaginant la scène.A l’intĂ©rieur, ma copine confrontait toujours mon amante. Ludovic me raconta comment ils s’étaient sautĂ©s dessus, comment il l’avait doigtĂ©e et elle l’avait masturbĂ© : « Et puis… elle s’est penchĂ©e et… enfin tu vois ». Je fulminais : « Non je ne vois pas ». Il haussa les Ă©paules : « Et bien… elle m’a sucĂ©. Elle Ă©tait impossible Ă arrĂŞter Dan… ». Je fronçais les sourcils mais ne pouvais m’empĂŞcher de bander. Il poursuivit sur le cunnilingus qu’Alessia lui aurait demandĂ©. Je la reconnaissais bien lĂ ! Suite Ă cela, il m’exposa comment ma femme l’avait chevauchĂ© jusqu’à jouir : « Et puis… je l’ai prise en levrette… pas très longtemps… mais juste assez pour repenser au cadeau qu’elle voulait te faire. Je… je ne me reconnaissais pas… ». Mon poing se serra. Non, il n’avait pas osĂ© ! HĂ©bĂ©tĂ© il confirma mes soupçons : « J’ai quelque peu dĂ©rapĂ© vers son anus et… elle m’a suppliĂ© de continuer… ». Il avait osĂ© me voler la première place. J’allais en dĂ©coudre, puis je rĂ©alisais que moi aussi j’étais passĂ© avant lui, en toute connaissance de cause : « Ca n’a pas durĂ© longtemps. J’ai… finis en elle puis je suis parti ».Je soufflais : « Et après ? ». Il balbutia : « Et après, il y a eu Katia… mais au bout de quelques mois on a recommencĂ© Ă se voir… ». Je ne l’écoutais plus. Je contemplais le spectacle qui se dĂ©roulait Ă l’intĂ©rieur. Alessia avait plaquĂ© la blonde contre un mur et l’embrassait avec une sensualitĂ© Ă©rotique. Leurs langues dansaient et leurs mains se dĂ©couvraient mutuellement : « Ludo… Ludo ! Tais-toi et regarde ! ». Mon ami arrĂŞta de parler et resta bouche bĂ©e en voyant les deux femmes. L’italienne se montrait Ă la fois entreprenante et dominatrice. C’était elle qui menait la valse ! Elle baissa le haut de la robe de Katia et dĂ©voila ses seins ronds et durs. Elle les massa, les embrassa puis les suçota. Elle Ă©tait très attirante ! La lithuanienne nous remarqua et partagea l’information Ă sa bienfaitrice qui nous lança un sourire grivois. Elle poursuivit son Ĺ“uvre puis glissa sa main sous la robe rouge avant de la positionner entre ses cuisses. Ses mouvements accĂ©lèrent progressivement et les râles de son amante s’allongèrent. Alessia la masturbait : « J’y crois pas ! ». Ludovic essaya d’ouvrir, sans succès. Les deux femmes redoublèrent de sensualitĂ©. Entre deux baisers, je pu lire sur les lèvres de la blonde : « Lèche-moi ». Un instant plus tard, ma copine s’agenouilla, Ă©carta le pan avant de sa robe et entama un cunnilingus sans hĂ©siter. Je n’en revenais pas ! Katia tendait son bassin en avant, gĂ©missait en caressant les cheveux de sa bienfaitrice. Les voir ainsi Ă©tait jouissif et Alessia semblait très douĂ©e ! Au bout de cinq minutes, la lithuanienne la releva et l’accueillit avec un baiser emplein de reconnaissance. Elle l’emmena face Ă nous. L’italienne me regardait en offrant son cou aux lèvres de son amante. PostĂ©e derrière elle, Katia Ă©carta son dĂ©colletĂ© et exposa ses seins entourĂ©s de lacets. Elle les plota et en pinça soigneusement les tĂ©tons. L’une de ses mains descendit vers la fente de sa robe et dĂ©voila le pubis imberbe de ma femme. Ludovic l’épiait et je ne l’en empĂŞchais pas. Seul comptait le plaisir d’Alessia. Elle posa son pied droit sur une petite table et Ă©carta ses cuisses pour faciliter les caresses de sa copine. Katia dĂ©couvrit son intimitĂ© et y plongea deux doigts : « Elles me rendent fou ! ». Ludovic cacha son Ă©rection : « Ne m’en parle pas ». Katia poursuivit son massage interne tout en suçant la langue tirĂ©e d’Alessia. Quand elle retira son majeur et son annulaire, la brune les porta Ă sa bouche et les suça en nous regardant. Elles se pavanèrent encore un moment avant que la blonde ne l’emmène vers le lit et ne la jette sur le matelas. Elle se pencha sur elle, l’embrassa puis s’attaqua Ă sa poitrine avant de descendre vers son intimitĂ©. Alessia maintenait ses jambes Ă©cartĂ©es en l’air et la tĂŞte de la lithuanienne commença Ă s’activer en la faisant gĂ©mir. J’imaginais sa langue s’enfoncer dans la fente humide de ma femme. Je commençais Ă me dire que l’erreur se transformait en bĂ©nĂ©diction. La copine de Ludovic dĂ©voila son postĂ©rieur et son plug : « C’est… c’est… ». Je posais une main sur l’épaule de mon collègue : « Oui c’est un plug. A mon tour de te raconter ». Je lui racontais tout depuis le dĂ©but jusqu’à la fin, en passant par nos messages, l’aire d’autoroute, l’hĂ´tel, la salle de rĂ©union, le salon. Derrière son masque, l’homme Ă©tait stupĂ©fait. J’insistais sur le fait qu’il Ă©tait l’homme de sa vie et qu’elle craignait de ne plus ĂŞtre perçue de la mĂŞme façon : « C’est absurde… ». Je lui donnais une tape sur son Ă©paule : « C’est bien ce que je lui ai dit ». Il me regarda : « Je suis content que ce soit toi Dan, et pas un autre ». C’était rĂ©ciproque ! Nous Ă©changeâmes une poignĂ©e de main amicale. Face Ă nous, la femme qui l’avait cocufiĂ© Ă©tait remontĂ©e sur son amante et partageait avec elle baisers, caresses et envies. Alessia finit par se lever, en la laissant sur le lit. Elle se dirigea vers nous, laissa entrer Ludovic puis me barra l’accès : « Pas tout de suite mon amour ». Elle referma la baie vitrĂ©e et me lança un sourire. A quoi jouait-elle ? La rĂ©ponse vint rapidement. PositionnĂ©e de profil entre Katia et moi, elle attira mon collègue devant elle et l’embrassa fiĂ©vreusement. DĂ©sarçonnĂ©, l’homme se laissa faire puis aventura ses mains sur ses fesses. Je n’en revenais pas ! Lentement, l’italienne s’agenouilla, posa ses mains sur ses genoux et ouvrit ses lèvres. Nous attendions tous de savoir ce que Ludovic allait faire. Il me regarda puis se tourna vers sa copine qui l’invita Ă procĂ©der. Je voulais rentrer et empĂŞcher ça, mais en mĂŞme temps, je voulais voir la suite ! L’homme ouvrit sa braguette et sortit son sexe Ă moitiĂ© bandĂ©. C’était la première fois que je le voyais. Quelque part, j’étais rassurĂ© car ses mensurations Ă©taient lĂ©gèrement infĂ©rieures aux miennes. Mais c’est lui qui Ă©tait Ă l’honneur, lui qui enfonçait son membre dans la bouche de ma femme, lui qu’elle suçait en soutenant son regard avec envie. Je m’énervais tout seul, elle me regarda en poursuivant son oeuvre. Elle mit toute sa sensualitĂ© dans cette fellation, allongea son mât droit sur son visage pendant que ses lèvres gobaient ses bourses. J’étais Ă la fois jaloux et excitĂ© ! Alessia le savait bien. Elle finit par convier Katia Ă ses cĂ´tĂ©s et les deux femmes unirent leurs forces pour combler leur amant. Il avait de la chance de pouvoir vivre ça, d’avoir ces sublimes crĂ©atures face Ă lui. Il ne rĂ©sista pas longtemps aux effets combinĂ©s des deux bouches. La gorge profonde de sa copine l’acheva et il se retira pour Ă©jaculer sur sa langue tendue. Il n’avait jamais Ă©tĂ© bon pour rĂ©frĂ©ner son excitation. Alessia chercha la bouche de son homologue qui partagea sa prise sans rechigner. Savoir que ma femme avalait le sperme d’un autre me fit un pincement au coeur. Mal Ă l’aise, Ludovic recula et commença Ă se dĂ©shabiller. Les deux femmes Ă©changèrent un rire, des cachoteries, avant que Katia ne me fasse signe d’entrer. Comment ? Alessia avait fermé… Oh non ! Elle avait fermĂ© la porte, mais pas Ă clĂ©. J’aurais pu rentrer dès le dĂ©but et arrĂŞter ça. Quel imbĂ©cile ! En mĂŞme temps, j’avais bien apprĂ©ciĂ© le spectacle. J’ouvrais la porte et la refermais derrière moi. Sans mot dire, je m’installais sur un fauteuil, trois mètres devant elles et sortais mon sexe de sa prison de tissu pour les appeler. Elles me jaugèrent en souriant puis rampèrent Ă quatre pattes devant moi Ă la manière de tigresses. Katia s’installa entre mes cuisses Ă©cartĂ©es, Alessia Ă cĂ´tĂ©. La première souleva mon mât devant elle et dĂ©calotta mon gland trempĂ© : « Hum, on dirait que ça l’a excitĂ© de nous voir sucer son ami. Est-ce qu’on devrait lui faire la mĂŞme chose ? ». Ma copine hocha la tĂŞte avant de lĂ©cher mon sexe de bas en haut : « Il ne mĂ©rite pas ». Je restais muet et pendant de longues minutes, les deux femmes jouèrent avec mes nerfs en embrassant ma hampe, taquinant mon gland et Ă©changeant des baisers envoutants. Ludovic s’installa Ă cĂ´tĂ© de nous. Il guettait les agissements de sa femme depuis le lit, avec une certaine forme d’apprĂ©hension. Elles Ă©taient aussi magnifiques qu’indomptables. Katia saisit la main de son homme puis finit par enfoncer la moitiĂ© de mon sexe dans sa bouche. Alessia Ă©pia son amie : « Tu aimes son sexe ? ». La blonde acquiesça et son copain dĂ©glutit bruyamment. Elle continua religieusement son Ĺ“uvre avant d’orienter mon gland vers l’italienne. Cette dernière l’embrassa, saisit amoureusement ma main puis me prit en bouche : « Tu prĂ©fères mes lèvres ou celles de Katia ? ». Sans hĂ©siter, je rĂ©pondais : « Celles de Katia ». Alessia prit un air faussement outrĂ© : « Continue ». Elle reprit sa fellation de plus belle avant d’enfoncer mon sexe dans la bouche de la lithuanienne. Ludovic caressait sa main. Son Ă©rection trahissait son excitation : « Je ne peux plus… ». Avant que la blonde ne rĂ©agisse, il s’agenouilla derrière elle, remonta sa robe au niveau de ses reins et la pĂ©nĂ©tra en lui arrachant un cri Ă©touffĂ©. L’italienne sourit en se mordant la lèvre : « On dirait que ton homme aime bien te voir sucer un autre ! ». En guise de rĂ©ponse Ludovic accompagna la tĂŞte de sa copine et la poussa Ă aller plus loin, plus intensĂ©ment. La blonde gĂ©missait en continu et finit par retirer mon sexe : « Ah ! C’est mieux que dans mes fantasmes les plus fous ». Alessia l’embrassa en souriant.Je poussais mon fauteuil sur le dernier mètre qui me sĂ©parait du mur et attirais ma femme entre mes cuisses. Derrière elle, mon ami baissa la tĂŞte de sa copine entre les fesses d’Alessia qui gĂ©mit. Je l’embrassais tendrement, caressais sa joue : « Alors, tu aimes te faire lĂ©cher par une femme ? ». Elle acquiesça puis se pencha et me suça langoureusement : « Alors comme ça tu prĂ©fères ses lèvres ? ». Sans attendre la rĂ©ponse, son visage plongea et ses lèvres se refermèrent Ă proximitĂ© de mes bourses. C’était la première fois qu’elle me prenait aussi profondĂ©ment avec autant de facilitĂ© : « Alessia ! ». PortĂ©e par mes râles elle entama des oscillations amples et des pĂ©nĂ©trations profondes : « Je me suis bien entrainĂ©e avec Ludovic ». Je serrais les dents. Je n’allais pas durer Ă ce rythme, avec des images pareille en tĂŞte ! Je me relevais et me dĂ©shabillais sans que ma fellatrice ne s’interrompe. Une fois nu, je la relevais, Ă©cartais la fente de sa robe et la portais pour la pĂ©nĂ©trer : « Je t’aime ».Alessia plongea son regard dans le mien : « Moi aussi je t’aime Daniel ». Les bruits de nos corps et de nos complaintes raisonnaient dans la chambre. C’était divin ! Au bout de plusieurs minutes, je flĂ©chissais les jambes et posais le haut du corp de l’italienne sur le sol tout en maintenant son entrejambe orientĂ© vers le plafond. La lituanienne se pencha pour l’embrasser puis saisit ses jambes et les ramena vers elle. Alessia m’était complètement offerte. Mon bassin montait et descendait Ă la manière d’une foreuse et les cris se succĂ©dèrent. Je me retirais, me penchais et plongeais ma langue entre ses lèvres inondĂ©es. Je la lĂ©chais longuement en faisant ruisseler la cyprine hors de sa source. Face Ă moi, Ludovic se retira de Katia et s’allongea sur le sol, le visage entre ses cuisses, pour lui prodiguer les mĂŞmes bienfaits. Je dĂ©laissais un instant la brunette et embrassais son amie : « Tu veux m’aider ? ». Elle opina et s’attaqua Ă la vulve de ma femme pendant que j’hydratais son Ĺ“illet. De temps Ă autre, nos langues se rejoignaient entre les deux orifices et complĂ©taient leurs Ĺ“uvres : « Vous me faites trop de bien ! ». Je revenais en position initiale, jambes flĂ©chies et guidais mon sexe dans son intimitĂ©, face Ă Katia. Je caressais les cheveux de cette dernière puis me retirais de la première pour enfoncer mon mât dans sa bouche. Elle me suça avec envie puis me laissa repartir dans ma femme. J’alternais entre pĂ©nĂ©trations et succions, entre cyprine et bave. Après une gorge profonde, la lithuanienne saisit mon membre et posa mon gland sur l’anus de notre amante. Je forçais soigneusement son sphincter tandis qu’elle ramenait ses doigts sur le clitoris d’Alessia et le malaxait rapidement. En moins d’une minute, ma femme atteignit l’orgasme. Ses muscles se contractèrent et sa voix prit le dessus sur tous les autres bruits de la salle : « Oh oui, allez-y ! Ah ! ». Son corp vibrait et je manquais d’éjaculer. Je me retirais promptement et Ludovic mit fin Ă son cunnilingus. Katia lĂ©cha assidument Alessia et avala sa cyprine devant nos yeux. Nous les aidâmes ensuite Ă se relever, les embrassâmes tendrement puis fĂ®mes tomber leurs robes au sol. La blonde Ă©tait entièrement nue. La brune avait, en plus de son soutien-gorge en lacets, un porte-jarretelles et des jarretières. Elles Ă©taient sublimes ! Mon regard croisa celui de mon ami et nous Ă©changeâmes nos cavalières. C’était bizarrement excitant de voir ses mains palper les fesses de ma femme, ses lèvres l’embrasser et son sexe se cajoler par ses mains. Tout comme c’était excitant de sentir le mien se faire emprisonner entre les cuisses serrĂ©es de sa copine, de me masturber contre sa vulve et de taquiner sa langue. Alessia pivota sur ses talons aiguilles, m’épia fiĂ©vreusement et guida le sexe de son amant en elle. Elle gĂ©missait Ă©rotiquement, se dĂ©hanchait suavement contre lui, se faisait ploter les seins. Rapidement, Katia se retourna et se pencha vers elle pour l’embrasser en m’offrant sa croupe.Je saisissais sa hanche et investissais son intimitĂ©. Ludovic et moi les laissâmes aller Ă leur rythme, les observâmes s’aimer, se caresser, s’empaler sur nos mâts. Elles finirent par s’accoler et nous inviter Ă prendre le relais. Jambes droites, dos creusĂ©s et fesses bombĂ©es, les deux sublimes crĂ©atures se firent prendre en admirant leurs hommes par-dessus leurs Ă©paules respectives. J’intensifiais mes coups de reins en scrutant le visage de ma femme, posant une main aimante sur sa joue. J’adorais la voir prendre son pied avec un autre que moi, ne plus avoir l’exclusivitĂ© de son bonheur. Quelques minutes plus tard, elle s’immobilisa. Ses yeux s’écarquillèrent et elle grimaça de plaisir : « Il… il me sodomise ». Mon sexe se contracta dans l’intimitĂ© de Katia qui Ă©carta une fesse pour m’inviter Ă faire de mĂŞme. Je me retirais, enlevais prĂ©cautionneusement son plug puis me baissais pour l’hydrater convenablement. Sous le regard de ma copine, je lui assenais une fessĂ©e, plongeais ma langue en elle.Je me redressais et enfonçais la moitiĂ© de mon sexe dans son anus : « Ah oui Daniel ». Je m’arrĂŞtais aussitĂ´t, luttais pour ne pas jouir en elle puis me retirais doucement : « DĂ©solé… trop excitĂ© ! ». Derrière Alessia, Ludovic s’avoua lui aussi au bord de l’orgasme et recula. L’italienne rigola en reprenant son souffle : « Vous ĂŞtes vraiment des puceaux ». Son amant l’embrassa, souleva sa jambe et la pĂ©nĂ©tra debout : « Tu vas voir ce qu’il te dit le puceau ». Je me mordais la lèvre on voyant ma sublime femme blottie contre mon ami. Katia me poussa sur le lit et s’installa sur moi pour me chevaucher. Nos bassins se frottait Ă©nergiquement, mes mains massais ses reins : « Tu joues avec le feu ». Je n’avais jamais terminĂ© en elle, le risque Ă©tait trop grand. Mais la blonde semblait l’oublier. Ma femme fut allongĂ©e Ă cĂ´tĂ© de moi par Ludovic très entreprenant. Elle me lorgna avec des yeux fĂ©briles : « Il me dĂ©fonce ». Elle savait qu’elle m’excitait en disant ça. Qu’elle excitait tout le monde d’ailleurs !Katia se pencha sur moi et me donna un baiser exquis avant de s’adresser Ă sa copine : « Ton mec me dĂ©fonce encore plus ». Je la bloquais contre moi, plongeais mon regard dans le sien et intensifiais mes pĂ©nĂ©trations jusqu’à la faire jouir. Alessia me toisa : « Tu n’as pas honte de faire jouir une autre femme ? ». Je lui souriais en grimaçant de plaisir : « Aucune. Et toi, d’avaler le sperme d’un autre ? ». Elle gĂ©mit en admirant Ludovic s’activer entre ses cuisses ouvertes : « Cette fois-ci ce n’était rien… par rapport Ă toutes les fois oĂą il m’a rempli la bouche, oĂą il a Ă©jaculĂ© dans mon sexe, oĂą il a… ». J’enserrais sa gorge et l’embrassais passionnĂ©ment : « Tu vas voir ! ». Elle haussa un sourcil puis regarda mon comparse se retirer et se positionner derrière Katia : « Je crois que tu ne vas pas pouvoir bouger avant un petit moment ! ». Sur moi, la blonde se redressa. Elle soutenait le regard de son homme par-dessus son Ă©paule. A son râle profond, je compris qu’il venait de la pĂ©nĂ©trer par derrière, que nous Ă©tions dĂ©sormais deux en elle. Alessia s’agenouilla sur le matelas : « Tu en as de la chance belle blonde ». Je palpais l’un de ses seins, caressais sa vulve Ă cĂ´tĂ© de moi puis enfonçais deux doigts en elle : « Crois-moi que tu y passeras tĂ´t ou tard Alessia ». Elle sourit en se mordant la lèvre et Ă©cartant les genoux : « J’y compte bien ! Mais je ne sais pas si tu seras là ». Elle rigola devant ma mine outrĂ©e, retira mes doigts, s’installa Ă califourchon au-dessus de ma tĂŞte et me prĂ©senta son sexe que je lĂ©chais sans attendre. Derrière elle, sa copine accĂ©lĂ©rait son dĂ©hanchĂ© sur nos deux membres. Elle enlaça l’italienne par-derrière, malaxa ses seins et l’embrassa sensuellement : « Ton homme est… vraiment dur ». Elles me regardèrent toutes les deux, l’une avec fiertĂ© et l’autre avec envie. La main de la brune passa derrière ma tĂŞte et son bassin commença Ă dicter la cadence. J’adorais me sentir dominĂ© et utilisĂ© de la sorte. Les esprits s’échauffèrent : « Lèche-moi mon amour ». Je redoublais d’effort. Ludovic sodomisait sa bien-aimĂ©e qui se trĂ©moussait entre nos deux verges et caressait Alessia dont les lèvres vaginales se frottaient aux miennes, Ă la recherche de mes coups de langue. Elle fut la première Ă atteindre l’orgasme. Sa cyprine sirupeuse coula dans ma bouche qu’elle, il faut bien le dire, baisait sans retenue. Le second orgasme fut attribuĂ© Ă Ludovic : « Oui mon amour ! Ah ! Continue ! ». Quant Ă moi, je tentais d’avertir les deux femmes que mon heure avait sonnĂ©. Mais personne ne m’écoutait. Proche de l’orgasme et encouragĂ©e par son homme, la lithuanienne accĂ©lĂ©ra ses vas et viens : « Oui ! Oh oui ! ». L’italienne la regarda en souriant, ravie de la voir jouir aussi puissamment : « Tu vas bien ? ». Katia resta immobile et silencieuse un moment. Ma semence jaillissait en elle. La blonde se mordit la lèvre en nous regardant tous les trois Ă tour de rĂ´le : « Il a Ă©jaculĂ© en moi… et pas qu’un peu ». La voix inquiète de Ludovic s’éleva : « Mais… tu ne prends pas la pilule, si ? ». Alessia me regarda, bouche bĂ©e, puis se laissa glisser sur le cĂ´tĂ©. Mon ami se retira Ă©galement de sa copine et nous questionna du regard. Katia se dĂ©hanchait nonchalamment en finissant de me faire jouir. Un sourire se dessina sur ses lèvres : « Si, je prends la pilule ». Tout le monde souffla de soulagement et Ludovic commenta : « Tu aurais pu me le dire ! ». La blonde poussa un dernier gĂ©missement : « Je m’attendais Ă ĂŞtre prise par mon amant et un couple d’étrangers. Le risque Ă©tait vraiment Ă©levĂ© donc j’ai prĂ©fĂ©rĂ© assurer mes arrières. Comment te dire tout ça ? ». Ludovic ricana puis l’embrassa. Alessia se leva du lit et alla prendre son portable, quasi-invisible, dans un coin de la chambre : « Ca nous fera notre premier souvenir ensemble ». Le premier d’une longue lignĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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