J’avais promis une suite de cette aventure, la voici en remerciant mes lecteurs pour leur appréciation du premier récit.Je racontais cette folle soirée à mon copain « malheureux », et il me dit que ce serait bien que l’on mette ça sur pellicule car il avait un très bon matériel Baulieu Super 8 mm.Mais le temps que ça s’organise, je revis Marie chez elle une après-midi et sa sœur était présente. On discuta de tout et de photo… Et sa soeur accepta que l’on fasse quelques vues où elle me montra sa culotte sous une belle robe rose et courte. Elle accepta aussi de mettre bas et porte- jarretelles que j’avais apportés, cela devint de plus en plus chaud et Marie l’aidait à s’habiller, à s’exhiber puis à se déshabiller si bien que je pus la prendre sans culotte et s’écartant la minette !Et elle eut envie de faire pipi… Je lui proposais de prendre quelques vues pendant et elle accepta en riant d’uriner dans le pot de l’enfant !Ensuite, elle devait partir. Peut-être pour nous laisser seuls ?Je fis encore quelques vues à Marie, un peu les mêmes, mais à peine sa culotte enlevée, elle me dit de poser l’appareil car elle avait envie de faire l’amour ! En quelques secondes j’étais à poil et elle, assise sur le canapé en bas et porte jarretelle se mit à me sucer divinement. Puis elle s’allongea pour un bon soixante-neuf et elle jouit en quelques coups de langues. Elle était très très chaude, et à peine remise de son orgasme, elle s’empala sur mon sexe ! Peu habitué à être violé aussi rapidement, mon organe ne résista pas longtemps et gicla sa semence au fond de ce vagin en feu ! Un régal !Et après ça on mit au point cette « séance de cinéma » pour la semaine suivante.J’arrivais le premier et je flirtais avec Marie sur le balcon quand on vit la voiture du copain arriver. Mais les quatre portes s’ouvrirent et trois filles sortirent en plus de ce dernier avec son attirail !Marie me dit :— Pas question de faire venir ces filles ici ! Qu’est ce qu’il s’imagine ?J’allais au-devant du copain pour quelques explications. Il espérait faire une partouze. J’aurais bien voulu car elles étaient appétissantes ces filles ! Finalement, la solution fut de les « parquer » dans la cuisine pendant le tournage, situation curieuse, mais qui permettait de faire ce qu’on voulait.Le scénario tout bête : Je venais voir ma copine, sonnerie à la porte, entrée, un verre à boire, elle danse sur un joli morceau de musique passant à la radio, on flirte et ensuite un enchaînement de caresses révélant ses dessous, puis ses seins, je la fais danser, les seins à l’air pendant que je mets à poil.La suite : plus besoin de scénario et en plus elle se prêtait très bien à l’exhibition : dès la culotte enlevée, elle se caressa, se masturba et j’essayais de lui enfoncer à nouveau mes doigts, mais impossible de glisser ma main, hélas ! Mais je me consolais en la prenant dans toutes les positions, en levrette par exemple, elle regardait la caméra vicieusement très excitée de faire ça, et puis elle se retrouva allongée, écartée, la tête appuyée de côté au bord de l’accoudoir. Mon sexe allait et venait dans sa bouche tout en la masturbant. Je sentais que ça montait et je me dis que j’étais sur le point de réaliser un rêve vu sur quelques revues pornos danoises (les seules à l’époque)J’allais de plus en plus vite dans sa bouche et fis signe à mon copain de bien filmer ça : je sortis mon sexe et aussitôt mon sperme fusa, première giclée au-dessus du visage, mais toutes les autres se répandirent sur sa frimousse sans aucune réticence !Quel plaisir intense ! Je contemplais ma semence qui lui coulait dans le cou et je replongeais encore mon sexe pour ne rien oublier et elle se léchait les lèvres.Ensuite elle fila dans la salle de bain en me disant de libérer les filles, en fait mon copain payait leurs services et elles s’occupèrent de lui ; elles le déshabillèrent et se mirent à poil aussi, l’une était rasée, mais je rejoignis Marie dans la baignoire. Quelques minutes plus tard on entendit jouir une fille. Je rebandais. Marie s’empala encore sur mon sexe.Quelle belle après-midi !15 jours plus tard, j’appris qu’elles avaient déménagé.FIN