Dans la peau d’un nauteur…Depuis le temps que je lis des textes sur RĂŞvebĂ©bĂ©, je me lance enfin. C’est vrai, je ne suis pas plus mauvais que la plupart des auteurs de ce site Ă branlette ! Je vais leur montrer Ă tous ce que c’est qu’une histoire de cul, une vraie ! DĂ©jĂ , j’ai le plan et les personnages, il ne me reste plus qu’à mettre tout ça en forme. Ce ne sera pas bien dur.Alors, rĂ©sumons pour commencer. J’y pense depuis un moment, ça va ĂŞtre la folie. C’est l’histoire d’un mec, un jeune homme un peu timide qui, lors d’une soirĂ©e Ă©tudiante de l’école d’infirmières, rencontre une fille superbe. Ce jeune homme, on va dire que ce sera moi, mĂŞme si en rĂ©alitĂ© c’est pas vraiment moi, mais bon, ça il n’y a que moi Ă le savoir. Ce jeune homme donc, manque un peu d’expĂ©rience, et a un peu de mal avec les filles. La fille est connue de tous, car elle est l’une des filles les plus sexys de la fac. L’histoire raconte comment ils vont se rencontrer et se retrouver pour une folle nuit de sexe, surtout qu’une copine Ă elle va se pointer et ils vont finir Ă Troyes !Maintenant que j’ai une histoire super originale, parce que ça, je suis sĂ»r que ça n’a jamais Ă©tĂ© Ă©crit, voyons ce qu’on va y ajouter comme Ă©lĂ©ments. Alors, Ă©videmment, il y aura une fellation, ça me paraĂ®t essentiel. Ensuite une levrette, ça aussi c’est important, et puis Ă la fin, la fille le suppliera de la sodomiser, ça aussi c’est important ! Elles aiment toutes ça. Et, bien sĂ»r, pour finir en beautĂ©, l’autre fille arrive, et les deux le suceront en mĂŞme temps et il leur en mettra plein la bouche, Ă ces deux grosses cochonnes !Ben voilĂ , il n’y a plus qu’à  !Commençons par l’intro.Je m’appelle Mickael et je suis un jeune homme sportif, grand, mince, les cheveux bruns. Aujourd’hui, je sais que j’ai le genre de physique Ă plaire aux filles, elles ont mĂŞme tendance Ă se retourner sur mon passage, mais le problème, c’est que j’ai longtemps pensĂ© le contraire. Je prĂ©cise que dĂ©sormais j’ai une vie sexuelle Ă©panouie, avec toutefois une libido nettement supĂ©rieure Ă la moyenne.Super ! Trop cool ! C’est vraiment facile, en fait, d’écrire, allez, je continue.A vingt ans, j’étais encore puceau, et cela me rendais encore plus timide face Ă une fille. Surtout quand cette fille s’appelle Kelly et Ă©tait une vĂ©ritable bombe sexuelle.Kelly ! Ça m’est venu comme une Ă©vidence ! Elle est belle, blonde, sexy, comment pourrait-elle s’appeler autrement que Kelly !Kelly est l’une des plus belles filles de la fac, et surtout la plus sexy, pour ne pas dire qu’elle est vraiment très chaude. Kelly a 20 ans, et fait du 95E et avec des très longues jambes fines surmontĂ©es par de très jolies fesses rebondies, le tout couronnĂ© par une superbe chevelure blonde. Et selon la rumeur, c’était une vraie blonde. Et ça je rĂŞvassais de le vĂ©rifier. Souvent la nuit, je rĂŞvais d’elle si fort que les draps s’en souvenaient.Et hop, voilĂ pour la prĂ©sentation des personnages ! On sait tout ce qu’il faut savoir. C’est clair et mĂŞme poĂ©tique, et cĂ´tĂ© littĂ©rature, il y a de sacrĂ©es trouvailles, comme les draps, ça c’est poĂ©tique et imagĂ©, et je suis sĂ»r que personne n’y avait jamais pensĂ©.Je connaissais bien Kelly. Enfin je la connais de vue, car je n’avais jamais osĂ© lui adresser la parole. Ce soir, le hasard me fait la rencontrer face au buffet, devant le punch.— Bonsoir Mickael, tu me sers un verre ?Comment ça ? Elle connaĂ®t mon nom ? Je n’en reviens pas.— Oui, Kelly, je serais très heureux de te servir un verre. Puis-je avoir aussi l’honneur de te servir des glaçons aussi ?— Oh oui Mickael, des glaçons ! Avec plaisir, lui rĂ©pondit-elle en lui souriant, d’un sourire Ă©clatant.Et les dialogues aussi c’est facile ! C’est quand mĂŞme autre chose que les textes qu’écrivent les autres aussi ! Et puis les temps aussi, c’est facile, il suffit d’écrire comme on parle !Je lui tendis le verre, mais j’étais tellement tendu que je lui renverse le punch sur son tee-shirt moulant.Trop bien trouvĂ© ça ! Comme ça, hop direction les toilettes, elle se dĂ©shabille devant lui et il se la fait ! Non, c’est peut-ĂŞtre un peu rapide. Il lui renversera le verre un peu plus tard, ou Ă moins qu’il lui balance autre chose sur la poitrine ! Le coup du tee-shirt mouillĂ©, avec ces gros nĂ©nĂ©s, ce sera trop cool. Bon, on verra plus loin. On reprend.— Merci Mickael. Je suis tellement si heureuse de te voir ici ce soir.— Moi aussi Kelly. Tu es tellement si belle ce soir.— Tu es si gentil.— Toi aussi tu es tellement gentille.Bon, je verrai la suite des dialogues plus tard. J’y reviendrai. Je passerai bien Ă la scène de la fellation !A peine entrĂ©s dans le petit studio de Kelly, celle-ci s’agenouilla devant moi et baissa mon pantalon. Elle resta un instant en admiration devant la bosse impressionnante qui dĂ©formait mon caleçon Calvin Klein tout neuf.Eh oui, un peu de classe tout de mĂŞme ! Je vais pas porter un caleçon sans marque, c’est moi le hĂ©ros, quand mĂŞme !Continuons…Vite, je la vit lever un regard plein d’envie vers moi-mĂŞme. Je n’osais plus bouger, adossĂ© Ă la vitre de la porte, dans l’attente qu’elle s’empare au plus vite de mon vit. Elle le vit bien et baissa mon caleçon dĂ©licatement laissant apparaĂ®tre mon dard impressionnant de vie. L’envie Ă©tait trop forte, et vite, elle engloutit instantanĂ©ment, immĂ©diatement et complètement mon vit dans sa bouche chaude et humide.Ah putain ! Rien que de l’écrire, j’en bande !Kelly Ă©tait une vĂ©ritable experte en deepthroating, et elle me le prouvait en avalant intĂ©gralement mon membre puissant et pourtant imposant avec ses 26 centimètres de longueur et ses 14,8 centimètres de circoncision. J’en Ă©tais circonspect.Ma queue Ă©tait Ă©norme. Je ne l’ai jamais vue comme ça.Kelly me suçait comme une grosse nymphomane.Elle s’interrompit un instant, le temps pour elle de se dĂ©poitrailler. Ces seins magnifiques m’apparurent alors. J’en fus Ă©bloui.— Mickael ! Ă€ table ! C’est prĂŞt !— Oui, Maman, j’arrive !Oups, mince ! J’ai pas fini, j’avais pas vu l’heure, faut que je descende tant que c’est chaud, ou je vais encore me faire engueuler.Ah ! Ça va mieux le ventre plein, bon, on efface et on reprend.De la voir ainsi dĂ©poitraillĂ©e, ma queue grossit encore.C’était incroyable. Je me suis laissĂ© aller tellement c’était bon.C’est important de montrer qu’on a du vocabulaire et de la classe ! C’est pas parce qu’on Ă©crit du cul, qu’il faut que ce soit pour des incultes quand mĂŞme. On peut bien mĂ©langer la culture et le cul. Faut juste avoir de la classe. Comme moi…Tout en me suçant, elle me caresse simultanĂ©ment les cuisses, le sexe, le torse, les testicules.— Ahhhhhh, oui, c’est bon.— Mgrbll, psfurlt.— Ahhhhhhh, je vais venir !Kelly dĂ©laissa un instant mon gros dard prĂŞt Ă exploser, Ă©tonnĂ©e.— OĂą ça ? OĂą est-ce que tu vas ? Tu es dĂ©jĂ lĂ Â !— Je vais Ă©jaculer !Faut quand mĂŞme que ce soit rĂ©aliste. C’est une blonde tout de mĂŞme. Et un peu d’humour ne fait pas de mal !— Ah ! Attends, je veux tout avaler me dit-elle en me rembouchant.Et pour la première fois, j’éjacula dans la bouche d’une femme. Pour fĂŞter ça, je lui balança une bonne dizaine de jets puissants qui s’écrasèrent au fond de sa gorge. Elle n’en laissa pas Ă©chapper la moindre goutte.Ensuite, je vais faire enchaĂ®ner les positions dans le salon, puis dans la chambre. Et surtout le 69 ! VoilĂ une position qui me donne beaucoup d’excitation.Après de longues minutes de ce supplice, Kelly jouit en poussant un vĂ©ritable hurlement de plaisir que tous les voisins durent entendre et je me pris un afflux de cyprine sur le visage.Mais je n’avais pas encore joui et je la pris alors en levrette et la besogna comme une grosse chienne qu’elle Ă©tait.Mes aller-retour sont de plus en plus fort et elle crie, puis jouie. Je continue Ă limer, elle reprend ses cris, et après re-jouis encore.Je dĂ©cide alors de changer de position, car malgrĂ© plus d’un quart d’heure de pilonnage intensif, je n’ai toujours pas Ă©jaculĂ©. Je me couche alors sur le dos et la laisse me chevaucher. Elle descend sur mon pieux et elle monte et descend, elle gĂ©mie, puis jouie.Je rugi tel un lion et me laissa aller.Putain ! Trop bon ! J’en bande grave !Et lĂ , on en arrive Ă l’idĂ©e gĂ©niale : la copine nymphomane et bisexuelle !D’un coup la sonnette sonna. Qui pouvaient bien venir chez Kelly Ă cette heure si tardive ?Kelly se leva toute nue pour aller ouvrir la porte. Apparut alors Kevina sa meilleure amie, Ă©lève en Ă©cole d’infirmière. Je la connaissais peu, mais je l’avais dĂ©jĂ remarquĂ©, surtout pour son superbe cul et aussi pour ses Ă©normes seins. Il ne faisait aucun doute que ce devait ĂŞtre elle aussi une belle cochonne, comme toutes les infirmières. L’appartement Ă©tant petit, elle ne pouvait pas ne pas me voir surtout que j’étais intĂ©gralement nu.J’espère que les lecteurs comprendront ce passage. Parce que dire deux fois non, en fait ça fait oui, mais c’est pas Ă©vident Ă saisir. Faut ĂŞtre subtil parfois, quand mĂŞme, quand on Ă©crit.— Salut Mickael, me dit-elle d’un air sexuellement langoureux.— Salut Kevina dis-je en essayant de cacher mon sexe en partie dressĂ© comme je pouvais.— Je peux me joindre Ă vous ?Je n’en revenais pas ! Et lĂ comme rĂ©ponse, Kelly l’embrassa avec la langue d’une manière incroyable ! Et en quelques instants, Kevina se retrouva complètement nue. Il faut dire que j’eus la surprise de voir qu’elle ne portait rien sous sa robe lĂ©gère. Elle ne portait ni string ni soutien-gorge ! La salope !LĂ , ça va ĂŞtre l’orgie du siècle !Pour commencer, les filles me firent m’alanguir en jouant de leurs langues entre elles. Elle faisait un 69 de folie, et en plus cette position m’excite beaucoup. Kelly en profita pour sortir de sa poche un gode et l’enfoncer dans la chatte bĂ©ante et dĂ©goulinante de mouille de sa copine. Après quelques minutes Ă les regarder se lĂ©cher, se doigter et se goder, je dĂ©cidâmes de mettre un bon coup de bite Ă Kevina. Je m’approche et m’enfonce d’un coup dans son vagin dĂ©trempĂ©. Je la lime comme une bĂŞte alors que Kelly me lèche les couilles. Après une demi-heure de ce traitement, Ă force de voir ce superbe cul bien rebondi qui me regarde, je me laisse aller.Je sors ma queue et sans le lui demander, je l’encule d’un coup, par surprise.— Non, pas lĂ Â ! Hurla-t-elle.Je lui rĂ©pondis par une belle claque bien sonore sur son fessier et me mis Ă lui limer le fondement. Très vite, sa vraie nature rĂ©apparaĂ®t car elle gĂ©mit comme une chatte en chaleur et elle nous montra alors Ă quel point elle apprĂ©cie cet enculage.— Ahhhhhh ! Ohhhhhhhh ! Ah Ouiiiiiiiiii !— Ah, qu’est-ce qu’il ramone bien, n’est-ce pas ? Dit Kelly Ă Kevina.— Ahhhhhh ! Ohhhhhhhh ! Ah Ouiiiiiiiiii ! Lui rĂ©pondit Kevina.— Tu la sens bien ma grosse bite ?— Ahhhhhh ! Ohhhhhhhh ! Ah Ouiiiiiiiiii ! me rĂ©pondit Kevina.— Tu aimes que je t’encule ? Un ?— Ahhhhhh ! Ohhhhhhhh ! Ah Ouiiiiiiiiii !Peu après, sous l’excitation de cette enculation, je me lève et leur ordonne de se mettre Ă genoux devant moi, je leur balance alors de grandes giclĂ©es de foutre sur le visage. Et lĂ , comme toute salope bien dressĂ©e, elles se firent un plaisir d’avaler chaque giclĂ©e de sperme sans en perdre une goutte.J’étais repu. Mais rapidement, elles me firent comprendre qu’elles en voulaient plus. Je n’en revenais pas. Nous avons donc recommencĂ© ainsi toute la nuit, enchaĂ®nant les positions les unes après les autres et j’eus le bonheur de goĂ»ter Ă tous leurs trous. Ă€ la fin de la nuit, je crois que j’avais dĂ» jouir plus de 10 fois, et ce pour leur plus grand plaisir, car Ă chaque fois, je leur avais prodiguĂ© plusieurs orgasmes Ă chacune.Si cette histoire vous a plus, je vous Ă©crira la suite avec plaisir.Et voilĂ le travail !Maintenant que j’ai fini, je fonce sur RĂŞvebĂ©bĂ© et je le poste ! C’est oĂą dĂ©jĂ dans ce menu. Ah oui, lĂ , en vert, je clique. Mon email, ok, ça c’est vite fait, mais attention, je leur donne pas mon email perso que je le donne qu’aux amis, hein, quand mĂŞme ! Je vais leur donner celui que j’utilise sur les sites de vidĂ©os de cul. Par contre, oui, je le rends public, je veux que les lectrices puissent m’écrire. Il doit y avoir plein de cochonnes qui lisent des histoires sur ce site ! Trop bon, le plan ! Il y en aura peut-ĂŞtre une qui voudra que je lui montre en vrai. Rien que d’y penser, je bande encore.Ensuite, quoi ? Ma prĂ©sentation ? 60 caractères seulement, va falloir faire simple. Jeune homme qui aime les femmes et c’est leur parler et pas que leur parler ! Ça, c’est bien trouvĂ©Â ! Et maintenant, il faut mon nom d’auteur. Évidemment qu’il me faut un nom d’auteur. J’y avais pas encore pensĂ© à ça, mais il faut que ça en jette. Je sais ! Je vais m’appeler Mickaelerotick. Mon prĂ©nom, et une petite touche pour marquer le cĂ´tĂ© Ă©rotique et hop ! Si ça n’attire pas les lectrices, un nom pareil !Évidemment que je suis un homme, c’est quoi ces questions, et 3ème sexe, c’est quoi cette connerie ? Je suis pas un pĂ©dĂ©Â ! Hein ? Non mais ! Ho !Le titre de l’histoire, j’y avais pas pensĂ© à ça, mince. Alors, oui, ce sera une sĂ©rie, c’est Ă©vident, il y a tellement Ă Ă©crire avec une base pareille ! La sĂ©rie, ce sera « Mickael, bĂŞte de sexe ». Et le titre de ce premier Ă©pisode, donc, allons pour « L’éducation sexuel de Mickael ». C’est accrocheur et ça donne tout de suite le ton !Mais c’est qu’ils en posent des questions, c’est la police ou quoi ? Qu’est-ce qu’ils disent ? Je certifie avoir lu et corrigĂ© mon texte avant de l’envoyer ? Pour qui ils me prennent, je c’est Ă©crire, je suie pas le genre Ă faire des photes partout. Et je vais sĂ»rement pas les laisser corriger mon texte et en enlever tout l’érotisme, toute la subtilitĂ© et toute la quintessence spirituelle !Allez, je valide ! Et voilĂ , c’est parti. Si avec ça, mon texte n’est pas dans le top de leur classement, j’y comprends rien.* * * * *Bon, ça fait deux jours que j’ai postĂ© mon texte, j’imagine que ça a dĂ» bander et mouiller grave. Je vais aller regarder les commentaires et les notes.Quoi toujours pas publiĂ©Â ? Mais ils se moquent de moi. Qu’est-ce qu’ils foutent, ces fainĂ©ants ?* * * * *Bon, maintenant, ça fait une semaine, alors ? Ah ! Je le vois, c’est lui, le numĂ©ro 1123657897. Vite, je vais sur les commentaires.10,12 de moyenne ? Quoi ?!? C’est tout ? Les abrutis ! Évidemment, j’aurais dĂ» m’en douter, je suis un nouveau sur le site, alors les Ă©valuateurs, ces coincĂ©s du cul, ils me dĂ©molissent ! Ça doit ĂŞtre une secte, ce site, c’est pas possible autrement.6 – TruffĂ© de fautes, rĂ©duit Ă une sorte de rĂ©sumĂ© plutĂ´t indigeste et d’une inconsistance notoire, ce texte ne convainc Ă aucun moment. Il faudrait reprendre le tout, bien que le propos de base soit absolument ennuyeux.Ennuyeux ?!? Mais qu’est-ce qu’il lui faut ! Et truffĂ© de fautes ? Mouais…5 – Texte d’une indigence rare : scĂ©nario, dialogues, Ă©criture, orthographe… Tout est dĂ©plorable (de bourrin).Indigence ? Quel rapport avec une diligence ?5 – J’ai Ă©normĂ©ment de mal Ă ĂŞtre sensible Ă ce genre d’énumĂ©ration grossière. Mais bon, il en faut pour tous les gouts, et surtout pour tous les usages…Pauvre gars, et t’as vu ton pseudo ?5 – On devrait ourganiser un grand concours d’orgasmes. Le vainqueur celui qui en fait le plus en une heure… et ce texte ne serait pas mal placĂ©. C’est quand mĂŞme sympa les surhommes….Pff… Espèce d’impuissant !6 – Ce n’est qu’une accumulation de fantasmes, une suite de scènes de sexe qui n’ont comme point commun qu’une Ă©criture Ă la limite du lisible. Peu importe que ces fantasmes soient dĂ©lirants ou peu crĂ©dibles, ce qui importe, c’est l’enrobage.Enrobage ? Mais de quoi il me parle ? D’une histoire de cul ou d’un gâteau ?Ah heureusement, il y a d’autres lecteurs, des vrais, qui ont aimĂ©.18 – Excitant, vivement la suite, vite !16 – Quelle chance ce Mickael ! Excellent !20 – Moi aussi je m’appelle Mickael, et moi aussi je suis bien membrĂ©.Bon, allez, c’est pas si mal pour un premier texte, je vais aller Ă©crire la suite, et lĂ , cette bande de ringards qui se disent Ă©valuateurs, je vais leur clouer le bec !