À cette époque, tout roulait pour nous. Je dirigeais une petite équipe chargée de réaliser des études marketing. Sarah travaillait au même endroit : elle formait des commerciaux aux dernières techniques de communication. Elle était jolie. Étudiante, elle avait posé pour des photos de lingerie pour arrondir ses fins de mois.Nous louions une petite villa dans un bel environnement, à l’extérieur d’Aix-en-Provence. À respectivement vingt-cinq et vingt-sept ans, c’était assez cool.À côté de la maison se trouvait une belle propriété avec piscine. Nous avions sympathisé avec son occupant, un quinquagénaire qui vivait seul. Nous l’avions invité pour l’apéro, peu après notre installation, en février ; puis un dimanche de juin, c’est lui qui nous avait priés de partager un grill chez lui. Nous avions pris nos maillots et avions profité de la piscine. Il avait établi que nous pouvions venir chez lui nous baigner quand bon il nous semblait, la porte du jardin serait toujours ouverte.Un soir, Sarah me raconta qu’elle était allée se baigner, ce qui n’avait rien d’étonnant dans la chaleur de juin. Elle était seins nus, comme d’habitude, lorsque le voisin arriva. Sarah ne fut nullement gênée, tant son boulot de modèle l’avait habituée à une certaine impudeur. Ils se firent la bise et Richard lui demanda alors :— Cela vous gêne si je me baigne tout nu ?— Non, vous êtes chez vous, moi je suis cool.Ni une ni deux, il se déshabilla et sauta dans la piscine. Sarah lui dit alors :— OK, moi aussi je me déshabille.Et elle retira le bas de son maillot de bain.Nous sommes restés comme ça une bonne demi-heure, à bronzer sur des transats. Puis il nous a apporté une boisson. Nous nous faisions face. Je pouvais voir son pénis, large avec un gros gland découvert, et ses couilles, bien grosses, elles aussi. Nous discutions en sirotant un jus d’orange. Je reluquais sans cesse ses attributs virils, ses couilles poilues me faisaient envie, j’aimais aussi son gland violacé tout près de moi, presque à portée de main ; cela a fini par m’exciter. Moi aussi j’ai eu envie de l’allumer. À un moment, j’ai un peu écarté les cuisses pour qu’il puisse voir le rose de mes lèvres entre les poils de ma chatte. Sa queue s’est mise à grossir. Je n’ai pas bougé d’un millimètre, jusqu’à ce qu’il ait une érection complète. Je regardais son membre se redresser sachant que j’étais la cause de son émoi, et cela me plaisait de m’exhiber à son regard, je me sentais désirée par cet homme, cela était plutôt agréable. Nous continuions à parler innocemment de tout et de rien. Je l’ai laissé bander face à moi pendant un bon quart d’heure. Ensuite, je me suis rhabillée et je lui ai fait la bise pour prendre congé. Son gland a effleuré mon nombril à ce moment et je suis partie.— Petite coquine, dis-je. En fait, le récit de Sarah m’avait bien chauffé, et je l’enlaçai pour l’embrasser fougueusement. Rapidement, nous nous retrouvâmes sur le lit. Elle n’avait pas remis de maillot sous sa petite jupe, et je pus constater que sa chatte était extrêmement mouillée, sous l’effet de son exhibition. Nous fîmes l’amour avec un grand bonheur et atteignîmes des sommets de jouissance ; sans doute la pensée de cet épisode coquin nous excitait-elle tous les deux ?Dimanche après-midi, nous allâmes nous baigner chez Richard qui était là , lui aussi.— On peut se mettre à poil, lui dis-je ?— Bien sûr. Je vois que Sarah t’a mis au courant de notre petit secret.Nous passâmes l’après-midi à lézarder et à jouer tous les trois, nos corps non entravés profitaient de leur liberté.Lorsque le soir arriva, la chatte de Sarah n’avait plus de secret pour Richard : il l’avait vue de devant, de derrière, lorsqu’elle s’était mise à quatre pattes devant lui pour jouer avec moi aux échecs, écartée, etc. Nous les hommes, il nous était arrivé chacun notre tour d’entrer en érection devant les beautés de Sarah dévoilées avec tant de naturel, mais personne n’avait fait de commentaire. Enfin, nous avions pu voir que Richard était bien pourvu par la nature.Celui-ci nous dit : — Restez-là encore un peu, je vais nous mijoter un petit dîner.Dès qu’il eut le dos tourné, Sarah écarta les cuisses dans ma direction et me dit :— Tu t’occupes un peu de moi, mon chéri ?Je la caressai d’abord, puis je m’agenouillai et léchai son joli minou. Alors qu’elle était au bord de l’orgasme, Richard arriva sur la terrasse et put voir Sarah partir dans une jouissance décuplée par sa présence, ce qu’il accueillit par un sourire bienveillant et une érection immédiate.— À table ! conclut-il.Nous mangeâmes nus et Sarah riait beaucoup, peut-être de se sentir désirée par deux hommes._________________________Et puis la pandémie éclata, ce qui eut pour conséquence de nous faire perdre tous les deux notre travail : le loyer très élevé de la maison devenait difficile à payer.Mi-octobre, nous invitâmes Richard pour lui annoncer que nous quittions la maison et que nous étions chômeurs.Celui-ci semblait vraiment compatir et nous dit :— C’est vraiment trop dommage, nous nous entendions si bien.Au cours du repas, nous reparlâmes de nos bains naturistes communs, sans évoquer les moments les plus torrides.Et puis Richard nous dit :— Puisque nous sommes à l’aise ensemble jusque dans l’intimité, je vous propose que vous veniez vous installer ici pour quelques mois, le temps de retrouver un travail. La maison est grande, vous y serez bien.Nous étions donc logés dans la chambre d’amis chez Richard ; il était très libéral avec nous, et agréable à vivre. Lorsque nous faisions l’amour, Sarah et moi, j’évoquais la présence de Richard à nos côtés, puis je vins imaginer que nous faisions l’amour à trois. Un jour que j’étais transporté d’excitation, je dis à Sarah :— J’aimerais voir Richard te baiser et son sperme couler dans ta chatte.Le lendemain, lorsque je rentrai de balade, Sarah me prit dans la chambre, s’étendit sur le lit, cuisses écartées, et me dit :Je pus voir un filet de sperme couler de son vagin.— Je me suis fait sauter par Richard pendant ta promenade.Je l’embrassai et lui dis : — Tu l’as fait ? Oh, je suis si heureux. J’étais en érection et la baisais avec bonheur, sachant que Richard l’avait prise.Le soir après le repas, je parlai à Richard et lui dis que ça m’excitait de savoir qu’il baisait ma femme, que celle-ci m’avait montré sa chatte ruisselante de sperme et que j’aimerais qu’il la prît devant moi.Il me regarda droit dans les yeux et me dit :— Si ça nous fait plaisir à tous les trois, pourquoi nous en priver ?Nous étions montés dans notre chambre et nous nous étions déshabillés tous les trois. Je caressai le clito de Sarah tandis que Richard lui suçait les seins, puis il descendit et approcha sa bite. Je pris son membre entre mes doigts, ce qui me fit vraiment bizarre, mais j’étais décidé à lui offrir Sarah. J’approchai son gland puis l’introduisis dans le vagin abondamment lubrifié de Sarah. Elle poussa un gémissement de plaisir en sentant la pénétration de la grosse bite, puis Richard commença son va-et-vient avec ardeur. J’étais fasciné, fasciné de voir ma femme se faire prendre devant moi par Richard !Je n’étais nullement jaloux et trouvais cela totalement érotique. Je me masturbais en les regardant baiser et avec leur excitation qui montait, mon plaisir augmentait. Je sentais la libération proche. Lorsque je vis Richard se cambrer, j’imaginai son éjaculation et le sperme qui remplissait le vagin de Sarah ; cette image mentale déclencha mon propre orgasme et je mis à gicler sur les seins et le ventre de ma femme.Alors nous nous retrouvâmes tous les soirs pour une partie à trois. L’intimité aidant, il m’arrivait d’astiquer le membre de Richard pour le préparer à pénétrer ma petite femme. Lorsqu’il avait bien éjaculé, j’entrai dans le vagin de Sarah et les aller-retour que j’effectuai faisaient un bruit de clapotis, car son orifice était encore plein de sperme. Nous adorions.Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin : nous finîmes par retrouver du travail et il fallut songer à quitter le domicile si accueillant de Richard. Nous prîmes un appartement en ville, moins spacieux, mais plus pratique qu’une maison. Nous nous étions promis de nous revoir tous les trois pour assouvir les besoins de Sarah et les nôtres.Le samedi après avoir déménagé, nous étions devant la porte de la maison de Richard. Celui-ci nous ouvrit, un peu surpris. Sarah l’embrassa sur la bouche pour qu’il n’y eût pas d’équivoque dans ses intentions.— Bonjour, on vient passer le week-end chez toi.— Ah, super !À peine installés dans la chambre, Sarah se déshabilla complètement et ce fut nue qu’elle déambula dans la maison.Au bout d’un moment, je me mis à caresser ses fesses, puis ses seins. Richard alla droit au but et lui caressa la vulve. Ensuite, Sarah me fit lever et prit mon membre viril en bouche. Elle me suça avec enthousiasme pendant de longues minutes et je sentais le plaisir monter à chaque succion. Elle dit à Richard d’approcher et lui mit ma queue dans sa bouche grande ouverte. Sensation nouvelle pour lui et pour moi. Il continua à me sucer la bite pendant quelques minutes puis Sarah prit le relais.— Je vais jouir, lui dis-je.— Dans ma bouche, s’il te plaît.Les premières giclées, elle les reçut en bouche comme prévu, puis elle guida les derniers jets sur ses seins et sa gorge. J’étais bien.— Tiens Richard, lui dit-elle en tendant un doigt qu’elle avait enduit de ma semence.Richard écarquilla les yeux puis ouvrit la bouche pour goûter le sperme.Sarah était comme ça, prête à conquérir de nouveaux horizons sexuels.Après cela, notre ami la pénétra sans plus de préliminaire, car cette mise en bouche avait aiguisé nos libidos. Sarah ahanait son plaisir d’être prise lorsque Richard se tendit. Je pris sa queue en main pour sentir passer les giclées de sperme. Cela faisait bizarre de sentir ses spasmes entre mes doigts ; cela m’excitait aussi.Plus tard dans la soirée, je pris Sarah devant Richard qui nous regardait avec attention. Lorsque tout fut fini, elle lui demanda de lécher ma queue gluante de nos sécrétions mêlées. Celui-ci fit son travail consciencieusement et elle nous regarda en se masturbant jusqu’à l’orgasme. Le dimanche, nous la baisâmes encore une fois chacun. Juste avant de repartir, Richard lui dit :— Laisse-moi te baiser encore, je ne pourrais plus gicler dans un vagin pendant une semaine.Sarah me demanda de le sucer pour le mettre en érection. Cela me fit bizarre de servir de vagin à notre ami, mais je sentis durcir son membre dans ma bouche ce qui m’excita.Ensuite, il embrocha ma femme et leurs va-et-vient durèrent un bon moment avant l’éjaculation libératrice.Samedi prochain, nous accueillerons Manon, la jeune sœur de Sarah dans notre appartement, car elle viendra en vacances pendant une semaine. Sarah m’a d’ailleurs dit qu’elle trouvait sa jeune sœur très coquine ; depuis je n’arrête pas d’y penser…