Nous venions juste d’entrer dans le superbe appartement d’Hélène. Agathe promenait son regard inquisiteur sur le moindre recoin de la pièce. Visiblement, de tapis en napperons et autres bibelots, les lieux étaient un peu trop chargés, un peu trop « mémère » à son gout.Mais je lisais dans son attitude que c’était précisément ce qui l’excitait.Agathe portait un ensemble de laine très confortable, qui enveloppait son corps avec douceur et élégance. Parfaitement coiffée et maquillée, elle ressemblait à ce qu’elle était : une très belle femme de 30 ans, plutôt sophistiquée, occupant des fonctions de responsabilités qui la mettaient au contact du monde. Une belle urbaine élégante et distinguée.En face d’elle, Hélène demeurait silencieuse. Tout en elle trahissait l’attente résignée, mais aussi… le plaisir. Le délicieux plaisir de l’attente. C’était une femme de la cinquantaine épanouie. Bien mariée, elle ne travaillait plus depuis longtemps et occupait son ennui et la vacuité de sa vie en activités de dame patronnesse, de bénévole de banlieue chic, et de sorties au musée avec ses amies semblables.Mais elle occupait aussi son oisiveté en se livrant à d’autres activités bien moins conventionnelles, pour une quinquagénaire bourgeoise à la vie rangée.— Il semblerait, Hélène, lui lâcha finalement Agathe sans cesser de scruter son intérieur, que vous adorez les situations insolites et… les photos pornographiques…Agathe laissa flotter sa phrase dans l’appartement luxueux. Dehors, le ronronnement des voitures indiquait un flot tranquille d’après-midi, dans ce quartier bourgeois. La jeune femme fixa alors du regard celle qui aurait pu être sa mère, et la dévisagea. Hélène ne disait toujours rien. Mais l’expression de son visage exprimait l’attente, à présent. Sous l’impeccable chemisier, la lourde poitrine de notre hôtesse pointait sans équivoque. Agathe sourit avec gourmandise :— Hummm, je constate que vous avez bien compris ce que nous vous avions demandé. Vos seins semblent magnifiques. Et j’adore les femmes isolées trop sages qui ne portent pas de soutien-gorge.Hélène était une belle femme. D’allure effectivement très sage et classique, elle portait ses cheveux blonds en carré impeccable. Jupe, ceinture, bas, escarpins… son collier de perles sages, son serre-tête de velours noir, rien en elle ne suggérait la débauche ou la luxure, au contraire. Excepté cette provocation savamment orchestrée par Agathe : de magnifiques seins lourds et libres sous un chemisier parfaitement amidonné.Agathe profitait de l’instant. Je savais que rien ne l’excitait plus que ce type de situations. C’est elle qui menait le jeu. Elle pouvait exiger ce que bon lui semblait, au moment qui lui semblerait le plus opportun.Hélène avait entrepris de nous servir des rafraîchissements. Elle s’affairait à déposer verres, boissons, douceurs sur la table basse de son salon. Ses gros seins dodelinaient sous son chemisier, tendu à craquer. Elle nous offrit plusieurs fois le spectacle de sa croupe ronde parfaitement moulée dans sa jupe, en se baissant pour dresser la table, pour réajuster un coussin. En toute innocence, apparemment.— Oh, Hélène, si vous le permettez…. Agathe avait interpellé Hélène avec courtoisie, comme n’importe quel convive s’apprêtant à demander à son hôtesse le chemin des lavabos.— Je pense que mon mari aimerait beaucoup se faire sucer la queue. Pourriez-vous avoir l’amabilité de lui offrir votre bouche ?Hélène, souriante, accepta chaleureusement.— Oh, mais bien entendu, Agathe. Je vous avoue que j’y avais pensé, mais en me disant qu’il me le demanderait sans doute un peu plus tard. Comment voulez-vous que je procède ? Je l’emmène un instant dans ma chambre ?— Non, je vous en prie, pas de chichis, répondit Agathe. Venez donc vous agenouiller devant lui, ici même. J’ai vraiment très envie de vous voir le pomper. Ça ne prendra que quelques minutes, et nous pourrons passer à autre chose ensuite.Comme convenu, je devais juste me laisser faire. Hélène, prévenante, sourit à Agathe, et s’agenouilla juste devant la fermeture éclair de mon pantalon de flanelle. J’étais dur, et elle n’eut aucune difficulté à extirper mon pénis de mon caleçon de soie. Elle le laissa quelques instants à l’air libre, puis le décalotta délicatement, et entreprit de me branler très doucement, d’une main très légère.— La queue de votre mari est tendue, fit-elle poliment remarquer à Agathe. Il ne devrait pas être long à jouir dans ma bouche. Comment souhaitez-vous que je m’y prenne ? Voulez-vous que je vous réserve son sperme ? N’hésitez pas à me le dire, vraiment, je trouverai ça normal !— Non, je vous remercie, Hélène, répondit Agathe avec chaleur. Je préférerai au contraire qu’il arrose votre visage et vos seins de foutre. Mais vous pouvez également le boire…Cette rapide conversation courtoise s’interrompit fatalement lorsqu’Hélène me prit dans sa bouche, sans cesser d’ailleurs de faire coulisser sa main manucurée le long de ma hampe. De sa main gauche, elle dégrafa les boutons de son chemisier, pour offrir sa poitrine à nos regards, et préparer sa douche de sperme. Puis elle entreprit de me caresser voluptueusement les bourses.Ses seins étaient très excitants : lourds et pleins, ils présentaient de larges aréoles brunes, surmontées de tétons gonflés de désir. Agathe la complimenta.— Hélène, vos superbes gros seins sont très appétissants… Et vous semblez sucer comme une vraie professionnelle. C’est très agréable à regarder. Mais où avez-vous donc appris à si bien pomper les queues ? Je vous avoue que c’est une très belle surprise…Sans cesser de me branler doucement, Hélène laissa sortir de sa bouche ma queue luisante de salive, et fit à ma femme un très beau sourire, visiblement touchée par le compliment.— Oh, ce n’est pas grand-chose, souffla-t-elle. J’ai toujours adoré ça. J’ai surtout été bien éduquée par mes initiateurs, dès l’âge de 18 ans.— Des initiateurs ? hummm, comme c’est intéressant, Hélène. Agathe semblait de plus en plus excitée. Je savais qu’elle mourrait d’envie de se doigter, mais qu’elle ne le ferait sans doute pas maintenant.— Et qui étaient-ils ?— C’était une amie intime de ma mère et son mari, répondit Hélène en se massant les seins. Ils étaient délicieusement vicieux. C’est elle qui m’a tout appris. D’abord à bien faire jouir une femme, puis à l’art de bien sucer une queue…— Quelle situation ambigüe et excitante, ma chérie… Une amie de votre mère ? demanda Agathe.— Oui, acquiesça poliment Hélène en laissant planer le silence, et sans cesser de me branler la queue. Mais si vous le permettez, je vais terminer de pomper la queue de votre mari. Le pauvre attend sa libération, et il me tarde de recevoir mon petit cadeau…— Oh, bien sûr, souffla Agathe. Où avais-je la tête. Poursuivez, je vous en prie.Elle se mit alors à me sucer en experte. Sa délicieuse bouche m’enveloppait de douceur, et sa langue agile m’enrobait de chaleur. Sa main légère et ferme à la fois me branlait avec application, en souplesse mais avec fermeté. Elle gémissait doucement en accompagnant sa masturbation d’un très délicat mouvement de la nuque, et me laissait parfois sortir de sa jolie bouche discrètement fardée pour mieux m’aspirer alors dans un très excitant bruit de succion. Agathe appréciait visiblement, les yeux fixés sur la croupe tendue de l’agenouillée, et surtout sur sa poitrine si lourde, si pleine, qui oscillait au rythme de sa prestation. Je ne fus pas très long à venir. La langue de notre hôtesse, ses lèvres, ses mains… Sa posture soumise, ses seins dardés de désir, je fus tout à coup secoué de spasmes, pour le grand ravissement d’Agathe.— Oh, vous êtes belle et bonne, Hélène, souffla ma femme, dont la voix trahissait l’excitation.Un premier jet de sperme s’était écrasé dans la gorge Hélène. Je grognais de satisfaction, en sentant mon jus s’échapper de ma queue si tendue, si grosse, si impudiquement gonflée. Sans cesser de me branler, elle orienta mon phallus en direction de son visage, et laissa trois autres jets onctueux s’y répandre en soupirant, avant, pour terminer, de frotter mon gland tuméfié sur ses seins, l’un après l’autre, où il laissa de belles trainées humides et blanchâtres. Le visage d’Hélène dégoulinait de sperme. Elle dardait sa langue sur ses lèvres et sur mon gland avec gourmandise, pour y recueillir les dernières gouttes de mon nectar, sans cesser de me branler voluptueusement.— Avez-vous bien joui, Monsieur ? me demanda-t-elle finalement avec courtoisie, tandis que mon membre, gluant, ramollissait dans sa main soignée.— Oui, je vous remercie, lâchai-je en contemplant mon sperme coulant sur ses seins. Agathe n’avait rien manqué du spectacle, et son silence s’expliquait sans doute par la violente excitation qu’elle ressentait alors.— Levez-vous, ma belle, finit par lâcher ma femme d’une voix altérée. Et donnez-moi votre bouche.Hélène obtempéra sans sourciller. Agathe enlaça la belle quinquagénaire, plongea voluptueusement sa langue dans sa bouche, et l’embrassa longuement et passionnément. Sans cesser de laper les lèvres et la langue d’Hélène, Agathe se mit à lui pétrir les seins, s’ingéniant à les badigeonner du sperme qui y ruisselait. Hélène soupirait discrètement, s’offrant docilement aux caresses de ma femme, attendant visiblement d’être récompensée, espérant sans doute sentir les doigts de mon épouse s’insinuer sous sa jupe.J’étais absolument ravi de ce préambule. Ma femme, très féline, malaxait sans aucune retenue les superbes globes de chair de sa proie docile. Elle donnait libre cours à toutes ses pulsions sur un sujet consentant et totalement offert à ses moindres envies. Depuis toujours, Agathe, si sage dans la vie quotidienne, se consumait en réalité de désirs inassouvis sur les femmes. Elle m’avait confié quelques mois après notre mariage, après que j’aie surpris quelques-uns de ses regards, qu’elle ne se croyait pas lesbienne, mais qu’elle avait toujours été sexuellement attirée par les femmes, et particulièrement par les femmes aux attributs féminins très marqués : les seins lourds, les hanches rondes la bouleversaient depuis son adolescence.Elle n’avait pourtant eu sa première expérience lesbienne qu’à trente ans révolus, avec la femme d’un couple que nous avions contacté sur un site de rencontre. J’avais beaucoup insisté pour que nous tentions l’expérience. Agathe préférait remiser ses envies dans la catégorie des fantasmes qu’elle ne concrétiserait jamais, et se montrait même parfois agressive lorsque je relançais le sujet. Puis elle finit par m’autoriser à chercher une complice. J’avais pris beaucoup de contacts avant qu’elle ne cède, de mauvaise grâce, à se laisser entraîner dans une rencontre. Il avait fallu que je trouve des partenaires parfaits : nous avons vite renoncé à l’idée de trouver une femme seule. J’ai donc orienté ma recherche sur un couple au mari plutôt contemplatif (elle n’avait pas vraiment envie de se donner à un autre homme), et surtout dont l’épouse serait bisexuelle expérimentée, au corps voluptueux, et enfin pas trop vulgaire (même si cette idée m’excitait beaucoup, personnellement).Le soir venu, Agathe s’est au départ juste laissée faire, d’assez mauvaise grâce. Comme une femme qui aurait juste eu un défi à relever, une corvée dont il fallait s’acquitter. Et lorsque Christelle, notre complice, a commencé à se montrer entreprenante, Agathe s’est juste laissée embrasser, puis caresser par cette partenaire très compréhensive. Le déclic s’est produit ce soir-là lorsque Christelle lui a doucement dévoilé puis offert ses seins. C’étaient, comme Hélène ce soir, de beaux seins lourds en poire, aux tétons effrontément dressés et gonflés de désir. Comme elle me l’a confié plus tard, ma femme avait été surprise par un violent orgasme juste en malaxant ces superbes seins qui lui étaient offerts, et alors que Christelle n’avait que commencé à lui doigter la chatte.Nous avions revu ce couple trois ou quatre fois. Plus tard, elle avait beaucoup apprécié de me voir posséder cette autre femme, ainsi que (contrairement à ce qu’elle aurait cru) de s’offrir à son mari sous mes yeux, et surtout sous les yeux de sa propre femme.Dans les mois qui ont suivi, nous avons également pu nouer contact avec une femme célibataire. Une quinquagénaire très coquine dont j’avais fait la connaissance sur un salon professionnel. Une authentique cochonne sans tabous, qui adorait obliger Agathe à s’exhiber dans des postures et des tenues équivoques. L’éducation de ma femme se poursuivait. Elle apprenait à bousculer ses tabous un à un. Je ne la reconnaissais d’ailleurs plus, tant Françoise la tenait sous son emprise. Il lui arrivait par exemple parfois d’appeler Agathe sur son lieu de travail pour lui fixer un rendez-vous urgent dans un hôtel en plein milieu d’après-midi.— J’ai juste envie de me faire lécher la chatte par une belle petite bourgeoise, ma chérie, expliquait-elle crûment, en sachant que ce discours excitait ma femme au plus haut point.Françoise avait fini par se lasser d’Agathe, et vice-versa. Et c’est là que mon épouse, si empruntée, si réservée, s’était mise elle-même à chercher d’autres partenaires. Elle s’interdisait juste de « prospecter » dans son milieu professionnel. Pourtant, chargée d’affaires dans un grand cabinet de conseillers financiers, elle rencontrait régulièrement de très bonnes candidates, ainsi qu’elle me le rapportait parfois. Comme l’épouse d’un investisseur, qui s’ingéniait, m’expliquait-elle, à porter de magnifiques décolletés en sa présence, et qui lui avait même un jour fait du pied sous la table en suçotant un stylo à bille. Il y avait aussi eu une stagiaire très motivée qui ne faisait aucun mystère de ses mœurs très libres et de sa bisexualité. Ou encore cette secrétaire intérimaire dont tout le bureau savait qu’elle s’absentait aux toilettes plusieurs fois par jour pour s’y masturber. Tout ceci émoustillait beaucoup ma femme, qui assumait désormais parfaitement ses pulsions. Mais elle ne voulait surtout pas mélanger les genres, même si l’idée de caresses furtives avec une belle coquine (elle disait même désormais « salope ») dans les toilettes du bureau la plongeait à chaque fois dans un incroyable état d’excitation. Et je dois dire que d’imaginer ma femme agenouillée entre les cuisses d’une belle stagiaire dans les toilettes des dames me produisait les mêmes effets.Agathe avait donc décidé de « chasser la bourgeoise » à son tour. Comme tout ce qu’elle faisait, elle s’y était mise avec application. Elle avait deux ou trois fois tenté le contact direct dans des bars, à l’occasion de ses déplacements. Sans réel succès cependant, à part un long baiser avec une touriste américaine éméchée, qui s’était enfuie lorsqu’Agathe avait commencé à passer sa main sous sa jupe.— Dommage, m’avait-elle confié à son retour. C’était une belle bourgeoise à la croupe évasée et aux gros seins laiteux… Hummmm…Une autre fois, inscrite sur un site de rencontres, elle m’avait demandé la permission de rencontrer seule un couple.— Je crois que cette femme attend juste que je suce son mari pour m’offrir son cul. Et ce cul en vaut la peine.C’est précisément ce qui s’était produit. Agathe avait fait jouir le type en quelques minutes, avant de réclamer son dû. Elle s’était ensuite régalée de sa femme, qui malheureusement, n’avait pas été très ouverte à lui rendre la politesse. Elle s’était donc résignée à se doigter en rentrant à la maison car, comble de malchance, j’étais moi-même sorti ce soir-là.Il y avait aussi eu de belles réussites : la patronne d’une boutique de lingerie qu’elle fréquentait depuis toujours, qu’Agathe, sur une impulsion, avait embrassée à pleine bouche alors que l’honnête femme venait juste l’aider à dégrafer une guêpière.— Hummm, elle, c’était une refoulée, avait-elle commenté en rentrant, les meilleures. Tu aurais dû voir avec quelle frénésie elle m’a lapé le clitoris… hummmmm. Mais elle, mon pauvre chou, je ne pourrais jamais te la prêter : elle est totalement lesbienne. La pauvre est pourtant mariée depuis 20 ans, et elle vit un enfer.Car l’objectif demeurait évidemment de trouver une complice pour nous deux. Une coquine qu’Agathe pourrait voir seule à seule, mais surtout que nous pourrions «utiliser » à notre guise, lorsque l’envie nous en prendrait. Et de plus en plus, nous étions tombés d’accord, il devenait évident que nous devions chercher une femme plutôt soumise, cérébrale, et réellement bi, pour mon usage. Dans l’idéal, cette femme devait être très bcbg, plutôt mure, et aux formes généreuses sans être obèse.Cette femme, nous la connaissions, mais nous ne le savions pas. Agathe avait souvent remarqué qu’Hélène, l’épouse de notre voisin de pallier, possédait les canons d’une parfaite « salope domestique », comme elle le disait avec ravissement. De fait, cette femme nous faisait beaucoup fantasmer. C’était une belle femme digne et sage, aux formes très avantageuses, élégante et discrète. Nous la croisions parfois dans l’ascenseur, aux boites à lettres, et nos rapports se bornaient juste à de courtoises salutations. Nous savions que notre voisin, gérant de société et grand amateur de chasse, était très fréquemment parti. Nous avions parfois remarqué que notre voisine rentrait tard le soir, et nous l’avions ainsi croisée une ou deux fois très tard dans le hall de l’immeuble le rouge aux joues, l’air gêné d’une petite fille prise en faute.Elle doit avoir un amant, avait commenté Agathe, amusée. Et je m’étais pris à rêver de notre voisine, offerte en levrette à mes assauts, jupe troussée aux hanches, seins libres, dardant sa jolie langue rose entre ses lèvres tandis que je la prenais comme un hussard.Et le pot aux roses avait été découvert grâce à un facteur intérimaire. Ce jour-là, il avait glissé dans notre boite aux lettres un pli qui était destiné à notre voisine. Un laboratoire photo spécialisé lui expédiait les épreuves d’une de ses folles soirées : on la voyait d’abord offerte à trois hommes dans une séquence qui se terminait en douche de sperme, et sur une autre série, occupée à lécher avec application la magnifique vulve d’une femme… de toute évidence brune.— Hummmm, quelle pute, avait lâché Agathe en découvrant les photos. Comme toujours, ma femme employait des mots très crus, lorsqu’elle était excitée. Regarde un peu ces superbes nichons… hummm, quelle belle chatte humide ! Cette magnifique salope aime la queue et la chatte, avait poursuivi Agathe en se doigtant devant la table du salon.Ses propres mots crus la mettaient toujours dans cet état là. Après m’avoir littéralement baisé (elle avait troussé sa jupe et m’avait introduit en elle par derrière, tout en regardant les photos), Agathe avait rapidement mis son plan en application.Il était tout simple : elle allait rendre ses photos à notre voisine en personne, tout en s’excusant d’avoir ouvert le colis. Mais elle allait surtout lui faire savoir que ces images lui semblaient très belles, et qu’elle aimerait que nous venions, tous les deux, en parler avec elle, un jour ou son mari ne serait pas là.Hélène, après avoir violemment rougi, avait remercié Agathe de sa délicatesse.— Je n’aurais effectivement pas aimé que mon mari voie ces photos… Puis elle avait affirmé que, tant que son mari n’en saurait rien, nous pourrions, ma femme et moi, passer la voir aussi souvent que nous le voulions pour commenter ces photos, ainsi que celles que nous n’avions pas vues, mais qu’elle tenait à notre disposition.Agathe découvrit alors que notre voisine, esseulée, était effectivement… une salope, au sens où nous l’apprécions. Hélène, comme elle nous l’avait expliqué plus tard, avait décidé de prendre des amants depuis des années, et qu’elle s’était même ensuite inscrite sur des sites de rencontres très spécialisés, où elle pouvait également rencontrer des couples et des femmes, car elle aimait autant les assauts des hommes que les caresses saphiques.C’est ainsi qu’Agathe avait pris rendez-vous chez Hélène, un vendredi après-midi où son mari était parti à la chasse pour le weekend. Mon épouse avait poliment exigé de notre hôtesse qu’elle ne porte pas de soutien-gorge sous son chemisier, et lui avait fait savoir qu’elle devrait savoir entendre chacune de nos envies, qui seraient sans doute fort nombreuses. Hélène, m’avait rapporté ma femme, avait visiblement beaucoup apprécié que les choses soient ainsi posées.Et voilà comment, une semaine plus tard, je me trouvais debout dans le coquet salon de ma voisine, la queue encore à demi raide de m’être fait pomper à la perfection, et contemplant ma femme occupée à malaxer une superbe et lourde poitrine souillée de mon sperme.— Merci, Hélène, finit par souffler ma femme, en s’écartant de la belle impudique un peu frustrée, j’imagine que vous aimeriez maintenant que je vous doigte un peu la chatte, poursuivit-elle en réajustant son ensemble de laine. Un ensemble qui la moulait de façon très suggestive, sois dit en passant. Agathe est une belle et grande femme rousse, de type nordique.— Oui, en effet, répondit délicatement Hélène, en laissant ses gros seins luisants de foutre exposés à nos regards. À moins que vous ne souhaitiez que je vous lèche la vulve, poursuivit-elle. Je pense que ce serait la moindre des choses, après mon inqualifiable conduite envers votre époux…— Non, merci, ma belle, trancha Agathe avec un peu d’autorité dans la voix. Pas si vite. Restez comme vous êtes, d’abord, et allons prendre un rafraîchissement. Vous allez me raconter votre initiation. L’histoire semble prometteuse. Si vous m’excitez correctement, je vous offrirai le spectacle de ma chatte gonflée de désir, que je doigterai juste pour vous encourager. Et si vos confessions s’avèrent assez excitantes, je vous autoriserai sans doute à venir m’offrir votre langue…— J’en serais très honorée, répondit Hélène avec sincérité.Nous nous installâmes donc au salon. Hélène sur un fauteuil Louis XV, dignement installée, jambes croisées au genou, mais chemisier ouvert, et ses seins libres toujours humides et érigés. Agathe et moi en face d’elle, sur un très beau canapé ancien. Je bandais à nouveau, et ma queue faisait une très belle bosse dans mon pantalon.— Alors Hélène, commença Agathe en ôtant sa jupe, Vous avez donc été initiée par une amie intime de votre mère… Ma femme ne portait plus qu’une superbe culotte de dentelle blanche, très souple, encadrée de porte-jarretelles. Elle s’assit, cuisses ouvertes, devant notre hôtesse, comme pour l’encourager.Hélène ne put réprimer un soupir de désir. Son regard ne pouvait se détacher de l’entrejambe de ma femme, impudiquement ouvert. D’autant qu’une trace humide très explicite souillait la jolie culotte, et en disait long sur le désir que ressentait Agathe.— Oui, en effet, commença Hélène. J’étais très amoureuse de cette femme, si belle, si impudique. Ma mère ne pouvait rien lui refuser, et je ne l’en admirais que davantage. Lorsque j’eu 18 ans, et que mon corps commença d’être celui d’une femme, le regard d’Annelyse à mon égard se mit à changer. Elle se mit à me prendre la taille, à me déposer des baisers dans le cou, à me caresser la croupe. Et je dois dire que cela me troublait, même si je ne comprenais pas vraiment ce que ces gestes signifiaient.Un peu plus tard, vers 20 ans, j’ai vécu une très grande émotion érotique, dont je sais qu’elle avait été très minutieusement préparée pour moi : le mari d’Annelyse m’a demandé d’aller chercher un objet quelconque au grenier, à côté des chambres de bonnes. Lorsque j’y suis arrivée, j’ai entendu un long gémissement provenant de la chambre de Martine, notre domestique. Je me suis approchée, et… j’ai pu assister à un spectacle qui m’excite encore aujourd’hui. La jeune bonne, assise sur son lit, cuisses ouvertes, se laissait fouiller le sexe par Annelyse. Annelyse, debout, était comme toujours impeccablement habillée, mais la main de la jeune fille était glissée sous sa jupe, et Annelyse l’encourageait à bien la doigter, tout en gémissant de plaisir. Martine s’ouvrait et s’offrait sans retenue. Je sais aujourd’hui que la petite bonne était coutumière de ces écarts de conduite. Qu’elle était depuis son arrivée le petit jouet sexuel d’Annelyse, et qu’elle partageait régulièrement ses ébats.— Oui, continuez, Hélène, souffla Agathe. Ce que vous me dévoilez-là m’excite beaucoup… Regardez… Ma femme passait à présent un doigt alangui sur sa vulve gonflée et humide, à travers la dentelle fine. Hummm, cette coquine d’Annelyse baisait la petite bonne en compagnie de son mari, et peut-être d’autres familiers de la maison… Hummm, quel excitant méli-mélo. Ce trio vous a-t-il également baisée… ?— Pas si vite, ma chère Agathe, sourit Hélène, heureuse de l’effet qu’elle produisait. Peut-être y viendrai-je dans un instant… Quoiqu’il en soit, ce jour-là, après m’avoir laissée jouir du spectacle pendant cinq bonnes minutes (Annelyse avait ensuite exigé de la petite bonne qu’elle lui lèche la chatte), ma future initiatrice avait soudainement demandé à Martine de s’appliquer à bien se faire jouir, pour que… sa petite Hélène chérie puisse voir à quel point une femme était belle, dans l’orgasme.Ces mots m’avaient directement désignée ! Je me croyais invisible, et elles savaient que j’étais là. D’ailleurs, Martine s’est aussitôt mise à fixer l’entrebâillement de la porte où je me trouvais, pour se masturber voluptueusement avec provocation, tandis qu’Annelyse lui pétrissait les seins. J’étais trempée d’excitation, et angoissée d’avoir été ainsi découverte. Sentiment trouble et délicieux. L’amie de ma mère me rejoignit alors, me prit par la main, et m’entraîna dans la chambrette très doucement. Elle m’agenouilla devant le sexe de la bonniche, qui se doigtait à présent frénétiquement dans un délicieux bruit liquide.— Tu as déjà embrassé un garçon ? me demanda Annelyse. Alors, embrasse le joli sexe de Martine de la même façon, ma chérie. Tu verras, ce sera délicieux. J’étais dans un état second, et je plongeais aussitôt la tête entre les jambes de la bonne. C’était merveilleux, si doux, si parfumé… Sur les indications d’Annelyse, je me suis mise à laper la chatte trempée qui s’offrait à moi comme un petit chat. Vulve, clitoris…La coquine tortillait en gémissant. J’avais le sentiment d’avoir cette fille à ma merci. Elle coulait dans ma bouche et Annelyse m’encourageait.— Voilà, c’est bien. Bois bien toute sa mouille… Aspire lui le clitoris… pénètre bien sa vulve avec ta langue… Hummm, tu es une parfaite petite gouine, on dirait… En m’enseignant l’art du gouinage, Annelyse avait aussi commencé à passer sa main sous ma jupe, et je sentis bientôt deux doigts experts me pénétrer la chatte. Dans l’état où je me trouvais, ils glissèrent tous seuls. Ce fut une vraie décharge électrique. C’était la première fois qu’on me pénétrait ainsi, en outre c’était une femme très belle qui me prodiguait cette caresse, et qui plus est, une amie intime de ma mère. C’était trop excitant pour la jeune fille que j’étais. Martine et moi avons joui exactement en même temps. Un orgasme dévastateur. Je n’avais jamais connu ça auparavant. Annelyse me flattait la croupe en me fouillant le con, je sentais ma cyprine couler sur ses doigts, et j’écartais les cuisses au maximum pour mieux la sentir en moi.Agathe écoutait maintenant en dardant sa langue sur ses lèvres, et son long doigt manucuré ne se contentait plus d’effleurer sa vulve, d’ailleurs visiblement trempée et gonflée. À présent, Agathe se doigtait impudiquement le sexe sous la culotte trempée, bouche ouverte et langue tendue.— Huuuummmm, continue, mon adorable salope, tu vas me faire jouir…, souffla-t-elle juste en fixant notre hôtesse, toujours sagement assise face à elle, jambes croisées, et seins libres.— Après ce mémorable orgasme, reprit Hélène, heureuse de plaire à ma femme, hagarde, je me suis allongée sur le lit à côté de Martine, qui m’a aussitôt enfoncée sa langue dans la bouche comme une petite paysanne qui veut baiser. La petite bonniche m’a juré qu’elle m’aimait, qu’elle aimait ma bouche, qu’elle aimait mon cul, et qu’elle aimait ma chatte. Elle me malaxait les fesses en gémissant. Nos langues se mêlaient, j’étais dans un état second, et sur le point de recommencer à jouer avec Martine lorsque Annelyse nous tira de cette torpeur alanguie d’un bref rappel à l’ordre.— Allons, mes petites salopes…. Ici, c’est moi qui donne les consignes. Hélène, regarde-moi… J’obtempérais. Son beau visage encadré de cheveux bruns semblait enflammé. Ses yeux lançaient des étincelles. Elle était magnifique et impériale, debout, habillée avec soin d’un ensemble jupe corsage très discret.Hélène, commença-t-elle… Je crois que tu as bien joui… la moindre des choses serait de me rendre la politesse, non ? Mais avant cela, comme tu as bien obéi à ce que je te demandais et que c’est la première fois que tu baisais une fille, je vais te faire une faveur : y’a-t-il quelque chose qui te ferait plaisir ? Elle ne pouvait pas mieux tomber. Car oui, quelque chose m’aurait fait plaisir. Quelque chose qui m’obsédait lorsque je la regardais, lorsque je rêvais d’elle. J’étais survoltée de désir, excitée comme jamais, et je pouvais enfin demander à cette superbe femme la chose dont je rêvais souvent en secret :— Oui Annelyse. J’aimerais que tu ouvres ton corsage, que tu dégrafes ton soutien-gorge, et que tu me montres tes seins. Je voudrais les sucer et les embrasser… Annelyse me sourit.— Oui, petite cochonne. Je t’ai souvent vue reluquer mes nichons à travers mes corsages… Je savais que tu étais une adorable future petite gouine. Annelyse déboutonna lentement son corsage. Sa peau était blanche et fraîche, constellée de taches de rousseur. Ses deux mamelles pointaient comme des obus dans le soutien-gorge à baleines qu’elle portait. Elle le dégrafa d’un geste rapide, et dévoila ses deux magnifiques globes qui pointaient impudiquement, et se les malaxa.— Ils te plaisent, ma belle ?— Oh oui, Annelyse, ils sont superbes… Elle s’approcha de moi en présentant ses seins sur le plat de la main.— Vas-y, petite salope. Tête-moi bien les nichons. Suce-les, pendant que Martine te doigte le con… Ce fut un moment plus que délicieux. Je léchais avec passion ses seins qui m’avaient tant fait rêver. Ils étaient fermes dans ma main, et doux à ma langue. Annelyse me caressait les cheveux. Comme je m’étais agenouillée, Martine put à loisir me fouiller la chatte à son tour, et je vécus alors une réelle petite mort, en quelques instants. Je fus secouée d’un orgasme tel que je n’en ai jamais ressenti depuis. Quelque chose de très soudain, très violent, et je me souviens avoir crié de plaisir, tandis qu’Annelyse enfonçait ses tétons dans ma bouche. J’ai senti à la vibration de son corps, à son délicat gémissement étouffé, à l’extrême raideur de ses gros tétons qu’elle jouissait intensément elle aussi. Quelques instants plus tard, elle m’offrait enfin passionnément sa bouche, et je l’embrassais avec dévotion. J’étais prête à tout pour cette femme qui venait de m’offrir le plus grand orgasme de ma vie. Elle congédia Martine, qui sortit sans mot dire, et passa une heure ensuite à me caresser avec tendresse, sans rien dire, juste allongée à côté de moi. Puis elle se rhabilla, m’embrassa encore une fois, me remercia avec sincérité, me sourit et partit.Agathe avait écouté toute l’histoire en se masturbant sans pudeur, et je devinais qu’elle venait de jouir discrètement, mais qu’elle était à nouveau prête à venir.— Hélène, ton histoire m’a fait jouir. Elle se leva, ôta sa culotte trempée de cyprine, et se rassit, cuisses ouvertes. Je vais te demander de venir me lécher, car j’ai envie de ta jolie bouche, à présent. Et en m’offrant ta bouche, tu présenteras ta croupe à mon mari, pour qu’il t’honore comme il se doit. Mais avant, j’aimerais que tu me répondes tout de suite : Cette parfaite initiatrice s’est-elle offert le plaisir de t’offrir à d’autres femmes et couples de ton entourage ?— Non, ma chérie, répondit sincèrement Hélène. Je crois qu’elle attendait le bon moment pour ça. Mais Annelyse m’a ensuite souvent invitée à partager son lit et celui de son époux. Elle m’a appris à bien faire jouir un homme, et surtout à y trouver du plaisir. Mais quelques mois plus tard, ils ont déménagé du jour au lendemain, et ne sont plus jamais réapparus. La petite bonne, Martine, a été congédiée par ma mère, et moi-même, je suis allée terminer mes études à l’université. Je crois que le jeu a été interrompu avant qu’il n’aille trop loin.— Oh, quel dommage, ma belle… En as-tu été déçue ?— J’étais sous l’emprise d’Annelyse, et j’aurais pu aller très loin pour la satisfaire. Peut-être trop loin. Aujourd’hui, je me rends compte que depuis je ne fais que chercher à la retrouver. Et grâce à elle, j’assume parfaitement depuis cette époque toutes mes pulsions amoureuses, j’assume parfaitement ma nymphomanie, et j’aime à me dire que je suis devenue comme elle une parfaite salope… Sur ces mots, Hélène se pinça le bout des tétons en s’humectant les lèvres, se leva, troussa sa jupe, et vint délicatement embrasser la vulve de ma femme en cabrant ses hanches pour m’offrir sa croupe.Lorsque je m’enfonçai en elle, je vécus un moment parfait. Sa large croupe était souple et douce, sa vulve trempée m’offrait un fourreau brûlant, souple et humide. Elle accompagnait mes lents va-et-vient d’ondulations délicates. Agathe avait passé l’une de ses mains sous son pull et se malaxait la poitrine, les yeux mi-clos.Elle s’abandonnait à la bouche d’Hélène en gémissant tendrement. Je voyais les mamelles de ma partenaire osciller voluptueusement et la sentais vibrer de tout son corps, sans que je sache qui de nous deux lui procurait le plus de plaisir. Était-ce ma queue qui coulissait délicieusement dans son vagin ? Mes mains qui lui pétrissaient la croupe, ou juste la vulve d’Agathe qui s’offrait sans réserve à sa langue, ruisselante ? Je pus ainsi tenir cinq bonnes minutes, savourant chaque seconde. Les deux femmes étaient visiblement en accord parfait. Puis Agathe se tendit brusquement. Hélène ondula alors des hanches avec plus de fermeté, de plus en plus vite. Bientôt sa magistrale croupe s’empala littéralement jusqu’à la base de ma queue, et de sa main libre, elle vint me caresser la bourse pour me faire entrer plus profond en elle. C’était le signal. Notre délicieuse hôtesse voulait que nous jouissions ensemble. Agathe eut un nouveau spasme de plaisir, et se mit à feuler comme une chatte en chaleur.— Oh oui ma belle, c’est si bonnnn, oui, bois moi toute, aspire bien mon jus, tu es si bonne, si salope…. Hummmm tu me gouines comme une vraie pute oh je viennnnsssss ! L’orgasme de ma femme fut fulgurant, et aussitôt suivi d’un spasme et d’un long gémissement d’Hélène :— Oh oui Agathe, venez dans ma bouche, ohhh vous êtes belle, oh j’aime votre belle chatte… Hummm et la queue de votre mari me remplit bien le con…Surexcité, je m’abandonnais à mon tour dans un râle. Je sentis à nouveau des flots de sperme jaillir de ma queue tendue à craquer, et inonder la superbe chatte de ma voisine.— Oh oui, Agathe, votre mari me remplit de foutre, hummmmm, je viens, hummmm je jouiiiiiis. Je me vidais encore copieusement en elle, en regardant ma femme caresser la tête de sa complice, qui venait de plonger et de s’abandonner entre ses jambes.Après cet orgasme simultané. Nous nous allongeâmes sur l’épais tapis qui se trouvait là, pour reprendre nos esprits. Les deux femmes s’enlaçaient tendrement en échangeant de longs baisers mouillés.— Hummmm, quelle parfaite soirée vous m’avez offerte, finit par déclarer Hélène. Considérez que je suis à votre entière disposition… Agathe, épuisée, caressait machinalement les seins de notre voisine.— Oui, il y a longtemps que je n’avais pas joui comme ça, ma chérie. Ce soir, je n’ai fait que me gouiner avec toi, et je me sens comme si j’avais vidé trois hommes. Hummmm… tu es la voisine idéale. Maintenant, nous allons te quitter, et je vais aller dormir. Mais prépare-toi à de belles surprises. Je crois que j’ai très envie de t’utiliser souvent. Et j’ai même ma petite idée pour la suite…Nous partîmes quelques minutes plus tard. Il faisait déjà nuit noire. En arrivant à notre appartement, après m’avoir embrassé, Agathe m’expliqua rapidement ce qu’elle comptait faire d’Hélène :— Je crois qu’il sera très excitant de lui offrir une jeune femme à initier, peut-être même avec son petit ami. Et je crois savoir où les trouver…Fin (provisoire).