Résumé de l’épisode précédent : À 18 ans, je rencontre Agnès, la meilleure amie de ma mère dans un vide-grenier. J’ose avec elle ce que jamais je n’ai osé avec une fille. Après un premier rendez-vous dans les bois, c’est accompagné de son gendre qu’elle passe la soirée chez moi et me fait découvrir la bisexualité…Le soleil était levé depuis longtemps lorsque j’ouvris les yeux. Ses rayons filtraient aux lames des lourds volets en bois et dessinaient sur les meubles et les draps de mon lit autant de traits lumineux. À mesure que je sortais de ma torpeur, les souvenirs de la soirée passée remontaient vers moi. Je ressentais encore les assauts au plus profond de mon être et mon corps était tellement courbaturé que je gémissais en me levant. Je portais encore sur moi les traces blanchâtres de la semence qu’Alex avait répandue sur mon torse et dans ma mémoire, la délicieuse sensation d’abandon qui avait été la mienne dans les bras d’Agnès.J’étais vidé. Une douche… un café… un autre… Je déambulais dans la maison, rêvant encore à ses courbes délicieuses, soulignées par les dentelles de la tenue qu’elle avait revêtue la veille. Je songeais aussi à son corps à lui, à sa virilité qui m’avait pénétré… comme je l’avais vu pénétrer cette jeune femme, fille d’Agnès, dans la vidéo de cette cassette.Par réflexe, mon regard se tourna vers le magnétoscope. La cassette était toujours là. Elle émergeait de la fente de l’appareil. Oubli volontaire ? Appel à poursuivre ce chemin initiatique ? En fait, sur le moment, je ne me suis pas trop posé de question. Une simple poussée sur la cassette, quelques manipulations, avance rapide, etc., pour atteindre le passage recherché.Elle apparut sur l’écran comme la veille, étendue sur cette table, en proie au plaisir déclenché par les assauts et les caresses d’Alex. Je l’observais se mordre les lèvres, courber son corps pour mieux l’accueillir, mordre son poing pour étouffer ses cris de jouissance. Probablement emportée par une pulsion subite, elle descend de la table, embrasse son homme langoureusement, puis lui tourne le dos. Elle prend alors appui de ses coudes sur le plateau de chêne et, creusant ses reins, lui présente sa croupe comme s’il s’agissait d’une offrande empreinte d’une touche de soumission.Lui, dans un geste de douceur extrême, vient présenter son membre aux portes de l’antre intime et que je devine chargé de désir. Alors, je la vois se reculer, s’empaler sur ce membre dont je connais la puissance, doucement, délicatement, comme cherchant à profiter, à déguster chaque sensation. Lui a posé ses grandes mains sur les courbes de son bassin. Et, à mesure qu’elle s’empale, il les fait remonter le long de ses hanches, n’hésitant pas au passage à venir effleurer la frontière de son mont de Vénus.Elle redresse progressivement son buste, laissant ainsi Alex venir poser ses lèvres dans son cou alors que ses mains remontent naturellement vers la base de ses seins, dont il prend possession. Possession… oui, c’est bien le mot. Possession… de cette poitrine, de ce corps, du corps de cette femme, de cette femelle… comme il l’a fait avec moi hier soir. La séquence se termine là, alors que je devine qu’il se répand en elle, laissant place à un écran noir frustrant. Je ne cache pas que cette vision m’avait complètement fait retrouver ma vigueur et mon énergie, et c’est avec un plaisir non dissimulé que je me masturbais frénétiquement debout devant l’écran encore allumé.La suite de la journée se poursuivit sans nouveauté. Je profitais du temps magnifique pour plonger dans la piscine, somnoler à l’ombre des arbres du jardin. Les parents m’appelèrent en fin d’après-midi :— Oui, oui, tout va bien, rien de particulier. Un peu fatigué par le boulot de la semaine (tu parles si j’étais claqué !). Et vous, tout va bien ? Profitez bien, etc.Même scénario avec Marie quelques instants plus tard.— Toi aussi tu me manques, oui j’ai hâte que l’on se revoie. Tu raccroches ? Non, c’est toi… etc., etc.Devant reprendre le travail le lendemain à la première heure, je décidai de terminer de tout ramasser et ranger, histoire de garder la maison propre (on ne sait jamais qui peut débarquer ni quand). Et c’est là que je suis tombé dessus. La petite boîte était posée sur la commode dans l’entrée avec mon prénom écrit dessus. Pas de doute, cela venait d’Agnès. Je la saisis, l’ouvris et tombai sur son rosebud avec un simple mot glissé dessous :Oseras-tu venir le remettre à sa place ?Instinctivement, je saisis le téléphone, et composai le numéro d’Agnès. À nouveau, c’est elle qui décrocha :— Allô oui ?— C’est Francis, j’ai trouvé ton petit mot.— Et alors ?— Dis-moi quand.— Francis, tu sembles bien sûr de toi. Je dois te prévenir que tu vas devoir franchir encore quelques étapes avant de me posséder à nouveau.Après un instant d’hésitation, je répondis :— Je comprends… Mais c’est oui.— C’est toi qui décides. Rendez-vous chez moi samedi prochain à 21 h… J’ai tellement hâte que je lèche le combiné du téléphone en pensant à ce que nous allons faire ensemble. — Passe une bonne semaine ! répondit-elle avant de raccrocher, et me laisser seul avec ces derniers mots raisonnants encore en moi.La semaine passa vite et le fameux samedi arriva.Je me présentai à l’heure dite devant cette grande villa, maison bourgeoise des années 1900, entièrement rénovée. Une grande vigne vierge courait sur une grande partie de la façade en atteignant presque l’aile droite, qui semblait abriter les garages, et l’aile droite qui semblait être une magnifique verrière. Une volée d’une dizaine de marches permettait d’accéder à l’imposante porte et à la poignée de la cloche permettant d’annoncer son arrivée. Fort de l’assurance de mes 18 ans, je sonnai énergiquement et j’attendis.Après quelques secondes, Agnès vint m’ouvrir. Elle portait un chemisier sombre et une jupe fuseau d’une très grande classe. Elle me sourit et, tout en récupérant la petite boîte, me dit :— Parfait, tu l’as pas oubliée. Sois le bienvenu. Viens avec moi, nous sommes au salon.Nous ? Je me doutais qu’Alex serait là. Je la suivis donc à travers un long couloir, admirant au passage ses formes parfaitement mises en valeur par la robe moulante et ses talons hauts. Elle me fit entrer dans une première grande pièce lumineuse, dont la baie vitrée donnait accès à la terrasse et offrait une magnifique vue sur la ville. Je reconnus immédiatement le lieu et la lourde table de chêne. Agnès m’accompagna alors dans une seconde pièce en enfilade, meublée de deux magnifiques canapés de type Chesterfield. Deux inconnus, un homme et une femme y étaient confortablement installés et semblaient discuter une coupe de champagne à la main.— Je te présente Sonia, qui est une de meilleures amies, me dit AgnèsElle ressemblait un peu à Agnès, dans la couleur des cheveux, la taille, la tenue vestimentaire. Mais avec une touche asiatique dans les yeux qui clairement lui donnait un je ne sais quoi de dominatrice. À l’autre extrémité du canapé, l’homme me dévisageait d’un regard aux yeux bleu métallique. Les traits de son visage et sa chevelure poivre et sel laissaient deviner qu’il était un peu plus âgé que les deux femmes. Malgré cela, on devinait parfaitement une certaine musculature à travers sa chemise entrouverte.Agnès se tourna vers lui :— Et voici Olivier, mon époux. Je lui ai beaucoup parlé de toi et il avait hâte de te rencontrer.Là, j’étais scié, presque tétanisé. Comprenant mon trouble, Olivier m’invita à m’asseoir entre eux. Après m’avoir servi une coupe, et placé la petite boîte sur la table basse, Agnès rejoignit le second canapé face à nous. Sonia entama la conversation en nous demandant comment nous nous étions rencontrés. Devant mon mutisme, Agnès commença à raconter, comment j’avais osé l’aborder, notre aventure dans les bois, puis chez moi… Elle n’omettait que peu de détails et répondit à chacune des questions d’Olivier ou Sonia. Elle termina en relatant notre dernier échange téléphonique.— Est-ce que tout cela est exact, me demanda Olivier ?Je balbutiai un « oui » qui fut suivi d’un long moment pendant lequel je vis que tous les trois me dévisageaient.Au bout de quelques minutes interminables, Olivier rompit le silence :— Eh bien, puisque c’est ton souhait et que tu te dis prêt à en accepter les règles, je crois qu’il est maintenant temps de replacer le bijou d’Agnès à place. Qu’en dis-tu ma Chérie ?Sans un mot, mais tout en me fixant dans les yeux Agnès de leva lentement, avec un petit sourire en coin, comme si elle me disait :— Tu l’as voulu, maintenant, tu vas voir…D’un geste précis, elle descendit la fermeture éclair de sa jupe qui tomba immédiatement à ses pieds, révélant à nos yeux une paire de bas blancs retenus par une paire de fines lanières de la même couleur. Elle défit alors un à un les boutons de son chemisier, libérant sa magnifique poitrine dont les pointes dardaient déjà. Puis elle écarta les pans de tissus, qui rejoignirent la jupe, faisant apparaître son corps ceint à la taille d’un corset assorti aux bas et rehaussant parfaitement la courbure de ses seins.La transformation était incroyable ! Même son regard avait changé, passant en quelques secondes de la Maîtresse Femme toute de noir vêtue et prête à me dompter, à une oie blanche, d’une douceur incroyable et prête à s’abandonner. Tel un félin, elle rejoignit la table et s’étendit dessus.— Tu peux la prendre autant que tu le souhaites, mais tu dois respecter trois conditions, me dit Olivier— La première est qu’elle soit consentante, mais je ne crois pas que cela pose vraiment de problème car je ne l’ai pas souvent vu refuser un jeune étalon. D’ailleurs, regarde, elle t’attend. Alors, ne la laisse pas languir, va la rejoindre.Joignant le geste à la parole, Olivier prit mon bras, de même que Sonia. Ils m’incitèrent à me lever et m’accompagnèrent entre les jambes qu’Agnès écartait déjà. Voyant que j’hésitai, Sonia sortit mon sexe du carcan de mon pantalon dans lequel il devenait trop à l’étroit. Le saisissant dans sa main, elle fit quelques allers et retours qui finirent de me mettre en condition. Olivier se plaça derrière moi et pesa sur mes reins pour m’inciter à m’approcher de son antre.— La seconde condition est que tu te laisses guider par Sonia ce soir. Elle sera ta professeur et t’enseignera l’art du plaisir… et aussi de la perversion.Sonia se dévêtit. Elle portait la même lingerie qu’Agnès, mais d’un rouge écarlate. Elle prit alors la place d’Olivier, déboutonna ma chemise, défit mon pantalon me mettant complètement à nu. Elle colla son corps contre mon dos et ses mains se plaçant sur mes hanches, me poussa en avant, faisant ainsi pénétrer mon sexe tout doucement au plus profond d’Agnès. Quand je fus enfoncé jusqu’à la garde, Sonia me fit reculer avec la même délicatesse jusqu’à ce que mon gland soit à la limite de ressortir.Sonia m’imprima ainsi un lent mouvement de va-et-vient auquel Agnès répondit par de soupirs de contentement. Elle était brûlante et dégoulinait de plaisir. Sonia me guida, me dit de placer ses jambes sur mes épaules, puis de la pénétrer plus profondément. Elle m’expliqua comment je pouvais la caresser, placer mon pouce sur son clito et le masser pendant que j’allais et venais. Agnès se mordait les lèvres, mordait son poing et semblait jouir à n’en plus finir. De temps à autre, Sonia glissait sa main pour me masser les bourses, pendant que de l’autre, elle appuyait son majeur sur mon anus. Par cette pression, elle m’impulsait le rythme, me faisant accélérer ou m’arrêter dès qu’elle sentait qu’Agnès ou moi allions chavirer.Soudain, Agnès se dégagea, descendit de la table, et vint se placer comme sa fille dans la vidéo, reposant sur ses avant-bras, et cambrant ses reins de manière à m’inviter à la prendre à ma guise. Olivier s’approcha et déposa un peu de gel sur la rondelle d’Agnès. L’invitation était claire et je ne me fis pas prier. Pendant que je m’emparai d’elle, je tournai la tête vers Sonia :— Je veux la voir te lécher…Sonia sourit, se décolla de moi et vint s’installer sur le plateau. Elle écarta largement les jambes, nous laissant contempler son sexe complètement rasé. Agnès plongea au centre du compas des jambes de Sonia, et plaqua sa langue sur sa fente. À mesure que j’entrais dans ses reins, Agnès caressait, léchait, suçait et semblait prodiguer le plus grand plaisir à Sonia. Joignant ses mains à sa bouche, Agnès la pénétra à son tour d’un premier doigt, puis d’un second et encore d’un troisième. Bientôt, c’est la totalité de sa main que je vis entrer en Sonia. Celle-ci rejeta la tête en arrière avec un feulement de satisfaction :— Oh oui ! J’aime me sentir pleine… Hummm… Vas-y, défonce-moi !Agnès entama de lents va-et-vient au rythme de la sodomie. À mesure que nous accélérions, le souffle de Sonia devint de plus en plus court, avant qu’elle ne soit prise de spasmes et de contractions annonçant son orgasme imminent. Quant à moi, je jouis presque au même instant, complètement enfoncé dans les reins d’Agnès, qui se cambra une dernière fois, pour mieux m’accueillir. Nous restâmes immobiles quelques instants, nous délectant de l’intensité du plaisir qui nous avait submergé. Nous étions tous les trois repus, dégoulinants de sueur. Alors que je me dégageai d’Agnès, Olivier s’approcha, me tendant le rosebud :— Tu vas pouvoir le remettre en place, mais avant tu dois accepter une dernière condition : que tu acceptes de satisfaire Agnès dès qu’elle le souhaite… !Je hochai la tête et pris l’objet entre les doigts. Il arrêta cependant le geste que je m’apprêtai à faire et me fixa bien dans les yeux.— … Attends. Avant que tu n’ailles jusqu’au bout, sache que cela implique que je te possède, comme cela a été pour tous les amants d’Agnès.Alors, après un bref instant d’hésitation, et tout en soutenant son regard perçant, je poursuivis mon geste, poussant délicatement le bijou sur l’anus d’Agnès jusqu’à ce qu’il soit parfaitement enchâssé, déclenchant chez elle un profond soupir de contentement.Sonia et Agnès se redressèrent alors, et, avec beaucoup de solennité, me prirent chacune par un bras pour m’installer à genou sur l’un des Chesterfield. Je ne quittais pas Olivier des yeux. Il m’observait s’appuyant négligemment sur le rebord de la table. Lorsque je fus prêt, il s’avança lentement vers moi, tel un fauve se délectant de sa future proie. Une fois derrière moi, j’entendis le zip de son pantalon et sentis son sexe flatter ma croupe consentante. Il pesa de son poids pour me pénétrer. Il était gros, beaucoup plus qu’Alex. Il devait le savoir et prenait son temps, progressant millimètre après millimètre.Quand il fut complètement au fond de moi, il commença à aller et venir, en me tenant par les hanches. Je me sentais comblé, entièrement sous l’emprise de son désir. Et j’aimais ça. Je gardais les yeux fermés, crispant mes mains sur le cuir du canapé à chaque poussée. Je ne les rouvris que lorsque je le sentis se répandre en moi, me redressant comme Agnès l’avait fait avec moi.C’est alors que je la découvris. Dans l’encadrement de la porte du salon, elle m’observait, une main se caressant la poitrine sous son polo, l’autre dans son short, plaquée sur son mont de vénus. Je la dévisageais, fasciné par sa beauté et la perversité de l’instant.Agnès prit conscience que je l’avais vu, se pencha vers moi et souffla à mon oreille :— Ne t’avais-je pas dit que ma fille est désirable ?Et Sonia ajouta alors :— Mais ne te fie pas trop à son air sage. Sache que c’est elle qui m’a éduquée…La fille d’Agnès sortit de sa rêverie et s’approcha de nous. Elle approcha ses doigts de ma bouche, me laissant les engloutir et me délecter du nectar qui les recouvrait. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres alors que sa main me saisissait par le menton et que ses yeux plongeaient dans les miens. Puis, s’adressant à Agnès :— Tu sais, je crois que tu avais raison : telle mère, tel fille…