De sortie
On adorait ces escapades, juste tous les deux. On en avait pris l’habitude, occasionnellement, on s’offrait ce luxe le temps d’une soirée, nous allions en ville en amoureux.
Proposée le 23/01/2017 par Ricardo Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Histoire vraie
On adorait ces escapades, juste tous les deux. On en avait pris l’habitude, occasionnellement, on s’offrait ce luxe le temps d’une soirée, nous allions en ville en amoureux.C’est le printemps mais pas encore l’été ce soir là , sans s’être endimanchée, elle a choisi une robe noire au tissu fluide qui épouse délicatement ses formes sportives. Sa chute de reins est mise en valeur par ses chaussures à talon qu’elle met trop rarement selon moi. Et puisque les températures ne sont pas aussi clémentes qu’espéré, elle a couvert ses épaules et les discrètes bretelles de sa robe avec un fin gilet de laine. Ses collants noirs unis, bien qu’à priori austères, lui confère au final un style strict mais chic.Ce que l’on aime dans ces sorties c’est aussi se replonger dans ces bars où, étudiants, nous passions des soirées entre amis à boire et rigoler. D’ailleurs, sans être nostalgiques, on retourne souvent aux mêmes adresses pour y manger les mêmes plats de brasserie et boire la même bière artisanale.Le repas est souvent bien vite englouti autant que la boisson mais cette fois-ci, pour ne pas clore la soirée trop tôt, on décide de boire un dernier verre. Notre dévolu s’est porté sur un bar situé dans la cale d’une péniche où une musique latine fait danser quelques couples sur une piste entourée de hautes tables rondes sous une lumière tamisée.D’une main je la saisie par sa taille fine pour la conduire vers l’une de ces tables et en profite au moment de prendre place sur le tabouret de passer ma main sur ses fesses fermes et rebondies. On s’installe et elle m’adresse un sourire espiègle.Un Mojito, ou plutôt deux, c’est la boisson du moment que l’on déguste comme une friandise. Tout en parlant du programme du futur week-end, j’effleure sans arrière-pensée les genoux de ma belle. La musique bien que modérément forte, nous oblige à nous rapprocher afin de mieux se comprendre. Les arrière-pensées finalement commencent à venir et les premiers effleurements deviennent déjà caresses.Je la sens gênée et ma main doit très vite battre en retraite. De toute façon l’exhibitionnisme n’a jamais été dans nos envies, je ne serai pas allé bien plus loin dans ce qui n’était qu’une façon d’affirmer mon désir pour elle.Un deuxième verre est commandé pour chacun et elle en profite pour « aller se repoudrer le nez » comme on dit. Seul à table, je profite de ce court instant du spectacle des couples de danseurs qui s’enlacent plus ou moins ostensiblement. Je suis heureux ce soir et pense au moment, une fois chez nous, où moi aussi je pourrai enlacer, caresser et embrasser.Elle revient, quelque chose a changé : elle a enlevé son gilet et … Je n’en crois pas mes yeux, elle est revenue sans soutien-gorge ! Ce ne sont plus que les fragiles bretelles de sa robe qui soutiennent sa poitrine ferme et généreuse. Ses seins sont splendides sous cette matière faite de mousseline et le décolleté est à damner un saint.Je n’en reviens pas ! Elle me regarde mi-gênée mi amusée, Je comprends qu’elle me fait là un cadeau que j’avais caché au fond de ma boîte à fantasme depuis longtemps. Je trouve à peine les mots, elle est de toute beauté et elle le sait. Son allure ne peut laisser personne indifférent et la température est montée d’un cran. Elle regroupe timidement ses bras afin de cacher un peu sa poitrine aux vus des autres mais l’opération ne fait qu’augmenter le galbe de ses seins et me donne une vue des plus vertigineuse !On finit, complice que nous sommes, à plaisanter sur la situation tandis que je retourne me promener le long de ses genoux et même de sa cuisse. A présent je suis plus audacieux et elle, elle n’y voit plus d’inconvénient cette fois-ci mais tout en contrôlant mes ardeurs avec des jambes bien serrées.Arrivé à mi-cuisse, je m’arrête net ! Elle me regarde toujours en souriant, ses yeux pétillent, elle sait que je viens de comprendre qu’elle ne porte pas de collants mais des bas. Elle les a acheté début de semaine, en cachette, pour m’en faire la surprise. Son plan marche remarquablement bien, elle sait dans quel état elle vient de me mettre. D’ailleurs pour elle aussi, l’excitation devient tout doucement difficile à gérer d’autant que je ne suis pas à la fin de mes surprises.En effet, continuant mon chemin le long de sa cuisse, je m’aperçois qu’elle ne porte finalement aucun sous-vêtement. Elle est intégralement nue sous sa robe, ma gorge est totalement asséchée malgré les mojitos. Nous continuons de mener un semblant de conversation pour ne pas attirer l’attention mais cela devient impossible.Ma main baladeuse caresse légèrement quelques poils soyeux tandis qu’elle me regarde dans les yeux juste en tenant mon autre main posée sur la table. Il est l’heure de rentrer estime-t’elle ! Le temps de payer l’addition, elle s’éclipse à nouveau, pour revenir habillée de son gilet prétextant la fraîcheur nocturne. Moi, j’ai chaud comme jamais !Tout en retournant vers la voiture, je la tiens par la taille et, à travers la robe, sonde ses fesses qui sont à nouveau culottées. Je ne suis pas déçu car ces préliminaires sont faits pour durer. Je profite d’un passage piéton au rouge pour l’étreindre et l’embrasser passionnément. On s’aime et on se le dit.Enfin installés dans la voiture, je me risque à un assaut probablement trop brutal vers sa poitrine, elle me repousse, elle a froid, elle veut rentrer. Quelque peu échaudé, je m’exécute mais si les sièges en cuir sont froids ils ont aussi un chauffage diablement efficace. Très vite on sent la chaleur qui du bas du dos monte le long de la colonne vertébrale.Nous avons 30 minutes de route, sur l’autoroute je pose ma main sur son épaule et lui caresse le visage, elle m’embrasse la main et pose la sienne sur ma cuisse. J’aime la douceur de ses joues et de sa peau en général.Tout doucement ma main commence à explorer son décolleté avec un doigt qui de temps en temps passe sous le soutien-gorge sans trop s’approcher de ses tétons que je veux me réserver pour plus tard. Je dois malgré tout rester concentré d’autant plus que mon sexe se fait cajoler à travers mon jean de plus en plus serré.Ces doux aller-retour sur mon membre sont d’une sensualité extrême et j’adore ça. De temps en temps elle embrasse ma main qu’elle maintient en la dirigeant sur sa bouche ou à la naissance de son cou. J’ai décidé de déboutonner mon pantalon et de mon caleçon dépasse juste l’extrémité gonflée de mon pénis qu’elle s’amuse à présent à effleurer. L’excitation est à son comble. Je roule à 90km/h sur l’autoroute et j’y consacre tout ce qu’il me reste de lucidité.Enfin nous arrivons chez nous, les portes de garages électriques sont une invention magnifique, je rentre dans le garage sans interrompre le préambule à nos ébats. Une fois arrêté, toujours installés dans nos sièges en cuir, on s’embrasse avec passion, elle, sa main sur mon sexe et moi une main sur un sein et l’autre entre ses cuisses.Je suis à deux doigts d’exploser et lui demande de ralentir mais elle décide plutôt de plonger sa tête vers mon bas-ventre pour me gratifier d’une fellation à pleine bouche. Je lui malaxe un sein qui rempli bien ma main tandis qu’elle fait des aller-retour rythmés sur ma verge en ne s’arrêtant que pour en titiller du bout de sa langue la partie la plus sensible.Je ne tiendrai pas deux secondes de plus et je le lui fais comprendre en essayant de lui relever la tête mais elle s’y refuse et persévère jusqu’à ce que je me répande dans sa bouche dans un râle libérateur. Elle recrache, je m’excuse aussitôt auprès d’elle de n’avoir pu me contrôler. Elle s’essuie et me fait un petit baiser sur la bouche en me susurrant à l’oreille d’aller me doucher. La soirée n’est pas terminée !C’est un peu penaud que je vais à la salle de bain mais l’excitation demeure : va-t’elle me rejoindre sous la douche ? Je ne suis pas encore « prêt », il me faut un peu de répit mais hors de question d’en rester là ! Hors de question de l’abandonner après ces formidables préliminaires.Finalement je me suis douché seul et rejoins le salon juste vêtu d’un caleçon propre. Elle m’attend assise sur le canapé entrain d’agencer la table basse avec des petites bougies et une bouteille de Champagne. Je devine qu’elle s’est à nouveau débarrassée de ses sous-vêtements et ne porte plus que sa robe et ses bas toujours chaussés.Je sers deux coupes et nous décidons de reprendre notre « conversation » en échangeant du Champagne du bout de nos lèvres. Je suis beaucoup moins impatient à présent mais toujours terriblement excité de connaître la suite des évènements. Je dépose du bout des doigts une goutte de notre élixir dans le creux de son décolleté, goutte que je rattrape avec ma langue avant qu’elle ne s’échappe plus loin.Je lui caresse l’intérieur des cuisses mais me borne à m’arrêter au niveau de la frise en dentelles de ses bas. Je sens bien qu’elle attend que j’aille plus loin mais le plaisir est aussi là , dans cette attente. Avec mon autre main, je m’amuse à lui mouiller les tétons du bout des doigts avec ce qu’il reste dans mon verre. Sa poitrine est tendue à l’extrême et je la devine dans le même état que moi juste avant la douche.Tout doucement je recouvre la forme grâce aux caresses du bout des doigts qu’elle me prodigue. On se ressert un verre et on s’amuse à se donner à boire l’un l’autre. Les gouttes qui ne trouvent pas le chemin de la bouche sont autant d’occasions pour embrasser l’autre sur différentes parties du corps. Une dernière maladresse fait tomber un peu de Champagne sur sa cuisse et me voilà à ses genoux entrain de lécher ses bas.A genoux entre ses cuisses, encore un baiser sur la bouche, deux ou trois autres sur sa poitrine avant que je descende plus bas. Ses jambes s’écartent discrètement pour me signifier que je suis sur le bon chemin. Ses mains commencent à diriger ma tête qui du bout des lèvres avance dans son entre-jambes. J’agrippe ses fesses et commence à faire tourner ma langue sur son clitoris. De temps en temps j’appuie plus fort et rentre dans son con.Elle gémie et par ses petits sursauts m’indique que je ne suis pas loin du but. Je m’aide à présent de l’index qui explore l’intérieur de son vagin de façon circulaire. Un petit cri et ses mains qui repoussent ma tête me font comprendre qu’elle a obtenu ce que je souhaitais lui donner.Elle se lève et se retourne, les mains sur le dossier du canapé, le message est clair ! Je luis soulève la robe et la pénètre par l’arrière en position debout. Elle a fait glisser les bretelles de sa robe, ses seins malmenés par la loi de la gravité et mes coups de reins virevoltent dans tous les sens. Mes deux mains la tiennent par la taille, le rythme s’accélère. Nous sommes en totale osmose.Elle se redresse et toujours en elle je l’embrasse dans le cou mes mains sur ces seins. Nos bouches se trouvent et nous nous embrassons langoureusement tandis qu’elle se désarçonne. Elle se dirige vers la table de la salle à manger sur laquelle elle se couche. Je la rejoins évidemment de suite pour pendre ses jambes à mon cou.Une nouvelle chevauchée commence avec cette fois la délicieuse vue sur ces seins et ses yeux mi-clos. Je la saisie par les épaules pour que mes coups de butoirs aient plus de force. J’accélère encore une dernière fois avant de rendre les armes dans un second orgasme, exténué.Je l’aide à redescendre de la table et nous nous effondrons tous les deux dans le canapé. On se sert un dernier verre pour de bon pour s’endormir dans les bras l’un de l’autre au rythme de petites et innocentes caresses. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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