Résumé de l’épisode précédent : Notre héros, Adam, en vacances, surprend deux amis, la belle Julia et Côme, en pleine séance d’amour, infidèles chacun à leur conjoint respectif. Pensant avoir été à son tour surpris pendant sa séance de voyeurisme, Adam bat rapidement en retraite.Le lendemain, la belle Julia tire les vers du nez d’Adam. Une fois rassurée sur son intention de garder sa découverte pour lui, elle sème le trouble dans la séance de travail du héros qui finit par regagner sa chambre. Julia l’y rejoint bientôt. La journée finit par une beuverie où Côme se révèle au courant de la relation du héros et de Julia.Le groupe de l’excursion quitte la villa vers dix heures, heure à laquelle j’émerge péniblement de mon lit. Pour contrer les effets de l’alcool, je prends un petit-déjeuner solide devant la piscine, paracétamol en prime. La chaleur est toujours torride. Je me remémore les paroles de Côme, me demandant ce qu’elles signifiaient réellement ou s’il était juste saoul. Je suppose qu’il s’agit de tirer au clair la nature de la nouvelle relation entre Julia, lui et moi. Après avoir mangé, quelques longueurs dans la piscine achèvent de me réveiller et c’est beaucoup plus frais que je regagne ma chambre pour aller chercher mon ordinateur portable. L’activité sportive a aiguisé mon corps, fait gonfler mes muscles. Je me sens bien, affûté.On frappe à la porte de ma chambre. Je suis en train de débrancher la prise du chargeur de mon portable, mais je relève brusquement la tête. Je crie :Mon cœur d’un coup bat la chamade. Julia se glisse dans ma chambre, tout sourire. Elle porte un top dévoilant son ventre plat bronzé et une jupe courte dont le tissu léger et lâche laisse admirer ses belles jambes musclées. Ses pieds sont nus, laissant voir une bague en or à l’orteil droit. Je bondis littéralement sur elle, saisis sa tête de mes mains et l’embrasse. Elle répond à mon fougueux baiser, nos deux langues jouent, dansent, s’entremêlent. La jeune femme passe ses mains sous mon tee-shirt et pétrit mes flancs. Je la saisis par le cul… infiniment tendre sous mes doigts. À la première pause dans notre étreinte, Julia m’interrompt :— Attends, Adam… Attends… On a… Côme et moi… On aimerait te parler.Surpris, je l’interroge :— On ?— Oui, Côme et moi, ensemble. Viens, viens dans sa chambre.J’observe Julia, surpris. Elle me donne la main et m’entraîne. Nous frappons bientôt à la chambre de Côme, au fond du couloir, un étage plus haut. Sans attendre, elle entre et je la suis, légèrement inquiet.La jeune femme me tient encore la main quand nous entrons. Côme est allongé sur un grand lit. Il est torse nu, très viril, superbe, juste habillé d’un boxer, une chaîne en or d’un jaune profond au cou. Il ne semble pas étonné un seul instant de mon arrivée. Julia serre ses mains, joue avec ses doigts. Je sais qu’elle agit toujours de cette façon quand elle est embarrassée. Côme tapote le lit de la main, pour indiquer à la belle de venir s’asseoir à côté de lui tout en lui parlant :— Arrête de stresser Julia, il va accepter.Intrigué, je demande :Julia a rejoint Côme, qui glisse une main dans son dos, lui caresse la nuque. Un geste naturel, habituel, d’affection envers elle, possessif, mais sans défi à mon encontre. Julia respire fort, me regarde et annonce :— Voilà, hier, j’ai tout dit à Côme. Pour nous deux. Je sais qu’il t’en a aussi parlé… Je n’ai pas envie de choisir entre vous deux, je vous aime trop. Alors si tu le souhaites aussi, Adam, j’aimerais qu’on vive quelque chose tous les trois.Elle marque une pause et semble rassembler ses forces. J’admire son visage soucieux, son front où se dessine une ride d’inquiétude ainsi que la pureté de la ligne sensuelle de ses épaules bronzées, uniquement couvertes des bretelles de son top. Je l’interroge :— Et Marc ?— Avec Marc, c’est fini. Je l’adore et on restera amis, mais on se sépare.Je suis amusé, surpris et attiré par cette proposition.— Tu nous veux… Côme et moi… Tous les deux ? Je veux dire, faire l’amour tous les trois ?Rouge comme une pivoine, Julia répond, embarrassée :— Pour le sexe, je m’occuperai de vous deux, l’un après l’autre, peut-être… ensemble, j’aimerais bien… Soit, sûrement… un peu des deux, je pense… Je ne sais pas exactement.Elle enfonce son visage dans ses mains, soudain honteuse de sa déclaration. Je ne résiste pas et je m’approche, l’embrasse sur les mains, sur le front. J’interroge Côme par-dessus l’épaule de Julia :— Et toi, Côme ? T’en penses quoi ? Je n’ai jamais eu ce type de relation, mais je pense pouvoir partager Julia avec toi. Après…Côme se redresse lentement, un grand sourire aux lèvres, abdos saillants. Il est beau comme un dieu, remis de la soirée précédente, sourire carnassier, le regard intense, les yeux pétillants. Il s’approche à son tour, embrasse le haut du dos de la jeune femme puis l’arrière de sa tête et répond :— Après, après… On verra.Embrassée par ses deux hommes, Julia retire enfin la tête de ses mains, surprise par la tournure des événements. Elle se reprend vite et les yeux clos, ses lèvres cherchent ma bouche, où sa langue s’aventure bientôt. Je lape sa salive, m’empare de son goût. Côme lui caresse les flancs et le ventre puis remonte jusqu’à ses seins. Julia interrompt notre baiser, un instant déstabilisée par son intensité, et reprend son souffle avant de proposer :— Peux-tu t’asseoir sur le bord du lit, Adam, s’il te plaît ?J’obtempère avec plaisir. Sans savoir où cette relation à trois nous mènera, je pense que nous avons une idée assez précise de comment elle va débuter. Côme jette deux oreillers par terre et me rejoint sur le bord du lit. Les petits doigts agiles de Julia plongent au contact de ma peau, pour saisir le tissu de mon boxer qu’elle abaisse jusqu’au sol. Puis la jeune femme se glisse entre mes jambes, à genoux, follement sensuelle, sa belle poitrine offerte, peau dorée. Elle me fixe tout en continuant de promener ses mains sur mes cuisses et mon sexe bien dressé. Côme dans le même temps enlève lui-même son short, dévoilant la belle et longue bite que j’ai déjà vue plantée dans Julia, dont la bouche enfiévrée parcourt à présent mon prépuce. Elle enfonce le bout de sa langue dans le surplus de peau pour titiller le haut du gland. La chaleur de sa bouche, sa salive chaude sur ma queue me procurent de délicieuses sensations, tandis que je décalotte entre ses lèvres. Je la sens bientôt parcourir l’extrémité puis toute ma verge, alternant les pressions de ses lèvres et de sa langue. Ayant libéré mon sexe, elle m’annonce toujours ma queue en main, les yeux dans les yeux :— Viens dans ma bouche. Je veux connaître le goût de ton sperme chaud, le sentir dans ma gorge.Entendant cette proposition, Côme arbore un large sourire. Je comprends qu’il a déjà eu ce privilège aujourd’hui, qu’elle l’a déjà sucé ce matin, peut-être dès le réveil, lui paresseux, se laissant faire, jusqu’à lui éjaculer toute sa semence dans la bouche. Ce faisant, la main droite de Julia a trouvé le sexe de Côme et commence à le branler également.Je l’interromps quelques secondes pour qu’elle ôte son top, je n’y tiens plus. Les tétons de sa lourde poitrine pointent déjà. Provocante, elle prend ses seins en main et les serre, me les présente. J’imagine la douceur de sa poitrine contre ma queue. Julia reprend sa fellation. Sa tête dodeline pour permettre à ses lèvres de parcourir toute la longueur de ma verge. Elle caresse dans le même temps mes testicules, les malaxe d’une main avec précaution. La jeune femme prend sa tâche très au sérieux, recalotte mon sexe, me suce avec la peau, me décalotte encore de ses belles lèvres habiles. Elle m’excite le frein, puis repart engloutir mon sexe en gorge profonde. L’opération est efficace. Je souffre d’un pénible plaisir, ma résistance est mise à rude épreuve. Entre deux contractions pendant lesquelles je serre les dents pour ne pas jouir, je lâche :— Putain Julia, tu suces divinement bien, tu vas me faire venir.Elle y va de plus en plus fort, me tète carrément, comme pour aspirer la semence depuis mes bourses, m’arracher le sperme de ma queue. Côme semble moins réagir que moi aux caresses que lui prodigue la belle et pianote sur son téléphone portable. Au bout de quelques minutes, Julia commence à se relever pour s’occuper de Côme plus sérieusement. Mais je l’intercepte au passage, l’embrassant à pleine bouche. Je lui fais savoir :— J’adore que tu sentes l’odeur de ma queue.Un grand sourire aux lèvres, elle répond :— J’aime beaucoup ton goût aussi.Je vois qu’elle veut prodiguer exactement les mêmes soins à Côme, j’imagine pour éviter toute jalousie. Mais il me vient une idée de variante à exécuter.Je tire Julia à moi par le bras et elle se baisse, croyant que je veux de nouveau l’embrasser, mais je continue à la tirer, la faisant basculer sur moi. Son petit ventre plat et chaud est au contact de mes genoux nus. Elle redresse la tête vers moi, me regarde, interloquée. Je lui propose :— Rampe jusqu’à Côme et prends-le dans ta bouche.La jeune femme comprend où je veux en venir et, s’aidant des bras, parcourt les quelques centimètres qui la rapprochent de son deuxième partenaire. Côme a compris aussi, il s’est dressé sur les genoux et Julia engloutit bientôt sa longue bite tendue. Les fesses de la jeune femme sont maintenant juste au-dessus de mes genoux. Côme participe activement et guide la tête de Julia, l’encourageant à l’avaler profondément. Il a une technique bien différente de la passivité dont j’ai fait preuve, avec l’habitude évidente de se faire sucer par la belle. Peu de temps après qu’elle a commencé à le mettre en bouche, il lui maintient la tête et elle l’avale jusqu’à la garde plusieurs fois de suite. Je dois laisser paraître un peu d’inquiétude, car Côme, sans lâcher les cheveux de Julia, me dit :— T’inquiète pas, elle gère, elle adore me prendre au fond de sa gorge.Quand elle s’extrait un moment, recrachant la queue de Côme pour reprendre son souffle, Julia est en effet tout sourire, un filet de bave aux lèvres, fière de le pousser si profondément au fond de sa gorge. Elle admire la salive dont elle a inondé son partenaire.Je décide de revenir dans le jeu. Je trousse sa petite jupe volante qui révèle une culotte très sage, trop sage. Ce que j’ai en tête est plutôt osé, il convient donc de l’en débarrasser. Sentant mes doigts saisir son sous-vêtement, elle lève son bassin pour que je parvienne à la déculotter. Je sens avec délice ses poils pubiens sur mes genoux. Son beau cul rebondi est relevé, ses jambes retombant sur le lit, très belles, croisées. Ma main caresse maintenant ses fesses, profite du velouté de sa peau puis glisse entre ses cuisses serrées, afin d’y trouver sa vulve moite, petites lèvres déjà gonflées, gorgées de sang, excitées. Ses effluves vulvaires me font tourner la tête. Je pousse directement mon majeur dans sa chatte et commence à la doigter. Julia réagit vite, son port de cou s’égare, troublé. Dans le même temps, je demande à Côme :— Tu as du gel intime ?Sans enlever sa queue de la bouche de Julia, qui tant bien que mal, continue à sucer, il se penche vers sa table de chevet et me passe un tube en plastique. Je chauffe au creux de ma main quelques gouttes de gel avant de l’étaler entre les fesses de la jeune femme, avec soin, sur son auréole brune. Alors que j’enfonce mon majeur plus profondément dans son vagin, mon pouce lubrifié commence à s’aventurer dans son anus, progressivement. Je sens d’abord toute la résistance du muscle sur mon doigt. Puis Julia se détend pour accueillir la pénétration anale. Ma première phalange est bientôt dedans, la seconde s’immisce également. Côme râle, yeux exorbités, excité par à la fois ce que je fais, la vue du cul relevé et la fellation de Julia. Sa verge et ses couilles sont couvertes de salive. Il est très beau, muscles tendus, abdos saillants, tête renversée. La jeune femme s’est plusieurs fois arrêtée de le sucer pour se retourner vers moi, alternant les regards inquiets et fiévreux. J’ai deux doigts en elle, je la caresse, l’excite, par les deux orifices, pénétrés. Sa cyprine coule sur mon genou droit qui est collé à sa vulve. Elle repousse brusquement Côme et ce dernier atterrit sur le cul, sa longue bite raide au gland violacé en l’air, les yeux fous, une grimace au visage. Julia porte sa main à la mienne qui la pénètre toujours, tout en geignant :— Adam, tu m’excites trop, j’ai les seins qui me font mal, le bas du ventre crispé. Je veux vous sentir en moi, tous les deux, maintenant.Je la libère et Julia se glisse sur le bord du lit, sur les avant-bras et les tibias, le cul en arrière, orifices offerts. Côme prend son lourd et long sexe en main, le branle comme pour se maintenir et me propose :— Vas-y, commence, prends-la, fais-la jouir.Je me positionne derrière la jeune femme, pieds au sol, debout. Dans cette position, la pénétration va être étroite, elle va bien me sentir l’enfoncer. Son cul est rebondi, magnifique. Je le caresse, pour profiter encore une fois de sa douceur et éprouver sa fermeté. Je réponds à son appel, je n’en peux plus. Je guide bientôt mon sexe le long de la raie de ses fesses, jusqu’au bas de ses grandes lèvres, puis trouve les petites largement ouvertes, charnues, brûlantes, et pousse ma queue à travers pour envahir son vagin. Il est tendre et humide, presque huileux. En poussant, j’écarte encore ses chairs serrées. En deux va-et-vient, mes bourses tapent déjà contre son cul. Julia respire fort, déguste, laisse échapper :— Oh, Adam, ta bite est énorme… Oh, c’est bon.Je m’arrête un instant, et me baissant sur elle, contre son dos dessiné, glisse mes mains jusqu’à ses seins pour lui saisir les tétons. Elle n’a pas menti, ils sont durs, torturés d’envie, trônent au milieu d’aréoles turgescentes. Je les caresse, les pince, joue avec, pour les exciter encore. Puis je me recule pour continuer à la prendre. La vue de son cul ouvert, offert, est irrésistible et j’y replonge le doigt. Le souvenir de la nuit où je les ai surpris me revient d’un coup. Ma première pensée avait été que Côme l’enculait, ses coups de boutoir projetant Julia contre le freezer auquel elle s’agrippait, littéralement empalée par le fondement.Je reviens sur terre et le gaillard est maintenant debout à côté de moi, à attendre son tour. Vu que je ne m’arrête pas et le fixe en souriant, il finit par me faire signe de lui laisser Julia. Vu l’état de manque évident dans lequel il est, je n’ai pas de raison de le faire attendre plus longtemps. Dans un trio, des concessions sont à faire, malheureusement. Je m’extirpe donc et m’écarte, pour récupérer. Il embroche la jeune femme immédiatement, en habitué. Rapidement, après quelques va-et-vient, Julia crie :— Oh ! Ah ! Côme, tu es énorme !Je suis un peu jaloux de la jouissance que lui procure le calibre de Côme. De nouveau désireux, je m’assois à côté de la jeune femme, mon sexe à portée de sa bouche. Sans attendre, elle tourne la tête, l’enfourne dans sa bouche et me suce, fort. Je ne m’attendais pas à une telle avidité. Ses lèvres, sa bouche m’aspirent, sa langue me titille, comme pour me faire jouir et m’arracher ma semence. Je ressens chaque poussée de Côme en elle, chaque fois qu’il la percute. Je regretterai peut-être un jour de la partager, mais pas à cause d’un moment comme celui-là. Je me restreins au maximum, mais je ne peux m’empêcher de perdre un peu de sperme dans sa jolie bouche experte, ce qu’elle ne semble pas remarquer. Elle me torture de sa main droite qui caresse langoureusement mes bourses. Par contre, elle frémit quand Côme – qui vient de l’enduire de nouveau – lui glisse le majeur, puis quelques instants plus tard l’index, dans l’anus. Je m’extirpe de sa bouche quand Côme accélère encore. J’ai failli jouir.Ils sont beaux dans l’effort, la chaîne en or de Côme saute et brille à son cou, en résonance avec les beaux seins de Julia tressaillant en rythme. Il la soulève nettement à chaque poussée. Quelques minutes à ce régime avec la longue bite de Côme dans le vagin, deux doigts dans le cul, et la jeune femme finit par jouir, en bredouillant, le corps parcouru pendant quelques secondes de frémissements. Elle est belle, momentanément brisée. Côme s’extrait enfin, sa longue bite toujours bandée, insatisfaite, et me dit avec un sourire :Et il s’éloigne, saisissant une serviette pour s’essuyer. Julia, encore saoule de son orgasme, me sent collé à son cul, et m’attrape à la cuisse, me tâte. Elle me lance enfin d’une voix paresseuse :— Adam, j’ai envie, vas-y très doucement par le cul, je ne te connais pas encore par là.Toujours dans la même position, je n’ai qu’à écarter légèrement ses belles fesses pour redécouvrir son bel anus brun. Après l’avoir enduit, je pousse mon sexe dedans, décalotté immédiatement sous la pression. Mon gland joue aussi de son élasticité, s’enfonce doucement. Je sens que Julia fait un effort pour se détendre, pour m’avaler, recevant un calibre plus large que les deux doigts qui m’ont précédé. Je procède doucement, interroge la jeune fille pour qu’elle me confirme que tout se passe bien. De toute évidence, elle pratique régulièrement. Et la queue de Côme est plus grosse que la mienne, elle est donc capable de m’accueillir sans risque. Son visage posé sur un oreiller, tourné vers moi, elle est attentive aux sensations que je lui procure, bouche entrouverte. Une fois à moitié enfoncé, je ressors pour enduire davantage mon sexe de gel lubrifiant. Je suis rapidement de retour dans son rectum, où je progresse mieux, aidé par la lubrification.J’ai du mal à y croire, je suis dans le cul de Julia, presque au fond, ce cul qui me provoquait insolemment le jour précédent. Je fantasmais alors, persuadé que je n’aurai que ma main comme amante cette journée-là. La jeune femme absorbe ma bite dans son anus, m’encourage à continuer :— Comme ça, comme ça, bien, doucement…Julia a légèrement écarté les cuisses pour passer un bras sous son ventre jusqu’à sa vulve et elle se touche pendant que je l’encule. La seule marque de bronzage sur sa peau apparaît à sa taille, au niveau du haut du string qu’elle portait ce matin. Sa peau exhale un parfum chaud, peut-être de l’huile de monoï, qui m’enivre. Son anus rougi est bien dilaté par le passage de ma queue. J’écarte largement la raie de ses fesses pour profiter du spectacle. Être dans son rectum me procure des sensations sensuelles, inhabituelles. Je suis maintenant au fond, mes bourses en contact avec ses petites lèvres dégoulinantes. J’ai les mains sur ses hanches, je la tiens fermement. La vue de ma bite dans son cul, la baiser pour la seconde fois en deux jours, et aujourd’hui en trio avec mon meilleur ami, son amant régulier… Toutes ses pensées me font jouir. Je n’y tiens plus et d’un coup je sens mon sperme jaillir de mes couilles, parcourir toute ma verge et se vider dans son cul en plusieurs longues éjaculations. Julia s’exclame :— Ah… Adam… Tu viens enfin, c’est bon, je sens ta bite qui se contracte, ta semence chaude qui me remplit.Mon orgasme est violent, la tête me tourne de manière inattendue et je suis heureux de m’agripper à la jeune femme par les hanches, mes pieds un instant en coton.Je me vide en elle, parcouru par des spasmes de bonheur, et Julia m’observe, souriante, m’ayant offert de la découvrir de la plus intime des façons. Après avoir joui, je la libère, encore fébrile, à peine capable de tenir sur mes pieds. Toujours debout face au lit, à la recherche de fraîcheur, je recule un peu et m’écrase dans un fauteuil club au cuir patiné, proche de l’ouverture du balcon de la chambre. Assis là, nu, jambes et bras écartés, je suis groggy. Au-dessus de ma tête, le plafond tangue. Je reprends conscience de la chaleur de cette journée quand un courant d’air pénètre dans la pièce. À travers les rideaux entrouverts, j’observe un instant le ciel, sans un nuage aujourd’hui, et le paysage écrasé par ce soleil ardent d’été. La côte abrupte descend vers la mer azurée qui semble s’étendre à l’infini. J’ai très sommeil, mes paupières lourdes se ferment sur la vue de la Julia déjà remise, rejoignant Côme, couché sur le lit, une main tendue vers elle.