Résumé de l’épisode précédent : Maxime et moi avons vécu quelques aventures libertines ces derniers mois, et nous sommes bien décidés à continuer.Il faisait si froid ce soir-là, quand je sortis de mon bureau, que le trajet entre l’immeuble et ma voiture avait suffi à m’engourdir les doigts. C’est à ce moment que mon portable se mit à sonner, et j’eus quelques difficultés à extirper l’appareil de ma poche pour prendre l’appel. C’était Lucia qui voulait m’annoncer qu’elle avait rompu avec Benjamin.— J’espère que ce n’est pas à cause de ce qui s’est passé avec Maxime et moi, lui dis-je.— Oh non, rien à voir. Je vais pas t’assommer avec des détails, mais en gros, on avait en fait pas tellement d’atomes crochus. Je crois que c’est moi qui me suis emballée trop vite.— Tu n’es pas trop triste, j’espère ? Si tu veux, tu peux venir prendre un verre à la maison. Si tu as besoin de parler, on est là.— C’est gentil, mais pour ce soir ça va aller. Par contre, je compte bien qu’on se revoie bientôt.— J’espère que t’en as autant envie que moi… et Maxime, bien sûr.— Oh, ça oui ! On dit à bientôt, alors ?Lucia confirmait ce que j’avais déduit, en creux, de sa rupture : elle lui permettait de reprendre contact avec nous. En fait de « contact », c’est entre peaux pleines de désir que je l’imaginais. Le ton de Lucia au téléphone m’avait donné à penser qu’elle ne souffrait pas exagérément, ce qui m’autorisait, de mon côté, à me réjouir de cette rupture sans me trouver trop égoïste.Quelques jours plus tard, la veille de mon anniversaire, Maxime m’a invitée au restaurant. Il a choisi un endroit un peu haut de gamme mais pas guindé. La cuisine y est originale et le cadre, assez intimiste. Nous avons passé une bonne soirée dans une ambiance feutrée. Il faisait à nouveau très froid lorsque nous sommes sortis du restaurant, et dès que nous sommes rentrés à la maison, nous avons préparé du thé pour nous réchauffer, confortablement installés dans le canapé. Maxime m’a offert un très joli bijou, simple et élégant, comme je les aime. Je l’ai embrassé tendrement, et nous sommes restés longuement enlacés, goûtant la volupté de cette fin de soirée.Au bout d’un long moment, je me suis levée pour refaire du thé. À mon retour, nous nous sommes installés dans la longueur du canapé, Maxime derrière moi, me servant de dossier. Il commença bientôt à me caresser les seins, ce qui était un peu ce que j’espérais en m’installant de la sorte. Comme je le laissais faire en soupirant d’aise, il se donna plus de commodité en ouvrant mon chemisier, ses mains s’insinuant contre ma peau sous le fin tissu de mon soutien-gorge. Je profitais de la caresse en minaudant.Soudain, mon téléphone m’avertit que j’ai un SMS, immédiatement suivi d’un deuxième. Intriguée, j’attrape le portable sur la table basse, sans que cela interrompe les caresses de Maxime. Lorsque j’allume l’appareil, je vois tout d’abord que minuit vient tout juste de passer, puis que les deux personnes qui m’écrivent pour me souhaiter mon anniversaire dès la première seconde du jour J sont Guillaume et Lucia. Sans se concerter puisqu’ils ne se connaissent pas, ils ont eu la même idée ! Ils me disent aussi tous les deux d’embrasser Maxime. Je lui montre les messages, et réponds simultanément aux deux pour les remercier. J’ajoute qu’à propos de Maxime, on dirait bien qu’il est décidé à me faire ma fête. Pour appuyer mes dires, je joins une photo de mon soutien-gorge dans lequel on voit disparaître la main de Maxime. Lorsque je me penche afin de reposer le téléphone, Maxime en profite pour m’enlever mon chemisier et mon soutien-gorge. À demi nue, je me replace contre son torse, mais de côté, de façon à pouvoir accéder à sa braguette, que j’ouvre. Je fais sortir sa bite et commence à le branler doucement. J’ai à peine commencé que le téléphone vibre à nouveau. Tout en continuant de caresser mon homme, je lis le message : en réponse à mon MMS, Lucia envoie une photo de son propre soutien-gorge, où elle a glissé sa main. Le texte sous la photo dit « J’adore ! ». Je la montre à Maxime, lorsqu’un autre MMS arrive : Guillaume envoie une photo de son caleçon, manifestement déformé par son sexe presque en érection. Il commente : « Je pense fort à vous ». Pour ne pas être en reste, je retire à Maxime son pantalon et son caleçon, et j’envoie à Lucia et Guillaume une photo de la bite de Maxime, bien raide dans ma main. Je ne prends pas la peine de commenter, j’estime que l’image parle d’elle-même. Tout en nous caressant et nous embrassant, Maxime et moi finissons de nous déshabiller mutuellement. Nue, je suis à nouveau allongée sur Maxime, qui a pris possession de mon sexe avec sa main. Un nouveau MMS arrive, et tandis que Maxime me caresse de plus en plus délicieusement, j’ouvre l’image : on y voit la bite de Guillaume, en érection. Je passe le téléphone à Maxime, et commence à sucer son sexe, qui n’est pas moins érigé que celui de la photo. Un nouveau MMS arrive. Maxime l’ouvre, le regarde et me le montre en souriant : on y voit le corps de Lucia. Seins nus et en culotte, elle pose avec une main lascivement posée sur le ventre. Je reprends ma fellation, et Maxime me photographie ainsi, sa bite dans la bouche. Notre excitation est exacerbée par cet exhibitionnisme téléphonique. Il envoie la photo, puis reprend ses caresses sur mon sexe. Je prends à mon tour une photo de la main de Maxime sur ma toison. J’envoie aussi cette image, et nous poursuivons nos caresses, nous laissant gagner par le plaisir. Lorsque je nous sens bien échaudés, je change de position, et viens m’asseoir sur la bite de Maxime, dont je me pénètre. Je l’enfonce bien loin dans mon vagin, et prends le temps de bien le sentir en moi. Puis je me redresse un peu, et fais sortir à moitié la verge avant de déclencher une nouvelle fois l’appareil photo. Je redescends alors pour absorber tout le sexe de Maxime, et entreprends de lents mouvements du bassin. Je fais croître par paliers mon plaisir et celui de mon partenaire. Un nouveau MMS de Guillaume nous montre sa main enserrant sa verge, il est visiblement en train de se branler. Quant à Lucia, la photo est presque la même que la précédente, sauf que cette fois sa main est dans sa culotte. J’envoie la photo de notre pénétration que j’avais prise il y a quelques instants. Maxime me fait changer de position : je m’installe à quatre pattes sur le canapé, et il me prend en levrette. Je ne manque pas de photographier un nouveau gros plan, vu du dessous. J’envoie le MMS tandis que Maxime s’active en moi. L’idée qu’en ce moment même, nos amis se masturbent en pensant à nous amplifie notre excitation. Nous commençons à jouir très fort. Nos gémissements se répondent en crescendo. Deux MMS arrivent, mais nous ne les regardons pas immédiatement, absorbés que nous sommes par notre jouissance. Nous prolongeons notre action jusqu’au moment où un bel orgasme nous unit. La seconde d’après, nous regardons les photos qui viennent d’arriver : Guillaume, sexe encore gros dans la main, a du sperme sur le ventre ; Lucia, dont la culotte a disparu, a deux doigts bien enfoncés dans la chatte, qu’on devine trempée. Maxime et moi prenons un selfie alors que nos lèvres sont soudées en un langoureux baiser, et l’envoyons en commentant : « C’était super, merci ! Gros bisous et bonne nuit ». Nous montons nous coucher, et nous nous endormons rapidement, enlacés.************Le lendemain matin, je me réveille avec en tête une idée qui me semble évidente. J’en fais part à Maxime :— Est-ce que c’est pas absurde que Lucia et Guillaume ne se connaissent pas ?— Maintenant que tu me le dis, oui, ça semble idiot.— Si on les invitait pour s’amuser tous les quatre ?La proposition est immédiatement acceptée, et quelques coups de téléphone plus tard, nous avons un rendez-vous pour le week-end prochain.Le samedi soir venu, Guillaume arrive le premier, mais nous nous abstenons de toute activité intime avant l’arrivée de Lucia. Son coup de sonnette ne tarde pas, et je vais l’accueillir à la porte. Nous nous embrassons à pleine bouche, et Lucia me serre dans ses bras. Elle me murmure à l’oreille : « Tu m’as manqué ». Je souris, l’embrasse à nouveau, puis nous passons au salon. Nous procédons aux présentations et prenons un verre. Guillaume et Lucia sympathisent, et on pourrait se croire dans une simple et agréable soirée entre amis. Lorsque Maxime passe près de moi, je m’attends à ce qu’il pose sur mon sein ou ma fesse une main baladeuse, qui déclencherait une réaction en chaîne, en incitant Guillaume et Lucia à se peloter à leur tour. Ou bien, s’il trouve cette méthode de rapprochement entre nos amis trop brutale, il pourrait enlacer Lucia, me laissant le soin d’entreprendre Guillaume. La suite viendrait d’elle-même. Mais il ne fait rien de tout ça. Je me demanderais presque si je suis la seule à m’attendre à ce que notre réunion débouche sur de torrides ébats. Je finis par saisir l’occasion d’un blanc dans la conversation pour me lever et me diriger vers Lucia, en déclarant, m’adressant aux hommes :— Je sais pas vous, mais moi j’irais bien approfondir un peu cette conversation. Dans la chambre, par exemple.Lucia me sourit, comme si elle n’attendait que ça. Je lui prends la main, et je l’entraîne dans la chambre. Je ne suis pas surprise de voir que les hommes suivent. Lucia et moi nous enlaçons et, avides l’une de l’autre, nous déshabillons mutuellement. Guillaume et Maxime semblent un peu intimidés au début, mais l’excitation prend le dessus, et ils commencent aussi à se déshabiller. Au début, chacun ôte ses propres vêtements, mais dès que Guillaume est en caleçon, Maxime prend l’initiative de caresser son sexe à travers le tissu. Tandis que Lucia et moi redécouvrons nos corps qui sont restés séparés de longues semaines, Maxime et Guillaume finissent de se déshabiller réciproquement tout en se caressant l’un l’autre. Je me laisse emporter par la grisante sensation de serrer entre mes bras une femme nue, et quelle femme ! J’avais presque oublié combien sa peau était douce et parfumée, combien ses caresses pouvaient me transporter. Jetant un œil de côté, je vois qu’auprès du lit Guillaume s’agenouille devant Maxime et prend son sexe en bouche. Maxime ne boude pas son plaisir, mais il profite du regard que je lui adresse entre deux baisers sur les seins de Lucia, pour me faire comprendre par signes que nous devrions peut-être laisser nos invités faire connaissance. Il a raison, mais c’est avec regret que je délaisse Lucia, tandis que les hommes s’approchent du lit. Je me love contre Maxime, et Guillaume vient enlacer Lucia. Échaudée par les caresses que nous venons d’échanger, elle embrasse et caresse le corps de Guillaume, lequel ne manque pas de lui rendre la pareille. Maxime et moi, spectateurs complices de cette découverte mutuelle, regardons le plaisir envahir nos amis. Après quelques minutes, l’attention de Guillaume se concentre sur le sexe de Lucia, qu’il se met à lécher avec ferveur. Sa cavalière se tord de plaisir en gémissant. Maxime et moi lui caressons les seins et le ventre. Lucia jouit de plus en plus fort et se met à crier de plaisir lorsque Guillaume complète sa caresse buccale en introduisant un doigt dans son vagin. Je sens sous mes mains, sa respiration qui s’amplifie. Maxime lui pince les seins. Guillaume la pénètre de deux doigts tout en lui léchant le clitoris. Elle part dans un orgasme puissant.Maxime et moi la laissons reprendre ses esprits, et, assis sur le lit côte à côte, commençons à nous caresser mutuellement. Lucia, ne voulant pas être en reste, fait allonger Guillaume sur le dos. Elle vient au-dessus de lui et le branle entre ses seins. Maxime et moi, chacun masturbant l’autre, regardons Lucia qui fait durcir la bite de Guillaume en allant et venant sur lui. Lorsqu’elle le prend entre ses lèvres, Guillaume ne peut retenir un « ah » de plaisir. Le spectacle est excitant, je sens s’agiter dans mes mains le sexe de Maxime tandis que j’inonde ses doigts qui me branlent. La fellation de Lucia dure jusqu’au moment où Guillaume s’écrie qu’il va jouir. Mais elle ne se laisse pas démonter et continue à le sucer jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche. Lucia garde un moment le sexe en bouche tandis qu’il dégonfle lentement. J’ai presque envie d’applaudir, mais mes mains sont occupées. En tout cas, on peut dire que la glace est rompue, et que nous avons rempli notre rôle d’hôtes : nos amis ont fait connaissance. Lucia, après avoir échangé un long baiser avec Guillaume, le délaisse pour s’approcher de moi, qui suis toute tremblante de plaisir sous les caresses de mon mari qui bande fort dans ma main. Mais celui-ci, amusé, s’écarte et laisse Lucia m’enlacer. Il n’est cependant pas abandonné car immédiatement Guillaume l’attire à lui pour sucer son sexe magnifiquement dressé. Lucia me murmure à l’oreille :— Ce Guillaume, j’ai bien envie de savoir s’il baise aussi bien qu’il lèche.Je ris et la fais basculer sur le lit. Nous nous retrouvons en soixante-neuf. Elle est allongée sous moi, et se cabre en rythme avec mes coups de langue. Je jouis autant de lécher son sexe parfumé que de sentir sa langue parcourir ma vulve. Les hommes ne tardent pas à se retrouver dans la même position, et Guillaume a tôt fait de rebander dans la bouche de Maxime. Ils se séparent alors, et s’approchent de nous, chacun d’un côté. Tandis que Guillaume caresse mes fesses et introduit deux doigts dans mon vagin, Maxime, à genoux, soulève les fesses de Lucia, qu’il pose sur ses cuisses, et entreprend de frotter leurs sexes l’un contre l’autre. J’ai sous les yeux la bite de mon mari qui va et vient le long des lèvres de Lucia. Au gré de ses mouvements, je lèche clitoris et gland, tout en jouissant des coups de langue de Lucia, que complètent les doigts de Guillaume. Doigts qui ne tardent pas à être remplacés par une queue bien raide, m’arrachant un petit cri de ravissement. Je me redresse un peu, pose mes mains sur le sexe de Lucia, et écarte ses lèvres. Maxime la pénètre, tandis que Guillaume entre profondément en moi. Je suis déjà au bord de l’orgasme, mais Guillaume et Lucia s’entendent à merveille pour faire durer mon plaisir. Lucia caresse mes seins tout en me léchant à petits coups de langue, en rythme avec les amples mouvements de Guillaume dans mon vagin. Je sens sous ma langue les lèvres de Lucia qui vibrent alors que le sexe de mon mari la pénètre de plus en plus fort. Mon excitation se traduit en de longs frissons que je ne peux plus retenir. Guillaume sent que mon plaisir atteint son point culminant et se met à me pilonner avec force. La langue de Lucia tournoie sur mon clitoris. Je n’en peux plus, je crie de plaisir en un long orgasme.Toute à ma jouissance, j’ai un peu délaissé Lucia, qui semble s’en accommoder, car Maxime continue de la baiser avec fougue. Guillaume laisse sa bite toujours raide enfoncée en moi tandis que je récupère. Lorsque ma langue revient se poser sur le clitoris de Lucia, elle est accueillie par un frémissement qui vient moduler les mouvements cadencés de la pénétration de Maxime. Je me cabre pour faire sortir Guillaume de mon vagin, et sans cesser de lécher Lucia, je quitte ma position haute pour m’allonger auprès d’elle. Je devine sans le voir que ce qui se passe derrière moi est exactement ce que je voulais : Lucia, jouissant sous les coups de boutoir de mon mari, suce maintenant Guillaume, ce qui assourdit ses cris de plaisir. Mais avant qu’elle ait atteint l’orgasme, je sens que mon mari approche du moment où il ne va plus pouvoir se retenir. Je prends l’initiative de les séparer. Aussitôt, Lucia se retourne, et se met à quatre pattes, présentant sa croupe à Guillaume. Celui-ci n’hésite pas un instant et la pénètre en levrette. J’estime que Maxime a bien mérité d’aller au bout de son plaisir, alors je prends sa verge en bouche, me délectant du goût du sexe de Lucia qui la parfume. Lorsque Lucia se met à crier de plus en plus fort sous les coups de boutoir de Guillaume, j’active ma succion sur la bite de Maxime, qui bientôt n’en peut plus et jouit dans ma bouche en tremblant de plaisir. Lucia s’agite frénétiquement et se laisse emporter par l’orgasme. Mais presque immédiatement, elle fait sortir la bite de Guillaume de son vagin, et d’une main, la guide vers son anus, tout en écartant impudiquement ses fesses de son autre main. Le message est clair, et Guillaume s’exécute : il pose ses mains sur la croupe de Lucia et pénètre dans son cul. Elle crie « Oh ouiiii ! » La situation a un effet immédiat sur Maxime, qui rebande rapidement, et moi-même je me sens tout excitée. Il faut dire que Lucia, dès l’entrée de Guillaume, s’est mise à jouir en haletant. La scène est vraiment plaisante à voir. Je fais allonger Maxime sur le dos, à côté de Lucia, en position tête-bêche. Tandis qu’il tend une main pour caresser ses seins qui ballottent au gré de la sodomie, je viens l’enfourcher, me pénétrant de son sexe déjà bien raide. Le plaisir de Lucia monte rapidement vers les sommets. Alors que je chevauche mon mari, celui-ci fait glisser sa main des seins de Lucia vers son sexe, qu’il se met à branler. Lucia crie sans retenue. Je ne l’avais jamais vue dans un tel état. Guillaume n’a pas grand-chose à faire, la simple présence de sa bite dans le cul de Lucia suffit. Je me demande même si la masturbation de Maxime n’est pas superflue. En revanche, je ne manque pas de poser un doigt sur mon propre clitoris, en complément de la pénétration de mon mari, qui se cabre délicieusement sous moi. Lucia, dont le visage exprime la plénitude dans le plaisir, jouit de plus en plus fort. Guillaume se met à gémir à son tour lorsque Lucia crie son orgasme, gigantesque. Entre deux râles de plaisir, elle crie à Guillaume :— Continue ! Je veux te sentir jaillir dans mon cul !Guillaume continue donc à la pilonner, de plus en plus fort. Tout en jouissant des soubresauts de Maxime et de ma propre masturbation, je contemple le spectacle. Guillaume finit par se crisper en s’enfonçant profondément en Lucia. Celle-ci émet une longue plainte de plaisir tandis que Guillaume éjacule en deux ou trois spasmes. Maxime, au plus fort de l’excitation, pose ses deux mains sur mes hanches et me fait monter et descendre de plus en plus vite sur son sexe. Une main sur un sein, l’autre sur mon clitoris, je gémis de plaisir. Finalement, comme en hommage à Guillaume et Lucia, nous jouissons à l’unisson. Lorsque je sens le sexe de Maxime se tendre et jaillir au fond de moi, mon propre orgasme l’accueille avec délectation.Nous restons tous un long moment alanguis sur le lit avant de regagner le salon pour finir la soirée en devisant, détendus et complices. Nos invités partis, Maxime et moi tombons d’accord pour conclure que pour une prise de contact, Lucia et Guillaume ont bien joué le jeu.— Qui sait ? me dit Maxime, ils vont peut-être même se mettre ensemble ?— C’est vrai qu’au moins pour ce qui est du sexe, ils ont l’air de bien s’entendre ! L’avenir nous dira si ta prophétie se réalise.