Lætitia se dirige vers la salle de bain pour prendre une douche réparatrice, je la rejoins dans la cabine et lui savonne le dos. Très vite le savonnage devient un jeu érotique où les caresses deviennent de plus en plus précises.— Allons dans la chambre, nous aurons plus de place, Éric.— Oui, j’ai encore envie de toi.— Je le vois bien mon bébé.Nous nous allongeons sur le lit, ma femme vient poser sa tête sur mon torse et me suce les tétons et les mordille.— J’ai un peu honte de moi.— Pourquoi dis-tu cela ?— Que vas-tu penser de moi, je me suis faite prendre par un inconnu et devant toi ?— Tu étais merveilleuse, totalement libérée sans aucune entrave. Tu as eu du plaisir non ?— Oui, mais j’ai peur que tu me regardes différemment maintenant ?— Je te le demandai depuis un moment, de faire l’amour avec un autre homme, car j’étais persuadé que tu aurais du plaisir et on pourrait ainsi pigmenter notre vie de couple.— Oui j’ai pris beaucoup de plaisir ce soir, mais je suis troublée et pas très fière.— Il ne faut pas. Tu aimerais recommencer ou pas ?— Oui, mais j’aimerais réaliser d’autres phantasmes.— Lesquelles ?— Plus tard, fais-moi l’amour.Nous avons fait l’amour comme des collégiens avec beaucoup de tendresse, c’était vraiment super, totalement à l’opposé de notre trio de cette nuit. Nous nous sommes endormis enlacés.Je me suis réveillé le premier, direction la boulangerie pour les croissants, je croise notre fils qui me dit :— Papa je ne mange pas avec vous, on part faire du surf toute la journée avec Max.— Vous y allez seuls ?— Non, nous sommes une dizaine, que des potes de Max. Pour mon bac de Français tu m’avais promis un cadeau non ?— Oui, c’est vrai, que veux-tu, tu as une idée ?— Oui, il y a un magasin qui fait des promos sur les planches, si tu as un peu de temps on pourrait faire un saut maintenant ?— Tu crois que c’est ouvert ?— Oui, il est 11h30.— Ok je prends la clé de la voiture.— Cool ! je vais chercher Max.Nous arrivons à la boutique Florian, choisissons sa planche avec l’aide d’un vendeur et de Max. Quand je vis arriver Pierre, je fus surpris.— Bonjour Éric, comment vas-tu ?— Très bien et toi ?— Un peu fatigué, que fais-tu ici ?— J’achète une planche de surf pour mon fils cadet, il a eu son bac de Français et pour le récompenser de ses efforts je lui offre un cadeau. Et toi ?— Je suis le propriétaire du magasin.Je paye la planche et Florian m’annonce qu’il part directement à la plage avec ses amis.— Je passe à la maison prendre ma combinaison, je préviens maman que tu arrives. Bonne journée papa.— Tu as 5 minutes Éric, on pourraient boire l’apéritif ?— Oui, si tu veux, Lætitia doit encore dormir. Alors, quelle est la surprise que tu aimerais faire à Lætitia, pourrais-tu m’en parler ?— Un de ses phantasmes, nous en avons parlé sur la plage pendant ton absence.— Apparemment elle ne veut pas m’en parler !— Écoute c’est gênant pour moi, tu lui en parles et si tu es d’accord pour le réaliser, vous vous rendez au même endroit sur la plage d’hier. Je passerai vers les 18h et si vous n’êtes pas présent je le comprendrai.— Tu ne veux vraiment pas m’en parler ?— Non.— Ok, bon je vais y aller, peut-être à tout à l’heure.Je m’arrête sur le marché pour prendre du pain et un bouquet de fleurs pour ma petite femme. Arrivé à la maison, je vois que Lætitia est réveillée, la table est mise, elle se prélasse dans l’eau de la petite piscine. Je pose les fleurs sur la table de la terrasse et rejoins ma belle.— Tu as bien dormi ?— Oui très bien.— Tu veux que je prépare le repas, je pourrais faire une salade niçoise ?— Oui super, tu as besoin d’aide ?— Non, continue à lézarder.Je prépare la salade, quand elle arrive dans la cuisine et m’embrasse pour les fleurs.— Merci pour le bouquet.— Elles sont jolies, non ?— Oui, pour quelle occasion ce bouquet ?— Pour te prouver que je t’aime toujours très fort. Allez, on passe à table.— Oui.— J’ai rencontré Pierre ce matin.— Ah oui !!— Dans le magasin de surf, Florian t’a expliqué ?— Oui, enfin vaguement, « bonjour je vais à la plage, merci pour la planche maman. Papa est resté il discute avec le propriétaire du magasin. Bon allez je me sauve, il est possible que l’on mange sur la plage ce soir, je vous envoie un SMS si je rentre tard, bisous. »— C’est tout Florian, non ?— Oui. Donc tu as vu Pierre.— Il m’a parlé d’un de tes phantasmes, enfin pas exactement.— Que veux-tu dire ?— Il a refusé d’en parler, mais il se propose de le réaliser si tu le veux toujours.— Oui j’aimerais bien.— Tu m’en parles un peu ?— Non. Ce sera une surprise, et puis j’ai honte de te le demander.Nous rangeons les assiettes dans le lave-vaisselle et prenons la direction de la fameuse plage. La journée est calme et très ensoleillée, Lætitia est totalement nue et m’a demandé de faire de même, nous avons alterné bronzage et bain rafraichissant dans l’océan. Il est 18h et Pierre n’est toujours pas arrivé, Lætitia regarde souvent sa montre et montre de l’inquiétude.— Qu’y a-t-il mon bébé ?— Rien…— Tu regardes toutes les 5 minutes ta montre.— Ah bon ?— Bonjour, vous avez passé une bonne journée ?— Bonjour Pierre, dit Lætitia.Elle se lève et embrasse Pierre sur la bouche. Son regard se dirige vers ma gauche. Je me retourne et aperçois un homme se dirigeant vers nous, il est nu. Que veut-il ? la plage est grande et il n’y plus personne sur un périmètre de plus de 1000 mètres. Pierre me rejoint, il est nu, il fait signe avec ses bras pour diriger l’inconnu. Il arrive sur nous, Lætitia se lève aussi comme pour l’accueillir, alors le fameux phantasme était d’avoir 3 hommes pour elle ? Il est plus jeune que nous, je dirais moins de trente ans, blond, un mètre soixante-quinze, un visage assez fin.— Je vous présente Philippe un ami, Lætitia et Éric son mari.— Enchanté.— Nous allons nous baigner pour nous rafraichir, vous nous accompagnez, nous demande Pierre ?— Éric, on les suit ?— Si tu veux c’est toi qui décide, non ? Et puis c’est bien ton phantasme ?— Ne gâche pas tout, s’il te plaît. Si tu veux, tu peux partir, je rentrerai avec Pierre et Philippe.— Ton phantasme était d’être avec trois hommes ?— Non pas vraiment, bon je vais me baigner, tu viens ou tu parts ? Tu disais qu’il fallait que je réalise mes phantasmes pour mieux m’épanouir. Alors maintenant je vais essayer de les concrétiser, de préférence avec toi, mais si tu ne viens pas, je vais le faire sans toi.Elle se lève et prend la direction de l’océan. Je suis là debout comme un con, rester ou partir, cruelle décision. Mon téléphone sonne et me tire de ma désillusion, c’est Florian qui m’annonce qu’il rentrera tard, il participe à un feu de bois ce soir sur la plage. Je n’ai pas le choix et me dirige vers le groupe. Arrivé au bord de l’eau, Lætitia, Pierre et Philippe se dirigent vers moi, visiblement ils ont terminé leur baignade.— Nous allions te chercher mon bébé, si tu veux nous repartons nous baigner, elle est encore chaude malgré l’heure !— Oui, si tu veux, cela me fera du bien, je crois, que leur as-tu fais ?— Je ne comprends pas ?— Regarde, ils bandent comme des ânes.— Nous avons joué dans l’eau et ils m’ont caressée un peu partout.Nous sommes dans l’océan et Lætitia se rapproche de moi, m’enlace et m’embrasse.— Tu te souviens, l’un de tes phantasmes était de me voir faire l’amour avec une autre femme et de nous posséder toute les deux.— Oui mais tu n’as jamais voulu. Pourtant tu as déjà eu des relations bisexuelles d’après tes dires, non ?— Oui, avec une amie rencontrée au Gymnase Club, tu aimais que je te raconte nos attouchements et plus.— Oui bien sûr.— Eh bien, voila, j’aimerasi que toi aussi, tu fasses la découverte d’une nouvelle expérience aujourd’hui.— Ah oui, laquelle ?— J’aimerais que tu découvres la bisexualité masculine.— Tu es malade, non ? Je ne suis pas un pédé !— Écoute-moi au lieu de t’énerver.Pierre et son ami quittent l’océan et vont directement vers la plage, ils ont dû entendre notre conversation et préfèrent nous laisser seuls.— Tu es content, ils s’en vont… Pour toi, c’est naturel que je baise avec un inconnu, que tu me demandes de faire l’amour avec une femme. Par contre quand je te demande de réaliser un de mes phantasmes, avec toi c’est non directement.— Tu n’as pas eu du plaisir peut-être ?— Justement pourquoi n’en aurais-tu pas toi, du plaisir ? Bon maintenant, ou tu m’écoutes, ou je pars avec eux pour la soirée, allez je pars vers les serviettes de plage avant qu’ils quittent la plage viens, nous discuterons en chemin.— Tu veux vraiment partir avec eux, ce n’était pas la peine de me demander d’avoir des relations bi, il suffisait de me le demander et j’aurais peut-être accepté ?— Tu comprends rien, Éric, j’aimerais que tu essaies, c’est pas compliqué et je t’accompagnerais dans ta quête de plaisir un peu comme tu as fait hier avec moi et Pierre. Je t’aime, Éric et je te remercie pour la soirée d’hier.— Bon OK, je veux bien essayer mais si je dis stop, on arrête tous sinon je pourrais vraiment m’énerver, et puis hors de question de me faire enculer.— Super ! je t’aime vraiment, tu sais !Lætitia parle à Pierre mais je n’entends pas, ils posent les serviettes de bain en formant un grand rectangle. Nous sommes tous allongés sur les serviettes, Lætitia est près de moi, Pierre et son ami sont à ma gauche. Ma femme pose sa tête sur mes abdominaux et se dirige lentement vers ma queue. Elle commence à me lècher le gland, elle introduit sa langue dans l’urètre et finit par avaler ma bite. Elle me caresse les bourses avec ses mains et les présente à sa bouche pour les gober. Elle m’engloutit totalement la bite, je sens son nez. Pendant ce temps Pierre et Philippe se sont mis sur les genoux et se branlent à côté de nous. Lætitia les voyant se branler au-dessus de nous, cela décuple son ardeur, elle ne m’avait jamais sucé comme cela, elle est dans un état second. Elle sort de son sac de plage un de ses plugs, le petit, 2,5 cm de diamètre pour 8 cm de long. Nos deux amis la caressent, lui excitant les pointes des seins avec les mains, elle a 6 mains qui lui caressent tout le corps.Ma femme change de position, elle vient se placer entre mes jambes et cambre son joli petit cul pour des attouchements beaucoup plus intimes, une véritable invitation pour ses deux partenaires, qui commencent à lui caresser les parties très intimes. Une fois bien installée, elle rapproche le sex-toy de sa bouche, son visage est très proche du mien.— Tu aimes voir ta femme jouer la petite salope, non ? C’est ce que tu voulais ?— Oui.— Aide-moi à sucer ce plug, je veux le lubrifier avant de m’en servir. Nous allons le sucer tous les deux.Elle le présente à mes lèvres, celles-ci restent fermées, elle force le passage.— Ouvre ta bouche mon bébé, oui c’est mieux, allez je vais t’aider nous allons le parcourir avec nos langues et bien le mouiller pour faciliter la pénétration. On ne se débrouille pas trop mal les garçons ?— Oui, enfin vous pourriez y mettre plus d’entrain, dit Pierre, tu es d’accord Philippe, non ?— Oui, Lætitia c’est très bien, Éric tu devrais un peu plus t’appliquer.— Alors appliques-toi un peu plus, Éric, dit Lætitia.— Je fais ce que je peux, et puis ce n’est pas mon truc de sucer une bite.Elle remet le plug sur mes lèvres et nous continuons à pratiquer une fellation à cette queue en latex. Je décide de me concentrer afin que cela ne dure pas trop longtemps, et sous les encouragements de Pierre et Philippe j’éprouve finalement un certain plaisir à sucer ce sex-toy avec ma femme.Lætitia se replace entre mes jambes et continue à me sucer pendant que Pierre caresse le cul de Lætitia. Elle place mes jambes sur ses épaules, reprend le plug que je suçai toujours. Elle me mange le cul, sa langue me parcourt ma petite rondelle pour finir par la pénétrer avec sa langue. Sa langue me pénètre en effectuant des va-et-vient et je sens le plug forcer légèrement l’anus, elle finit par me sodomiser avec son sex-toy, la douleur n’est pas si vive que je le pensais, cela devient même agréable. Elle s’occupe à nouveau de mon sexe et me branle l’anus, elle se déchaîne, je ne vais pas tarder à venir, elle le sent et continue cette pipe magistrale et me pilonne de plus en plus vite et de plus en plus profond. Je me répends dans sa bouche avec de longs jets, je n’ai pas souvenir d’avoir autant éjaculé. Elle me repose les jambes sur le sol, le plug est toujours figé au plus profond de mon cul. Elle s’approche de moi sur le côté et m’embrasse à pleine bouche. Elle a gardé dans sa bouche une grande quantité de sperme qu’elle m’invite à goûter.— Merci mon cœur pour ce merveilleux moment cela fait longtemps que je voulais te sodomiser mais je ne savais pas comment m’y prendre… Tu as aimé ?— Oui c’était bon, nous pourrons recommencer si tu veux.— J’aimerais que tu gardes le plug en toi, tu es d’accord ?— Si cela t’excite…— Oui ! touche ma chatte, je suis totalement trempée, viens me nettoyer avant que je me fasse prendre par Pierre et Philippe.Je reste allongé au sol, elle m’enjambe, s’accroupit devant ma bouche comme pour se soulager dans la nature et me présente sa chatte. Ses lèvres sont collées par la cyprine, un léger filet de jouissance s’échappe de son sexe, je le nettoie par des petits coups de langue. Je lui dévore totalement sa chatte en enfonçant le plus loin possible ma langue et en alternant avec son clito qui est dressé comme un sexe d’homme.— Viens Philippe, je veux te prendre en bouche. Tu me baiseras quand mon gentil mari m’aura bien nettoyé ma petite chatte avec sa langue, il va bien me préparer, car il aime voir sa femme se faire prendre par un autre. Hum… elle très jolie ta queue, un peu fine mais tellement longue ! Pierre, tu pourrais venir m’aider à le sucer, non ?— Oui si tu veux.Lætitia et Pierre lèchent la queue de Philippe, celle-ci est excessivement longue, plus longue que celle de Pierre, mais très fine. Ma femme se rue littéralement dessus, l’avale copieusement en essayant de l’enfourner totalement. Quant à Pierre il se joint à Lætitia, leurs langues se mélangent et parcourent, enfin je devrais plutôt dire qu’ils sont en train de la déguster comme une glace. Lætitia devient fontaine, j’arrive difficilement à boire sa liqueur, elle doit s’en rendre compte car maintenant elle frotte sa vulve sur mon visage comme pour branler son clito.— Déguste-moi, mieux que cela chéri. Si tu n’y arrives pas, je vais confier cette tâche à un autre de ces mâles ! Oui comme ça, plus profond, je sens que je vais venir, oui c’est mieux, continue !— Je vais jouir, continuez à me bouffer la queue comme cela, c’est bon, dit Philippe.Il est parcouru de frémissements et se libère par des jets très longs et puissants, une quantité importante s’échappe de sa queue, du jamais vu sauf dans certains pornos sur la chaine cryptée. Lætitia et Pierre sont surpris par l’abondance du sperme de Philippe et une grande partie vient s’écraser sur le visage de ma femme et sur ses seins. Elle lui nettoie le sexe avec sa langue, pendant que Pierre lui étale le surplus du sperme de son ami sur le visage et le corps. Ma femme se relève et me libère.— Merci à tous les trois pour m’avoir fait tant jouir, tu aurais pu te retenir, Philippe, je voulais que tu me baises. Tu aurais aimé me voir me faire défoncer ma petite chatte Éric, non ?— Oui j’aurais bien aimé savoir si tu étais capable de prendre ses trente centimètres dans ta chatte !— Je veux que tu me baises, Pierre, je vais me mettre en levrette. Quant à toi, Philippe, tu vas t’allonger devant moi, je vais te remettre en forme et j’aimerais que tu m’encules, une fois que tu auras retrouvé un peu plus de vigueur.Ils s’installent tous les trois. Pierre s’enfonce sans aucun mal dans sa chatte toute mouillée, il la pilonne doucement et joue avec elle, alternant pénétration profonde et juste 3 à 5 cm pour stimuler son point G. Elle suce Philippe et le branle énergiquement, il ne tarde pas à retrouver une certaine raideur, ce qui encourage ma coquine de femme à continuer. Je suis comme un fou de voir cette bite lui défoncer son minou tout épilé, son anus s’ouvre et se ferme suivant la progression du sexe de Pierre. Je me mets sur le côté du trio et écarte le cul de cette petite chienne afin de ne rien perdre du spectacle de cette pénétration. Cette pénétration a pour effet d’ouvrir totalement ses lèvres et j’ai une vue imprenable sur son petit trou qui reste ouvert maintenant sous l’étirement pratiqué sur ses fesses. Pierre saisit le flacon de crème solaire, je comprends de suite où il veut en venir et j’augmente alors ma pression afin de lui écarter le plus possible son cul. Il est bien visible, Pierre ne la pénètre plus qu’avec son gland. Nous voyons maintenant les chairs intérieures de sa rosette. Il fait couler une grande quantité de crème sur sa raie, liquide qui s’écoule par la gravitation à l’intérieur. Il enfonce l’excédent de crème avec son index dans le cul de ma femme. Je prends un peu de crème et lui mets mon majeur dans le cul, Pierre m’imite de suite, nous la branlons ainsi pendant quelques minutes avant que Pierre ne la défonce à grands coups de reins. Je sens les coups de queue avec mon doigt et masse la fine paroi entre l’anus et le vagin de Lætitia en décrivant des petits cercles.— Continue Éric, j’aime que tu me masses l’intérieur, tu la sens la queue de Pierre qui prend ta chère petite femme ?— Oui je la sens bien, j’aime t’enculer avec mon doigt, je vais le remplacer par ma queue, tu aimes cela te faire prendre en double.— Non, pas tout de suite, tu vas me défoncer, tu es beaucoup lus large que Pierre, Philippe va me préparer mon puits d’amour, comme tu aimes le nommer, ce sera plus facile après, Éric et surtout cela me fera moins mal que de te prendre de suite, tu es beaucoup trop large pour mon petit cul. Allez Pierre laisse la place à Philippe, j’aime cette position. Éric prend un préservatif dans mon sac de plage et donne-le à Philippe svp.Philippe prend le condom et le déroule sur sa longue tige, celui-ci est incapable de le couvrir en totalité, il est trop large pour lui. Il possède un sexe très long je dirais qu’il n’est pas loin des vingt-sept à trente centimètres mais il est fin, deux à trois centimètres de diamètre. Il commence par frotter son gland sur la rosette qui est grande ouverte grâce à nos mains, car nous écartons Pierre et moi chacun une de ses fesses. Après avoir stimulé le pourtour il la prend centimètre par centimètre afin de mieux l’habituer à cette sodomie profonde. Arrivé à une vingtaine de centimètres, il lui prodigue de longs va-et-vient sur cette longueur et cela durant cinq bonnes minutes.— Tu m’as tout mis, demande Lætitia ?— Non il en reste.— Tu attends quoi ?— Tu la veux en totalité dans ton cul c’est ça ?— Oui encule-moi.— Alors demande-le gentiment et peut-être que je te donnerai ce que tu es venue chercher sur cette plage avec ton mari, petite salope !— Svp Philippe j’aimerais que tu me prennes à fond.— Reformule ta demande cela ne m’excite pas assez.— Défonce mon cul de petite salope, prends-moi comme une bonne salope que je suis, fais de moi ce que tu veux ! Regarde comme mon mari aime que je me fasse prendre par un autre homme, tu aimes voir ta femme se faire prendre par un mâle bien monté !— C’est mieux, beaucoup mieux, Pierre avait raison, tu es une sacrée chienne. Tu aimes la queue, salope ?— Oui j’aime les queues qui sont longues, j’aime me faire prendre devant mon mari.— Garde cette position mais prends appui sur tes mains et cambre bien ton cul, je vais t’exploser le cul, salope.Elle obéit, quitte la position qu’elle avait (elle était en appui sur ses coudes, les avant-bras pratiquement collés à ses jambes) et que je trouve très sensuelle et surtout qui met bien en valeur le cul d’une femme, elle prendre appui sur ses mains, redresse la tête, le dos est dans le prolongement de ses fesses, elle écarte ses jambes au maximum afin d’avoir une meilleure stabilité pour l’assaut final qu’elle attend et qu’elle demande à Philippe. Il remet le gland sur l’anus et s’introduit lentement mais sûrement, Pierre et moi sommes chacun d’un côté du couple. Pierre lui saisit les cheveux et tire dessus, il approche son visage de ma femme, il lui donne des grands coups de langue sur le visage.— Alors petite salope, tu es prête à prendre les trente centimètres de mon pote dans ton cul ?— Oui je la veux.— Tu l’as entendue, ta salope de femme, Éric, elle veut se faire enculer à fond.— Philippe, ne lui donnes pas tout, continues de l’enculer comme cela, pas plus loin, juste fait la languir cette pute, tu lui mettras la totalité quand je t’en donnerai l’ordre.— Va devant elle, Éric et regarde bien son visage. Je veux que tu l’observes quand elle prend son pied.— Oui viens vers moi mon bébé regarde ta femme se faire enculer comme une salope.Je fais le tour et me place devant ma femme, je ne la reconnais plus, elle, ma femme, la mère de mes enfants, qui se fait baiser comme une véritable salope et qui en redemande. Philippe continue à la limer, Pierre dit :— Maintenant encule-la à fond cette pute.Philippe lui enfonce toute sa bite d’un seul coup, son visage se crispe, sa bouche est grande ouverte comme pour chercher de l’air après un effort violent, Pierre lui maintient toujours la tête en arrière. Philippe va-et-vient comme un fou sans aucune pitié, les seins de ma femme se baladent d’avant en arrière avec frénésie et s’entrechoquent par moment, cette scène me fait bander comme un fou, j’en ai même mal. Je me branle légèrement afin de faire tomber cette pression et puis si je dois jouir, je lui inonderai le visage à cette cochonne. Philippe la baise avec beaucoup d’amplitude, il se retire et la reprend profondément avec une vitesse élevée. Lætitia pousse de longs gémissements entrecoupés de râles, sa langue lèche ses lèvres. Une de ses mains me prend une des miennes, elle la serre très fortement comme pour me communiquer son plaisir. Philippe se retire de son cul.— Tu as joui Philippe, demande ma femme ?— Non pas encore, mais je change de position pour mieux t’enculer. Tu en veux encore plus ?— Oui, remet-la tout de suite, je veux encore jouir.— Très bien, ne bouge pas, ramène uniquement tes jambes, colle-les entre elles.Elle s’exécute, lâche ma main pour trouver son équilibre. Philippe l’enjambe et vient au-dessus d’elle afin de lui donner les derniers centimètres qu’elle demande tant. Philippe reprend un peu de crème solaire, se badigeonne copieusement la queue et approche le tube des fesses de ma tendre épouse, il fait couler un long filet et lui enduit l’anus avec trois doigts sans ménagement, je dirais même avec un peu de brutalité. Je pense que son geste n’est pas si brutal mais laisse plutôt l’impression qu’il recherche la soumission de mon épouse. Ses doigts décrivent des cercles exerçant une très forte dilatation de son œillet. Lætitia laisse échapper des oui et des encore, hum s’est bon.— Tu es prête maintenant, dit Philippe, je vais t’enculer comme jamais tu ne l’as été.Pierre prend la queue de Philippe et la place sur l’ourlet de ma petite femme.— Encule-la d’un seul coup, ordonne Pierre.Philippe s’enfonce d’un coup, je vois cette bite disparaître en totalité dans le fondement de Lætitia. Il la prend à la hussarde, ne s’occupant que de son plaisir et paradoxalement celui de Lætitia qui gémit bruyamment. Quand il sent qu’il va venir il prend appui avec ses mains sur chacune des fesses de ma femme, les écartant pour frotter les poils de son pubis sur le cul de Lætitia.Ils ont joui pratiquement ensemble et très bruyamment. Après un cours instant Philippe se releva, défit le préservatif et répendit le sperme sur les seins de Lætitia. Pierre et moi nous nous sommes branlés devant ma femme, elle reprenait doucement ses esprits, se mit à genoux et commença à nous branler tous les deux, suçant les deux bites en alternance. Pierre fut le premier à lui jouir sur le visage et moi pratiquement après. Elle nous nettoya nos queues avec beaucoup d’application, notre sperme coulait de son visage vers le sable. Philippe lui offrit sa serviette afin quelle puisse s’essuyer le visage et les seins. Le temps avait passé rapidement, déjà 21 h, nous avons décidé de quitter la plage. Pierre et Philippe firent un bout de chemin vers les voitures. Il y avait un grand silence un peu comme des collégiens ayant fait des bêtises. Lætitia me tenait une main avec une des siennes, comme pour se rassurer.— Ce week-end, un ami avec sa femme organise une soirée spéciale chez eux, voudriez-vous venir ? demande Pierre.— Quel type de soirée Pierre ?— Une soirée avec pour thème la soumission.— Tu sais nous n’avons pas d’expérience dans ce domaine, et puis je ne suis pas sûr que cela nous conviennent réellement, qu’en penses-tu mon cœur ?— Tu sais que je n’aime pas la violence, je ne venais plus te voir jouer au rugby les dimanches car il y avait des générales à tous les matchs, comme vous disiez.— Des générales, demande Pierre ?— Oui des grosses bagarres entre chaque club, où des joueurs restaient au sol, le visage en sang, le nez cassé, etc. À cette époque Éric faisait dix kilos de plus et pas de la graisse mais du muscle alors quand des garçons de ce gabarit te donne un coup de poing dans le visage ou pire un coup de pied dans la tête quand tu es au sol… Tu imagines bien que la violence je l’ai vue et connue…— Je te comprends, Lætitia, mais soumission n’est pas SM hard, ce sont des jeux de rôles où chacun arrête quand il le désire.— Je ne sais pas, et puis j’aimerais en parler avec Éric.— Très bien, la soirée aura lieu samedi, appelez-moi si vous désirez vous y rendre…Nous sommes arrivés à nos véhicules respectifs et nous nous sommes quittés.