Decouverte du Maroc par Emilie – Part 2
Emilie, jeune danoise part au Maroc avec son copain en voiture et découvre les joies du libertinage. A partir d’une histoire vraie mais largement romancée.
Proposée le 25/08/2022 par amdsoo Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHHLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
Quelqu’un haletait… il me réveilla, il était deux heures du matin. Ibrahim était couché sur Emilie et la chevauchait par derrière. Il la pilonnait de tout son poids, elle avait ses jambes jointes, mais je voyais du canapé le sexe de l’homme qui montait et descendait pour s’enfoncer profondément dans son vagin, dans un bruit humide. Je les regardais mais je ne pense pas qu’ils me calculaient. Momo aussi les regardait en se branlant, probablement en attendant lui aussi de prendre possession de la belle femme qui était dans son lit. Puis Ibrahim se vida en elle, et elle jouit dans la foulée, j’entendis clairement ses cris étouffés.
– Oh, c’était super, tu es vraiment une bonne salope.
– Merci, mais j’en ai partout maintenant…
– T inquiètes pas, Momo va aussi t’arroser, et puis tu prendras ta douche. Alors qu’Emilie n’avait pas bougĂ© de position, Momo vint se placer sur elle, dans la mĂŞme position qu’Ibrahim. Elle Ă©carta lĂ©gèrement les cuisses, comme pour l’inviter Ă voir sa chatte dĂ©goulinante et ouverte. Il prit son pĂ©nis en main et le guida vers la caverne ouverte, et enfonça son pieu sans mĂ©nagement.
– Oh Momo !! oh mon dieu !! si profond….
– Remues un peu ton cul, et fais-moi bander.
– Comme ça ? Elle remuait ses fesses de gauche Ă droite, aiguisant la bite en elle, et augmentant encore la pĂ©nĂ©tration. Momo commença ses aller-retours, Emilie haletait. J’entendais un clapotis de foutre quand il la pistonnait. Il bandait pleinement et la petite blonde subissait ses assauts rĂ©pĂ©tĂ©s.
– Oh ! ohhh ! ahhhh !
– Tiens ! Han ! Han ! petite pute ! tu aimes cette bite qui te dĂ©fonce hein ?
– Ohhh oui. Oh oui vas-y… Quelques instants plus tard, il dĂ©chargea Ă son tour ses jeunes bourses pleines de foutre gluant Ă l’intĂ©rieur du vagin de ma partenaire. Enfin Il retomba sur le lit, en sueur. Emilie se redressa, et nos regards se croisèrent, elle me sourit et sortit de la petite pièce, quelques instants plus tard, j’entendis la douche et ses petits cris d’animal comme Ă son habitude, elle devait se laver la chatte et les seins collĂ©s de sperme. Elle revint dans la pièce, toujours nue et se recoucha au milieu des deux hommes. Ibrahim mit une main entre ses cuisses et la doigta un peu, puis ils s endormirent. Je soufflais. Au moins je n’avais pas eu besoin de faire le nettoyage cette fois-ci. Vers cinq heures du matin je me rĂ©veillais Ă nouveau, et je surpris Momo en train de lui caresser les jambes et l’intĂ©rieur des cuisses, Ibrahim n’était plus dans le lit. Elle avait Ă©cartĂ© les cuisses pour le laisser l’exciter et il profitait de son clitoris exposĂ©. Elle gĂ©missait doucement comme pour ne pas me rĂ©veiller, mais je les voyais parfaitement, il y avait dĂ©jĂ une lueur matinale. Il faisait rouler ses doigts autour de son clitoris dressĂ©, elle adorait ça, je le savais bien. Puis il la retourna sur le cĂ´tĂ©, et se plaça derrière elle, en position de cuillère. Ils faisaient l’amour et cela n’était pas comme la veille, elle se laissait caresser et tripoter comme dans un couple normal. J’étais jaloux et je ressentais aussi l’envie d’être Ă la place de Momo, je n’avais pas eu cette satisfaction. Je ne bougeais pas mais je sentis une Ă©rection, Momo avait enfilĂ© son long sexe dans la chatte d’Emilie qui remuait lentement son bassin et ses hanches comme pour s’empaler plus profondĂ©ment sur lui. Il prit son rythme et donnait des coups de hanche Ă la blonde qu’il tenait par son sein gauche. Je voyais sa main se crisper sur le tĂ©ton tendu, puis il Ă©jacula sans bruit. Ils restèrent quelques minutes ainsi, alors elle se dĂ©gagea et prit son pĂ©nis mou entre ses lèvres et le rinça dans sa bouche. Vers sept heures, Ibrahim vint me chercher pour aller dĂ©panner la voiture. Il Ă©tait debout depuis je ne sais pas combien de temps, Momo se leva aussi et partit prendre une douche. Emilie resta endormie, et les deux hommes prirent soin de ne pas la rĂ©veiller. Ils Ă©taient tout gentil avec elle. Ils regardaient la belle allongĂ©e sur le dos, nue, et dont les seins s’étalaient de part et d’autre de sa jolie poitrine. Elle Ă©tait sans pudeur dĂ©sormais. Je voyais son petit rectangle de poil au-dessus de sa chatte distendue de tant d’action, et j’avais envie d’aller dĂ©vorer son superbe clitoris et sa fente serrĂ©e pendant qu’elle dormait. Nous partĂ®mes rĂ©parer la voiture. —————–&&&&&&&&&&&&&——————
Il s’avéra que Ibrahim était vraiment un bon réparateur, il détecta le problème mais il lui manquait une petite pièce. Il proposa d’aller la chercher mais cela nécessitait un aller-retour à Tanger. Il nous suggéra à Emilie et à moi de venir avec lui, cela prendrait quatre heures et nous pourrions aussi visiter la médina. Quand nous revînmes à la chambre, Emilie avait pris sa douche et s’était rhabillée, je préférais ça que de la voir nue en permanence. Elle portait un pantalon de toile, des tennis, et un débardeur un peu lâche qui laissait voir les cotes de ses seins, pas si mal pour aller à la ville. Trente minutes plus tard, nous partions tous les trois dans le petit camion d’Ibrahim. La route était la même que la veille mais Ibrahim nous racontait des histoires locales bien amusantes. Nous commençâmes par le dépôt de pièces détachées et Ibrahim acheta la pièce qui était défectueuse, puis la visite de la médina. Nous nous promenâmes ainsi une bonne partie de la matinée, et priment un déjeuner rapide dans une échoppe qu’il connaissait. Beaucoup de ses amis le saluaient, et je soupçonnais qu’ils voulaient tous voir de plus près la belle danoise. Dans l’ensemble la journée fut agréable, nous repartîmes vers quinze heures, une chaleur intenable pénétrait l’intérieur de la cabine du camion et la clim poussive n’arrivait pas à nous garder au frais. Sur la route, Ibra nous dit qu’il devait passer chercher une autre pièce dans une casse pour voiture. Il s’engagea sur une route en gravier et stoppa devant un grand hangar. Il nous dit de descendre et de se mettre au frais. Nous sortîmes du camion, et allâmes sous le hangar. Un petit groupe de mécanos étaient assis à même le sol, buvant un thé, et grignotant quelques pâtisseries sucrées. Emilie alla aux toilettes, les hommes la suivaient des yeux et parlaient en arabe, je restais persuadé certain qu’ils parlaient d’elle. Ibrahim me rejoint et me confirma que les ouvriers étaient excités de voir une si belle nana dans cet endroit.
– Si Emilie se sent, elle peut faire quelques pipes Ă ces mecs, tu en penses quoi, ce serait super sympa pour ces gars.
– Heu je ne sais pas, ils ont pas l’air propre… Cherchant une justification pour Ă©viter Ă Emilie le dĂ©sagrĂ©ment.
– Ils peuvent se laver, attends je leur dis de prendre une douche et que peut ĂŞtre qu’Emilie leur fera une petite gâterie, rien de mĂ©chant.Ne me laissant pas le temps de rĂ©torquer, il s’adressa Ă eux en arabe et ils se levèrent presque tous, sauf deux, les deux plus vieux qui restèrent boire leur thĂ© bouillant. Les cinq jeunes hommes passèrent de l’autre cote du mur et j’entendis des rires et de l’eau qui coulait.
Quand Emilie sortit des toilettes, Ibrahim lui demanda ce qu’elle en pensait.
– Moi je veux bien, c’est les vacances après tout, je dĂ©couvre le Maroc ! Hein Marc ?
– C’est surtout eux qui vont dĂ©couvrir le Danemark… Dit Ibrahim en riant.
– Heu chĂ©rie tu es sĂ»re que tu veux sucer cinq queues Ă la suite ? C’est un peu trop ?
– Oui pourquoi pas ? une ou cinq, quelle diffĂ©rence ?
– Quatre…Bon d’accord… si tu te sens. Ibrahim Ă©tait enchantĂ©, et lui dit d’enlever son pantalon et t-shirt, de peur de les salir. Elle se retrouva en petite culotte blanche et les seins Ă l’air. Je tenais ses affaires. Puis il lui dit de se mettre Ă genoux sur une couverture installĂ©e Ă la va-vite, les cinq hommes arrivèrent au fur et Ă mesure, surpris de voir la belle qui les attendaient, Les rires et les sourires fusaient. Ils avaient entre dix-huit et trente ans, les cinq queues sortirent vite de leur pantalon, et ils commencèrent Ă se branler autour d’elle, en cercle. Elle jouait avec ses seins pour les exciter, ils ne furent pas long Ă avoir des queues raides prĂŞtes Ă exploser. Emilie regardait les cinq queues, les jolies bourses qui se balançaient devant elle, elle attrapa celle du plus jeune, et commença Ă le sucer. Avec une bite en bouche, elle prit une bite dans chaque main, et s’empressa de les masturber. Tandis que les deux derniers, touchaient et soupesaient ses seins avec apprĂ©ciation.
– Ils aiment ça Emilie, dit Ibrahim
– Ils disent que tu ressembles Ă un ange, et ils te trouvent très belle, et que tu n’as pas peur.
– HmmmmmmmffffEmilie ne pouvait pas rĂ©pondre tellement le jeune lui bourrait sa bite au plus profond de sa gorge, encouragĂ© par ses collègues qui voulaient prendre sa place. Il jouit alors que sa bite Ă©tait appuyĂ©e sur le palais d’Emilie, inondant le fond de sa gorge, elle faillit s Ă©touffer, mais avala son sperme, Ă©pais comme de la colle. Le jeune se retira et celui sur sa gauche le remplaça presque immĂ©diatement. Elle attrapa une autre bite qui se prĂ©sentait Ă elle. Ils lui tripotaient plus brutalement ses seins qui valsaient d’un cĂ´tĂ© et de l’autre, un autre mec s’accroupit derrière elle et lui caressait l’entre jambe, elle Ă©tait elle aussi accroupie donc sa chatte Ă©tait toute ouverte, cachĂ©e derrière la fine culotte blanche. Elle poussa un petit cri quand il se mit Ă la doigter, il ressortit ses doigts totalement couverts de cyprine, puis les montra Ă ses copains, admiratifs. La tension montait d’un cran.
– Je pense qu’ils aimeraient te mettre leur bite dans ta chatte trempĂ©e Emilie… Dit Ibrahim
– HmmmmmmmffffElle se releva assez pour laisser le mec lui enlever sa culotte intĂ©gralement, et lui prĂ©sentant ses fesses, comme pour manifester son accord. Elle Ă©tait debout, suçant un inconnu, et branlant deux autres, alors que le quatrième aiguisait son pĂ©nis prĂŞt Ă l’enfiler. Le cinquième lui caressait les seins qui pendaient, apprĂ©ciant la qualitĂ© et la douceur de la peau de la scandinave. Il pressait par moment les tĂ©tons, et malaxait les mamelles comme pour la traire, ce qui excitait Emilie. Le gars lui caressait avec vigueur ses fesses bombĂ©es et blanches, donnant quelques claques d’excitation, et laissant l’empreinte de ses doigts.
– HmmmmmmmffffElle dĂ©goulinait entre ses cuisses, le long de ses longues jambes musclĂ©es et fines. Le type derrière fut prĂŞt et engagea son mandrin dans sa caverne humide d’un coup sec et dĂ©cisif.
– Ahhhhh, Hmmmmmmmffff oh oui !! Les hommes parlaient arabes autour d’elle, et je ne doutais pas qu’ils la traitaient de salope de blanche, et de jolie pute, mais ils semblaient apprĂ©cier ce corps offert Ă eux. L’homme la pĂ©nĂ©trait de toute ses forces, par moment les pieds d’Emilie dĂ©collaient du sol, emportĂ©s par la charge qui assaillait son vagin. Elle avait gardĂ© ses tennis, elle Ă©tait sexy toute nue, juste avec ses tennis blanches.
– Oh mon dieu, quelle puissance ! Ahhhhh
– Han ! Han !Alors qu’elle le suçait, l’homme retira son pĂ©nis de sa bouche et se mit Ă se branler devant son joli visage, il perlait du prĂ©-foutre Ă profusion, et l’instant d’après, une fontaine de sperme arrosa Emilie, son visage, ses Ă©paules et dĂ©goulina sur ses seins. Les hommes le congratulèrent, elle reçut une belle claque sur son fessier dĂ©jĂ rougi en compliment. L’homme qui la pĂ©nĂ©trait redoublait d’énergie, il apprĂ©ciait le vagin chaud et Ă©troit de la jeune femme, la couleur de leur peau contrastait : lui brun, cheveux noirs bouclĂ©s, et elle blonde cheveux raides, une peau pale. Il se raidit un peu, et tendit son sexe vers l’avant, touchant de son gland le col de l’utĂ©rus de la belle qui poussa un cri.
– Ohhhhhhh ! ahhhhh Il dit quelque chose en arabe et s’arcbouta, saisissant les hanches d’Emilie et ramonant en quatre puis cinq secousses son canal humide, il resta immobilisĂ© encore dix secondes, et se retira, laissant tomber une vaste quantitĂ© de sperme sur les mollets tendus d’Emilie, et aussi sur ses baskets. Les hommes Ă©taient en rotation, bouche, puis par derrière, et souvent ils Ă©jaculaient dans son trou maintenant bĂ©ant, ou choisissaient de lui cracher dans la bouche ou sur son dos. Elle Ă©tait penchĂ©e en avant depuis trente minutes et commençait Ă se fatiguer. Les cinq hommes rechargeaient leurs batteries, et revenaient Ă la charge, comme un train qui lui roulait sur le corps. Elle rĂ©sistait Ă leurs assauts, offrant sa chatte, et sa bouche Ă qui les voulait. Son corps tanguait et du haut de ses 1.6m elle leur tenait tĂŞte. J’étais très fier. Elle rayonnait avec son corps blanc au milieu de la meute d’arabes, leurs bites dressĂ©es, qui n’attendaient que leur tour pour l’enfiler et la limer le plus profond possible. Il y avait comme une compĂ©tition entre eux, Ă celui qui la ferait gĂ©mir le plus, la pĂ©nètrerait le plus profond, et lui cracherait les giclĂ©es de foutre le plus Ă©pais.
Les deux vieux s’étaient levés et regardaient avec intérêt la blonde se prendre cette raclée, ils n’avaient jamais vu une fille aussi jolie se faire baiser comme ça en plein après-midi, à tour de rôle.Elle était en sueur, et de ses tétons perlaient des gouttes mélangées à du sperme. La perspective de lui baiser sa jeune fente si attrayante les attirait. Ils sortirent leur bite sale de leur pantalon, et se rapprochèrent de la jolie femme qui finissait d’avaler quelques giclées poisseuses. Les cinq jeunes prirent un repos bien mérité, laissant enfin Emilie souffler, et se refaire une beauté. Elle essuya son visage et ses seins avec un chiffon vaguement propre qu’Ibrahim lui tendit. Il dit à l’un des vieux de s’allonger sur la couverture, sur le dos. Il avait baissé son pantalon et tenait sa queue droite. Emilie l’enjamba et lui faisant face, elle s’accroupit lentement, enfila la bite dans son vagin distendu facilement. Elle s’allongea sur lui et se mit à remuer, s’empalant sur ce pénis sale et qui clapotait dans son trou. Il lui pinçait les seins et les malaxait brusquement.
Le deuxième homme se branlait et regardait la jeune européenne onduler au-dessus du pénis de son copain, il lui claqua les fesses plusieurs fois, commentant en arabe sur la qualité de son cul.
– Je pense qu’il aimerait te prendre dans le cul Emilie. Possible ? dit Ibrahim.
– On l’a jamais fait… je dis
– Lui non plus, il n’a jamais pris une danoise dans le cul. Il faut bien une première fois, je lui dis d’aller doucement d’accord.
– D’accord, mais j’ai le cul en feu de ses claques… Ohhh
– Il faut te lubrifier un peu. Ibrahim dit quelque chose en arabe et le deuxième homme sortit un tube de graisse, je ne pouvais pas lire sur le tube, mais c’était pas de la vaseline. A mon avis un truc de mĂ©cano. Il prit une boule de graisse et l’étala Ă l’entrĂ©e de l’anus de la blonde qui allait et venait sur la bite sous elle. Puis il enfonça ses deux doigts sans la prĂ©venir, et sa rondelle cĂ©da d’un coup. Ses deux doigts Ă©taient dĂ©jĂ dedans, lubrifiant son colon sur cinq ou six centimètres. Il la travaillait sans mĂ©nagement et sans dĂ©licatesse. Ses mains râpeuses d’ouvrier palpaient sa peau, son dos, ses fesses, comme s’il essayait d’imprimer dans son esprit les courbures du corps d’Emilie.
– Ohhhh ! Je ne vais pas pouvoir… Ohhh !
– Mais si, il a dĂ©jĂ trois doigts dedans, Ă©cartes bien tes cuisses.Puis il se positionna derrière elle, et son gland circoncis Ă©tait appuyĂ© contre sa rondelle Ă demi ouverte, alors il la pĂ©nĂ©tra d’un coup sec. Heureusement qu’il n’était pas très gros, car je vis Emilie bondir en avant.
– Ahhhhh ! AieeeeIl l’empĂŞcha d’avancer en la retenant par les Ă©paules, et lui claqua violement les fesses, et les flancs de ses seins tout blancs, cette douleur l’étourdit un peu, et lui fit oublier cette bite sale qui maintenant ramonait son tuyau serrĂ©.
– Oh mon dieu, Marc tu vois ça ?? J’ai une bite dans le cul … ohhh et il va et vient comme de rien n’était.
– Oui chĂ©rie, et il est presque entièrement dedans…Les deux vieux embrochaient ma nana, les deux pĂ©nis rentraient et sortaient de plus en plus facilement. Le pistonnage la remuait d avant en arrière, elle en avait le tournis, ne contrĂ´lant plus rien. Quand l’un montait dans sa chatte, l’autre descendait dans son cul, prenant en sandwich la fille sans dĂ©fense. Il y avait une odeur de cul, de merde, de sperme et de sueur de ces hommes mal lavĂ©s qui se mĂŞlait Ă la sueur et au parfum dĂ©licat d’Emilie. Enfin il ne restait plus grand-chose de la belle Emilie, plutĂ´t une chienne en chaleur, qui prĂ©sentait ses trous Ă tous ces hommes. De cette sensation dans son cul si nouvelle, Emilie jouit pour la première fois par cet orifice. Le vieux avait accĂ©lĂ©rĂ© le rythme et elle y prenait gout, la bite pleinement enfoncĂ©e lui dĂ©chirait l’anus, mais le plaisir Ă©tait prĂ©sent. Il donna trois secousses brutales, Ă©claboussant l’intĂ©rieur de son cul d’un jus onctueux, et calmant un peu le feu qui la brulait.
– Ohhhhhhh ! il a joui dans mon cul…. Oh mon dieu… trop bon… j’ai rĂ©ussi Ă faire jouir un homme comme ça, dĂ©goutant et en plus par un vieux, je suis une vraie salope au Maroc…Elle contracta alors son vagin pour donner des sensations Ă l’autre type, qui rĂ©agit et se mit Ă jouir en elle, remplissant sa cavitĂ© dĂ©jĂ bien trempĂ©e. Quand ses deux bites se retirèrent, je constatai une chatte bĂ©ante et suppurante, un anus dilatĂ© et marron, d’oĂą s’écoulait un mĂ©lange de sperme, de sueur et de merde.
La scandinave était éreintée, les sept hommes l’avaient baisé comme une pute pendant deux heures, au milieu d’un hangar. Elle dégoulinait de tous les trous, se leva avec difficulté, et partit prendre une douche, elle reçut encore quelques claques sur les fesses, quand elle passait sous les regards lubriques des hommes qui se marraient. S’ils avaient pu, ils l’auraient attaché à un poteau du hangar et l’auraient baisé continuellement pendant des jours. Quand nous repartîmes, Ibrahim la félicita pour la performance, elle s’endormit sur moi le reste du voyage, elle sentait le sperme dans ses cheveux. Je me dis que j’avais de la chance de l’avoir avec moi pour les vacances.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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