1Comment occuper joyeusement ses vacances après le BAC ? Voilà une question que je n’ai même pas eu le temps de me poser ! Sans me demander mon avis, mes parents m’avaient inscrit à un stage « Sports et langue » de deux semaines…— Tu verras, c’est utile ! Quel que soit ton futur métier, la langue anglaise te servira ! C’est une clé indispensable dans un tas de domaines.— Oui ! Et en plus, cela te donnera l’occasion de te familiariser avec la Fac de L. où tu poursuivras tes études l’an prochain !— De plus, tu viens de passer plusieurs semaines à étudier d’arrache-pied… Un peu d’activité physique te fera le plus grand bien ! À 19 ans, il est grand temps que tu trouves un meilleur équilibre entre ton corps et ton esprit ! « Mens sana in corpore sano… »Passe encore pour l’anglais… Mais les sports ! Je n’avais jamais aimé ça ! Féru de lecture… Accro de bandes dessinées… Passionné par les jeux d’ordinateur… On ne peut pas dire que j’avais souvent essayé… Mais les rares occasions où j’avais approché l’une ou l’autre activité sportive m’avaient laissé de bien piètres souvenirs !À l’âge de onze ans, par exemple, mes parents avaient voulu me faire prendre l’air en m’inscrivant dans un club d’athlétisme… Ils m’y ont conduit un samedi matin, équipé de chaussures de sport neuves et d’un survêtement bleuté. On m’a fait courir, courir, et encore courir. Au bout d’une heure, sans demander mon reste, j’ai filé discrètement à travers les taillis qui bordaient la piste… et je suis rentré chez moi ! Côté famille, on ne peut pas dire que ma défection fit plaisir ! Mais on oublia vite l’athlétisme et ses bienfaits.Au lycée aussi, tous connaissaient mon attrait particulier pour les activités sportives… Heureusement pour moi, mon grand-père, vieux médecin à la retraite, partageait cette aversion pour la « gymnastique » et « toutes ces sornettes dont il s’était bien passé, lui, pour réussir dans la vie ». Il me fournissait en cachette les certificats médicaux qui, seuls, permettaient d’être exempté de ces débauches énergétiques !Maman s’étonnait bien un peu de l’état impeccable de mes tenues sportives au retour du lycée… Mais comme j’étais d’un naturel soigneux, aucun vrai débat n’eut jamais lieu à ce sujet…Et maintenant, ce merveilleux projet ! Visiblement, le sport était une idée fixe chez mes parents ! Moi qui rêvais de paresser dans le jardin, une pile de livres à mes côtés…2Dans le train qui m’emmenait à L., des pensées maussades m’engluaient l’esprit quand j’essayais d’imaginer de quoi seraient faites mes prochaines journées…On pouvait craindre le pire ! Un entraîneur sadique hurlant ses consignes en anglais ? Une bande de fous du cross que j’aurais peine à suivre ? Des kilomètres à la nage, rythmés de temps primitifs anglais ? Du football ? Américain alors ! Et les repas ? Seraient-ils sportifs… ou anglais ? Dans les deux cas, rien de bien rassurant !Quand le convoi s’immobilisa dans la gare de L., j’étais on ne peut plus enthousiaste ! Traînant ma valise derrière moi, je partis à la recherche du responsable qui devait m’accueillir et me conduire à la Fac. Je finis par le trouver, à l’entrée de la gare… La cinquantaine… Chauve… Un tee-shirt blanc frappé de lettres rouges :— M-O-N-I-T-E-U-R. Au moins on savait à qui on avait à faire !Il me salua et me demanda :— Sports et langue ?Devant mon hochement de tête, Jean-François (c’était son nom) m’invita à déposer ma valise à l’arrière d’une Renault Espace blanche au logo de la Fac. Un grand gaillard, roux et musclé, coiffé d’une casquette et muni de raquettes de tennis, nous rejoignit un peu plus tard. Deux demoiselles en survêtement rose suivirent, ainsi qu’un garçon brun et mal rasé, un peu plus jeune que moi, qui portait un skate-board sous le bras…La voiture démarra quelques instants plus tard et je fis la connaissance de mes compagnons d’infortune. Très motivés, quant à eux, à l’idée d’être accueillis dans le centre sportif réputé de la Fac de L., ils me firent part des échos élogieux qu’ils avaient reçus au sujet du programme sportif du séjour…Vingt minutes plus tard, Jean-François nous déposa devant un grand bâtiment gris, à la façade arrondie, dont le nom, écrit en énormes lettres d’aluminium, brillait au soleil :— Foyer Marie Curie. Il nous invita à entrer et à rejoindre les autres participants dans la salle où ils patientaient.Une dame nous y accueillit. Elle nous demanda nos noms, les pointa dans une liste et nous remit à chacun un badge sur lequel on pouvait lire notre prénom. Ensuite, elle nous invita à nous asseoir parmi la cinquantaine de futurs sportifs anglophones qui attendaient la suite des opérations.Nous étions visiblement les derniers à arriver, car la dame se munit d’un micro et entama un long discours de bienvenue… Elle s’appelait Thérèse et était responsable de l’organisation du séjour…À l’âge que nous avions, on comptait beaucoup sur notre sens des responsabilités et sur l’autonomie dont nous ne manquerions pas de faire preuve, à trois mois de notre entrée en Fac.Contrairement à ce que j’avais imaginé, le sport et l’anglais ne se pratiquaient pas simultanément… Les activités sportives alternaient avec les cours d’anglais… L’horaire des cours était fixe, mais les activités sportives étaient nombreuses, variées et, la plupart du temps, au choix des participants… Les infrastructures sportives étaient nombreuses et localisées à différents endroits du site. La fréquentation studieuse des cours donnait droit à un certificat qui ferait, selon Thérèse, une excellente impression sur nos futurs employeurs.Les repas se prenaient au restaurant de la Fac. Notre badge nous y donnerait accès. Le logement était prévu dans le bâtiment voisin. Les filles logeaient au 1er étage. Les garçons au 3e. Le rez-de-chaussée étant affecté à des laboratoires de langues et le 2e à des salles de loisirs. C’étaient des chambres de deux personnes. On nous pria de rejoindre notre étage, avec nos valises, et de nous installer. Une demi-heure, au maximum ! La première activité sportive débutant juste après…Je mis tellement peu d’entrain à rejoindre le 3e étage que j’y arrivai bon dernier. Je passai de chambre en chambre, à la recherche d’une place encore inoccupée, mais toutes accueillaient déjà leurs deux hôtes…Thérèse était arrivée sur les lieux et vint à mon secours. L’étage était complet, le nombre de garçons dépassant légèrement la capacité du 3e étage. Elle m’expliqua que je logerais au rez-de-chaussée, dans l’ancienne conciergerie. Cette chambre, un peu plus spacieuse, avait aussi l’avantage d’être au calme… Un autre stagiaire la partagerait avec moi. Il s’y trouvait déjà . Le pauvre s’était cassé la jambe droite, une semaine auparavant. Plâtré du pied à la cuisse, on lui avait évité l’ascension de l’immeuble en l’installant d’emblée dans cette chambre-là .Chouette alors ! En plus du sport et de l’anglais, j’allais pouvoir jouer au garde-malade… Quelle idée, d’ailleurs, de fréquenter un stage sportif avec une jambe cassée ! Il pourrait toujours sauter à cloche-pied !3À mon arrivée, Denis, c’est ainsi qu’il se prénommait, était déjà installé. Ses parents l’avaient conduit en voiture jusqu’à L. Et l’avaient aidé à ranger ses vêtements dans la penderie qui lui était réservée.Il était étendu sur son lit, la jambe droite surélevée et posée sur un gros coussin. Il avait emmené de la lecture en suffisance et était déjà plongé dans un roman policier. Lorsqu’il m’aperçut, Denis déposa son livre sur la table de chevet et me souhaita la bienvenue. Il m’apparut d’emblée très sympathique.Denis avait les traits fins, le nez assez petit, les oreilles légèrement décollées et les cheveux bouclés, de couleur châtain clair. Ses yeux noirs donnaient à son regard une profondeur inhabituelle et un sourire jovial éclairait son visage. Quelques taches de rousseur parsemaient ses joues et une petite fossette creusait son menton.Il était vêtu d’une chemise à carreaux et d’un bermuda beige dont la jambe droite avait été décousue sur vingt centimètres, à cause du plâtre dont on l’avait affublé.Thérèse fit les présentations et m’expliqua que Denis aurait certainement besoin d’aide pour se rendre aux cours et y emmener ses livres, pour rejoindre le restaurant de la Fac et pour en revenir. Il ne participerait pas aux activités sportives, mais peut-être les autres stagiaires accepteraient-ils de lui tenir compagnie, à tour de rôle, dans ces moments-là  ?Attiré comme je l’étais par les sports en tous genres, je compris immédiatement l’intérêt d’une telle situation et je me portai volontaire pour rester avec Denis pendant les trois heures que durerait l’activité qui devait suivre. Denis protesta, dit qu’il pouvait très bien rester seul et qu’il ne voulait en aucun cas être un poids pour les autres participants.J’insistai en lui disant que j’étais assez fatigué par le voyage et que cela ne me dérangeait pas du tout. Thérèse s’en réjouit et prit congé de nous en nous invitant à rejoindre le groupe au restaurant de la Fac pour le repas du soir.Pendant que je défaisais ma valise, Denis m’expliqua qu’il avait fait une chute à vélo et que sa jambe était immobilisée pour six semaines. Il pouvait néanmoins marcher sur un pied, à l’aide de deux béquilles, pour des courtes distances. Il avait envisagé d’annuler sa participation au stage, mais, devant rejoindre son frère aîné aux États-Unis, à la fin de l’été, les cours d’anglais lui étaient indispensables. Les organisateurs avaient accepté sa présence malgré son handicap et il était heureux de se changer les idées en passant deux semaines à L.Pour ma part, je lui confiai mon aversion du sport et l’assurai qu’y renoncer ne me demanderait pas le moindre sacrifice…4Quelques minutes plus tard, nous entendîmes les autres stagiaires quitter le bâtiment pour se rendre au stade, à la piscine ou aux courts de tennis.Notre chambre donnait sur un parc arboré, à l’arrière du bâtiment. On pouvait d’ailleurs y accéder directement par la terrasse dont nous bénéficiions. Le ciel était dégagé et le soleil d’été jouait à travers les rideaux. Rapidement, la température agréable nous incita à sortir. Denis se leva, attrapa ses deux béquilles et nous rejoignîmes la terrasse.Plutôt que de s’y asseoir, Denis entreprit de descendre le petit escalier qui rejoignait le parc et me proposa un petit tour dans les environs.Nous avancions assez lentement et en une demi-heure, nous n’avions avancé que de quelques centaines de mètres. Ce parc était en fait beaucoup plus grand qu’il ne paraissait, vu de la chambre. Les différents bâtiments et infrastructures de la Fac y étaient disséminés.En cette période de vacances, l’endroit était désert et nous ne rencontrâmes personne.Soudain, Denis se tourna vers moi et m’expliqua qu’il avait besoin d’uriner. Je l’aidai à quitter le sentier pour atteindre un buisson légèrement en contrebas. Je me tenais juste à côté de lui. Ayant également l’envie de me soulager, j’ouvris la fermeture éclair de mon pantalon, je baissai mon slip et sortis ma verge avant d’en décalotter le gland.L’état de ma vessie avait provoqué un début d’érection et je ne parvins pas immédiatement à uriner. Finalement, un long jet puissant apparut. C’est lorsqu’il se tarit que je remarquai le regard de mon voisin posé sur mon sexe. Légèrement troublé par cette situation, je sentis mon pénis durcir et grandir entre mes doigts au moment où je le replaçais dans mon caleçon.Je refermai mon pantalon et me tournai légèrement vers Denis. Il me sourit aimablement et me déclara, sans la moindre gêne apparente, qu’il aurait besoin d’aide.En effet, en équilibre instable sur ce sol mou et pentu, Denis éprouvait quelques difficultés à se tenir debout et on imaginait mal comment il aurait pu lâcher ne fut-ce qu’une de ses précieuses cannes…Nécessité faisant loi, je me glissai derrière lui et, après une brève hésitation, je passai mes bras autour de sa taille et j’entrepris d’ouvrir son bermuda. Pas de fermeture éclair… mais plusieurs boutons métalliques dans des boutonnières pas très larges.Je n’avais pas l’habitude d’un tel système et l’opération prit un certain temps. À mon grand étonnement, je me sentais nettement moins mal à l’aise que je ne l’avais imaginé quelques secondes plus tôt. De son côté, Denis me regardait par-dessus son épaule et avait l’air amusé par la situation.À travers la toile légère de son bermuda d’été, je sentais palpiter son sexe. Quand, enfin, j’achevai de déboutonner la braguette de Denis, je passai la main dans l’ouverture de son boxer et m’attelai à y faire passer sa verge. Elle était longue et dure et cela me demanda quelques efforts. Le gland n’était pas circoncis, mais le passage dans l’ouverture élastique du boxer l’avait à moitié dénudé. Je remarquai que le pénis de Denis était plus épais que le mien.Je n’avais eu, jusqu’ici, que peu d’occasions de comparer mon engin à celui des autres, mais ces rares expériences m’avaient montré qu’il était de taille normale. Apparemment, Denis était doté d’un membre hors normes. Il me le confirma d’ailleurs lui-même en disant :— Pas mal, hein… Cela surprend toujours !Il me demanda de lui décalotter complètement le gland et je constatai qu’une grosse goutte de rosée perlait à son extrémité. En faisant glisser le capuchon de sa bite, le liquide transparent et visqueux se répandit sur mes doigts et sur son gland turgescent. Instinctivement, je serrai doucement la verge de Denis d’une main pendant que l’autre caressait ses bourses gonflées au travers du tissu de son boxer.Denis bascula la tête en arrière et fit quelques légers mouvements du bassin. Sa bite longue et dure glissait entre mes doigts maintenant bien mouillés. Denis me demanda de le branler doucement. Ses fesses comprimaient mon propre sexe, enfermé dans mon pantalon. Jamais je n’avais ressenti une telle excitation.De la main gauche, je m’appliquais à caresser de mon mieux le membre de Denis. Ma main droite s’était frayé un passage à travers le rempart de son boxer et enveloppait ses testicules d’une étreinte ferme et douce à la fois.Ma propre bite menaçait d’éclater. Jamais auparavant je n’avais éprouvé des sensations d’une telle intensité. Je me rendis compte que j’avais moi aussi entamé un mouvement du bassin. Ma verge durcie se frottait aux fesses de Denis, au travers de nos vêtements.Nos deux respirations se mirent à accélérer et tout d’un coup, je sentis la bite de Denis se cabrer sous l’effet de violentes contractions. Plusieurs jets puissants propulsèrent son sperme dans les feuilles du buisson. Il laissa échapper un ou deux grognements de plaisir.De mon côté, j’eus l’impression de sortir d’un très beau rêve et je me rendis compte que j’avais aussi éjaculé… Mais dans mon slip, ce qui ne m’était encore jamais arrivé.Denis se détendit et m’annonça qu’il allait enfin pouvoir uriner… Joignant le geste à la parole, il vida sa vessie trop longtemps contenue et se félicita d’avoir fait la connaissance d’un ami aussi serviable que moi.Au rythme des demi-pas de Denis, nous regagnâmes notre chambre. Pendant le trajet du retour, nous n’échangeâmes aucune parole. De retour à l’intérieur, Denis me remercia de lui avoir fourni mon aide puis retourna à sa lecture.Je pris une douche et changeai de linge. Je me sentais à présent un peu gêné de ce que nous avions fait et me demandai comment Denis vivait cela. Mais à mon retour de la douche, nous parlâmes de toute autre chose et la journée se termina comme s’il ne s’était rien passé.