Petit résumé du premier épisode :Je m’appelle Lise et je suis étudiante j’étais amoureuse d’un garçon prénommé Denis et plusieurs mois plus tard je l’invitais en discothèque où nous eûmes notre première relation dans les toilettes. Le lendemain je lui donnais rendez-vous chez moi.Mes parents possèdent un bateau, ils y passent donc la plupart des week-ends ce qui me laisse la maison à moi toute seuleDenis devait venir dans deux heures et je l’attendais impatiemment si bien que je courus dans ma chambre pour me caresser en repensant à notre soirée passée aux toilettes !Ma main descendit jusqu’à mon pubis que je frottais avec fougue. Mon désir insatisfait je pris la brosse pour le dos dans la salle de bain puis je m’appliquais à me l’enfoncer le plus profondément possible !L’heure tournait mais je ne fis pas attention jusqu’à ce que j’entende la sonnette je me rhabillais et m’ajustais pour lui ouvrir, je lui avais préparé une surprise, je voulais lui faire un strip-tease très hard et l’emmener dans ma chambre pour me donner à lui !Je lui ouvre donc la porte et l’invite à rentrer puis je remarque sa mine triste, il avait sûrement un problème mais je n’y accordais pas plus d’importance.On s’assit sur le canapé puis je lui demande ce qu’il veut regarder, il ne répond pas je m’approche donc de lui puis lui mets une main sur la cuisse et je lui dis »Ca ne vas pas ? » »Je suis désolé » me dit il. »Je ne peux pas faire ça, c’était une erreur j’avais trop bu »Je m’écarte et lui demande pourquoi. J’imaginais tout, il avait déjà une petite amie, il avait le sida, je me suis tout imaginé lorsqu’il m’avoua qu’il était homosexuel.C’est là que je compris sa délicatesse sa gentillesse, etc. etc. Quel dommage quand même un garçon pareil tendre, affectueux, compréhensif. Il fallait que je tombe amoureuse de lui. Je me mise à pleurer puis il me prit dans ses bras mis sa main sur mes cheveux et me réconforta. Je suis désolé, je t’aime beaucoup je ne voulais pas te faire ça.La chose la plus incroyable c’est qu’il se mit à pleurer, un homme qui pleure n’est ce pas attendrissant ?La tristesse me gagnait de plus en plus moi qui est d’habitude si forte, sûre de moi, je découvrais une nouvelle facette de ma personnalité.Nous restâmes ainsi plusieurs heures dans les bras l’un de l’autre à nous morfondre inlassablement.Il me caressait les cheveux puis la joue droite et enfin le cou je mis ma main sur la sienne et lui dis :— Tu sais, on peut rester de très bons amis, des confidents, il acquiesça de la tête et me serra contre lui.Je me mets maintenant allongée sur le canapé en posant ma tête sur ses genoux, puis je lève les yeux vers lui et vois qu’il louche sur ma poitrine je lui dis :— Tu es sûr d’être Homo ?— Pourquoi ? me demande t-il.— Tu es peut être homo mais tu apprécies quand même les atouts des filles !Il se mit à rire puis tourna la tête vers la fenêtre pour revenir sur ma poitrine quelques secondes plus tard, l’ayant remarqué je lui dis : » Tu peux les caresser !— Mais je t’ai dit qu’entre nous ce n’était pas possible murmura t-il.— C’est juste amical, n’y vois rien d’autre. C’est alors qu’il descendit sa main sur ma poitrine et commença à me la caresser à travers le tissu, j’ouvris le haut de mon chemisier et lui dis » Passe ta main en dessous tu pourras mieux apprécier ». Sa main s’enfonça sous le tissu puis sortit mon sein gauche de mon soutien-gorge, il immobilisa sa main plusieurs minutes et me fit une bise sur la joue en me remerciant de ma gentillesse.Moi je suis toujours amoureuse de lui alors je prends tout ce que je peux, la moindre caresse me rend heureuse.La nuit tombait et il partit à mon plus grand chagrin !Il devait être 19h00 quand il partit et je pleurais, puis j’ai appelé m’a meilleure amie, Alie, brune 1m70 59 kg yeux noisette et un sourire de déesse, elle a un succès fou avec les garçons, je pensais donc qu’elle pourrait me conseiller pour Denis.Elle accepta de venir et sonna à 20h15 je lui expliquais tout, la soirée, les toilettes, ma séance de masturbation puis les caresses sur le divan. Comme elle était ma meilleure amie et qu’elle venait souvent dans la semaine elle venait toujours dans ma chambre et là , malgré l’absence de mes parents nous y sommes tout de même allées, elle s’assit au pied du lit en tailleur et moi dans la même position sur mon oreiller. Elle me regardait d’une étrange façon puis me dit que je n’avais pas de chance.Je lui demandais ce que je devais faire, puis elle me répondit que je devais dans un premier temps me contenter du peu que je possède c’est à dire son amitié et que nous devions essayer de lui faire oublier les mecs !Je rigolais en lui demandant comment elle comptait faire puis elle me proposa de dévergonder son copain, nous nous mîmes à rire jusqu’à l’étouffement, si bien que je suis tombée du lit et me suis fait mal au dos Alie reprit son sérieux et m’allongea sur le lit et commença un massage pour atténuer la douleur.Elle me demanda d’ôter mon haut pour que la douleur parte plus vite, ce que je n’hésitais pas à faire car elle m’avait déjà vu nue car nous étions ensemble en sport et pendant les douches nous chahutions toujours dans la tenue d’Eve.Je me retrouvais donc sur le ventre, habillée de ma culotte et de ma jupe.Ses mains montaient sur mes épaules puis, après quelques aller-retour, redescendaient vers mon bassin, je me surpris à pousser un petit gémissement, ses mains sont divinement douces. Puis sa caresse médicale devint une caresse générale elle ne ciblait plus mon dos mais passait sa main sur mes côtes et en remontant frôlait ma poitrine, elle me demanda si je voulais qu’elle continue, je répondis que c’était très agréable et que j’arrêterais ça pour rien au monde.Elle me proposa alors de me retourner pour continuer le massage ce que je fis sans hésiter.Je me retournais donc mettant mes bras derrière la tête et fermant les yeux je voulais savourer ce moment le plus possible. Ses mains se posèrent sur mon nombril puis faisaient des ronds. Ses pouces frôlaient mes poils pubiens ce qui me provoqua une émotion non dissimulable, je poussais pour la deuxième fois un son exprimant mon plaisir Alie s’approchait de ma tête, à genoux, à ma droite et posa ses lèvres sur ma poitrine puis les embrassa furtivement.J’avais compris son manège mais je ne fis rien contre, voyant ma passivité elle passait ses mains sur mes seins et les pétrit comme de la pâte elle s’appliquait puis j’entrouvris mes yeux imperceptiblement quand je la vois redescendre sa tête vers mes seins. Elle s’apprêtait à la retirer quand je mis mes mains sur sa tête pour lui faire comprendre qu’elle pouvait continuer. Elle ouvrit alors la bouche et me mordilla les tétons ce qui me procura une sensation étrange. Sa main gauche restait sur mon sein droit, sa bouche léchait mon sein gauche puis sa main droite descendait imperceptiblement vers mon sexe.Elle força le passage sous ma jupe puis se mit à caresser mon sexe à travers ma culotte, je commençais à faire des mouvements de bassin afin d’amplifier ses caresses, sa bouche quitta mon sein pour rejoindre la mienne, puis sa langue se mêla à la mienne. Je descendais ma main gauche pour retirer ma jupe puis je me déshabillais totalement je me suis levée elle me rejoint puis je lui enlève tous ses vêtements.Nous nous couchons l’une à côté de l’autre, nos mains descendent vers le sexe de l’autre, elle rentre un doigt dans mon sexe puis deux et me demande de faire pareil. Nos caresses s’éternisent puis elle retire sa main de mon sexe pour la mettre dans ma bouche afin que je lèche ma cyprine.— Comment c’est ? me demande t-elle,— C pas mauvais !— Tu veux goûter la mienne ?— Pourquoi pas !Je me suis mise dans l’autre sens la tête en bas et le pied en haut, nous nous sommes mis sur le côté et ma bouche s’approchait de sa chatte je rentrais ma langue et lui titillais son clitoris, pendant ce temps elle me faisait la même chose.Nous prîmes une douche et elle téléphona chez elle pour dire qu’elle dormait chez moi. Cette nuit fut splendide nous n’avons presque pas dormis !Au réveil je déclarais que si l’homme de ma vie est « PD » je peux bien être « gouine ». Nous rigolâmes et prévoyons de recommencer bientôt.