Dérive sexuelle en puissance d’une jeune étudiante #3
Karine à trouvé l’amour. Mais tout va tellement vite… Et son corps, que lui arrive-t-il ? Si la partie raisonnable de son cerveau lui dicte la bonne conduite à suivre, elle se laisse embarquer, avec plaisir, dans d’affreuses souffrances sexuelles…
Proposée le 18/04/2021 par goelan Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
Je faillis m’endormir sur les toilettes, je n’eu pas le courage de prendre une douche, mes habits s’étalèrent au sol. Je fixais la silhouette de Valentin fine et longue dans mon lit.Ces derniers jours étaient vraiment fous !Heureusement que nous n’étions pas gros sinon…Je me faufilais sous la couette et me collais à son dos, même pas une minute plus tard, je m’endormais.Mais depuis quand j’invitais un presque-inconnu qui m’avait dépucelé dans mon lit moi ? C’est la fraîcheur qui me réveilla plus que mon alarme sur mon téléphone. Je n’avais plus de couette et je frissonnais toute nue. Il me fallut une bonne poignée de seconde pour me souvenir que je n’étais pas seule et l’ingrat m’avait piqué toute la couette.Je fis taire mon téléphone, merde il était 11h00 ! Dans 30 minutes je donnais un autre cours à la salle de sport et j’étais loin d’être net.Valentin grogna lorsque je sautais du lit, faillis me rétaler sur ses gaudasses traînant au sol et me rattrapais de justesse avec de forts jurons.- Gage… marmonna-t-il- Ta gueule, lançais-je sans méchanceté, je suis à la bourre et j’ai un mal de crâne terrible, j’ai pas pris de douche, je pue, j’ai mal partout, j’ai eu froid la moitié de la nuit, j’ai faim et dans moins d’une demi-heure je bosse !Il ne me nargua pas plus et m’observa pendant que je courrai de partout pour être prêt à l’heure.- A tout à l’heure criais-je en claquant la porte.La séance fut l’une des plus difficiles que j’ai pu donner d’autant plus que le chef de la salle était là pour la présenter à des sponsors, je dû prendre sur moi pour être la plus dynamique possible. J’étais au bord de l’évanouissement en rentrant chez moi, j’avais même presque oublié la présence de Valentin.Mais une bonne odeur de nourriture m’attendait, je la sentais sur le palier, lorsque j’ouvris, il vint me trouver et m’embrassa tendrement.- Va prendre une douche, je sers dès que tu es prête.Mes yeux se noyèrent de larmes et je me blottis contre lui en pleurant. J’étais si seule et lui arrivait dans ma vie comme ça. Il était un sacré pervers mais pouvait être tout aussi attentionné. J’avais peur de ce qui se passerait s’il décidait ensuite de me dire que je n’étais qu’un coup parmi d’autres et qu’il retournerait avec ses autres partenaires. Tout ce qu’il voulait c’était de me baiser et ensuite by by !Tout en pleurant je lui fis part de mes craintes, il me serra contre lui, je sentais sa chaleur et aussi son sexe qui gonflait.- Merde, tu ne penses qu’à ça ! Murmurais-je dans le creux de son cou- C’est toi qui me fait cet effet là- J’ai peur de me retrouver encore seule lorsque tu seras plus là- Je reviendrais- Mais tu es différent, tu as une vie, tu as d’autres envies, tes photos, vidéos…Il me repoussa et me pris les visages entre ses mains – Je n’ai pas pour habitude de larguer mes partenaires sur un coup de tête. S’il y a rupture c’est qu’il y a une bonne raison. Ce n’est pas parce que je balance du cul que je baise dans tous les coins.- Mais ces hommes alors ?- J’ai eu du mal à admettre que j’étais bisexuel, il m’a fallu longtemps pour que je prenne conscience que j’aimais autant les femmes que les hommes. Dans certaines de mes relations, et je n’en ai pas non plus eu des tonnes, nous avons tenté certains choses avec d’autres…- Et si je n’ai pas envie de ça ?- Alors pour le moment restons-en à nous deux, cela te va ?- Pour le moment ?- Je suis ton professeur sexuel ne l’oubli pas et certaines choses sont plus plaisantes que d’autres. Mais en aucun cas je ne veux te forcer, je te trouve très attirante et j’avoue que je me sens bien avec toi.- Tu dis ça pour me faire plaisir.- Je pense surtout que tu as besoin d’une bonne douche, d’un bon repas et du repos.Ce que je fis, dans l’ordre en plus. A peine le déjeuner avalé en discutant de tout et de rien, je tombais de fatigue dans mon lit.Je fus réveillé par des coups de langue dans mon cou. Je fus immédiatement parcouru de frissons et une main me retourna, Valentin était allongé à côté de moi, son visage collé au mien et il m’embrassa. Il me fallut un peu de temps pour comprendre la situation. En quelques heures, j’étais passé de voyeuses en apprentissage exhibitionniste sur le Net à une relation sexuelle avec un quasi inconnu… »Hop hop hop, tait-toi petite voix de la raison, les baisers c’est trop bien ! » pensais-je avec délectation sans penser à la suite. D’ailleurs, je ne voulais pas penser, c’est tout.Il me déshabilla avec des gestes lents et me caressa doucement. Je le laissais faire, fermant les yeux, lascive.Il se mit nue à son tour et je sentis sa virilité contre moi, grande, forte, douce et chaude, mais surtout énorme ! Je l’attirais à moi et l’embrassais encore et encore. Ses doigts fourragèrent mon entre-jambe et je gémis lorsqu’il joua avec mon clito sensible. – Doucement sauvage, grognais-jePour toute réponse il me pinça et titilla mes zones érogènes. Je mordis ma couette pour ne pas hurler de plaisir, sa langue était experte et moi trop sensible.Il me refit le coup de me lécher de partout et introduisit en moi un puis deux doigts qu’il fit aller et venir pendant que sa langue travaillait de concert. Je me arquais en gémissant, lui labourant le crâne de mes doigts.Il profita de ma passivité agacer petit trou de sa langue puis d’un doigt fureteur et je finis empalée des deux côtés, et en rythme en plus. J’étais un peu gêné par derrière car cela cassait mon extase clitoridien, une sorte d’incompatibilité… Pour le moment.Il se leva et alla farfouiller dans le sac du sex shop. Il en sortit un petit tube de gel offert par le caissier et comprit ce qu’il avait en tête, cela allait être ma fête. Après tout, ne me l’avait-il pas promis ? Il me fit me mettre en levrette, le cul vers lui la tête contre mon oreiller, je me laissais faire quelque peu inquiète mais aussi curieuse. Quelque part je n’avais aucune honte à lui montrer mon intimité. »Mais tu fais quoi là ? » M’interrogea mon cerveau. « Punaise, tu sais ce qu’il va te faire, non ? »Et oui, je le savais, du moins je m’en doutais fortement.Il me lécha encore et encore me fit gémir, sa langue me fouillait de partout pendant qu’unun de ses doigt enduisit mon anus de gel. « Mais il est gros ! jamais il ne pourrait me la fourrer dans le cul ! » Marmonna de manière inquiète ma petite voix intérieure.Mais je continuais à me laisser faire.Il glissa doucement son index entre mes fesses qui l’accueillit chaleureusement. Quelques poignées de secondes plus tard, et du gel en prime, un second doigt me ramona le cul. J’étais anxieuse, je savais qu’il était gros, mon coeur s’affolait et j’avais du mal à tenir une respiration calme, surtout qu’il me taquinait le clito ou mon vagin pendant qu’il me doigtait de manière experte. Je n’avais pas mal, c’était juste, comment dire, je me sentais comme un animal pris au piège avec un prédateur. Mais un prédateur qui me faisait jouir !Je sentis un troisième doigt progresser dans la corolle de mon anus gluant de gel et écarter encore plus mes chairs anales. Je serrai les dents, cela devenait gros. Il les fit aller doucement jusqu’à ce que mes chairs s’habitue à cette intrusion. »Mais arrête, il va t’enculer là et tu te laisses faire comme la première venue ? M’alarma la partie de mon cerveau rationnelle.Mais je n’eu pas le temps d’y songer plus avant.Je sentis ses doigts quitter mon fondement et le lit grincer. Il et se mit en position, je sentis son gland glisser sur mes fesses, passer dans ma raie jusqu’à mon vagin, être tenté de s’y planter, puis taquiner mon clito et revenir plus haut… Derrière ! Il le fit plusieurs fois de suite pour me détendre et enfin il positionna sa bite et poussa doucement.J’étais le cul en l’air, le visage enfoui dans la couette, une queue hors du commun ouvrant un passage contre-nature entre mes fesses…Il poussait, poussait, poussait avec une lenteur extrême, il était gros mais ce n’étais pas le premier cul qu’il cassait. Il y allait avec lenteur, se retirait, poussait à nouveau, glissait avec le gel, se repositionnait tout en me caressant et avec de nombreuses pauses.Mon anus l’accueillit avec difficulté mais comme avec la bougie, il finit par abdiquer et son sexe finit par entrer en bonne partie en moi suite à une poussée plus vigoureuse.- Ahhhhhhhhhh c’est trop gros ! Je suis écartelée !Il ne dit rien, ne bougea plus, moi non plus. Je soufflais les mains crispées, attendant la suite. J’étais partagée entre vouloir arrêter ce supplice et curieuse de savoir s’il pourrait terminer ce qu’il avait commencé. Pourquoi je me laissais ainsi faire ? Je ne le savais pas moi-même… Sa main passa sous moi et me flatta la vulve et mon clito qu’il massa suffisamment pour que je gémisse à nouveau, sa bite toujours fichée dans mon cul écartelé. Puis je le sentis pousser encore… Puis il se retira un peu, s’enfonça de nouveau, me branla, poussa, me branla, se retira, me branla, poussa, et à un moment donné, je ne sentis plus qu’une chose, sa bite qui allait et venait par de lent mouvement entre mes fesses, cela y était, j’étais sodomisée !J’avais l’impression qu’il ne s’arrêterait jamais, d’ailleurs il n’en avait pas l’intention.
Il me l’avait dit, il serait le premier, il m’enculerait, ce mot si dur et honteux pour moi à la fois à ce moment-là prenait tout son sens maintenant.Comment d’un simple échange sur le Net, j’étais devenu sa partenaire sexuelle, je lui avais donné mes virginités, et le tout sans aucune honte, au contraire, je découvrais du plaisir à vitesse grand V, comme si toutes ses années de sevrage éclataient d’un coup.Comme s’il était programmé pour cela, mon cul finit par s’adapter à sa largeur grâce à ses bons soins et sa douceur. Il ralenti et ajouta du gel sur sa hampe puis se remit en mouvement. Je le sentis encore progresser en moi puis y aller avec plus de rythme. Combien de centimètre avais-je déjà entre les fesses ? J’avais l’impression que cela n’en finirai jamais ! Vous connaissez l’expression en avoir plein de cul ? Je la vivais pleinement croyez-moi ! Le temps fila et comme un bon professeur il prit son temps pour m’acclimater et ensuite. Mais sa patience avait des limites, il finit pas ne plus prendre de gants et il m’encula avec grands coups de butoirs, m’emmenant avec ses mouvements, comme j’avais déjà pu le voir dans les films.Le frottement de son sexe en moi, le sentir glisser dans mon fondement puis ressortir aussi sec avec de plus en plus d’aisance, me troublait de plus en plus. Je n’avais jamais imaginé ressentir quelque chose par ce côté là. Je n’avais jamais été porté sur l’amour anal, c’était une découverte pour moi.Si j’avais jouis rapidement sous ses coups de langue ou par devant la veille, les sensations et impressions n’étaient pas du tout les mêmes, c’était plus lent, plus insidieux, cela chauffait et finit par éclater comme une bulle de savon. – Ahhhhhh, criais-je dans les draps, les yeux clos, les mains serrant les draps.Il venait de s’enfoncer entièrement d’un coup puissant plaquant son bassin contre mes fesses, il y resta sans bouger. Je n’aurai pas cru pouvoir l’avaler ainsi en moi entièrement, je ne pouvais plus bouger, j’étais épinglé comme un papillon sans sa boite. Il soufflait aussi, je l’entendais et sentais sa queue palpitait en moi. Mon anus la serrait et je sentais sa chaleur me contaminer. – Ca va ? Murmura-t-il en se penchant contre ma nuque.- Ca va mieux, tu es gros ! Murmurais-je – Ton cul est dément, je l’adore, me répondit-il- Tu prends ton pied parce que c’est ma première fois- Non, tu ne peux pas comprendre, c’est bizarre mais ma bite dedans, tu…- Bouge, s’il te plait, marmonnais-je.Il n’en demanda pas plus et me butinant les oreilles, ses mains attrapant mes seins minuscules et mes tétons durs et pointus, il se remit à m’enculer.Une autre expression « se faire ramoner » prit aussi tout son sens. Se doigter avec un doigt ou deux n’avait rien à voir avec un calibre pareil. Mon lit gémissait autant que moi sous les coups de butoir, il haletait tout comme moi et n’y allait plus avec précautions. Mon anus me chauffait et soudain il se retira complètement. J’eu une immense impression de vide et lançait mon cul vers lui sans m’en rendre compte.- Tu aimes ça, avoue !Et s’il se replanta à fond et me bourra encore et encore. Et moi je gémissais en même temps…Qu’étais-je devenu ? Pourquoi mon corps acceptait cela ? pourquoi aimait-il cela ? Je m’en foutais, pas de réflexion, enfin pas pour le moment… Il me demanda de changer de position et me retourna.Sur le dos, les jambes sur ses épaules il avait repris possession de mon anus après m’avoir baiser devant un petit moment. Je n’en pouvais plus, je me tordais de plaisir.Mais soudain, il se retira et jetant son préservatif, il éjacula sur mon ventre et ma poitrine sa longue bite palpitante dans sa main. Il était en sueur, semblant avoir réalisé un marathon. Il finit par s’affaler à côté de moi me tenant la main.- Mon dieu, c’était incroyable !- Moi pareil, soufflais-je mes battements de cœur ralentissant.Je touchais mon anus, le trouvant gluant, humide, gonflé et légèrement douloureux, mon doigt s’y enfonça sans aucune résistance, j’en fus troublée et je le retirais.- Tu es hyper sensible en plus, reprit-il, je n’ai jamais vu quelqu’un s’exprimer autant.- Ah bon ? Et tu en as connu combien comme ça ?Je me mis sur un coude, le sperme coula sur les draps, tant pis.- Hum, une petite dizaine- De filles ?- Depuis mon adolescence oui- Et de garçons ?- Un peu moins, 3 ou 4, mais certains récurrents.- Hum, tu me bats à plate couture.- Est-ce grave ? En tout cas, je t’avoue que jamais je n’ai été excité à ce point, tu as un je ne sais quoi qui me fait vibrer dedans.- C’est vrai ? J’aimais à croire que j’étais différente des autres, tant qu’il restait avec moi. Oui je m’attachais à lui cela allait sans dire, encore plus depuis que le sexe était entré dans ma vie.- Cela te gêne que je sois bi ?- Je n’ai pas trop d’apriori vu que je le sais su avant de… Enfin tu vois quoi. Mais bon, autant ne pas en parler pour le moment.- Embrasses-moi !Ce que je fis puis tout à coup, je filais aux toilettes et ensuite je pris une douche.Rassasiés, après un peu de ménage et de lessives, nous filâmes voir l’expo que j’avais raté la veille. Malheureusement toutes bonnes choses avaient une fin, nous devions nous quitter pour nous préparer la la prochaine semaine, surtout que j’avais du taff en retard que je devais rendre le lendemain.****Une fois seule au soir je déprimais. J’étais à la fois heureuse mais aussi inquiète. Tout cela s’était passé si vite ! Et tous ces mots, les croyait-il ? Je n’étais pas un laideron mais pas non plus un canon. Maintenant qu’il avait eu ce qu’il veut, m’enverrait-il balader ? Après dîner, son appel me rassura un peu. Nous discutâmes de nous, de notre passé, de notre vie, tentant de nous connaître mieux. Certains le font avant de passer à la casserole, nous on avait fait les choses inversement.Le lendemain j’avais plus la pêche mais complètement courbaturée. Entre le sport du matin et notre partie de jambe en l’air, j’en payais le prix fort.Au midi, je lui envoyais 2 croquis de lui, l’un en tenue féminine et l’autre, de lui nu allongé de côté, se branlant, sa bite au garde à vous, ses yeux fermée et sa bouche ouverte sur une jouissance à venir. Je les avais dessiné la veille au soir et j’avoue que cela m’avait excitée.Je reçu sa réponse en plein court l’après-midi, j’étais impatiente de savoir ce qu’il en pensait et je du cacher son MMS au risque que quelqu’un le voit. Le cochon avait repris la seconde pause dans une mini vidéo et m’envoyait des bisous de la main avec des pouces en l’air, il avait aimé ! Mais maintenant je pensais à son sexe et mon ventre chauffa assez pour me déconcentrer. Le pervers, il l’avait fait exprès et ne perdait rien pour attendre.Je profitais d’une pause entre deux cours pour me rendre aux toilettes, personne, c’était le bon plan. Je lui envoyais une photo en gros plan de mon clito gonflé. Sa réponse ne tarda pas en SMS.- J’ai envie de toi !- Tu ne peux pas, j’ai cours- Branles toi alors- Ca va pas, si quelqu’un venait ?- Ne fais pas de bruit- Non, c’est trop risqué- Tu me dois un gage- N’importe quoi- Si l’autre jour, même deux, tu m’as dit ta g…- J’étais énervé- Pas de mensonge, pas de gros mots !- Toi et tes règles à la noix !- Et passe sur le chat vidéo stp que j’en profite.- Pervers !- Est-ce un gros mot ?- Prends ça comme un compliment :-DAssise sur la cuvette refermée, les jambes relevées, la jupe, pour une fois ça tombait bien, remontée et ma culotte dans ma poche, j’obéis à Valentin et une main tremblante tenant l’appareil devant mon vagin, je me masturbais de l’autre. J’avais une trouille bleu que quelq’un n’entre. Pendant que je frottais ma vulve luisante de cyprine, j’épiais chaque bruit ambiant. La situation m’effrayait certes mais m’excitait aussi, je me mordis la lèvre inférieur en retenant un râle et dans une branlette rapide de mon gros clito, je finis par jouir devant lui.Soudain, la porte des toilettes s’ouvrit et une floppée de nanas discutant de cours et de bout de gras investirent les lieux. J’étais mortifiée ! Je fis chut à valentin en voulant me rhabiller. Je cherchais après ma culotte mais ne la trouvait pas. Merde et remerde, je flippais à mort et regardais autour de moi, là, elle était tombée sur le sol des toilettes d’à côté !Quelqu’un y entra dedans justement.- Putain, les filles, il y en a qui ont pris leur bon temps ici, la nana en a même oublié sa culotte !Les autres ricanèrent et ma culotte fut ramassée, de nombreux commentaires fusèrent dessus et moi rouge comme une tomate, j’attendais assise qu’elles se barrent. La clinche de ma porte claqua malgré le bouton rouge de « c’est occupé ». Cela ricana encore un moment, les chasses d’eau firent leur boulot puis elles disparurent aussi soudainement qu’elles étaient apparues.J’attendis encore un peu, j’allais être en retard à mon cours suivant, puis enfin j’osais sortir, personne dehors, je passais dans les chiottes suivant, pas de culotte ! Merde, et remerde. Je regardais autour de moi, rien ! Dans la poubelle, non plus. Salopes, qu’en avait-elle fait ? Il ne restait que deux solutions, elles étaient parties avec ou alors la poubelle pour protections périodiques. Mais impossible de la récupérer là-dedans !Dans les deux cas j’étais coincée, je finis pas sortir cul nue sous ma jupe complètement honteuse et hors de moi. Si Valentin ne m’avait pas demandé ça… – Tu as réussi à t’en sortir ? m’envoya-t-il par SMS- Sale c… J’ai perdu ma culotte et des salopes l’ont trouvé avant moi !- Mince ! Je suis désolé…- Pas tant que moi, si quelqu’un s’en rend compte ?- Je bande.- Mais tu n’es qu’un pervers ! Tu ne pense même pas à moi !- Je pense surtout à ton petit cul tout nu- Va te faire enculer !- J’ai le droit ?- Si tu touches à une queue sans ma permission je te castre !- J’attends donc ta permission- C’était façon de parler, je n’ai pas envie de… On sort à peine ensemble et tu veux déjà voir quelqu’un d’autre ?- Tu officialise ? J’eu soudain très peur, se jouait-il de moi ? Blaguait-il ? J’y allais franco- Ouep ! Tu es à moi dorénavant, tu es mon mec que cela te plaise ou non !- Donc on sort ensemble ? Tu es ma petite-amie officielle ? – OUI ! Je t’ai pas donné ma virginité pour que tu te casses 2 jours plus tard mon mignon – Je t’adore et ton petit cul aussi ! Tu finis les cours quand que je vienne embrasser ma petite amie ?YESSSSSSSSSSSS ! j’avais retenu mon souffle jusque là mais bingo, j’étais rassurée.- Attends, euh, je… Je lui indiquais heure et localisation et je planais le reste des cours oubliant l’absence de ma culotte ou presque.Je le cherchais du regard à la sortie du bâtiment comme une collégienne avec son premier amour. Il me trouva le premier et franchement il avait fait un super effort vestimentaire style beau gosse. Costume décontracté, mocassin, coiffure plutôt masculine et malgré ses traits fins et féminins, il puait le male à plein nez, parfum compris. Je me jetais sur lui et l’embrassais fougueusement, il était à moi ! je n’avais cure des regards des autres, ceux ou celles qui me laissaient toujours de côtés comme ceux qui m’appréciaient tout de même un peu.- Merci, chuchotais-je à son oreille, tu as la classe !J’entendis un sifflement derrière moi et une pseudo amie me fit signe pouce en l’air, je lui répondis et partais avec mon « copain » vers d’autres lieux que la fac d’art plastique. j’étais sur que le lendemain j’aurai droit à la pelletée de questions.- Alors comme ça tu es cul nu ?- Mais tu ne penses qu’à ça ? répondis-je ne regardant autour de moi et vérifiant que ma jupe longue était toujours à sa place. Je n’avais pas de robe et peu de jupes. Les seuls que j’avais étaient longues jusqu’aux chevilles. – Tu m’as excité à fond tout l’heure- C’est toi qui m’as demandé de…Il me passa la main sur les fesses et me sourit de toutes ses dents biens alignées.- Mais arrêtes, on peut nous regarder !- Et alors ?- Tu vas baisser dans leur estime de beau gosse- Pas faux, mais je reste ton pervers, donc…- Tu connais un coin tranquille ici ?- Oh non, je ne ferai pas ça- il te reste un gage…- Je m’en fiche, tu m’as déjà mis dans la mouise tout à l’heure et cela vaudrait un bon retour de bâton- C’est pas ma faute si tu ne sais pas ranger tes dessous !Je le frappais à nouveau gentiment sur l’épaule- Tu m’énerves !- Alors ?- Alors quoi ?- Un coin tranquille, une salle vide, un truc du genre- Et si je refuse ?- Hum, refus de gage ? Ca va au moins dans les 25 centimètres !- 25 centimètres de quoi ?- De bite dans ton petit cul ! Répondit-il tout hautJe le foudroyais du regard et vérifiais que personne n’avait entendu- Mais tu me fais quoi là ?Il me sourit et m’embrassa sur la joue.- Je ne sais pas, lorsque je suis avec toi je deviens fou !- De mon cul surtout, grommelais-je- S’il n’y avait que ça- Obsédé !- Je préfère pervers- MON petit pervers, je précise !- MON petit cul, je précise aussiJe me mis en face de lui et l’agrippais sur les rebords de sa veste.- Ne t’en vas pas croire que tu pourras faire ce que tu veux de moi ! – Embrasses moi plutôt que dire des bêtisesCe que je fis goulûment. Il en profita pour me pétrir les fesses joyeusement, mon ventre chauffa d’autant plus que je sentis son sexe durcir.- Tu es un sale gosse, MON sale gosse.- J’ai bien compris tu sais- Compris quoi ?- On sort ensemble, je suis ton petit-ami et toi ma copine- Oui mais je préfère mettre les points sur les « i »- Moi je préfèrerai mettre autre chose autre partJe le repoussais en faisant mine d’être fâché.- Tu ne trouves pas cela drôle ?- De quoi ?- Tout ça, ça va si vite. Il y a peine une semaine on discutait de tes photos, et maintenant…- Tu voulais faire quoi ? Attendre 6 mois pour être certains d’être compatible ? Je te kiffe, tu me kiffe, et puis voilà.- C’est si simple pour toi- Pourquoi est-ce que les nanas travaille toujours du cerveau ?- Je n’arrête pas de penser que je n’ai rien d’attirante. – Mais tu n’as toujours pas compris ?- Quoi ? – Justement, tu es différente et moi aussi ! J’ai l’esprit d’une fille, toi celui d’un mec, j’ai le corps d’une fille, exception faite de tu sais quoi, et toi inversement, c’est comme nous étions ce qui manquait à l’autre ! Franchement je n’ai jamais trouvé quelqu’un qui m’acceptait aussi rapidement que toi. Tu peux avoir un fichu caractères mais tu vas accepter tous mes délires, tu n’as pas dit non à mes envies et je sais t’écouter aussi.
Mes yeux brillèrent et une larme coula sur ma joue, il passa son doigt dessus et me pressa contre lui. Il sentait bon le parfum pour homme.- Je me suis senti si seule depuis des années, mes parents ne s’occupaient pas de moi et les mecs ne me trouvaient pas attirantes, sauf si c’était pour baiser. Et là pas question de servir de putes du collège ou du lycée, donc…- Viens ici bébé…- Je ne suis pas ton bébé.On se refit un câlin et il me prit la main.- Cela te dérange toutes mes photos et vidéos sur le Net ?- Je suis jalouse de ceux ou celles qui t’ont touché avant moi. Mais c’est ta vie, ce qui te rend différent, sans cela je ne t’aurai pas connu. Cela paraît étrange, je voudrai que tu les vires et même temps que tu les laisses. – Tu as peur qu’une petite oie blanche tape à la porte de ma messagerie ?- Si cela arriverai, je la zigouille et la bouffe à Noël !- Pourquoi m’as-tu répondu au fait ?- Je réponds lorsque c’est gentil et poli- Et…- Arrêtes de te tracasser s’il te plait, allons plutôt faire quelque chose- Je dois bosser moi !- Tu dois faire quoi ?- Devoirs, je suis à la fac je te rappelle.- Bon, je peux venir chez toi au moins ?- Si tu es sage et tu me laisses bosser, on mangera sur la terrasse- Tu as une terrasse toi ?- Pas officielle, mais il manquera une chaise par contre- Trouvons en une en chemin La chaise pliante dégottée était en bois et pas de première jeunesse mais robuste.
Arrivés chez moi je lui montrais mon installation de fortune, il trouva l’idée sympa mais comme moi, à utiliser avec précaution.Pendant qu’il préparait le dîner et mis la table dehors, je tentais de me concentrer et fis mes devoirs le plus rapidement possible. A peine relevée de mon lit il m’attrapa- Hep, Hep, j’ai un truc à vérifier- Quoi donc ?Il ne dit rien et souleva doucement ma jupe, je n’avais toujours pas remis de dessous et il posa sa main nue sur mes fesses, il me sourit.- Petit cul va… Et il m’embrassa.Il me poussa contre le mur et me remonta les jambes autour de lui, je sentais sa bosse dans son pantalon et je lui bouffais la bouche. Il me tenait pas les fesses et me les malaxait en même temps.- Pervers lâchais-je en reprenant mon souffle.- Je ne me balade pas sans culotte moi- C’est pour mieux t’exciterIl me relâcha et sorti sa bite de son pantalon, je la lui pris et commencer à l’explorer de mes mains.- C’est l’entrée ou le dessert ? Par quelle porte sous entendais-je…- A toi de voir, souffla-t-ilJe quittais ses yeux du regard pour regarder la bête. Pris d’une inspiration, je me mis à genoux et louchais cette bite hors du commun, ma main n’arrivait pas à en faire le tour, j’avoue tout de même que je n’étais pas très grande et que ma main non plus. Mais quand même. Valentin frissonnait attendant la suite sûrement. Je me mis à le branler doucement, palpant cette tige de chair douce et dure en même temps. Je sortis ma langue et commençais à lécher son gland, titillant son mea au passage Son gland était pointu et en forme de cône, sa bite longue était plus large vers le milieu et légèrement courbée. Cet engin était étonnant, passionnant à découvrir et très gouteux. J’ouvris la bouche en grand et tentais de l’avaler mais peine perdue, jamais je ne pourrais la sucer entièrement ! J’avais déjà mal à la mâchoire en tenant d’en mettre le plus possible dans ma bouche et de lui faire ma première fellation avec lui.Je sentais son odeur aussi, mélange de musque et de parfum. Il était rasé, comme sur toute ses photos et sa peau était douce au touché. Je palpais aussi ses couilles assez grosse aussi et je sentis ses mains prendre ma tête.Je le pompais plus vite le branlant en même temps, il gémit et je le sentais se contracter. Mon ventre me brula et mon vagin devint moite. – Attention, je vais éjaculer, me prévint ilJe me reculais aussitôt en le lâchant, je n’étais pas prête à avaler son sperme, sa bite gonfla et je le vis se retenir mais peine perdu un jet de sperme puis un autre fusèrent de son mea et atterrirent sur ma figure alors que je criais de surprise !- Désolé marmonna-t-il sans se reculer, les derniers soubresauts de sa bite m’éclaboussant encore.J’avais les yeux exorbités, du sperme dans les cheveux, sur mes joues dans ma narine même et sur mes lèvres- Ahhhhhhhhhhhhh, criais-je en me relevant filant dans ma petite salle de bain.
J’en avais aussi sur mes vêtements.- T’es dégueu ! Lançais-je en me débarbouillant, mais plus je le faisais, plus cela s’étalait.- Je t’ai prévenu, s’excusa-t-il- Mais trop tard, et ça colle ce machinJe le sentis se rapprocher de moi. Il me caressa les fesses.- Ce n’est pas le moment, je vais devoir prendre une douche !- Tu prends la pilule ?- Hein, oui pourquoi, rétorquais-je penchée sur le lavabo, la tête sous l’eau.Il dégrafa ma jupe qui tomba au sol et je avant même que je ne réagisse, il logea son sexe entre mes lèvres humides et glissa en moi doucement, juste un peu…- Ahhhhhhh, criais-je et il me baisa ainsi à moitié noyée par le jet d’eau, qu’il coupa heureusement. Il me déshabilla et pendant que je m’agrippais au lavabo pliée en deux, il s’empara de mes micro-seins et surtout mes gros tétons ! Tout était disproportionné chez moi. Une fois excités mes tétons gonflaient comme des framboises, et pointaient fièrement en avant, ils étaient super sensibles et ses caresses dessus me faisaient frissonner.Il me baisa doucement, sans m’empaler complètement, de petits coups me faisant autant d’effet que des coups de butoirs. Je gémissais de plaisir heureuse qu’il m’ai fait découvrir les secrets du sexe.- Tu aimes ma bite, me demanda-t-il penché sur moi – Oui, gémissais-je, oui, oui, elle est à moi, en moi !- Je vais te filmer et te montrer ensuite comment tu aimes ma biteJe ne réagis pas sur le coup, Valentin n’en rata pas une miette, me filmant complètement nue me faisant baiser, enregistrant mes cris et gémissements, sa bite glissant entre mes lèvres.Il me fit me redresser, j’étais sur la pointe des pieds à moitié empalée, le visage dégoulinant d’eau et encore de sperme qui collait mes cheveux.- Regarde me fit-il en me montrant la vidéo tout en continuant à me pilonner doucement- Vicieux, marmonnais-je honteuse et excitée- Petit cul, répondit-ilIl posa son téléphone et releva mes jambes en les prenant sous les genoux, il posa mes pieds sur le meuble du lavabo, on voyait toute mon intimité dans le miroir et sa queue me baisant. Me tenant d’une main, il reprit son téléphone et nous filma ainsi de face, moi complètement en son pouvoir gémissante et haletante de plaisir et lui, mon tortionnaire, me bourrant d’affreux coups de bites.La position fut telle que je m’empalais de plus en plus sur lui et cela me fit crier de plus belle. Qu’il était gros là au milieu, mes voisins du dessous devaient être aux premières loges !Il posa son appareil à nouveau et augmenta la cadence et finit par tapisser mon vagin de son sperme. La sensation sans préservatif était encore meilleure et je m’accrochais à lui jouissant de concert. Même si ma petite voix intérieure se demanda si j’avais bien pris ma pilule au matin…Douchés et épuisés, nous dînâmes dehors ensemble avec la vue sur Paris.- C’est petit chez toi mais la vue est trop bien.- Tu habite où toi ?Valentin habitait dans un appartement beaucoup plus grands. C’était celui de son Oncle qui travaillait à l’étranger. Comme il revenait rarement, c’était lui qui l’occupait. Un quartier assez calme et un jardin au rez-de-chaussé. – La prochaine fois tu viendras dormir chez moi si tu veux- Pas en semaine, je serai trop loin de ma fac et de la salle de sport où je donne des cours- Vendredi soir ?- Ok, j’ai hâte de découvrir ta tanière- C’est sobre et classique, ce n’est pas moi qui fait la déco- Mais c’est plus grand qu’ici !- Oui, beaucoup plus, mais je n’ai pas cette vue par contreNous ne refîmes pas l’amour cette nuit-là, trop fatigués et surtout besoin juste de câlins et de parler.Il devait me retrouver le lendemain après les cours, et forcément, j’eu droit à la floppée de questions et de remarques sur mon « mec » de la part de mes camarades les plus sympas. J’avais l’impression d’entrer dans groupe, de ne plus faire partie de cette communauté de laisser pour compte, je devenais intéressante parce que mon petit ami était mignon, et que j’en avais un aussi.Je ne prenais pas le melon, certaines étaient des garces d’autres non, dans tous les cas, ma façon de vivre à la fac ne changea pas pour elles.***Après dîner, ce soir là, Valentin travailla sur son PC portable, il travaillait avec aisance sur ses logiciels de retouche d’images et je le félicitais, j’étais aussi curieuse de ce qu’il faisait, juste une nouvelle photo à mettre en ligne, une soft encore.- Pas de cul cette semaine ?- Je n’ai plus très envie de poster les vieilles photos.- Tu veux que je te prenne en photo ?- Non, j’avais plutôt envisagé de poster un truc plus hard, avec nous deux, attend, sans ton visage bien entendu, tu as déjà montré ton sexe, mes lecteurs le connaissent maintenant.J’étais mitigé, mais à force de persuasion, on se promit d’en prendre une prochaine fois et de choisir la plus provocatrice sans montrer les détails de mon corps ou de mon appart.- Tu as quoi d’autres dans ton PC ?- Hum, mon passé, me sourit-il d’un air un peu gêné- Montres et je m’assis à côté de lui sur le lit- Tu ne vas pas me faire une crise de jalousie, c’était avant, hein ?- Ta bite est à moi, et le reste aussi d’ailleurs, donc non ! Et puis je suis un peu curieuse en faitIl ouvrit un répertoire et il y avait plein de sous-dossiers avec des noms- Celui-ci, dis-je en pointant un nom au pifIl pâlit légèrement- Tu es sûr ?- Tu me caches quelques chose ?- Non, disons que tu pourrais être choquée- Par quoi ? Mon ventre me titilla soudainementIl ouvrit le dossier, il y avait des icônes de photos et de vidéos.- Tu aimes qu’on te filme dis-donc- Pour pouvoir poster- Mais oui c’est ça, allez ouvre celle-ciIl double cliqua et je criais de surprise mettant ma main sur ma bouche. Devant moi Valentin, les cheveux plus courts, les jambes bien écartées et relevées, sautait sur le membre d’un noir fiché dans son cul. Sa bite tendue se balançait au rythme de ses mouvements. Le pire était qu’un autre lui tenait la tête et baisait sa bouche de son membre et d’une main, il en branlait un dernier. Il portait les reste d’une tenue de soubrette et son visage était maquillé comme une fille, d’ailleurs à part sa queue tendue, on aurait dit une fille.- Merde ! M’exclamais-je surprise- Gage !- Arrêtes, punaise, non, tu,.. M… Je me retenais de jurer à nouveauJ’étais estomaquée, je le savais, j’avais vu des photos, mais de le voir ainsi, non pas possible. Pourtant mes yeux n’arrivaient pas à se détacher de l’écran. Heureusement il n’y avait pas le son. – C’était quand ça ?- Il y a presque un an avoua-t-il- Tu l’as fait souvent, ce… genre de trucs ?Savoir qu’il était bi et le voir en live me faisait un choc- Avec trois hommes en même temps, non juste une fois- Et tu.. n’as pas eu mal ?- Ce n’était pas ma première fois- Ah… et euh, c’était quand ?- A 15 ans, mais c’est une autre histoire, j’étais naïf et je ne savais pas qui j’étais réellement. Je te raconterai une autre fois- Allez toi tu connais ma première fois- Ce n’est pas très glorieux, je me cherchais, je n’y connaissais pas trop en sexe, très timide et très candide… J’étais dans un internat et il y a toujours un vicelard dans ce genre d’endroit. – Et ? demandais-je curieuse- J’ai tapé dans l’oeil du vicelard en question, le concierge pour tout t’avouer, un jour il m’a coincé pour une connerie qui n’en valait pas ce que j’ai subis ensuite, mais à cet âge j’avais peur de tout et encore plus des punitions, ils étaient sévères.- Mince, désolé pour toi- Il ne lui a pas fallu longtemps pour me mettre la pression, me faire peur et me dénoncer, j’ai fini par accepter sa « contrepartie » de son silence- Mais c’est un viol ! M’exclamais-je- On peut le voir comme ça dans le sens strict du terme, mais il ne m’a pas forcé comme un bourrin. Il a commencé par des attouchements, il me branlait en douce, il aimait ça, et j’avoue que je bandais même si j’avais peur- Je ne sais pas quoi dire…- Et un jour j’ai du le branler, je pense que tu connais la suite- Je pense en effet- Après la branlette et venue la fellation, lui puis moi. Tu parles, je me faisais sucer pour rien et à 15 ans j’étais déjà bien monté, je prenais du plaisir, certes malsain avec un mec plus âgé et pervers, si ils avaient su cela il aurait été viré à coup de pompes dans le cul, mais je n’ai jamais rien dit. et quelques semaines avant la fin de l’internat, il est passé à la vitesse supérieure. Il avait appris que je ne revenais pas l’année suivante, j’allais venir ici, à Paris faire mes études en logeant chez mon Oncle. Alors il m’a enculé, il m’a dépucelé dans la cave, dans la chaufferie, et je me souviens que j’ai pleuré, j’étais honteux, je me rendais enfin compte de la situation, j’étais honteux non pas qu’il me fasse ça, mais que je bandais tellement que j’en avais mal à la bite.- Mon pauvre… Je lui caressais le dos doucement – Il m’a à peine touché la queue que j’ai éjaculé sur le tas de charbon devant moi. Puis il m’a enculé dès qu’il le pouvait jusqu’au dernier jour où il m’a laissé le prendre pour la seule et unique fois… Ma première sodomie, ma première relation sexuelle. Un silence passa, et sur l’écran il changea de position et chacun son tour, ils l’enculaient en levrette. Lui le visage luisant de sueur gémissait de plaisir. – Tu aimes la sodomie à ce point ?- Je me suis longtemps cherché. J’aime aussi les femmes, la preuve, mais ça fait parti de moi, oui et je n’en ai plus honte maintenant. Et le passé et le passé.- Et tu en as encore, envie, euh, je veux dire maintenant qu’on est ensemble ? – Pour le moment je n’en ai pas le besoin – Ah, mais le jour où…. tu va les revoir?- Pourquoi ? Tu pourras toujours m’épauler au pire- Hein ? Quoi ? Je rougis, moi, euh, hein faire ça ?- Il existe des artifices…- Mais tu bandes sale pervers !En effet, une belle bosse déformait son pantalon. Je lui pris le PC de sur ses genoux et les mains tremblantes, je remontais sur le répertoire supérieur et lançait la visionneuse avec lancement aléatoire. Puis je le repoussais plus loin sur le lit.- Valentin… Je t’avoue que c’est un peu difficile pour moi de te voir ainsi. Mais c’est aussi comme cela que j’ai été attiré par toi. Je ne te l’ai jamais dit encore, mais avant qu’on ne discute, je me suis… masturbé devant tes photos et vidéos.Il ouvrit la bouche l’air surpris et curieux.- Laisses moi terminer. Avoir un petit ami avec ce genre d’envies m’effraie et m’attire aussi. Comment cela va se passer le jour où tu me diras que je ne te suffis plus ? On ne peut nier ce genre de choses, surtout toi qui t’assumes complètement et va même jouer la femme. Pendant ce temps les images de lui défilaient doucement sur l’écran, de la plus soft à la plus vulgaire. C’était lui, il était comme ça, devrais-je le changer parce que j’arrivais dans sa vie ?- J’ai une boule au ventre de voir ces photos et vidéos, pourtant celles que tu as posté m’ont excité. Mais je ne te connaissais pas encore, je n’aurai jamais pensé que toi et moi… Je passais ma main sur sa bite tendue dans son pantalon et commençais à la lui sortir.- Tu es ce que tu es et je n’ai pas à changer ta nature, je te demande juste de…- Ne pas courir ailleurs ?Je lui souris et le branlais doucement posant mes lèvres sur les siennes. Un bruit de coït m’attira et je le vit faire l’amour à une blonde pulpeuse aux formes plus que généreuses. cela me fit aussi mal même plus que lorsqu’li était avec un mec. Jamais je ne serai ce genre de nana, pourquoi est-ce que je l’attirais ?- J’ai l’air d’être une folle possessive…- Tu es ma petite folle possessive- J’ai besoin d’amour, pas que de sexe- J’ai besoin de toi aussi- Pourquoi, je n’ai pas le répondant de ce genre de…Et je montrais la vidéo en tentant de ne pas la regarder de face. – Je ne te case pas dans un modèle de femme stéréotypée. Tu es ce que tu es et c’est comme ça que je te kiffe ! Et regarde le bon côté des choses, on peut se prêter nos fringues sans soucis, tu vois l’économie au long terme ?- Tu es con, m’esclaffais-je en lui serrant sa grosse queue.- Tu vas chercher le gel ?- Hein pourquoi ?- Tu vas venir t’assoir sur moi…Je compris en ouvrant de grands yeux- Et si j’ai pas envie ? Répondis-je innocemment- J’ai un gage en réserve- Tu fais c… avec tes gages !- Il suffit de ne plus employer de gros mots- Cela me défoule- Trouves autre chose- Il faut vraiment ? Répondis-je en faisant une mimique amoureuse tout en le branlant plus fort et rapidement.- C’est ça ou la fessée- Ah ça non pas question, sale pervers !Une poignée de minutes plus tard nous étions en 69 à poil sur le lit à nous caresser et nous embrasser, l’ordinateur tournait toujours, il en avait pour un moment. Je me trémoussais sous ses coups de langues et ses doigts inquisiteurs. C’était tout de même plus pratique de ne plus être vierge, sinon jamais je ne sentirais toutes les attentions qu’il me portait.Lorsque des cris de jouissances débordaient du PC, je levais la tête pour voir autant par curiosité que pour m’émoustiller. Je ne pouvais en vouloir à ces mecs ou ces nanas, maintenant il était à moi !C’était souvent les mêmes partenaires, donc provenant sûrement d’une série, mais je supputais qu’il avait du les revoir à plusieurs reprises et ce sans limite de goût ou de couleur.Il me releva une jambe et s’attaqua à sa zone de prédilection, sortir avec lui m’engageait forcément de me faire enculer régulièrement. Je le savais et je devais soit en faire mon parti, soit apprécier cela, soit lui dire non. L’acte en lui-même m’émoustillait moins que le reste, c’était surtout sa taille qui me faisait peur. La première fois fut tout de même rude même si ensuite mon cul c’était habitué. Des fourmillements me gagnèrent lorsqu’il me lécha l’anus tout en me doigtant devant, il savait y faire le bougre ! En échange je me vengeais sur sa tige et la lui bouffait au mieux que je pouvais, mais il appréciait le résultat à n’en pas douter. Je m’assurai juste qu’il ne finisse pas sur moi ou dans ma bouche. J’avais crié de jouissance sous ses coups de langue et un double pistonnage à 2 doigts devant et derrière. Il m’avait dit que j’étais sensible, personnellement je n’avais pas de comparaison, mais j’avoue démarrer au quart de tour dès qu’il me touchait.Il se releva et se mit en tailleur tenant sa grosse bite gluante de salive à la verticale. Il prit son téléphone et le plaça entre ses jambes en lançant la vidéo.- Cela ne va pas rentrer, marmonnais-je en me relevant- Vas-y avec douceurJe passais au-dessus de lui, il m’attrapa au vol et plaquant son visage contre ma vulve il se régala de mon clito une nouvelle fois. Je m’agrippais à sa tête gémissant de plaisir.
Dès qu’il en eu terminé avec moi, je me m’y accroupi, mon sexe ouvert à ses yeux et à la caméra et me tenant à une de ses épaules, je pris sa bite en main et cherchais à la positionner entre mes fesses.- Je dois vraiment, minaudais-je avec des yeux de chat beauté.Il envoya un petit coup de bite vers le haut tapant sur mon intimité.Soufflant déjà, les tétons hypertrophiés qu’il capta au passage, je gémis, je sentis son gland se caler sur mon petit trou tout gras et gluant. Sa bite ripa, je me repositionnais et tentais de m’empaler dessus.- Ahhhh, tu es trop gros ! Gémis-je !Il ne répondit pas et poussant sur mes muscles et me mordant la lèvre inférieure je poussais pour le laisser entrer en moi. Son gland pointu trouva le chemin et écarta mes chairs, je soufflais comme une femme enceinte façon petit chien, le plus gros était à venir. J’attendis que mon cul s’habitue à l’intrusion puis me plantais plus loin, nouveau gémissement.- Ce n’est pas possible…Il ne me répondit pas, je le voyais hypnotisé par ce qu’il regardait, moi ! j’étais son centre d’attention, j’étais sa muse, j’étais là, sur lui et lui en moi ! Il me tenait les cuisses de ses mains fines et douces. Je pris appuis sur ses deux épaules et poussais vers le bas plus fort. Une fois dedans ça irait mieux, il fallait juste que ça passe. Tout à coup après une nouvelle pression vers le bas je la sentis entrer en moi d’un bon morceau.- Ahhhhhhhhhhhh, criais-je prête à me relever, une légère douleur me fulgurant, mais il me tint pas les cuisses et soufflant, je le fixais dans les yeux.- Tu es drôlement serrée, murmura-t-il- Et toi trop gros, putain j’ai l’impression d’avoir un pilon dans le cul !- Gage ! cria-t-il- Arrêtes, j’en ai déjà plein le derrière.Il poussa sa bite vers le haut et je criais de surprise.- Non, laisses moi faire s’il te plait.Je passais une main sous main et tâtait mon anus, il était étiré et entourait cette barre de chair. Je la longeais jusqu’à ces couilles.- Encore tout ça ? M’exclamais-je.En réponse il me caressa le clitoris et se mis à le branler. Je me pliais en deux traversé par des sensations plus qu’agréables. Il attrapa un de mes tétons avec sa bouche et de mis à le titiller. Je gémis d’autant plus et cette distraction me fit oublier, façon de parler, la présence entre mes fesses. Un début de jouissance me submergea suite à ses traitements et sans le vouloir je m’empalais d’avantage. Lui poussa de son côté et je ne fis plus rien pour l’en empêcher.Il envoya un bon coup de rein vers le haut, un de mes pieds dérapa et la gravité fit le reste, toute sa bite glissa dans mes intestins d’un seul coup. Je poussais un cri sans pouvoir bouger…- Sauvage ! Merde, et encore merde, ça m’a fait mal ! Je le fixais furieusement, s’il me sortait gage, il allait le payer.- Avec tout à l’heure, ça fait…- Tu me sors encore ce mot et je te fous dehors tout de suite !- Quatre gages ! Me sourrit-il en m’attrapant par le hanches et me se renversant en arrière, il m’entraîna avec lui. Puis il commença à m’enculer.Je me débattis le cul en feu puis la pression devint soutenable et son sexe coulissa entre mes fesses plus facilement, je gémissais et il accéléra.- Lâche-moi, murmurais-jeCe qu’il fit, je me redressais péniblement et entrepris de m’enculer toute seule comme une grande sur toute la longueur de sa tige, la faisant glisser de bout en bout avec une lenteur extrême. C’était bien mieux et franchement je commençais à aimer ça.- Punaise, ahhhh, gémit-il, c’est top… trop bon !Je serrais mes sphincters et accélérais mes mouvements en sueur et haletante.- Petit cul, je t’adore, c’est ahhhh… Tu aimes ça, avoue gémit-il- Oh, c’est dur, dedans, ça glisse maintenant, au début ça fait mal, mais maintenant ohhh, dedans….Il se releva et m’embrassa fougueusement. Il me fit bouger sans déculer et je me retrouvais sur le dos, les jambes autour de son bassin et il entreprit de me sodomiser encore et encore.- Tu comprends maintenant ?- Oui, haletais-je, oui, c’est bon. – Tu l’as sent ma grosse bite ?- Comment veux-tu que je l’oublie ?- Et là ! Pan un gros coup dans mon cul, je gémis, il recommença puis il se retira et se planta entre mes lèvres d’un grand coup de rein. Je me arquais hurlant de surprise et de plaisir. j’étais une vrai fontaine et il pu me bourrer de coups puissants m’envoyant valser dans les étoiles.Il était en forme ce soir là, il passa ensuite en levrette, puis me poussa allongée sur le ventre. Il alterna entre mon vagin et mes fesses, et je ne savais plus de où je prenais le plus de plaisir.Le PC était prêt à tomber, sur la vidéo, on voyait Valentin, la blondasse aux belles formes et un autre mec. Il la prenait tous les deux en sandwich et elle ne ce cessait de crier.- Tu as tout fais ! Haletais-je…- Pourquoi ça te fait envie ?- J’ai pas dit ça, criais-je sous ses coups de butoirs, mais quand allait-il s’arrêter.- Imagine des deux côtés en même temps…- Sale pervers !- Un jour si tu le veux…- Tais-toi j’en peux plus, je vais m’évanouir !Il se retira, et glissant vers ma tête il pointa sa bite vers ma bouche.- J’ai trop envie de…J’étais complètement kaput, lasse, le ventre et le cul en feu, j’attrapais sa bite et je murmurais- Ca compte pour un gage !- Ok me sourrit-il- J’ouvris la bouche et gobait son sexe.Je sentis l’odeur de sexe envahir mes narines mais n’eu pas le temps de réfléchir plus avant, il éjacula à cet instant. J’en avalais autant par surprise que par automatisme puis je le recrachais et toussais crachant sur sperme sur lui.- Ca va ?- J’ai failli m’étouffer, j’ai, je… Je crachais le reste de sperme sur les draps, encore une paire à laver.- Non, pas trop mon truc ça, je, non désolé, plus jamais.Il ne dit rien et m’essuya les lèvres avec le draps. – Merci murmura-t-il avant de m’embrasser.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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