Veuillez me suivre »Honteux, le vieil homme, accompagnĂ© de sa grasse Ă©pouse emboĂ®ta le pas de l’agent de sĂ©curitĂ©, un grand noir athlĂ©tique.Le couple, mal Ă l’aise, s’assit sur les chaises en plastique, donnant ses documents d’identitĂ©.« Et bien?-En fait…- C’est un malentendu!- Un malentendu?- Oui, nous avons achetĂ© les paquets de lames de rasoir et…- Et?- Nous avons achetĂ© les six packs d’eau et- Et?- A la caisse, nous avons oubliĂ© de sortir les paquets!- Les 10 paquets???? «Le grand noir Ă©clata de rire!Monsieur L avait la gorge nouĂ©e, il ne savait comment se sortir de ce guĂŞpier.L ‘agent s’amusait et , oubliant tout le respect qu’il devait Ă ce vieux couple, il plongeait dans le lourd dĂ©colletĂ© de la quinquagĂ©naire.« Un monsieur si respectable!- Oui mon mari est..- Et que dira-t-on quand tout le monde saura que vous volez Ă l’Ă©talage?- Non , pitiĂ©!- Nous ferons tout ce que vous voulez!- Vraiment?- Adèle, dĂ©shabille-toi! «InterloquĂ©e, son Ă©pouse le regarda, avec des yeux ronds.Puis elle sourit, depuis le dĂ©part, le jeune homme n’avait cessĂ© de lui caresser les fesses.Pour une fois , son imbĂ©cile de mari avait vu juste!Lentement, maladroitement, elle commença Ă dĂ©boutonner son corsage.Mais ses joues rouges et ses gestes gauches ne dĂ©rangeaient pas le grand noir, bien au contraire!Sentir la gĂŞne de la vieille dame le rendait fou de dĂ©sir , et avec ses seins trop gros , trop lourds elle Ă©tait bien plus bandante que les plates petites caissières qu’il sautait Ă la pause.Adèle descendit le pantalon , le slip et frotta la grosse bite contre ses lourds nibards .DĂ©contenancĂ©,, le jeune homme sentit le sperme, involontairement, gicler et Ă©clabousser le visage de la bourgeoise!VexĂ© il hurla :« Salope!Vieille salope!Grosse pute!Je pourrais ĂŞtre ton fils!!! «-Il prit Adèle par les cheveux et la fit s’allonger sur la table.Les ciseaux eurent raison de la longue jupe et de la culotte en dentelles.Le grand noir enleva sa ceinture et les coups se mirent Ă pleuvoir sur le gros cul , rempli de cellulite.La vieille dame pleurait , suppliait, mais quelques gifles et insultes la rĂ©duisirent au silence.Les grosses fesses devinrent bien roses, puis rouges , puis Ă©carlates.Le con d’Adèle attendait l’Ă©norme queue noire.Mais, la dame respectable eut droit Ă un dĂ©pucelage anal , en règle ; la douleur ne dura pas, en quelques secondes son visage se mit Ă grimacer de plaisir et la vieille dame s’Ă©vanouit sous l’orgasme.« A ton tour »Le vieil homme tremblait de peur, mais Ă sa grande surprise , le jeune homme descendit avec douceur le pantalon et extirpa tendrement le zizi du vieux monsieur.Jamais , jamais personne n’avait caressĂ©, embrassĂ© , lĂ©chĂ© sa bite , ,avec tant de savoir-faire, de dĂ©licatesse ;C’Ă©tait le paradis!Sentant que le vieil homme frĂ´lait le priapisme, le grand noir avala goulĂ»ment le foutre de ce Monsieur que tout le monde respectait en ville.Puis il l’embrassa , et monsieur L fut enivrĂ© par l’odeur de son propre sperme.Il fut surpris de pouvoir, de nouveau, Ă©jaculer, quand le long doigt du grand noir atteignit la prostate.Les fesses Ă l’air le couple de vieux bourgeois regagna sa voiture!« Avec tout cela tu n’as pas tes lames!- Pas grave, on revient les voler demain! »Monsieur L Ă©clata de rire, mais ne vit plus Adèle.Elle Ă©tait restĂ©e , en arrière, laissant un petit jeune , qui n’avait cessĂ© de mater son cul de babouin, satisfaire son con insatiable!Et tout cela , pour quelques lames de rasoir…