Des vacances incestueuses inoubliables
Chapitre 16 – Le curé
Quelques jours plus tard, ce fut le curé qui passa chez mes parents après déjeuner, à l’heure du café. La conversation avec mes parents tourna autour de la vie de la paroisse, et avant de partir, le curé s’adressa à moi :
« Peux-tu passer demain après-midi, au presbytère, vers 14 heures. Nous n’avons pas fini notre discussion, l’autre jour, et j’aimerais que nous la poursuivions. »
Je lui donnais mon accord, et je vis la satisfaction de ma mère, dans ses yeux.
Le lendemain à l’heure convenue, ayant pris grand soin à choisir une tenue de circonstance (short flottant, sans slip en dessous, et tee-shirt moulant), je me rendis au presbytère, et, sans surprise majeure, je constatais l’absence de la bonne du curé. Je frappais à la porte, et j’entendis le curé me dire :
« Monte directement, je suis dans mon bureau. Ferme la porte à clé derrière toi. »
A ces mots, je sus immédiatement quel tour aller prendre la conversation.
En entrant dans la pièce, je vis le curé assis derrière son bureau. Il était vêtu d’une chasuble blanche légèrement transparente. Il me semblait discerner les poils de sa poitrine, sous le tissu. Il se leva pour m’accueillir, et je vis ses mollets nus qui sortaient du vêtement. Il se rassit, et me dit :
« Ce qui s’est passé l’autre jour, n’est pas bien de ma part. Mais je dois t’avouer que même si j’y ai pris beaucoup de plaisir, je me suis senti coupable. »
« Il ne faut pas, Paul ! C’est un acte naturel, même s’il est interdit par l’église. », lui répondis-je.
« Tu n’as pas compris mon garçon ! Je me suis senti coupable d’avoir pris mon plaisir seul, et de ne pas t’avoir rendu la même chose. Je vais donc te raconter ce qui se passe pour moi. Même, si comme tu le dis, c’est un péché, les curés sont des hommes comme les autres et ont des pulsions sexuelles. En ce qui me concerne, avec toi, c’était la première fois que je n’avais pas une relation solitaire. Je n’avais jamais été touché par un autre que moi, ni touché quelqu’un d’autre. Oui, moi, comme toi, je me masturbe. Et même plus… », dit-il, en ouvrant un tiroir de son bureau et en sortant de celui-ci, une grosse bougie, dont une des extrémités était taillée en forme arrondie.
« Voilà ! », dit-il, « C’est avec ceci que je me fais jouir. Je me l’enfonce dans le cul, et je me branle en même temps. Pour me faire pardonner d’avoir été égoïste, l’autre jour, et en voyant la déformation de ton short, car je suis sûr que tu bandes déjà, je te propose de remplacer la bougie avec ta bite, que j’ai hâte de voir, car tu ne me l’as pas encore montrée. »
Aussitôt, je me levais de la chaise, fis sauter short et maillot, et me retrouvais nu comme un ver, la queue bien raide. Je vis les yeux du curé s’agrandir, et regardant mon sexe avec gourmandise, il me dit :
« Viens ici ! Elle est très belle ! Et, plus grosse que ma bougie. Elle va bien me remplir le cul. Au lieu de la vaseline que je mets sur mon gode, je vais te lubrifier avec ma salive, pour que tu puisses bien m’enculer et me la fourrer très loin. »
Je fis le tour du bureau, il fit pivoter son fauteuil, et se pencha pour emboucher ma pine. Pour un mec, qui soi-disant n’avait jamais fait ça, il suçait bien.
Avec ses lèvres, il jouait avec mon gland, puis s’enfonçait ma bite jusqu’au gosier en la pompant ; puis il me léchait la tige, et prenait mes couilles dans sa bouche.
« Fourre moi la ! » dit-il, en se levant et en remontant sa chasuble. Il était entièrement à poil, en-dessous. Il mit sa poitrine et ses bras sur le bureau et m’offrit sa croupe, jambes largement écartées.
« Bourre-moi, bourre-moi ! J’ai trop envie de sentir ta queue me remplir le cul ! »
Je commençais par lui lécher la raie, et lui donner des petits coups de langue dans la rondelle. Puis, j’approchais mon gland, le posais sur son anus, et d’un violent coup de rein, je lui rentrais entièrement ma bite dans le cul. Je l’enculais à fond à chaque mouvement. Puis, je suis sorti tout entier, et je suis rentré complètement, plusieurs fois de suite. Le curé avait bien dû s’exercer avec sa bougie, car cela rentrait facilement.
J’eus soudain envie de le choquer, en employant des termes religieux. Je lui dis, en sortant ma bite de son cul :
« Mon Père, j’ai envie de vous sucer et de jouir dans votre bouche ! »
« Ah ! Mon Enfant, c’est aussi mon plus cher désir ! », me répondit-il, en se relevant, et en s’allongeant sur le tapis devant le bureau, chasuble entièrement relevée.
Je me couchais près de lui, en position de 69, et je caressais ses couilles, avant d’emboucher sa pine. Il fit de même avec la mienne. Nous entendions les bruits de succion que nous faisions en nous pompant le dard, et je l’entendais marmonner, la bouche pleine :
« Que c’est bon ! Mon Dieu, que c’est bon ! »
Je sentis à un raidissement de sa queue qu’il allait jouir, alors, je ne me retins plus, et lui crachais tout mon foutre dans la gorge. Il hurla, en déchargeant son sperme dans ma bouche. Nous sommes restés un certain temps comme çà, allongés tête bêche, en nous suçotant le sexe, les boules et la rondelle.
En nous relevant, il me dit :
« Il faudra que tu me racontes vraiment tout ce que tu as fait durant tes vacances. Il me semble que tu as dû passer de très bons moments. »
« Vous n’imaginez pas à quel point, Paul. Mais, promis, je vous raconterai tout, et vous verrez comment cela vous excitera. »
« Tu es un vrai Satan, mais j’adore ta queue, bien qu’elle ne soit pas fourchue. » me répondit-il, en souriant.