Des vacances incestueuses inoubliables(Chapitre 2)La journée qui suivit ce réveil matinal extraordinaire, se déroula tout naturellement, sans aucune allusion,ni geste, pouvant laisser penser aux événements du matin.Tata me montrait toujours son affection sincère sous l’œil chaleureux de Tonton, bien que j’ai eul’impression qu’il y luisait une certaine lueur lubrique.Le soir, après une soirée télé tout à fait ordinaire, tout le monde se dit bonsoir et partit se coucher.Arrivé dans ma chambre, je ne pus m’empêcher de penser à ce qui s’était passé et dit le matin. Et, je …bandais dur ! Je décidais de retirer, non seulement, mon slip pour dormir, mais aussi, mon tee-shirt. Donc,je me couchais entièrement nu, avec une bite dressée et gonflée, que bien sûr, je m’empressais decaresser. Sans me faire jouir, dans l’espoir que ce que m’avait promis Tata arriverait bien le lendemainmatin.Après une nuit de sommeil, très calme, je suis réveillé par une présence que je sens rentrer dans mon lit.Fort de l’expérience de la veille, je ne bouge surtout pas, et reste tourné vers le mur. Mais au lieu de sentirdans mon dos les seins de Tata, bien proportionnés et fermes, je sens quelque chose de dur sur mes fesses.A ce moment, j’entends la voix de Tonton :– « Bonjour, mon garçon, tu as bien dormi ? As-tu fait de beaux rêves ? »Au même instant, je sentis sa main saisir directement mon sexe, qui était déjà raide et gonflé de manièreincroyable, et directement, Tonton se mit à me branler d’une façon tout à fait différente de celle de Tatala veille. Il me branlait comme les hommes se branlent entre eux. Vigoureusement… Je sentais qu’en mêmetemps, il frottait son sexe sur la raie de mes fesses, et ne résistant pas plus longtemps à l’envie que j’avais,sans me retourner, je lançais mon bras vers l’arrière et glissais ma main entre nos deux corps.Quelle surprise ! Quelle belle surprise ! Ma main rencontra un sexe dressé, comme elle n’en avait jamaisrencontré. (En effet, comme beaucoup d’ados, il m’était arrivé quelques « séances de branlette » entrepotes). La bite de Tonton était longue et grosse et totalement décalottée. Rien ne venait recouvrir songland, qui était énorme. Tout en continuant de me branler, il me dit :– « Oui, vas-y, branle-moi bien. Secoue-moi fort. J’aime qu’on me fasse mal. Branle-moi, putain,branle-moi fort. »Tout en me disant ça, il me branlait encore plus fort, et je sentais que j’allais bientôt décharger. Alors, jeme suis mis sur le dos, cuisses bien écartées, et me faisant branler, j’étais plus à mon aise pour tenir à pleine main sa queue énorme, et le branler très fort.Ce n’était pas, comme avec Tata la veille, des parlottes. C’était de la vraie branlette entre hommes.Je ne pouvais plus tenir. J’ai explosé et j’ai balancé tout le foutre qui me gonflait les boules. Tonton agueulé :– « Vas-y ! Jouis fort ! Et tire fort sur ma bite, je veux cracher maintenant, aussi. »Il a joui, aussi, et je n’avais jamais vu un ventre autant inondé de foutre. Il répétait doucement encontinuant de me caresser :– C’est bon, tu m’as bien branlé. Tu m’as super bien branlé ! c’était très bon. Demain, je te montreraiautre chose. »Sa promesse me laisse dans l’impatience d’être à demain.(Juste pour info : En vous racontant ce qui m’est arrivé, je visionne une vidéo, sur laquelle je me suis filméen train de me branler. Et, devinez ce que je fais avec ma main gauche…)